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(06/04/2011 17:38:58)

Windows 7 vulnérable avec IE9

L'attaque utilise une vulnérabilité non corrigée (Zero Day) dans Internet Explorer 9 et contourne toutes les mesures de sécurité supplémentaires de Windows 7. La dernière version du système d'exploitation de Microsoft, entièrement mis à jour avec le Service Pack 1 (SP1), est donc de nouveau vulnérable. La faille de sécurité a été rapportée par la société française de sécurité Vupen, qui avait déjà découvert une faille dans IE8 en décembre de l'année dernière.

La société classe cette attaque sur IE9 comme fiable, ce qui signifie que c'est un moyen efficace pour les pirates d'exécuter des codes malveillants de leur choix sur les PC fonctionnant sous Windows 7. Cette vulnérabilité permet aux cybers attaquant de passer à travers les couches de sécurité supplémentaires pour Windows, telles que ASLR, la DEP et la sandbox (mode protégé) dans IE9.

« L'attaque utilise deux failles distinctes. La première permet l'exécution de code arbitraire dans le bac à sable IE9. Le second permet le contournement de la sandbox pour réaliser l'exécution de code complet » précise le PDG de Vupen, Chaouki Bekra. Le risque de cette attaque à ce jour est limité: le code d'exploitation n'a pas été repéré dans la nature. Les vulnérabilités ont été découvertes par des chercheurs de Vupen. Chaouki Bekra a souligné que les vulnérabilités n'ont pas été divulguées au public. « L'accès à notre code et à l'analyse en profondeur de la vulnérabilité est réservé à nos clients gouvernementaux qui utilisent ces information pour protéger leurs infrastructures critiques » souligne le dirigeant.

Fonctionne avec des anciennes versions d'IE


Certes IE9 n'est pas encore beaucoup utilisé par les gouvernements ou les entreprises. Cependant, la vulnérabilité ne se limite pas à la dernière version du navigateur de Microsoft. La faille de sécurité est également présente les anciennes versions d'IE, pour lequel Vupen n'a pas réalisé de travaux d'exploitation. « La faille affecte Internet Explorer 9, 8, 7 et 6, et résulte d'une erreur use-after-free dans la bibliothèque « mshtml.dll » qui déclenche une combinaison spécifique de code HTML et JavaScript. » La société de sécurité conseille à tous les utilisateurs d'Internet Explorer de désactiver JavaScript ou utiliser un autre navigateur web qui n'est pas affecté par cette vulnérabilité.

Le code d'exploitation trouvé par Vupen n'est efficace que sur IE9, qui peut fonctionner sur Windows 7 et son prédécesseur de Vista. IE9 a récemment été publié, mais n'est pas encore distribué via Windows Update. Microsoft va commencer ce déploiement dans les prochaines semaines. La date précise pour l'ensemble de la distribution et l'installation de la dernière version du navigateur Windows n'a pas été divulguée.

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(06/04/2011 16:30:29)

Au coeur de la Silicon Valley : Dédup et backup plus rapide avec Arkeia Software (Part 4)

Pour gagner du temps avant la sauvegarde et les couches incrémentales, Arkeia propose depuis plus d'un an une solution de déduplication (suite au rachat de Kadena Systems en 2009) avant la phase compression. Pour la version 9 de son outil de backup, disponible pour les principales plates-formes physiques et virtualisées (WMware, Citrix et Microsoft), l'éditeur propose la déduplication progressive. Trois technologies de déduplication de blocs de données se partagent le marché : fixe, variable et progressive. Avec la déduplication progressive, le très francophile Bill Evans nous a expliqué réduire les fenêtres de sauvegarde et diminue le volume des données stockées, car les tailles des blocs sont optimisées pour chaque type de fichiers. 

À l'aide sa base utilisateurs, l'éditeur a scanné plusieurs millions de fichiers et mesuré les taux de déduplication afin de déterminer la taille de bloc optimale pour chaque type de fichier. Grâce à cette base, la dédup s'adapte au contenu. « Et à la différence des solutions spécialisées, nous pouvons sauvegarder à la fois des serveurs physiques et virtuels », nous a expliqué le CEO. La déduplication progressive est en outre idéale pour les environnements virtuels puisque chaque VM conserve sa propre copie du système d'exploitation et ses applications. En éliminant ces informations redondantes au sein des images de VM, les sauvegardes peuvent être plus rapides et moins volumineuses.

