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(24/04/2007 16:39:00)
Présidentielle 2007 : Les machines à voter perturbent le 1er tour
Commentaire de Vincent Delfau, journaliste lemondeinformatique.fr (...)
(23/04/2007 17:32:36)Chez BFD, la gestion de connaissance efface les liens hiérarchiques
L'activité de conseil, on le sait, sur fond de pratiques méthodologiques, est propice à la capitalisation des expériences et des connaissances. Chez BFD, société de conseil en architecture des systèmes d'information, le dispositif de gestion de connaissance est résolument couplé à une organisation reposant sur le coaching. Une relation volontairement dissociée du suivi opérationnel de l'activité, et qui, du même coup, fait tomber les relations hiérarchiques, au profit d'une implication réciproque du coach, consultant confirmé, et de la demie-douzaine de consultants que celui-ci s'engage à accompagner. Comme le décrit Julien Schott, DRH de BFD, «à l'heure où l'on télé-coach tout un chacun en uniformisant les comportements et les compétences, l'organisation et les moyens mis en place chez BFD pour assurer ce mode de coaching personnel visent au contraire à cultiver les originalités et la responsabilité de chacun ». Ces moyens, au delà de rythme des entretiens professionnels (deux par an) et des points réguliers faits entre « coach » et « coachés » sur les missions en cours partent de quatre idées-clés : - la contribution de chacun au capital immatériel de l'entreprise (mise en commun des bonnes pratiques, etc) ; - la mise en exergue de l'expérience des « coachs »; - un plan de formation qui vise autant à étayer le transfert de connaissances qu'à répondre à court terme aux besoins de compétences liés aux missions; - un positionnement clair du rôle et du projet professionnel de chacun, grâce au référentiel des savoir-faire et des métiers de BFD. Un référentiel pour base objective du coaching Certes, la taille de l'équipe de BFD (46 salariés, dont 38 consultants) facilite l'individualisation du suivi. Et l'on pourrait croire la pratique de description détaillée des compétences, à coup de référentiel, réservée à la gestion prévisionnelle de très grandes structures. Mais, insiste Julien Schott, «avec un tel passage au crible des savoir-faire, mais aussi des savoir-être, en tant que facettes capitales du métier de consultant, c'est le côté passablement galvaudé du coaching, basé sur des affinités personnelles ou affectives, qui est évité. Chacun a la possibilité de construire une vision de son propre projet professionnel, sur les bases solides et objectives que sont les exigences du métier». Adopté de façon informelle au fil des années (BFD opère en assistance à maîtrise d'ouvrage auprès du milieu bancaire depuis dix-huit ans), ce style de management non hiérarchique a été précisé depuis que la société a franchi le cap de la trentaine de consultants, et sera entériné en septembre prochain avec une « mise au vert » des managers, histoire de confronter et de consolider leur pratique de coach. (...)
