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(06/04/2011 10:52:03)

Les tablettes en entreprise séduisent le Gartner

Il ne faut pas commettre les mêmes erreurs qu'avec les smartphones, vus comme des jouets frivoles et couteux et des symboles du statut de cadre, note David Willis, vice-président au Gartner.  L'impact des tablettes est plus fort que le nombre de ventes le laisse prévoir (69 millions en 2011) en raison du nombre d'applications déjà disponibles et de l'impact de l'éco-système.  

Les entreprises commencent à comprendre le parti qu'elles peuvent tirer de produits grand public, comme les tablettes. Ceux qui ont déjà compris comment gérer et sécuriser les iPhone pourront aborder les tablettes plus aisément, remarque le Gartner.  Toutefois, ces terminaux ne se comparent ni aux ordinateurs, ni aux smartphones. Par rapport aux PC, les tablettes évitent le temps long et frustrant passé au démarrage. L'autonomie est plus large. Ce qui n'empêche pas en fin de journée, de revenir au PC portable pour saisir des données ou créer des contenus.

Un bon outil pour les commerciaux et les professionnels de la santé

Les tablettes sont bien adaptées aux forces de vente, ensuite à la GRC, aux configurations d'entrée de commandes et de ventes. Pour les directeurs de ventes, les tablettes PC devraient devenir une plateforme naturelle pour l'analyse et les tableaux de bord de performance. Les personnels de santé devraient également s'en emparer de même que les magasins de vente au détail.

Conclusions : les ardoises numériques ont un énorme potentiel dans le monde du travail selon Gartner et ne devraient remplacer ni les PC ni les smartphones. Et Apple reste loin devant par la confiance qu'il inspire à ses clients et la capacité d'imitation qu'il suscite chez ses concurrents !

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(06/04/2011 10:11:21)

Telindus acquiert Eudasys pour renforcer son expertise sur le stockage

L'intégrateur réseau Telindus, 200 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, rachète Eudasys qui en réalisait 27 la même année. Une opération menée par des partenaires rentables, Telindus affiche 12 millions d'euros d'Ebitda et Eudasys 2 ME, toujours pour 2010. Le groupe belge reprend 100% des parts d'Eudasys pour un montant de 12 ME.

Telindus achète une société en bonne santé financière, intéressante pour son expertise. Eudasys, partenaire historique d'EMC, a noué des relations avec Cisco et VMware. L'intégrateur cherchait justement à se renforcer dans le stockage. Une business unit était créée dans ce but il y a dix-huit mois. Les dirigeants d'Eudasys en prendront  la direction, un signe fort que l'intégration se déroule de manière très positive.

Cette « BU » devrait représenter 25 à 30% du chiffre d'affaires de Telindus d'ici 2015. Dans l'immédiat, elle va développer  une panoplie de services managés autour du stockage.

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(06/04/2011 09:56:07)

Trimestriels Archos : la stratégie tablette est gagnante

Le fabricant français de produits d'électronique grand public a vu son chiffre d'affaires s'envoler de 158% au premier trimestre 2011. Ses facturations ont ainsi atteint 39 M€ à comparer aux 15,1 M€ dégagés à la même période en 2010. La progression constatée est également séquentielle puisque le chiffre d'affaires du premier trimestre 2011 est supérieur au quatrième trimestre 2010, « en dépit de l'effet de saisonnalité qui favorise traditionnellement les fins d'exercice. »

Ces résultats confirment encore une fois la pertinence de la stratégie de l'entreprise qui mise beaucoup sur l'essor du marché des tablettes en se positionnant sur des produits à moins de 400 €. Dans la droite ligne de cette approche, le fabricant a récemment annoncé le lancement d'une nouvelle gamme de tablettes sous la marque Arnova dont le modèle 10,1 '' (en photo) est vendu 199 €.

Une prudence de sioux sur la rentabilité


Le succès de la stratégie du fabricant français ne se vérifie pas que dans l'Hexagone et en Europe où il a généré 70% de ses revenus au premier trimestre 2011. Ses ventes ont également fortement progressé Etats-Unis (+106% à 6,2 M€) ainsi qu'en Asie (+599%) où il partait cependant de très loin (800 K€ au premier trimestre 2010).

Malgré ce nouveau trimestre positif qui fait suite à un exercice 2010 où il a fortement réduit ses pertes nettes à - 2,3 M€ contre -18,6 M€ en 2009, Archos se refuse à donner des prévisions chiffrées sur l'ensemble de l'exercice en cours. Le fabricant réfute également les propos de son PDG, Henri Crohas, paru dans la presse et faisant état de prévisions de chiffre d'affaires et de retour à la rentabilité. « La société opère sur un secteur en évolution constante et soumis à de nombreux aléas technologiques et économiques », indique la société. Des aléas parmi lesquels figurent la situation au Japon qui devrait impacter l'approvisionnement de composants nécessaires à la réalisation d'équipements électroniques.

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(06/04/2011 10:25:20)

Syntec Numérique confirme le retour à la croissance

Syntec Numérique est en ligne avec ses prévisions annoncées en novembre dernier. La fédération professionnelle des éditeurs de logiciels et des SSII table en effet sur 3,5% de hausse pour l'ensemble de l'activité en 2011 : +3% pour les services informatiques, +4% pour les éditeurs  et +4,5% pour le conseil en technologies. « Après une reprise notable, on peut désormais parler d'un redressement solide, même si le contexte macro-économique est toutefois à aborder avec prudence », a déclaré Guy Mamou-Mani, président de Syntec Numérique à l'occasion de la conférence semestrielle du syndicat patronal. Les composantes de cette augmentation prévisionnelle sont dues à l'augmentation du nombre de projets, au déploiement de nouvelles offres industrielles et à l'amélioration du rapport prix/valeur. Dans l'édition de logiciels, des domaines très dynamiques, comme les Apps mobiles, le  CRM, la BI et les RH ont permis aux indicateurs de repasser dans le vert.

