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(21/09/2005 17:59:11)

Gestion d'identité : Bull Evidian se paie Enatel

Le Français Bull Evidian, division logicielle du groupe Bull, annonce l'acquisition de la petite société française Enatel (10 employés localisés à Gennevilliers), spécialisée dans la sécurisation d'accès aux réseaux d'entreprise par authentification unique (SSO- Single Sign-On). Aucun montant n'a pour l'heure été communiqué.
Par cette transaction, Bull entend étoffer son offre de gestion d'identité en fondant WiseGuard, logiciel-phare d'Enatel, à son application AccessMaster.
Dans un communiqué, Bull explique que cette opération vient conclure une « collaboration de plusieurs années entre les deux sociétés ».
Pour autant, le rachat d'Enatel constitue le retour de Bull, après sa recapitalisation.
Et ce ne serait qu'un premier jet, le Français prévoyant de futurs rapprochements en 2006. De plus grande ampleur, cette fois-ci. (...)

(21/09/2005 18:08:44)

Openworld: Oracle dévoile son serveur d'application AS 10g r3

Confirmant son intention de jouer un rôle dans le développement des architectures SOA, Oracle a dévoilé lundi la dernière version de son serveur d'application Oracle AS 10g release 3. Cette nouvelle mouture apporte un moteur de gestion de règles métiers, un meilleur support des standards de services web et un bus d'entreprise mis à jour. Oracle AS 10g r3 sera disponible au début 2006 mais il est déjà présenté par Oracle comme une pièce centrale de sa stratégie SOA. Pour Rick Schultz, le vice-président en charge des middleware Fusion d'Oracle, l'un des points clés de 10g r3 est la possibilité pour les clients de définir des règles métiers. "Il est possible d'ajouter ou de modifier des règles métiers sans avoir à modifier de lignes de code et apporter des changements à l'application, ce qui jusque-là nécessitait de recompiler et de redéployer l'application.". La dernière mouture de l'ESB d'Oracle supporte aussi les dernières technologies d'intégration Java.

Côtés standards, le support des services web a été amélioré dans la dernière mouture avec l'intégration d'une annuaire de services conforme au standard UDDI 3. Le serveur d'application supporte aussi WS-Reliable Messaging, WS-Security, WS-Federation, WS-I (Web Services Interoperability ) et le Web Services Invocation Framework. La sécurité bénéficie du support de SAML 1.0 et 2.0 et de fonctions avancées de single sign-on.

La concentration sur les architectures SOA n'empêche pas Oracle de continuer à enrichir les fonctions de grille de son serveur d'applications avec le support de la répartition de charge dynamique et une meilleure gestion du clustering. Une console JMX (Java Management Extensions) est aussi mise à disposition des administrateurs.

Oracle Application Server 10g Release 3 est certifié pour fonctionner avec une variété de frameworks open source dont Eclipse mais aussi Spring, Hibernate et Tapestry. D'autres projets libres peuvent aussi être utilisés avec le serveur comme myFaces une implémentation libre des Java Server Faces (JSF) et le système CVS (Concurrent Versions System) .

Enfin, le lancement d'Oracle AS 10g r3 devrait s'accompagner de la mise à jour des outils de développement de la firme de Redwood, notamment JDeveloper et le framework Oracle Application Developer. Oracle AS 10g r3 devrait être proposé à partir de 30000$ par processeur pour la version entreprise. (...)

(21/09/2005 18:05:02)

Steve Jobs : Des Mac à puce Intel en ligne pour juin 2006

De passage à L'apple Expo, le salon annuel de la marque à Paris, Steve Jobs a confirmé que le développement des premiers Mac à base de puces Intel progressait conformément aux plans dévoilés en juin dernier lors de la Conférence développeurs de San Francisco. Selon Jobs, les premiers Mac à base de puce Intel devraient être présentés dans le courant du mois de juin 2006 (vraisemblablement à l'occasion de la même WorldWide Developer Conference). Ces machines devraient utiliser des puces mobiles signées Intel. La quesiton reste toutefois posée de savoir si la firme à la pomme utilisera les puces mobiles 32 bit Yonah, attendues au premier trimestre 2006, ou si elle sera la première à baser ses designs sur les puces mobiles Merom, attendues en volume pour le troisième trimestre 2006. Merom est le nom de code des futures puces mobiles d'Intel basées sur sa nouvelle architecture bi-coeur 64 bit à basse consommation. (...)

