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(13/09/2005 17:27:40)

Motorola rachète le centre de R&D de Mitsubishi à Rennes

Motorola vient de faire l'acquisition de Melco Mobile Communication Europe, une filiale de Mitsubishi Electric. Installée à Cesson-Sévigné, près de Rennes, Melco consiste en un centre de recherche et développement notamment consacré à l'i-mode. Motorola entend faire du site son centre européen de recherche et développement pour l'i-mode sur réseaux mobiles 2,5G et 3G.
Dans son communiqué, l'équipementier américain ne précise cependant pas s'il maintiendra dans leurs fonctions l'ensemble des salariés de Melco. En outre, les détails financiers de l'opération n'ont pas été communiqués. (...)

(13/09/2005 17:22:25)

Microsoft veut embaucher Eric Raymond

Plaisanterie ou pure étourderie ? C'est la première question que s'est certainement posée Eric Raymond, fondateur de l'OSI (Open Source Initiave) et gourou de l'Open Source, à la réception d'un email lui proposant un poste chez Microsoft. Très ironiquement, le message, envoyé par un chasseur de tête pour le compte de l'éditeur de Redmond, explique alors que le nom de Raymond avait été retenu, et que son profil représentait un collaborateur idéal pour Microsoft.
«Une offre risible qui n'implique qu'une réponse risible», commente Eric Raymond, tout en déclinant l'offre. Et en guise de réponse, de formuler : « Qu'allez vous faire le reste de l'après-midi ? Offrir un poste à Richard Stallman et Linus Torvalds ?».

Microsoft s'est refusé à tout commentaire. Pour autant , il s'est déjà alloué les services d'un spécialiste de l'open source. En juin 2005, l'éditeur de Redmond recrutait Daniel Robbins, fondateur de la distribution Linux Gentoo. (...)

(13/09/2005 17:28:42)

IMLogic veut protéger la messagerie instantanée des entreprises

IMLogic vient de lancer RTTPS - Real-Time Threat Protection System -, une solution conçue pour protéger les réseaux de messagerie instantanée des entreprises des attaques extérieures. Slon IMLogic, RTTPS détecte et place en quarantaine tout trafic de messagerie instantanée douteux avant qu'il ne puisse propager des virus sur le réseau de l'entreprise. En outre, RTTPS se veut pédagogique : il intercepte les liens et URL échangés par messagerie instantanée pour informer les utilisateurs du risque qu'ils représentent pour l'entreprise et son réseau.
RTTPS s'intègre aux outils IM Manager et Threat Center d'IMLogic. Ce dernier lui fournit notamment les signatures virales. RTTPS supporte les réseaux de messagerie d'AOL, de MSN et de Yahoo. Ses tarifs n'ont pas été communiqué (...)

(13/09/2005 17:17:21)

Résultats semestriels : tout bon pour Sopra, GFI en demi-teinte

Les SSII françaises Sopra et GFI ont connu des fortunes diverses au premier semestre. Si la première affiche une excellente santé et étoffe son catalogue par une acquisition, la seconde a déçu par ses résultats en demie-teinte.

Les revenus de Sopra ont progressé de 20,4 % au premier semestre par rapport à la même période de l'année précédente pour atteindre 360,5 M€. La première contributrice à ce chiffre est la branche Intégration de systèmes et solutions (ISS) France qui réalise 255,3 M€ et croît de 10,6 %. Cette même activité réalise 43,8 M€ dans la zone Europe, en progression de 2,1 %. La filiale Axway, avec 38,9 M€ de CA, gagne 15,1 % sur un an. Enfin, la branche Conseil réalise un chiffre d'affaires de 22,5 M€ et enregistre une croissance de 29,3 %.
Le résultat net progresse également significativement : il gagne 45,1 %, à 23,8 M€.

Sopra vise un chiffre d'affaires supérieur à 740 M€ pour l'ensemble de l'exercice 2005, et compte bien dépasser le cap du milliard d'euros en 2007. Pour ce faire, Pierre Pasquier, le PDG du groupe, continue de développer sa stratégie d'acquisitions ciblées. Après le britannique Newell & Budge en juin 2005, Sopra vient de mettre la main sur l'Espagnol Profit, un spécialiste en conseil et services technologiques, dont les clients sont exclusivement des grands comptes. Sopra étend ainsi un peu plus sa présence européenne et vise un CA de 70 M€ en Espagne dès 2006, contre à peine plus de 30 aujourd'hui.
Le prix de l'acquisition n'a pas été communiqué, Pierre Pasquier se contentant d'indiquer que la somme se situe « de façon raisonnable, au delà d'une année de chiffre d'affaires ». Le PDG a également laissé entendre que d'autres achats n'étaient pas exclus : « si des opportunités de pénétrer les marchés américains ou européens se présentent, nous les saisirons. Ce n'est pas notre priorité, mais ça peut le devenir ».