Two faces backup

Deuxième innovation, la sauvegarde en deux phases. À la différence des méthodes de backup traditionnel en une phase, « la solution d'Arkeia commence par déplacer les fichiers « A » avant de mettre à jour le catalogue. Cela prend un peu plus de temps, mais la fenêtre de sauvegarde peut se fermer une fois au temps « A » pour terminer la création du nouvel index. On gagne ainsi du temps pour le client sur le poste de travail et si, le serveur tombe, les données sont sauvegardées. Il suffit de récréer un inventaire pour lancer la restauration. L'essentiel, les données, sont ainsi bien protégées dans un laps de temps plus court », précise Bill Evans.

D'autres solutions permettent également de réduire le temps de sauvegarde en une phase. Le recours à des disques SSD ou le partitionnement de serveurs qui permettent d'accélérer la sauvegarde des petits fichiers et de réduire les goulets d'étranglement. L'inconvénient, c'est qu'après le déplacement des fichiers, l'index est mis à jour et la sauvegarde ralentit.

Arrivée des commandes en ligne

Troisième point, l'éditeur a ajouté une solution de chiffrement AES-256 et repensé son interface web suite à une étude réalisée auprès de ses clients. « Nos clients aimaient bien notre précédente interface web, mais certains sont très familiers des plates-formes Linux et demandaient des commandes en ligne. Ils utilisent encore beaucoup les commandes pour leurs déploiements. Nous avons changé l'interface pour répondre à cette demande spécifique. Les clients peuvent donc choisir d'utiliser l'interface web ou recourir à un outil plus technique ».

Arkeia Network Backup 9.0 est commercialisé à partir de 600 € HT pour une licence permanente et à partir de 240 €HT pour une souscription d'un an. Le prix de l'Option Déduplication est de 1 500 € HT par serveur dans le cas d'une licence permanente et de 600 € HT pour une souscription d'un an. Tous les produits incluent un an de maintenance avec mises à jour gratuites et accès illimité au support technique de l'éditeur.

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(06/04/2011 15:48:02)

Les clients d'Apple consacrent un budget mensuel de 3 euros pour les applis

57% des possesseurs français de terminaux mobiles Apple plafonnent leur budget mensuel à 3 euros lors de l'achat d'applications, ressort-il d'une étude d'Appsteur publiée le 5 avril. Chez les 80% d'utilisateurs d'applications, moins de 20% de leur catalogue s'avère payant et un sur sept (14%) se refuse à payer pour une application.

93% des adeptes de l'App Store téléchargent au moins une application par semaine. 66% d'entre eux, le fait chaque jour. Les jeux vidéo tiennent le haut du pavé avec 73% des sondés admettant qu'il s'agit de leur catégorie préférée. Le divertissement survient en deuxième position avec 54%, suivi de la musique (39%) et du « lifestyle » (35%).

Spécialiste de la promotion d'application, Appsteur a interrogé 2 300 possesseurs de terminaux Apple mobiles. 42,3% disposaient d'un iPhone 3GS et 41,4% d'un iPhone 4. L'iPod Touch, dépourvu de la fonction téléphone, occupe le troisième rang avec 19,2%. L'iPhone 3G et l'iPad suivent 18,9% et 12,2%. Quatre répondants sur cinq étaient des hommes.

Enfin, Appsteur pondère ses résultats en expliquant que les canaux utilisés pour le sondage pouvaient « mener à une légère surreprésentation des utilisateurs avertis de l'iPhone ».

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(06/04/2011 15:08:52)

Intel lance les puces Xeon E7 pour les serveurs haut de gamme

La gamme Xeon E7, plus connue sous le nom de code Westmere-EX, serait selon Intel 40% plus rapide que son prédécesseur, la Xeon7500, a déclaré Kirk Skaugen, vice-président et directeur général du groupe Intel Data Center. Pour mémoire, la série Xeon 7500 était équipée de processeurs huit coeurs et avait été lancée en 2010. Avec Xeon E7, Intel vise le marché  des serveurs haut de gamme qui font tourner des applications critiques telles que les bases de données et ERP. Les processeurs sont gravés en 32-nanomètre et reposent sur la microarchitecture Westmere.