(21/09/2005 17:24:55)

Investissements : Les PME sont conscientes du rôle des technologies de l'information

Markess International se penche sur les usages informatiques des 459 000 entreprises françaises de six à deux mille salariés. Près de 19 % d'entre elles n'ont pas de direction informatique et 65 % ont moins de la moitié de leurs collaborateurs équipés de PC. Elles sont néanmoins conscientes du rôle des technologies de l'information dans leurs relations d'affaires, jugé essentiel par la moitié d'entre elles et importantes (mais non suffisantes) par 38 %. C'est le coût des projets informatiques qui est le principal frein à leurs investissements (dans 80 %), les autres blocages étant constitués par le manque de ressources et de compétences en interne (25 %), le frein humain et culturel (23 %) et le manque de temps (20 %). Des investissements que l'engagement renforcé des pouvoirs publics devrait permettre de favoriser. Selon Markess, 23 % des PME les prévoient en hausse pour 2006. En 2005, le cabinet évalue que la dépense informatique globale des PME devrait peser près de 39,7 milliards d'euros en France (13,5 milliards d'euros pour les logiciels et services informatiques), soit quelque 57 % de la dépense totale. D'ici 2007, Markess prévoit une augmentation de cette dépense de près de 5 % par an. A noter que 59 % des PME ont actuellement recours à des prestataires externes pour tout ou partie de leur informatique. Elles seront 14 % de plus d'ici 2007. (...)

(21/09/2005 18:00:23)

Openworld : Oracle rachète G-Log

Oracle a entamé la deuxième journée de sa conférence OpenWorld de San Francisco en annonçant l'acquisition de Global Logistics Technologies (G-Log) pour un montant qui n'a pas été révélé. Oracle prévoit d'utiliser le logiciel de gestion logistique de G-Log, GC3, pour doper son offre de gestion de la chaîne logistique. GC3 devrait ainsi devenir la base des fonctions de hub logistique de la prochaine suite applicative Fusion.

G-Log, basé King of Prussia, en Pennsylvanie, compte parmi ses clients des géants comme DuPont, Halliburton et les magasins Family Dollar Stores. Plus de la moitié de ses clients utilisent déjà Oracle Applications ce qui devrait largement simplifier l'intégration pour les clients. (...)

(21/09/2005 18:04:10)

ST Micro prévoit un début 2006 difficile

ST Microelectronics, le fabricant franco-italien de semi-conducteurs, s'attend à un début d'année 2006 difficile. Dans un entretien au quotidien italien Il sole 24 Ore, Carlo Bozotti, à la tête du groupe, estime ainsi « nous tablons sur un premier trimestre difficile suivi d'une forte reprise au second ».
L'année 2006 suivrait alors la même progression que celle observée en 2005, avec un démarrage difficile et une accélération progressive. Bozotti confirme cette tendance pour l'année en cours : « Le second trimestre sera de toutes façons nettement meilleur que le premier ». Des résultats en demi-teinte avaient conduit le groupe à annoncer en mai la mise en place d'un plan de restructuration.
STMicro vise une part de marché mondiale de 5 %, contre 4 % actuellement. Pour ce faire, le groupe n'exclut pas de procéder à des acquisitions. « Dans le secteur des applications industrielles par exemple » précise Bozotti. (...)

(21/09/2005 17:58:12)

SAP promet un passage de R/3 à MySAP ERP en 60 jours

Shai Agassi a donné le coup d´envoi de la conférence développeurs SAP Tech´Ed ce matin à Vienne (Autriche). Président du Platform and Technology Group de SAP, Shai Agassi est la cheville ouvrière de la transformation du progiciel intégré monolithique en une plate-forme orientée processus et services, basée sur Netweaver, un ensemble d´outils d´intégration.
Face à la confusion qui entoure les concepts de Netweaver et les notions de ESA (Enterprise services architecture) ou BPP (Business process platform) qui émaillent désormais les présentations de SAP, Shai Agassi s´est attaché à rassurer son nombreux auditoire : il est possible de migrer de R/3 à la nouvelle plate-forme MySAP ERP en 60 jours seulement. Le secret ? Ne pas chercher à migrer instance par instance, mais plutôt (en résumé) identifier les services essentiels et les partager. Un gros travail sur les données, mais aussi sur la composition des centres de compétences, devra être effectué dans le même temps. Et de citer deux clients qui ont déjà réussi cette révolution, dont Veka AG, un fabricant de profilés synthétiques, qui a migré 33 filiales sur 3 continents. Et a pu ainsi réduire ainsi ses coûts opérationnels de 60% de son budget à moins de 40%. (...)

(20/09/2005 17:23:43)

HP rachète Peregine pour 450 M$

Hewlett-Packard va racheter Peregrine Systems un spécialiste de l'administration de systèmes et de la gestion de parc pour 425 M$ afin de compléter sa gamme de gestion de systèmes Openview. Comme l'explique Todd Delaughter, le directeur général de l'activité management d'HP Software, la gestion d'actifs informatiques était l'une des composantes qui faisait défaut à HP. Avec le logiciel AssetManager de Peregrine, ce trou est désormais comblé et HP espère s'imposer parmi les leaders de la gestion de parc et d'actifs informatiques.

