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(20/04/2007 12:55:00)
Prospectives 2007 : Anticiper les évolutions des solutions et services de sécurité - 22 mars 2007
Trois visions d'entreprises autour des problématiques de sécurité ::>la lutte contre les virus et les spams, la sécurité du poste de travail, la stratégie de Microsoft vue par un expert Table ronde, (...)
(20/04/2007 12:34:00)Prospectives 2007 : Anticiper les évolutions des solutions et services de sécurité - 22 mars 2007
Trois visions d'entreprises autour des problématiques de sécurité ::>la sécurité des solutions mobiles Table ronde, 1ere partie (...)
(19/04/2007 18:15:12)Des formations (presque) gratuites pour les informaticiens au chômage
Après l'accord passé avec l'éditeur Nat System il y a trois semaines, le spécialiste du décisionnel SAS vient de signer avec le Munci (association d'informaticiens) le même type de partenariat pour ouvrir une partie de ses formations aux informaticiens chômeurs à des conditions tarifaires adaptées. Soit une réduction de 90% pour les inscrits à l'ANPE et une remise de 30% pour les informaticiens indépendants. « Le complément de financement pour les demandeurs d'emploi peut éventuellement être pris en charge par les Assedic », précise Régis Granorolo, porte-parole du Munci. L'association servant d'intermédiaire pour valider la motivation du demandeur de formation, l'accès à cette offre passe par une adhésion au Munci (soit 10 euros à l'année) et une ancienneté de plus de six mois de cette adhésion. Ce qui en réduit la portée immédiate. Depuis la signature de l'accord avec Nat Systems, il y a trois semaines, une seule demande de personne susceptible de correspondre à ces conditions a été enregistrée. Néanmoins, l'orientation des stages de courte durée proposés, qu'il s'agisse de l'environnement d'informatique décisionnelle de SAS ou des environnements de développement de Nat System, peut concerner une cible assez large de profils, à moyen terme. Recyclage sur.Net ou sur J2EE Pour rappel, concernant l'environnement .net de Microsoft, l'initiative de la société d'Avolys ayant la même intention d'aider les demandeurs d'emploi à remettre leur bagage au goût du jour, grâce à un accès à la formation à des conditions financières adaptées (frais d'entrée correspondant à moins de 10% du coût du stage) a concerné entre décembre 2006 et février 2007, une quinzaine de personnes. Alors que le dirigeant d'Avolys, Pierre François, affichait son intention d'ouvrir 180 places à ces conditions sur l'année 2007. Du côté de Nat System, promoteur des ateliers logiciels pour applications distribuées NatStar et NS-DK (applications graphiques), l'offre couverte par l'accord avec le Munci va de la mise à jour sur ces environnements, du cours de deux jours jusqu'à une semaine, au cours de trois jours introduisant à l'atelier NatJxt de développement J2EE/Eclipse/Ajax. « Nous avons par ailleurs des accords de mise à disposition gratuite de l'atelier pour la formation (initiale et continue) dispensée par l'Afpa et par certains Greta, prolongée dans certains cas par l'accueil de stagiaires pour deux à trois mois », précise Juliette Salomé, responsable de la communication de Nat System. (...)
(19/04/2007 18:06:49)Oracle livrera une suite intégrée de gestion de contenus d'ici douze mois
Quelques mois après le rachat de l'éditeur Stellent et de son offre de gestion de contenus d'entreprise (ECM), en novembre dernier, Oracle précise sa stratégie dans ce domaine. Il a désormais intégré la technologie de Stellent dans sa propre offre de gestion de contenus, l'ensemble faisant partie de sa famille de produits Fusion middleware (qui comprend par ailleurs son serveur d'application, sa solution de gestion des processus métiers - BPM - , ses applications d'analyse de données, son portail, etc.). Sur les douze prochains mois, Oracle prévoit de livrer de nouvelles versions des cinq applications de son portefeuille ECM : Universal Content Management (gestion de différents types de contenus), Universal Records Management (conservation légale des documents), Imaging and Process Management Software (intégration des images dans les processus documentaires), Rights Management (sécurisation et traçabilité des documents) et Content Database. Les trois premiers produits seront rassemblés dans une suite proposant des fonctions intégrées. Une suite qui, selon Oracle, devrait probablement être commercialisée autour de 150 000 $ par processeur. Une offre en gestation depuis juin 2006 C'est en juin 2006 qu'Oracle a commencé à montrer son intérêt pour la gestion de contenus en présentant les premières versions de Content Database et Records Database, deux options complémentaires à sa base de données Oracle Database 10g Enterprise Edition, destinées à récupérer, classer et conserver les contenus non structurés. Les deux produits ont été livrés en septembre 2006. Oracle a placé la gestion de contenus parmi les cinq grands domaines de croissance de son activité, les autres étant la sécurité, l'analyse de données et de performances (Business Intelligence), le calcul réparti (grid computing) et les fonctions de recherche pour l'entreprise. Rappelons que dans le domaine de l'analyse de performances, Oracle a récemment acquis Hyperion. Le volume des contenus professionnels continuant à croître de façon rapide et importante, les entreprises cherchent à mettre en place des outils pour gérer et retrouver à la fois les données structurées et non structurées, documents bureautiques, mais aussi courriels, vidéos, etc. Sur ce domaine applicatif, à côté des fournisseurs qui se partagent l'essentiel de ce marché (IBM, Open Text et EMC*), des acteurs comme Oracle et Microsoft cherchent aussi à se faire une place. Rappelons que le mouvement de concentration du secteur est déjà bien engagé, l'année 2006 ayant vu le rachat de FileNet par IBM, de Hummingbird par Open Text et de Stellent par Oracle. En octobre 2003, EMC avait ouvert le bal en rachetant Documentum. (*) Selon Gartner, IBM détient 28 % du marché mondial de la gestion des contenus d'entreprise (ECM), suivi d'Open Text 22 % et d'EMC (13 %). (...)
