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(07/04/2011 10:03:01)
A&O repris par Verdoso Industries (MAJ)
C'est finalement le projet industriel de Verdoso Industries qui a convaincu le tribunal de commerce de Versailles (78) de se prononcer en sa faveur pour la reprise du mainteneur A&O. Soutenue par Daniel Clauss, le président d'A&O, Verdoso Industries était en concurrence avec Solution 30 (Ex-PC30).
Les deux sociétés avaient fait connaître leur volonté de reprendre l'ex-filiale maintenance d'EDS après que le tribunal de commerce eut relancé en mars dernier le plan de cession entamé au mois de juin précédent. Cette décision faisait suite à l'échec du plan de continuation dans lequel s'était engagé l'entreprise.
Solutions 30 offrait pourtant 2 M€ d'euros de plus que les 6 M€ proposés par Verdoso Industries, ainsi que le maintient à leur poste d'un plus grand nombre de salariés...
Illustration: Centre d'appels d'A&O
(...)(07/04/2011 09:52:58)Dimo Gestion entre croissance et modèle SaaS
Le double rachat intervenu en début d'année, celui d'AXC et celui de Yellowstone Software complète les activités de Dimo Gestion. AXC est un éditeur réalisant 1 ME de CA, avec une spécialité : la gestion des notes de frais, mais dans le secteur public. De taille trop petite pour se développer la société s'est vendue à Dimo Gestion qui complète ainsi son activité de gestion des notes de frais, où il édite le logiciel Notilus. Les équipes d'AXC rejoignent celles de Dimo Gestion à Courbevoie en région parisienne, dans le pôle CRM.
Yellowstone présente un autre profil, la société est dans le CRM et le Saas. Dimo Gestion, qui a repris ce fonds de commerce, en profite pour créer une filiale, spécialisée en Saas : Dimo Apps, avec l'activité CRM de l'ex Yellowstone et celle développée par Dimo Gestion depuis 2003. D'autres développements sont en cours. Dimo Apps ce sera du Saas vertical, dans trois secteurs : le SRM, Supply relationship management, l'hôtellerie, les organismes collecteurs de la taxe d'apprentissage. L'activité Saas devant représenter 20 % de celle de Dimo Gestion en 2015.
Ces rachats et cette création de filiale marquent une étape dans le développement de Dimo Gestion. La société veut se développer davantage à l'International. Elle y accompagne ses clients en gestion de notes de frais en adaptant ses produits dans la langue et la législation locale. Parfois, Dimo Gestion crée une implantation, comme en Tunisie ou à Madrid. Elle recherche également des distributeurs à l'international.
Un modèle mixte de distribution
En France, Dimo Gestion a adopté un modèle mixte de distribution en direct et en indirect. L'éditeur raisonne suivant chaque affaire. Une quinzaine de partenaires l'accompagnent. Le 21 mars dernier, était organisé le 1er Dimo partner meeting, destiné aux partenaires français et internationaux en indirect. Se tenait également, le lendemain, le 10 ème Dimo Forum, ouvert aux clients et partenaires, avec plus de 950 participants.
La société est organisée en b.u : BI, CRM, Finance, GMAO (Gestion de la maintenance assistée par ordinateur), Dématérialisation et processus, Gestion, voyages et notes de frais. Chacune d'elles travaille sur les produits édités en propre ou ceux distribués. L'édition c'est d'abord une niche de marché, les notes de frais d'entreprise, où Dimo Gestion détient une place prépondérante en France et en Europe, avec son logiciel Notilus. Dimo Gestion a lancé un outil de GMAO avec les rachats de CIRIS et d'Ithec. Troisième produit en édition, Geck destiné aux interfaces ERP. La distribution c'est plusieurs partenariats, comme ceux noués avec Sage et Cognos.
La société s'est dotée d'un plan de développement pour l'horizon 2015. « L'objectif est d'atteindre les 40 ME de CA, souligne Guillaume Mulliez, P-dg de l'entreprise, tout en restant indépendant, ce qui est notre marque de fabrique ». Les 6 associés de départ ont aujourd'hui 9, rejoints par 15 managers. Un fonds interne, alimenté par 130 salariés est également actionnaire. On retrouve l'ADN des Mulliez : esprit d'entreprise et association des salariés au capital.
(*) Créée en 1983, la société Cerg Finance fut pionnière dans la gestion de trésorerie (cash management) en France, en 1998 elle rejoint XRT, le tout est racheté par Sage fin 2007.
5 ans et 3,4 millions de noms de domaine pour le .eu
Le nombre de noms de domaine en .eu atteint 3,4 millions cinq ans après son lancement le 7 avril 2006, annonce l'association européenne d'enregistrement de ceux-ci, l'Eurid, mercredi 6 avril. En cinq ans, le nombre de sites terminés par .eu a doublé pour atteindre le neuvième rang du classement mondial de noms de domaine.