Peregrine a connu une période difficile après l'effondrement de la bulle internet. La firme a déposé son bilan en septembre 2002 et s'est placée sous la protection du chapitre des faillites aux Etats-Unis après la découverte d'irrégularités dans la tenue de sa comptabilité. Elle a fait l'objet d'une série d'enquête menées par la Securities and Exchange Commission; l'homologue américaine de l'Agence des marchés financiers françaises.

Afin de réduire ses coûts, Peregrine a limogé 50 % de ses effectifs et vendu sa gamme Remedy à BMC. Peregrine est sorti de sa phase de redressement judiciaire en août 2003 et a continué à remettre de l'ordre dans ses comptes. Au total huit anciens dirigeants de la firme ont été condamnés pour fraudes multiples entre mars 1999 et mai 2002. Selon DeLaughter, HP a analysé en détail les comptes de Peregrine avant le rachat et a confirmé qu'aucun risque financier caché ne pesait sur la firme. (...)

(20/09/2005 17:27:02)

Sun dévoile ses premiers serveurs UltraSparc IV+

Sun Microsystems a dévoilé aujourd'hui sa puce UltraSparc IV+, jusque là connue sous le nom de code Panther. Le processeur est cadencé à 1,5 GHz et embarque 2 Mo de mémoire cache épaulés par 32 Mo de cache de niveau 3. Des caractéristiques qui selon Sun devraient permettre un accroissement significatif des performances de ses serveurs, dont les puces UltraSparc IV actuelles plafonnent à 1,35GHz et ne disposent pas de cache de niveau 2 intégré.

La nouvelle puce va équiper cinq lignes de serveurs Sun, les Sun Fire V490, V890, E2900, E4900 et E6900. Ceux -ci sont disponibles immédiatement à partir 31 000$. Selon Sun, les tarifs sont identiques à ceux de la précédente ligne UltraSparc IV et le niveau de consommation électrique n'a pas évolué.

L'un des bêta-testeur des nouveaux serveurs, le Collège des sciences Océaniques et atmosphériques (COAS) de l'Université de l'Oregon, qui a testé la nouvelle puce pour ses applications de modélisation et de simulation - des applications développées en interne et massivement multithreadées - s'est déclaré très satisfait du niveau de performance de la puce à nos confrères d'IDG News Service. Sous Solaris 10, COAS a noté des performances trois fois supérieures à celle de ses anciens serveurs UltraSparc IV sous Solaris 9.

Dans la plupart des cas, les serveurs équipés de l'UltraSparc IV+ devraient, selon Sun, être environ deux fois plus rapides que ceux à base d'UltraSparc IV. Il est à noter que Sun prévoyait à l'origine de lancer l'UltraSparc IV+ à 1,8 GHz. Ce genre de fréquence est toujours au programme mais Sun et TI devront d'abord peaufiner leur nouveau processus de gravure à 90 nm. (...)

(20/09/2005 17:43:56)

L'AFORST verse des larmes de crocodiles sur la régulation de la téléphonie IP

L'association française des opérateurs de réseaux et de services de télécommunications (AFORS Télécom) regrette dans un communiqué le choix de l'ARCEP de ne pas réguler a priori les offres de téléphonie sur accès à haut débit, un choix entériné la semaine passé par la Commission Européenne . Selon l'AFORST, " la différence de traitement retenu entre la VoB [voix sur large bande, NDLA] et la voix classique ouvre la porte à des pratiques anti-concurrentielles de l'opérateur historique, dominant sur le marché de la téléphonie, par le biais d'offres de voix sur large bande que les autres opérateurs ne pourraient pas concurrencer, faute d'offre de gros adaptée de la part de France Télécom". Le premier propose un bouquet internet +téléphonie illimitée +TV à 29,9 € par mois en zones dégroupées tandis que le second facture 29,95€ par mois pour un abonnement en dégroupage total avec internet, téléphonie illimitée et TV. Par comparaison, l'offre équivalente chez Wanadoo coûte actuellement 46,90€ par mois (en promotion par rapport au tarif standard de 54,90€).

Malgré cette situation, l'AFORS s'estime obligée de souligner que la surveillance du marché de la voix large bande "doit s'exercer a priori et non a posteriori, en suivant le principe déjà énoncé par l'ARCEP selon lequel l'opérateur historique ne doit pas pouvoir lancer une offre de détail si elle ne peut pas être concurrencée sur la base de ses offres de gros". Et d'ajouter qu'il est "indispensable que l'ARCEP mette en place une surveillance a priori de la voix sur large bande comme mesure de précaution, et ce d'autant plus que la concurrence sur les télécommunications fixes est fragilisée par l'absence persistante d'une offre de dégroupage total économiquement viable et d'une offre de vente en gros de l'abonnement téléphonique effective". Une solution alternative serait peut-être pour l'AFORS d'inciter ses membres à accroître leurs investissements dans l'infrastructure et dans le dégroupage, notamment hors des grands centres urbains, afin de ne plus dépendre des offres de gros de France Télécom. Mais il est sans doute plus économique de s'en prendre à l'opérateur historique et au régulateur... (...)

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