Un seul serveur Xeon E7 sera en mesure de remplacer 18 serveurs  dual-core, ce qui devrait aider  la consolidation du nombre de serveurs dans les centres de calcul, explique Kirk Skaugen. La puce E7 propose un bon rapport puissance-efficacité, grâce à un mécanisme de capable de ralentir la vitesse des coeurs et ainsi de réduire la consommation d'énergie.

Selon le dirigeant, un serveur à quatre sockets avec une puce E7 sera en mesure de prendre en charge jusqu'à 2 To de mémoire, ce qui est le double de la capacité gérée par le Xeon 7500. Intel propose 10 puces 10 coeurs, comprenant la E7-8870, E7-4870-2870, qui sont cadencées à des vitesses allant jusqu'à 2,4 GHz et consomment jusqu'à 130 watts. Un serveur 4U sera en mesure d'accueillir jusqu'à 64 emplacements de mémoire.

Des partenaires déjà prêts et une alternative à Itanium

Les constructeurs de serveurs ont annoncé dans la foulée de la présentation de l'E7 leurs produits ad hoc. Ainsi, Dell propose une évolution de son serveur PowerEdge avec Xeon E7 puces « Nous avons constaté un gain de performances de  49 % par watt avec des mémoires basse tension par rapport à la précédente génération de puces Xeon huit coeurs, a déclaré Brian Payne, directeur exécutif de la ligne de serveurs Dell PowerEdge. La consommation globale d'énergie au niveau d'un noeud de serveurs est plus faible, ce qui contribue à réduire les coûts liés à la consommation énergétique.

La puce comprend également l'amélioration  de la techologie RAS (fiabilité, disponibilité et facilité de maintenance) qui aide les serveurs à maintenir une disponibilité élevée, a déclaré Brian Payne. Les serveurs PowerEdge de Dell comprennent également des outils de gestion des systèmes visant à réduire les coûts de maintenance du serveur.

Certaines fonctionnalités RAS se retrouvent aussi sur les puces Itanium d'Intel dédiées au serveur haut de gamme. Kirk Skaugen explique que la Xeon E7 peut dans certains cas offrir de meilleures performances que les puces Itanium, et pourrait être une alternative, selon le système d'exploitation choisi. En effet HP et son OS HP-UX privilégie Itanium tout comme certaines distribution Linux, alors que les serveurs tournant sur du Windows ou du Red Hat s'appuient sur des architectures x86. Ce débat intervient quelques jours après la décision d'Oracle de mettre fin au développement de logiciel et de middleware sur Itanium. Oracle faisait état de discussions avec Intel lui assurant qu'Itanium était en fin de vie. Le fondeur avait été alors obligé de démentir et d'annoncer la roadmap d'Itanium sur les 10 prochaines années.

Kirk Skaugen a souligné les performances d'Oracle 11g Release 2 base de données sur les puces Xeon E7. Il a ajouté que grâce à la technologie AES-NI (Advanced Encryption Standard Instructions) le cryptage des données a été accéléré par 10. Un certain nombre de clients pourraient ainsi voir des avantages à la migration vers les serveurs équipés de puces Xeon E7.

Intel a également annoncé les puces Xeon E3-1200 dédiées aux serveurs d'entrée de gamme, que le fondeur appelle microserveurs. Les processeurs sont basés sur la microarchitecture Sandy Bridge et sont conçus pour des applications d'entreprise telles que le stockage, sauvegarde et les services web.

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(06/04/2011 12:24:28)

Open lance son application emploi sur iPhone

Open (3200 collaborateurs) est la toute première SSII française à s'engager dans le virage de la mobilité pour repérer des candidats potentiels. Le groupe vient d'annoncer le lancement d'OpenCarrières, une application emploi destinée aux utilisateurs d'iPhone. En téléchargeant le service sur leurs smartphones, les postulants peuvent consulter les offres d'emploi, postuler en ligne, et partager des informations avec leurs connaissances, depuis n'importe quel lieu. De leur côté les collaborateurs peuvent s'y appuyer pour développer la cooptation. L'application permet également de découvrir l'ensemble des agences d'Open en régions, de suivre un fil d'actualités et d'accéder directement aux pages Facebook et Viadeo de la SSII. Il y a une profonde transformation de la consommation des services, note Denis Tellier directeur des offres et partenariats chez Open dans un communiqué. D'où l'idée de développer un outil qui délivre des informations en temps-réel et localisées et qui dispose d'une connexion avec les réseaux sociaux.