Bonne performance du conseil en technologies

La détente en matière de prix a également contribué à la croissance du secteur ainsi que la diversification des modèles, tiré notamment par le SaaS. Le déploiement de nouvelles offres qui accompagne la tendance de fonds d'externalisation a également permis d'augmenter l'activité conseil et services informatiques sur l'année : une hausse de 4% est attendue pour l'infogérance applicative et de 3% pour l'infogérance d'infrastructure. Le conseil en technologies (+ 4,5%) devrait bénéficier d'un effet de base favorable et d'une amélioration du contexte conjoncturel. D'après la chambre patronale, l'embellie des derniers trimestres, notamment dans l'industrie et les services, permet de tabler sur la plus forte progression sectorielle sur l'année.

La hausse des recrutements se confirme en 2011 sous l'effet de la reprise de l'activité. 40 000 embauches sont attendues d'ici la fin de l'année, dont 10 000 créations nettes d'emploi. Les entreprises envisagent de recruter au moins 31 000 cadres,  des jeunes diplômés, des expérimentés  et des profils en alternance. Cependant, le marché ne devrait pas retrouver son pic de 2007. Les embauches des jeunes diplômés devraient néanmoins être plus nombreuses qu'en 2010 et s'élever à 9 000 recrutements. 90% des entreprises du secteur ont recruté au moins un cadre au cours du premier trimestre 2011, soit 8 points de plus comparé à la même période en 2010.  80% d'entre elles envisagent de recruter au moins un cadre au second trimestre 2011, soit 4 point de mieux qu'au cours du second trimestre 2010.

Des actions pour promouvoir les métiers de la high-tech

Effet de la reprise de l'activité et de la forte progression des offres (+ 56% entre janvier/février 2011 par rapport à janvier/février 2010), les recruteurs éprouvent des difficultés à trouver des candidats adaptés aux postes à pourvoir. « Il faut promouvoir nos métiers auprès des jeunes », a insiste Guy Mamou-Mani. « Nous y travaillons grâce aux actions de l'association Pasc@line en faveur de l'apprentissage et de la féminisation des métiers du numérique ». Des conventions ont également été mises en place pour aider au recrutement de salariés en situation de handicap dans des centres de réadaptation ou des universités. Sans oublier l'avancement interne et la formation comme leviers d'action contre le turnover.

Illustration: Guy Mamou-Mani, président de Syntec Numérique. Crédit photo: D.R

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(06/04/2011 10:21:05)

Ciena répond aux nouveaux besoins avec du 100 G

A l'occasion du passage en région parisienne du « Lab innovation », un camion de démonstration des technologies de Ciena, Virginie  Hollebecque, directrice des opérations pour la France, Israël et l'Afrique fait le point sur la vision de l'équipementier, un an après le rachat de l'activité MAN (Metro Area Networks) de Nortel Networks. 

« Cet innovation Lab permet d'amener des experts des technologies au plus près de nos clients et de nos partenaires. Et sur certaines technologies comme le 100 G, le mieux est encore de voir ce qui marche. 'Seeing is remembering' » décrit-elle. 


L'innovation Lab de Ciena - Cliquer pour agrandir l'image

« Nous en sommes à la troisième génération d'Asic dans nos équipements, nous avons une génération d'avance, c'était d'ailleurs une des raisons de notre acquisition de Nortel Networks » ajoute-t-elle. Le marché de Ciena couvre désormais aussi bien les opérateurs télécoms que les entreprises. Il s'agit alors d'établissements financiers, des banques, d'entreprises de média ou d'organismes de la recherche qui ont des besoins spécifiques en termes de performance, de bande passante et de latence.

« A l'heure du Cloud Computing, il faut que les infrastructures télécoms permettent de tirer le meilleur parti de la virtualisation des applications » souligne Virginie Hollebecque.   Des liaisons 100 G ont été mises en oeuvre par Ciena pour la bourse de New York, le NYSE, qui avait des besoins spécifiques en termes de latence. Idem pour le réseau Renater de la recherche. Des liens 100 G avec un routage IP effectué par des équipements de Cisco ou de Juniper Networks ont été mis en oeuvre avec les opérateurs SFR (entre Paris et Bordeaux) ou Verizon (entre Paris et Francfort). 

Pour autant, la demande du côté du grand public, où de plus en plus consommateurs visionnent des programmes TV en HD a un impact différent selon les opérateurs télécoms. « Le déploiement du très haut débit s'effectue au cas par cas chez chaque opérateur, chaque réseau a ses contraintes, et nous regardons les liens qui ont besoin du 40 G ou du 100 G, qu'il soit délivré en mode 10 par 10, ou en 100 Gbit/s Ethernet » indique Virginie Hollebecque. 

Elle ajoute « Nos concurrents chinois ne savent pas faire du 100 G ni du 40 G cohérent. » La technologie 40 G cohérent permet d'effectuer des transmissions optiques sur des fibres de moindre qualité et sur des distances plus longues, cela permet de récupérer des installations terrestres ou sous marines qui n'avaient pas été forcément prévues pour cette gamme de transmission. « Les opérateurs ont besoin de technologies leur permettant de bâtir des réseaux maillés capables de répondre aux besoins de débits qui sont imrpévisibles» conclut Virginie Hollebecque.

Photo : Virginie  Hollebecque, directrice des opérations pour la France, Israël et l'Afrique.
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