Les résultats de GFI contrastent avec ceux de Sopra. Le chiffre d'affaires ne gagne en effet que 4,2 % au premier semestre et atteint 272,3 M€. Les activités en France représentent 64 % des revenus ; après un premier trimestre en croissance de seulement 2,1 %, le résultat du T2 ont rassuré (+5,7 %). L'Europe du Nord, avec 9 % du CA, continue s'enregistrer une perte opérationnelle. Si celle-ci se réduit par rapport à 2004 (6,9 % du CA), GFI ne parvient toujours pas à l'équilibre malgré des restructurations finalisées au cours du semestre. Toujours en Europe du Nord, GFI devrait finaliser la cession de sa filiale britannique avant la fin de l'année.
Les performances réalisées en Europe du Sud, 24 % du CA global, sont également décevantes. Si elles se situent en dessous des prévisions, c'est, explique le groupe, en raison de problèmes rencontrés en Italie du Nord. GFI a donc entrepris un plan de restructuration pour redresser la filiale italienne. Seules les branches implantées en Espagne et au Portugal continuent d'afficher de bons résultats avec des taux de croissance de 17 et 8 %.
Pour la suite de l'exercice, le groupe se contente d'indiquer la poursuite d'une « politique active de recrutement », sans préciser d'objectifs de résultats. (...)

(27/02/2006 12:33:35)

John Schwarz quitte Symantec, est nommé PDG de BO

Business Objects, spécialiste français du décisionnel, vient de recruter, John Schwarz, ex-président de Symantec, -et surtout maître d'oeuvre des acquisitions du groupe, d'abord de Veritas, puis, plus récemment de Sygate- au poste de PDG.
Bernard Liautaud, fondateur de BO , conserve le siège de président du Conseil d'administration, et assurera également les fonctions de « Chief Strategy Officer ».
A l'occasion d'une conférence téléphonique, Schwarz a expliqué qu'il n'avait pas l'intention de quitter Symantec, mais que l'opportunité de diriger une société qui vient de franchir la barre du milliard de dollar, était trop attirante pour résister»..
Fidèle à sa stratégie de croissance extérieure, Schwarz parle alors de rachat. « BO a grandi par acquisitions et je n'entend pas modifier ce modis operandi ». Avec en point de mire : élever BO au rang des 10 premiers éditeurs mondiaux. La société occupe actuellement la vingtième position. (...)

(13/09/2005 17:15:58)

Le rachat de Siebel serait une « bonne affaire » pour Oracle

Selon David Bradshaw, analyste chez Ovum, le rachat de Siebel serait une bonne affaire pour Oracle, plaçant l'éditeur à la première place sur le marché de la gestion de la relation client (GRC). Pour James Governor, analyste chez RedMonk, l'opération place Oracle en concurrence frontale avec IBM, et « personne ne peut plus discuter la taille d'Oracle ». Selon Paul Hamerman, vice-président de Forrester, « il s'agit plus d'acquérir des clients que de la technologie ». Et de souligne qu'Oracle s'achète une source de revenus régulière ainsi qu'une position forte sur le marché des applications de GRC hébergées.
Néanmoins, selon Ray Wang, de Forrester, l'avenir est loin d'être totalement radieux. Selon lui, le marché des applications de GRC est en train de mourir : Oracle et ses concurrents « se disputent le marché des PME par qu'il n'y a plus rien à prendre sur les grandes entreprises ». Un avis que partage Bruce Richardson, directeur de recherche chez AMR Research : « le marché des applications tel que nous le connaissons continue d'être en grande difficulté. » Selon eux, la croissance ne peut plus venir que des offres hébergées. Sur ce marché, Salesforce.com fait figure de challenger mais affiche une croissance très rapide. A tel point que David Bradshaw estime que Salesforce.com pourrait bien être la cible d'une prochaine opération d'acquisition.

Parallèlement au rachat de Siebel, Oracle vient de lancer la version Windows de son système de gestion de bases de données Oracle Database 10g release 2. Cette édition intègre les extensions nécessaires à l'interface avec la plateforme .Net de Microsoft. (...)