(19/04/2007 17:52:29)Marché des PC : HP toujours en tête
La dernière étude de Gartner sur les vente mondiales de PC au premier trimestre 2007 montre que HP s'est durablement installé dans la position de leader, reprise à Dell il y a un an. Sur un marché mondial des PC en hausse de 8,9% à 62,7 millions d'unités, ses ventes ont progressé de 28,7% à période comparée de 2006. Ses parts de marché se situent désormais à 17,6% de l'ensemble des PC livrés dans le monde en 2006. A l'inverse, la situation de Dell, qui garde la seconde place du podium, continue de se dégrader. Le spécialiste de la vente directe a vu ses livraisons chuter de 7,8 au premier trimestre 2007 et ses parts de marché reculer de 2,5 points à 13,9%. «Dell réalise de mauvaises performances pour le troisième trimestre consécutif. Il est le seul dont les ventes ont reculé en début d'année», explique Ranjit Atwal, analyste chez Gartner. Pour l'heure, toutefois, le fabricant garde encore ses poursuivants à bonne distance. Mais pour combien de temps encore, si la réorganisation dans laquelle il s'est engagée ne portait pas ses fruits ? Car pendant ce temps, Acer continue sa folle ascension. Durant le premier trimestre 2007, il est venu prendre la place de numéro trois du marché à Lenovo qui a pourtant réalisé sa plus forte progression d'une année sur l'autre (+16,1%) depuis l'acquisition des PC d'IBM. Il faut dire que le fabricant Taïwanais a frappé un grande coup. Lors du premier trimestre 2007, ses ventes ont progressé de 46,1% pour lui permettre de totaliser 6,8% des livraisons de PC dans le monde. Selon Gartner, la séparation des activités de la société entre une division professionnelle et une division grand public lui aurait permis d'être plus efficace sur chacun de ces segments de marché et de faire progresser à la fois ses ventes de PC et de portables. La zone EMEA, premier marché dans le monde Aux Etats-Unis, en Amérique Latine et dans la zone EMEA, les ventes de PC ont progressé au delà des prévisions de l'institut Gartner au premier trimestre 2007. En Amérique du Nord, elles ont ainsi enregistré une hausse de 2,9% à 14,8 millions d'unités. De son côté, l'Amérique Latine s'impose comme la région la plus dynamique avec des ventes en croissance de 21% à 5,1 millions de PC. La zone EMEA demeure quant à elle le premier marché pour la vente d'ordinateurs avec 21,6 millions de machines livrées et une croissance soutenue de 13%. Le classement des fournisseurs y est sensiblement le même que dans le monde. A ceci près qu'Acer y occupe la seconde place avec 11,3% de parts de marché et Dell la troisième avec 10,9% de parts de marché. HP caracole en tête en s'adjugeant 18,1% des ventes. (...)
(19/04/2007 17:43:28)Une bouffée d'oxygène à 3 millions d'euros pour Mandriva
Mis en redressement judiciaire en 2006, l'éditeur Mandriva a annoncé lundi 16 avril une levée de fonds en deux temps pour un total de 3 M€. Dans un premier temps, le fonds d'investissement OCCAM Capital profitera d'une augmentation de capital de 1,65 M€, devenant à l'occasion le principal actionnaire de la société. La deuxième phase, qui permettra de lever au moins 1,3 M€, sera ouverte à tous les actionnaires pour un prix de 0,34 euro par action. OCCAM et les actionnaires historiques de la société (Millennium Partners, Windhurst Participations et ses dirigeants Jacques Le Marois et François Bancilhon) garantiront au moins 75% de cette somme. L'ensemble de l'opération devra être validé par la prochaine assemblée générale du 25 mai 2007. Cette levée de fonds a un double objectif : sortir enfin du redressement judiciaire en remboursant les dettes restantes, et finaliser l'achat de Linbox, annoncé dès septembre 2006. Cet éditeur, spécialiste des serveurs, devrait apporter de gros comptes à Mandriva comme Renault, le ministère de l'Intérieur, Arcelor Mittal ou EADS. (...)