(23/04/2007 17:20:03)Quatre pistes pour la sauvegarde de l'emploi de la filière télécoms
Mises sur la place publique, avec l'effet choc des restructurations et dégraissages du secteur, dont les 1468 suppressions d'emplois annoncées chez Alacatel-Lucent, les forces et faiblesses de la filière télécoms font l'objet d'un premier rapport du groupe de travail mis en place le 15 mars à la demande du ministre délégué à l'Emploi, Gérard Larcher, et de son collègue l'Industrie, François Loos. Ce rapport présenté le 19 avril au ministère de l'industrie par Pascal Faure, vice-président du Conseil général des technologies de l'information (CGTI) dresse en une quarantaine de pages un état des lieux, évoquant d'emblée le paradoxe du dynamisme de ce secteur, à la fois en volume et en innovation, et la difficulté à ancrer durablement ses emplois de R&D. Une difficulté qui, visiblement, ne se limite pas à l'Hexagone mais concerne l'ensemble de la filière télécoms européenne. Equipementiers et opérateurs ont, de toute évidence, partis liés dans les mutations provoquées par la compétition mondiale et, notamment, par les politiques commerciales agressives des équipementiers asiatiques. D'où remise en cause de la « chaîne de valeur » que les 14 experts membres du groupe de travail voient s'orienter plus encore vers une mise en exergue des services, des contenus et des logiciels. Dans ce contexte, souligne le rapport, les équipementiers européens ne manquent pas d'atouts, dont l'environnement de formation en ingénieurs du continent et la compétence de ces derniers, reconnue sur un plan international, ne sont pas les moindres. Leurs clients-opérateurs, mais aussi les pouvoirs publics, du fait du caractère stratégique que représente la maîtrise des technologies de l'information, ont leur rôle à jouer dans la préservation et le développement de cet atout-compétence. Renforcer la gestion prévisionnelle D'où les quatre pistes thématiques que propose le groupe de travail pour approfondir cet exercice de prospective d'ici à fin juin, selon le calendrier fixé initialement par les deux ministres. Le rapport d'étape recommande ainsi aux pouvoirs publics : -de promouvoir un « écosystème européen », sur fond de promotion de standards, d'une gestion des fréquences optimisant la création de valeur ajoutée et d'activité économique, de protection de la propriété intellectuelle ; -de s'assurer que la compétition entre européens, américains et asiatiques, puisse se faire à armes égales (via l'articulation des programmes de défense, le respect des règles internationales, la promotion de partenariats entre équipementiers européens et leurs clients) ; -d'amplifier les efforts publics en matière de développement des infrastructures et des usages des technologies de l'information (promotion du très haut débit, du e-commerce, du e-paiement, etc.) ; -de mettre en place une veille prospective concernant les évolutions de l'emploi et des compétences de cette filière. Sur ce dernier point, les ministres Gérard Larcher et François Loos se sont empressés de reprendre la balle au bond en invoquant la montée en puissance de la politique industrielle sous-jacente aux pôles de compétitivité. Dont le pôle « Image et Réseaux » en Bretagne qui, rappelle le communiqué officiel, « rassemble des équipes reconnues dans le monde entier », et a déjà suscité « une douzaine de projets soutenus par une enveloppe de l'Etat de 22 millions d'euros ». Rendez-vous est pris dans deux mois, sous réserve de décision du nouveau gouvernement, pour le rapport final de ce groupe de travail de prospective. (...)
(23/04/2007 17:00:02)Le recyclage, une source de revenus pour les entreprises
Si la loi française oblige désormais les revendeurs à récupérer le vieux matériel électronique de leurs clients, certains constructeurs, comme Apple, HP ou Dell, ne l'ont pas attendu pour reprendre leurs vieux ordinateurs. Selon une étude d'IDC, ces décisions n'ont pas pour seul but d'améliorer leur image ou même de protéger l'environnement. Le recyclage peut aussi rapporter gros aux entreprises. Certaines en profitent pour revendre des composants sur le marché de l'occasion (pièces détachées, processeurs) ou des matériaux (plastiques), d'autres utilisent leurs programmes de reprises pour inciter leurs clients à changer plus souvent de PC. Voire les deux à la fois. A condition toutefois d'arriver à récupérer ces anciens ordinateurs. Selon David Daoud, analyste chez IDC, seuls 7% des PC de particuliers et 30% des PC des entreprises sont récupérés par des canaux officiels. Le reste moisit dans des hangars et greniers à 35%, ou est redistribué à des proches (34% des PC domestiques) ou des associations et des employés (70% des PC de bureau). Certaines sociétés comme Redemtech se sont même spécialisées dans la mise en contact de compagnies high-tech et de ferrailleurs à la recherche de composants bruts. « Toute opération de développement durable en IT doit être financièrement avantageuse pour une société et ses actionnaires, » prétend Bob Houghton, président de Redemtech. « Finalement, être « vert » fait faire des économies en matière de coût de revient et dans l'extension de son infrastructure. » Et son commerce n'est pas prêt de disparaître. Selon IDC, entre 2005 et 2010, 955 millions de PC seront mis à la retraite. (...)