(13/09/2005 17:21:23)

Yahoo.fr pourrait s'offrir un FAI dans l'Hexagone

Selon le directeur général de Yahoo France, M. Duarte, l'entreprise pourrait prochainement acquérir un fournisseur d'accès à Internet. Des négociations seraient actuellement en cours même si aucun nom n'a encore été dévoilé. Cet accord serait en adéquation avec la volonté du groupe américain d'augmenter son chiffre d'affaires international. L'international représente actuellement 27 % du chiffre d'affaires de Yahoo. Ce dernier voudrait augmenter sa proportion à 50 %. Yahoo précise que le groupe peut disposer d'une trésorerie de 3 Md$. En France, Internet est en plein essor et l'acquisition d'un FAI renforcerait la position de Yahoo dans l'hexagone. En un an, l'augmentation des foyers équipés en haut débit a fait un bond de 62 %. Aujourd'hui, la France compte 8 millions de personnes connectées en haut débit et pratiquement un français sur deux a accès au Web. (...)

(13/09/2005 17:23:31)

5 % des dépenses publicitaires se font sur Internet

La publicité en ligne attire de plus en plus les annonceurs français qui ont investi 4,9 % de leurs budgets sur Internet au premier semestre. C'est le principal résultat d'une étude réalisée par l'IAB (Interative Advertising Bureau) et TNS.

Les annonceurs prennent la mesure du nombre croissant de Français connectés à Internet : avec huit millions d'internautes surfant en haut débit, le web constitue un important vivier de consommateurs qu'il convient de ne pas négliger. Aussi, les dépenses totales consacrées à la publicité sur Internet se sont élevées, pour les six premiers mois de l'année, à 471 M€. Soit une progression de 72,4 % sur un an. Pour l'année 2004, alors que les investissements publicitaires sur supports traditionnels ont progressé de 10,8 %, ceux consacrés à la réclame en ligne ont bondi de 78,1 %. (...)

(13/09/2005 17:19:06)

Vent de révolte des industriels IT à Bangalore

La détérioration des infrastructures à Bangalore, la Mecque indienne des délocalisations, inquiète les entreprises IT. Certaines d'entre-elles menacent de boycotter la conférence annuelle Bangalore IT.in organisée par le gouvernement local.

Depuis cinq ans, le mauvais état des routes et les insuffisances en eau et électricité sont une source d'inquiétude. Dans le même temps la ville s'urbanise à un rythme très élevé, principalement en raison de l'explosion du nombre de d'entreprises américaines et européennes qui choisissent de s'y délocaliser.

« La grande majorité des électeurs du gouvernement local vivent dans les zones rurales. Ici, en ville, notre voix importe peu » explique Bob Hoekstra, le PDG de Philips Innovation Campus. « Le mauvais état des routes, les embouteillages et les longs trajets qui en résultent, ont fait baisser la productivité des entreprises IT », poursuit Anant Koppar, le président de la CCI locale qui a appelé au boycott de la manifestation Bangalore IT.in. Koppar estime que nombre de visiteurs doivent se demander comment une ville comme Bangalore peut allier ses conditions de circulation éprouvantes, ses routes délabrées et la croissance économique. Une interrogation qui pourrait inciter certains, à terme, à reconsidérer leur volonté d'externaliser à Bangalore.

Et ce n'est pas la réponse apportée par les élus locaux qui va rassurer l'industrie IT : « nous faisons de notre mieux », garantit simplement N. Dharam Singh, à la tête de l'administration locale.

Malgré les difficultés, les entreprises IT ne prévoient pas de quitter la ville. Beaucoup préfèrent espérer un renouveau des relations avec le gouvernement. Des relations qui, aux dires des intéressés, étaient plus fructueuses avec le prédécesseur de Singh, S.M. Krishna.

Cependant, si les industriels s'insurgent, les analystes relativisent l'impact qu'ont les mauvaises infrastructures sur l'activité IT. Selon Siddarth Pai, consultant chez Technology Partners International, on ne constate pas de perte de la productivité à Bangalore, le nombre d'heures travaillées par employé est resté le même. « Ils doivent simplement partir travailler plus tôt », précise-t-il. Toujours selon Pai, bien que les clients étrangers sont interloqués par la pauvreté des infrastructures à Bangalore, ils le sont tout autant dans les autres villes indiennes. « A quelques petites différences près, toutes les villes, hormis la capitale Delhi, connaissent les mêmes problèmes d'infrastructure », conclut Siddarth Pai. (...)

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