(19/04/2007 17:42:22)ES&S remplace 145 machines à voter à trois jours du scrutin
Changement de cap pour les machines à voter. Alors que le début de semaine a été marqué par une polémique portant sur la conformité des machines à l'agrément émis par le ministère de l'Intérieur en 2005, ES&S vient de remplacer tous les ordinateurs de vote qu'il avait installés en France. « Toutes nos machines, de modèle iVotronic, sont désormais conformes à la certification d'octobre 2005, explique Denis Muthuon, le directeur commercial Europe d'ES&S, au mondeinformatique.fr. On a fait réaliser un audit sur ces machines remplaçantes dont le rapport a été publié hier (18 avril) par la Préfecture des Hauts-de-Seine. Celui-ci atteste que nos machines sont bel et bien conformes ». Les premiers ordinateurs de vote livrés aux communes ne correspondaient pas à l'arrêté d'agrément parce qu'ils avaient subi des modifications, notamment l'ajout d'un boîtier déporté qui permettait au président du bureau de vote d'activer une session à distance. « Nous avons mis ce matériel à disposition de nos clients tout en lançant un processus de certification, précise Denis Muthuon. Le 16 mars, nous avons reçu un premier rapport, mais avons senti que l'agrément ne serait pas rendu dans les temps. Nous avons alors adressé un courrier à toutes les communes pour les informer qu'elles allaient finalement être équipées avec les anciens modèles. » Le plan B, prêt depuis longtemps Une version que ne partage pas Laurent Pieuchot, conseiller municipal PS à Issy-les-Moulineaux. « On nous a menti sciemment pendant trois semaines, colère-t-il. La Ville a acheté des machines en nous garantissant qu'elles correspondaient à l'agrément de 2005. Pour le Maire, il était même hors de question de débattre plus longuement. Puis, samedi dernier, on s'aperçoit que les tickets de contrôle sortant des machines indiquent que le logiciel installé date de janvier 2007. Donc après l'agrément. Mardi, des citoyens entreprennent alors de déposer des référés libertés devant le tribunal administratif. En sortant de là, on apprend que les machines ont été changées à Issy. » Manifestement, selon le directeur commercial d'ES&S, « les personnes qui ont déposé les plaintes ont commis de nombreuses erreurs d'analyse de la machine. La plus importante : elles se sont procurées un ticket sur une machine qui n'allait pas être utilisée. » Le changement de machine n'aurait donc pas été décidé en catastrophe, à la dernière minute, pour couper court aux critiques grandissantes et éviter un camouflet devant la justice administrative ? « Il est impossible de fabriquer 200 machines en quelques jours, rétorque Denis Muthuon. On avait un plan B préparé depuis longtemps. » Le juge administratif en appelle au Conseil d'Etat Suite aux recours déposés par les citoyens, qui dénonçaient la non conformité des machines à l'agrément de 2005, le tribunal administratif de Versailles a rendu, le 17 avril, son ordonnance. « A la supposer établie, une telle circonstance (la non conformité, NDLR) ne permet pas, à elle seule, de caractériser une atteinte grave à la liberté fondamentale que constitue l'exercice du droit de suffrage ; [...] la requête ne peut qu'être rejetée », estime le juge. Nicolas Barcet, du site Betapolitique.fr, est outré : « il est scandaleux que l'utilisation de machines non conformes ne soit pas une atteinte au droit de vote. » Gilles Guglielmi, professeur de droit public à Paris II, se veut plus nuancé. Selon lui, la formulation touche au paradoxe et relève de la rhétorique du juge. « Le tribunal dit : "l'irrégularité existe mais au vu de l'urgence, ce n'est pas suffisamment important pour que je règle le problème à mon niveau". Or, explique Gilles Guglielmi, il faut comprendre : "c'est trop compliqué pour moi, ça dépasse le ressort territorial de Boulogne ou d'Issy, il vaut mieux que ce soit le Conseil d'Etat qui tranche le problème" ». De fait, estime le professeur, « il s'agit presque d'une incitation à faire appel. » (...)