(...)(07/04/2011 09:38:12)
Observatoire de l'Internet : 51% des abonnés mobiles disposent d'un forfait data
L'augmentation du nombre de forfait données dans le secteur du mobile se double d'une augmentation du parc de smartphones. Ces téléphones multimédia représentent 38% des mobiles français, un score en hausse de 20 points comparativement à 2010. Au total, 63% des 16-65 ans possèdent un terminal téléphonique, smartphone ou non, capable d'avoir accès à Internet. Les jeunes âgés de 16 à 24 ans sont particulièrement friands de l'Internet mobile. 86% des jeunes abonnés disposent ainsi d'un smartphone et un tiers surfe chaque jour.
En 2011, les connexions se font principalement dans les transports (61%) et le travail (59%). Encore premier l'an dernier, le domicile termine troisième avec 55%. Question contenus, les internautes mobiles privilégient les sites d'informations (+9 points). Les sites pratiques enregistrent une hausse de cinq points, identiques à celle des sites d'informations spécialisées. La vidéo connaît un large usage avec 81% des mobinautes l'utilisant.
20,6 apps en moyenne par utilisateur
Les applications s'installent dans les usages avec une moyenne de 20,6 en 2011 contre 11,2 l'année précédente. Les applications dédiées à des médias sont considérées comme essentielles pour 17% des personnes interrogées. Elles précèdent celles consacrées à la météo et au trafic (16%) et les réseaux sociaux (13%). La géo-localisation est acceptée, sous condition d'être averti.
Les achats via téléphones portables se développent, eux aussi, avec un quart des sondés (25%) ayant effectué un achat de ce type. La musique domine avec 38%, devant le jeu vidéo (36%).
L'Observatoire de l'Internet mobile a été réalisé du 20 au 25 janvier dernier auprès de 1 007 personnes âgées de 16 à 65 ans.
(...)(07/04/2011 10:39:50)Truffle 100 France 2011 : les éditeurs de logiciels redressent la barre
Pour sa septième édition, le Truffle 100 des éditeurs français de logiciels repart enfin à la hausse de façon significative, après s'être vu ravir depuis 2006 quelques-unes de ses plus belles réussites (Business Objects, GL Trade, Ilog, Viveo). En 2010, ce Top 100 a enregistré une progression de 17,5% du chiffre d'affaires lié à l'édition de logiciels, à 4,7 milliards d'euros (contre 4 Md€ un an plus tôt). Le chiffre d'affaires total du Truffle 100 atteint 6,6 milliards, soit 10% de plus qu'en 2009.
« C'est une année de post-crise, on repasse enfin au-dessus de 2006 qui avait été jusqu'à présent la meilleure année [4,2 Md€] », commente Bernard-Louis Roques, directeur général et co-fondateur de Truffle Capital, en soulignant néanmoins que c'est normal pour cette industrie en croissance. Le bénéfice de ces sociétés reprend lui aussi des couleurs, en valeurs absolue et relative. Le résultat net du Top 100 s'est élevé à 543 M€ en 2010 contre 254 M€ en 2009. Et il a représenté en moyenne 6,6% du chiffre d'affaires du Truffle 100 contre 4,3% l'an dernier. « Mais, on ne retrouve pas le niveau des années 2004 à 2007, fait remarquer Bernard-Louis Roques. On en est encore loin, il n'y a pas lieu de crier victoire. » En 2007, le résultat net représentait en moyenne 11,4% du CA total.
Les éditeurs modèrent leurs dépenses R&D
Le secteur continue de créer des emplois qualifiés : un millier de plus sur ses activités de R&D en 2010, portant ses effectifs à 11 460 personnes sur ces fonctions. Au total, le Truffle 100 employait 57 490 personnes l'an dernier, soit presque 3 560 de plus qu'en 2009. « Toutefois, ce n'est pas massif compte tenu de la croissance, note Bernard-Louis Roques. Les éditeurs de logiciels ont été une industrie résiliente en période de crise. Mais, ils sont maintenant soucieux de ne pas accélérer les investissements en R&D ». Ces dépenses n'ont augmenté que de 1%. Le co-fondateur de la société de capital risque Truffle Capital fait remarquer que ces éditeurs ne se sentent pas vraiment soutenus par les hommes politiques.