(23/04/2007 16:57:51)La Cnil condamne le Français Tyco Healthcare à 30 000 € d'amende
Le 14 décembre 2006, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a condamné Tyco Healthcare France (450 salariés), fabricant de matériel médical, à verser la somme de 30 000 € pour manque de coopération et de transparence. En cause, le fichier des salariés de la société qui, déclaré comme un rapport de politique salariale, a servi tant à la gestion des stock-options et qu'à la mobilité interne. La décision a été rendue publique à la mi-avril. L'affaire remonte au 21 février 2005. A cette époque, la Cnil demande à la société de justifier un certain nombre d'informations liées à un fichier déclaré par Tyco Healthcare (en 2004) auprès de la Commission. Ce fichier qui recense les salariés doit selon la société ne servir qu'à des fins "de gestion des carrières à l'international" et ayant, ainsi, un simple rôle de reporting. Tyco Healthcare est en effet un groupe international, dont les filiales doivent reporter à leur hiérarchie les données liées aux ressources humaines et à la politique salariale. La Cnil s'interroge toutefois sur "les finalités recherchées et les fonctionnalités de l'application". Sans réponse jugée satisfaisante par la Commission et après une mise en demeure, la Cnil commandite une mission de contrôle dans les locaux de la société le 12 juillet 2006. Résultat, le traitement des données contenu dans le fichier dépasse celui du cadre d'un simple reporting. La Cnil indique également dans le document de délibération que la base de données des salariés français est toujours alimentée en informations. Une opération que Tyco avait, dans une de ses réponses jugées insatisfaisantes par la Cnil, affirmé avoir stoppé. Après analyse, il apparaît que le fichier "sert à la gestion des stock-options, la formation professionnelle, le niveau des rémunérations, la communication professionnelle, etc", cite la Cnil dans sa délibération. La Commission se juge également toujours suffisamment ininformée sur les mesures de sécurité ainsi que sur la localisation des serveurs où sont hébergées les données. "Ces fonctionnalités, qui peuvent être rattachées à une finalité de gestion des carrières à l'international, n'était pas décrites dans la déclaration adressées par la société Tyco Healthcare France le 22 septembre 2004", conclut alors la Cnil, qui explique que "Tyco Healthcare France n'avait manifestement pas pris la mesure des manquements graves, pouvant constituer une infraction pénale d'entrave, qui lui étaient reprochés, la Cnil a prononcé une sanction pécuniaire à l'encontre de cette société". A la rédaction de cet article, Tyco Healthcare France et la Cnil restaient injoignables. (...)
(23/04/2007 16:19:14)Un disque dur 2,5 pouces de 147 Go pour cet été
Hitachi vient d'annoncer la mise sur le marché de l'Ultrastar C10K147, un disque dur 2,5 pouces basse consommation capable de stocker jusqu'à 147 Gigabytes de données. Avec son premier mini disque dur destiné aux serveurs d'entreprises, le constructeur espère se positionner avantageusement sur le marché de l'IP, gros consommateur de puissance de stockage. Hitachi compte d'ailleurs sur ce dernier pour atteindre son objectif de 20% de croissance annuelle sur le marché de l'entreprise. HP a manifesté son intérêt pour le nouveau support, que l'on devrait retrouver sur certains de ses serveurs à la rentrée prochaine, le disque devant être commercialisé cet été. D'un poids de 227 grammes, l'Ultrastar C10K147 mesure 14,8 mm de hauteur et ne consomme que 5,9 watts au maximum. Il est proposé avec deux ou quatre plateaux, une ou deux têtes de lecture, un buffer data de 16 Mégas et offre, selon les versions, une capacité de stockage de 73 ou 147 Gigabytes. « Les fabricants de disques durs sont confrontés à une demande accrue de la part des datacenters d'entreprises pour des supports moins gourmands en énergie, dégageant moins de chaleur, offrant de meilleures performances et plus de capacité de stockage sur moins d'espace disque », a commenté John Rydning, spécialiste des disques durs chez IDC. (...)
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