(19/04/2007 17:10:13)Les SRC revendiquent la création d'emplois pérennes entre recherche et R&D
Peu connu hors des milieux industriels bien connectés sur le monde de la recherche, le réseau des SRC, structures de recherche contractuelles de statut public ou privé (PME ou association), représente une force de R&D partenariale de plus de 2 300 ingénieurs et consultants répartis dans une trentaine de structures dûment labellisées. Selon une étude d'Oseo présentée le 17 avril, l'apport de fonds publics à ces structures, abondement partiel à des travaux de transfert d'innovation, se justifie d'autant plus qu'il se traduit non seulement par des retombées économiques (produits, brevets et autres composantes de propriété intellectuelle), mais aussi par la création d'emplois au sein des structures SRC elles-mêmes, dans des jeunes pousses ou dans les entreprises clientes. En effet, depuis la création du label, attribué pour trois ans par Oseo (ex-Anvar) et renouvelé après expertise des activités de recherche financées, la cible du financement public (137 M€ depuis 1984) ne se limite pas aux SRC, mais couvre également certaines activités des entreprises innovantes qui font appel à leurs compétences. Selon l'étude d'impact d'Oseo, en 2006, le double effet de levier (pour les SRC et pour les sociétés clientes) s'est notamment manifesté au travers du lancement ou du développement de 67 start-up en 22 ans et par l'accompagnement long d'industriels impliqués dans une coentreprise dans 21 cas. Comme le précise David Peltre, consultant de la société Bertin qui a contribué à l'étude d'Oseo, sur les sept dernières années, l'abondement public a ainsi été à la source d'une création de chiffre d'affaires de 680 M€ pour les SRC (65% attribuables à la création-préservation d'emplois, 35% à la création de valeur ajoutée) et de 727 M€ chez les industriels clients des SRC (dont 40% pour la création-préservation d'emplois, 60% pour la création de valeur ajoutée). Pourtant, une comparaison à l'échelle européenne des dispositifs de financement des structures de transfert technologique du même genre montre que le financement français, qui n'a cessé de baisser depuis 1999, figure parmi les plus faibles (10% de prise en charge, contre 40% en Allemagne, 34% aux Pays-Bas, 30% en Finlande, ou 24% en Belgique). (...)
(19/04/2007 15:04:19)Aperture aide à la planification des data centers
Aperture a développé un logiciel, Vista Capacity Management, pour planifier complètement l'installation des salles de serveurs. Les clients indiquent quels sont les usages et les configurations actuelles de leurs data centers, et l'outil les guide dans leurs évolutions futures. Tous les paramètres liés aux bâtiments sont pris en compte : consommation électrique, espace à prévoir, système de climatisation. Vista Capacity Management permet même aux DSI de prévoir à quel moment leur salle de serveur sera trop petite pour répondre à leurs besoins, en prenant compte des différentes contraintes budgétaires ou du degré d'importance des projets. Ce logiciel est livré comme une extension d'Aperture Vista, l'outil de gestion des data centers de la société. (...)
(19/04/2007 14:44:19)Panne de la messagerie Blackberry pour les clients américains
Une panne a affecté pendant une dizaine d'heures le système Push mail de RIM, empêchant les possesseurs nord-américains de Blackberry de recevoir ou d'envoyer des mails ou de surfer sur Internet. Seul le système téléphonique est resté opérationnel. Heureusement, l'incident s'est produit vers 0h00 GMT, ce qui correspond à la soirée sur la côte est. Des villes comme San Francisco ou Los Angeles ou celles de la Silicon Valley (côte ouest) ont, quant à elles, été davantage affectées. Ainsi à San Diego, un site rassemblant des DSI et des responsables télécoms de grandes entreprises rapportait que près de 80 % de ses membres avaient dû interrompre leurs opérations à cause de la panne. En consultant différents forums américains consacrés au Blackberry, on constate que le reproche principal des clients RIM concerne le manque d'information. « Le problème avec RIM, c'est qu'ils n'avertissent jamais leurs utilisateurs. Pour en savoir un peu plus, on est obligé de se tourner vers les forums », se plaignait ainsi le responsable technique d'un cabinet d'expertise en matière de cybersécurité, par ailleurs client Blackberry depuis 3 ans. Malgré cela, la plupart des clients du Canadien s'exprimant sur Internet ne souhaitent pas changer de système de messagerie mobile. La plupart d'entre eux estiment en effet que le Blackberry reste la meilleure solution du marché. Heureusement pour RIM, qui annonçait récemment avoir conquis un million de nouveaux clients dans le monde au cours du 4e trimestre 2006, ce qui lui a permis de franchir le cap des 8 millions d'utilisateurs. Malgré l'indulgence des clients, la panne pourrait ralentir, sinon infléchir, la courbe de croissance de l'entreprise. A l'heure qu'il est, les ingénieurs canadiens n'ont toujours pas trouvé les causes de la panne. (...)
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