Le Small Business Act (SBA) « à la française » appelé de leurs voeux depuis des années n'a toujours pas avancé [cela permettrait de réserver une partie des appels d'offres aux PME]. « Sur ce sujet, un Framework a été fait au niveau européen, mais c'est une coquille vide ». Il y a eu des débats sur le CIR (crédit impôt recherche) début 2010, puis à la fin de l'année, la réforme du statut de la JEI est venue pénaliser ces jeunes entreprises innovantes, ce qui ne favorisera pas les dépenses R&D. « Les éditeurs ne se sont pas sentis véritablement aidés. L'absence de débat sur un SBA qui existe depuis 1953 aux Etats-Unis, le fait que l'on parle d'un plan de relance mais que l'essentiel du grand emprunt ne soit pas facilement accessible aux PME... C'est hallucinant, alors qu'année après année, ils créent des emplois. »
Une industrie centralisée en Ile-de-France
Autre caractéristique de ce Truffle 100 français : 63 éditeurs se trouvent en Ile-de-France contre 59 en 2009. Derrière, la région Rhône-Alpes se maintient, mais avec 12 éditeurs seulement, dont le numéro 4, Cegid.
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Une industrie centralisée en Ile-de-France
Les éditeurs qui entrent en bout de classement sont franciliens, pointe Bernard-Louis Roques en rappelant par ailleurs que les petits éditeurs croissent plus vite que les gros. « Si notion de cluster il y a, elle tend à démontrer que le cluster français est viable au niveau international ». Pourtant, Londres a dépassé l'Ile-de-France dans cette course. Les gros éditeurs croissent faiblement alors que d'autres en Europe sont beaucoup plus agressifs. « Au niveau européen, il y a en Allemagne un software cluster, le seul à être reconnu comme tel, ayant vocation à aider l'industrie locale du software », souligne Bernard-Louis Roques. « Il est soutenu par des fonds publics et privés : 80 millions d'euros de financement public auxquels s'ajoutent des financements privés avec des initiatives venant de SAP et de Software AG. Dans la région de Londres, il y a également les initiatives annoncées, en particulier la création d'une Silicon Valley. En France, il y a les pôles de compétitivité. Chacun veut avoir son pôle, mais seule l'Ile-de-France peut se battre au niveau international. »
Rachat par des Américains : accalmie temporaire
Cette année, la consolidation s'est stabilisée dans le haut du classement. Les rachats d'éditeurs français par des groupes étrangers ont été moins importants. Au total, le poids des rachats a pesé 45 M€ contre 55 M€ en 2009 et 371 M€ en 2008. Le numéro 19 du classement, EmailVision, a tout de même été racheté par le fonds américain Fransisco Partners. Mais Exalead, en revanche, a rejoint le Français Dassault Systèmes, ce qui a consolidé le Truffle 100. Il y a eu par ailleurs onze acquisitions. « Cette année d'accalmie, c'est très positif pour les éditeurs mais ce n'est pas une tendance, considère Bernard-Louis Roques. Cela peut reprendre car les éditeurs américains sont riches, ils ont beaucoup de cash. »
La part du progiciel métier reste prépondérante dans ce Top 100, mais les solutions technologiques prennent plus de place. « Le SaaS est encore embryonnaire en France, estime le co-fondateur de Truffle Capital qui voit en revanche, « en tant que venture capitalist, un « deal flow » [flux de dossiers présentés aux investisseurs] absolument phénoménal sur le mobile. Toutes les sociétés qui sont sous le radar évoluent dans la mobilité, les médias sociaux et sont des pure players SaaS. Il y a toute une vague qui progresse. Nous constatons une très forte différence entre cette année et l'an dernier, un nombre de projets beaucoup plus importants », confirme-t-il. (...)
Microsoft et Toyota ensemble sur un projet de smart grid
Microsoft et Toyota Motor ont annoncé, mercredi dernier, qu'ils allaient collaborer ensemble. Les détails du partenariat entre le géant des logiciels et la plus grande marque d'automobiles japonaises seront dévoilés ce soir à 19 heures (heure française) Une vidéo réunira Steve Ballmer, PDG de Microsoft, et Akio Toyoda, président de Toyota pour annoncer leur partenariat commun. Selon la presse économique japonaise, les deux groupes prévoient de travailler sur un standard mondial qui permettra de réduire a consommation énergétique dans les voitures. Le projet portera sur le développement d'une technologie smart grid grâce à laquelle l'électricité pourra être utilisée d'une manière plus efficace et être exploitée à partir de ressources renouvelables.
Un accord passé l'an dernier avec Ford
Les travaux incluront le développement de logiciels qui mesureront le niveau de la batterie et indiqueront la quantité d'énergie générée par les énergies renouvelables.
Toyota a un fort intérêt dans le smart grid. Le constructeur a en effet besoin de développer des systèmes et des bornes de recharge pour les futures voitures électriques. De son côté, Microsoft possède déjà un système de gestion énergétique pour la maison, baptisé Hohm. L'an dernier, la firme de Redmond avait déclaré qu'elle collaborerait avec Ford Motor pour ajouter Hohm aux véhicules électriques commercialisées par le constructeur automobile américain. La solution détermine à quel moment doit s'effectuer la recharge électrique pour les véhicules hybrides de type plug-in.
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