800 postes à pourvoir en France, en Belgique et au Luxembourg

Afin d'accompagner son développement, Open reconduit en 2011 un ambitieux plan de recrutement portant sur l'intégration de plus de 800 collaborateurs sur tout le territoire national étendu à la Belgique et au Luxembourg.  80% des postes à pourvoir concernent des profils expérimentés, la part restante étant réservée aux jeunes diplômés sur des fonctions variées : ingénieurs d'études, ingénieurs réalisateurs, techniciens d'exploitation, de support applicatif et réseaux, ingénieurs de production systèmes, ingénieurs réseaux, télécoms et sécurité.
Les nouvelles recrues travailleront dans les secteurs de la banque de détail, de la finance des marchés et de la gestion d'actifs et également dans les domaines de l'assurance, des télécoms, de l'énergie, de l'automobile, de la santé et du retail.  

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(06/04/2011 11:17:44)

Les médias sociaux un eldorado marketing encore peu exploité pour IDC

Les médias sociaux ne constituent pas une entité à part ou du moins ne devraient pas la constituer. Ils ne sont, pour les entreprises, qu'un nouveau canal de la relation client. C'est du moins l'avis de Karim Bahloul, directeur consulting et recherche au sein du cabinet IDC, développé lorsqu'il a présenté la première partie de l'« Observatoire français des médias sociaux », consacrée aux liens entre outils sociaux et relation client. L'intégration des données issues des médias sociaux dans les outils décisionnels ou de veille des entreprises est pourtant loin d'être généralisée. Or les clients et prospects s'expriment largement en ligne et attendent des réponses appropriées des marques. Les risques pour les entreprises sont donc importants si elles ne font rien ou adoptent une démarche inappropriée.

Hervé Kabla, directeur général de BlogAngels, a d'ailleurs rappelé, lors de la présentation de l'étude, les mésaventures de Nestlé en la matière. La multinationale suisse s'était ainsi heurtée à Greenpeace au sujet de la déforestation permettant certes la production d'huile de palme pour fabriquer des barres chocolatées mais accélérant le déclin des populations d'orangs-outans. Environ la moitié des entreprises ont « mené des actions » sur les médias sociaux. En général, il ne s'agit que de l'ouverture du fan-page sur Facebook, éventuellement un bouton « j'aime » sur le site web corporate.

Une expérience client qui échappe au contrôle de la marque

Pour Serge Boulet, directeur marketing et communication de SAS France, « auparavant, l'expérience client était sous le contrôle de la marque et à son initiative. Aujourd'hui, le client devient l'initiateur du contact en téléphonant à un centre d'appel ou en utilisant un formulaire de contact sur le web. De plus en plus, l'expérience client se fait même dans un environnement totalement hors du contrôle de la marque, sur les médias sociaux. »

L'émergence des médias sociaux doit modifier l'attitude vis-à-vis des clients et prospects. « Un client peu ou pas rentable par lui-même peut être par ailleurs un influenceur important auprès de clients très rentables, ce qui implique que le sacrifier n'est pas nécessairement une bonne idée » souligne Serge Boulet. Or la veille informationnelle sur les médias sociaux n'est pratiquement pas prise en compte pour la relation client.

Les médias sociaux pas encore prioritaires

Les services marketing, il est vrai, doivent en moyenne subir une stabilité (63% des répondants) voire une diminution (14% indiquent une baisse de plus de 7%) de leurs budgets à cause du contexte général de crise. Créer ou intégrer de nouveaux outils est donc problématique. Leurs priorités restent par conséquent centrées sur les fondamentaux classiques : fidéliser des clients, garantir le ROI des actions sur les médias traditionnels (courrier, téléphone) ou Internet habituels (e-mail, web). La prise en compte de la mobilité et des médias sociaux est donc un peu repoussée sine die d'autant que les entreprises identifient des risques à se frotter à ces nouveaux médias, notamment en terme de e-réputation s'ils commettent des impairs, sans clairement identifier les bénéfices possibles à en tirer.

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« La vision unique intégrée du client reste un défi » constate Karim Bahloul. IDC constate cependant que les budgets affectés au marketing digital ont plutôt tendance à s'accroître. Il existe une population d'entreprise où cette croissance est d'ailleurs extrêmement forte par opposition aux autres où l'investissement est minimal sans qu'il y ait beaucoup de « juste milieu ». Un risque est de confier la totalité de la communication sociale à un « community manager », autrement dit un petit jeune quasi-stagiaire. « En cas de crise, il risque d'être vite dépassé faute d'une expérience suffisante dans l'entreprise » juge Karim Bahloul.

Les réseaux sociaux deviennent universels

Les clients et prospects sont pourtant de plus en plus sur Internet en général et les médias sociaux en particulier. Cela est vrai quel que soit la tranche d'âge : les jeunes de 18-24 ans utilisent (à titre personnel) en moyenne Internet 3h24 par semaine, les retraités 2h49. L'usage des médias sociaux décroit au fil de l'avancement de l'âge mais reste en tous cas très forte : 82% en moyenne, allant de 92% chez les 18-24 ans à 70% chez plus de 65 ans. Il y a également des différences selon les statuts sociaux : 94% des étudiants, 85% des inactifs divers, 83% des CSP-, 78% des CSP+ et 73% des retraités. Le temps passé sur les médias sociaux est également variable : 29% du temps en moyenne, soit 52 minutes par jour, mais 32% (66 minutes) chez les jeunes et 18% (31 minutes) chez les retraités.

Les médias sociaux ont tendance à remplacer les autres médias comme sources de dialogue (à la place de l'e-mail ou de la messagerie instantanée) ou d'information. Ceci dit, un tiers des internautes est sceptique voire hostile à l'interaction avec les marques sur les outils sociaux. Karim Bahloul insiste : « les internautes attendent de la valeur ajoutée spécifique lorsqu'ils interagissent avec des marques via les outils sociaux ».

Analyser l'expression des clients : un minimum

Une des entreprises les plus en avance en France sur la relation client via les médias sociaux est peut-être ING Direct. Cette banque en ligne en est pourtant largement aux prémices de l'usage de ces nouveaux outils. D'une part, cette entreprise gère des espaces d'échange avec ses prospects et clients (comme le Web Café sur Facebook). D'autre part, elle effectue une veille sur tous les médias sociaux et un rapport d'e-réputation. Une équipe particulière est chargée de la gestion des médias sociaux. Mais les alertes sont remontées aux personnes appropriées pour obtenir la bonne réponse, éventuellement délivrée par l'équipe dédiée si la réponse passe par les outils sociaux. Une critique réalisée de bonne foi est en fait un axe de progrès. Et un client dont le problème a été traité avec exemplarité devient souvient un promoteur de la marque.

Les outils d'analyse lexicale sont bien sûr utilisés pour tout cela. Mais la technique permettrait le cas échéant de relier l'expression d'une personne donnée à un compte client ou prospect. Cette liaison reste pour l'heure inexploitée. L'une des difficultés rencontrée reste la séparation organisationnelle entre la gestion des médias sociaux, confiée en général à la direction de la communication, et les autres fonctions de relation avec les clients, directions dédiées ou directions marketing.

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(06/04/2011 11:07:42)

Spie Communications regroupe ses agences dans les Alpes

L'intégrateur réseau vient de regrouper ses agences de Grenoble (38) et d'Annecy (74), ouvertes il y a plus de vingt ans, au sein d'un même ensemble. Baptisé Agence Alpes, il dispose d'un effectif de 70 collaborateurs (50 à Grenoble) et réalise un chiffre d'affaires de 14 M€. Outre l'Isère et la Haute-Savoie, il mène également son activité sur les départements de la Savoie et des Hautes-Alpes. 

Pour piloter la nouvelle structure intégrée à son département entreprises Rhône-Alpes-Auvergne, Spie Communication a placé Nicolas Lévêque à sa tête. Recruté par l'intégrateur réseaux en 2000, le nouveau responsable d'agence évoluait depuis 2007 au poste d'ingénieur d'affaires grandes entreprises pour le secteur Rhône-Alpes-Auvergne.
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