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(07/02/2011 14:16:46)

34% des internautes français touchés par un virus informatique en 2010

Réalisée à l'occasion de la Journée pour un Internet plus sûr ("Safer Internet Day") qui se déroulera demain, mardi 8 février, une enquête d'Eurostat montre que les nations européennes les plus touchées par les virus informatiques sont la Bulgarie (58% des personnes interrogées s'estimant concernées), Malte (50%), la Slovaquie (47%), la Hongrie (46%) et l'Italie (45%). La France se situe, quant à elle, juste au-dessus de la moyenne européenne, 34% des personnes sondées ayant été victimes d'une infection informatique. L'office statistique de l'Union européenne souligne que les virus informatiques sont généralement responsables de pertes de données et de temps.

89% des internautes français protègent leur ordinateur

Plus de 8 Européens sur 10 (84%) affirment avoir protégé leur ordinateur personnel et leurs informations via un logiciel de protection ou un "pack de sécurité informatique". Les Etats membres les plus prudents sont les Pays-Bas (96%), le Luxembourg, Malte et la Finlande (91%), ainsi que la France (89%).

Ces chiffres sont issus de l'enquête sur l'utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) menée par Eurostat auprès des ménages et des particuliers âgés de 16 à 74 ans dans l'Union européenne, principalement au cours du second trimestre 2010. L'office statistique précise que seules les personnes ayant affirmé avoir utilisé Internet au cours des 12 mois précédant l'enquête ont été considérées comme "utilisateurs".

Crédit illustration : Adashi (...)

(07/02/2011 12:21:10)

Nokia vers un grand ménage managérial ?

Le 11 février prochain, Stephen Elop, PDG de Nokia doit dévoiler devant des investisseurs la stratégie du groupe finlandais. Si beaucoup attendent les grandes orientations pour donner un second souffle à la marque leader, mais en perte de vitesse par rapport à des concurrents comme Apple et surtout les smartphones sous Android, Nokia devrait selon les informations publiées par l'hebdomadaire allemand WirtschaftWoche et le Wall Street Journal procéder à un nettoyage important dans l'exécutif. Près de la moitié des dirigeants serait concernée par ce mouvement. Parmi les noms les plus cités, Mary McDowell, responsable de la branche « terminaux mobiles », Niklas Savander de la division Marchés, Kai Oistamo  du développement et Tero Ojanperale, en charge des solutions services et mobiles. Les journaux indiquent que des chasseurs de têtes ont été mandatés pour trouver des remplaçants avec des expériences dans la partie logicielle et une bonne connaissance du marché américain où Nokia peine à s'imposer.

Et une alliance avec Microsoft ?


L'autre rumeur penche pour un partenariat avec l'éditeur de Redmond pour équiper les prochains smartphones Nokia de Windows Phone 7. Les ventes de terminaux sous cet OS demeurent pour l'instant faibles et l'équipementier finlandais est à la recherche d'un environnement logiciel compétitif. Si on ajoute à cela que Stephen Elop est un ancien de Microsoft, il n'y a qu'un pas que les analystes n'hésitent pas à franchir. D'autres sont plus sceptiques en pointant du doigt les investissements déjà réalisés dans Meego avec Intel et sur les problèmes d'une mise en route trop longue d'un éventuel partenariat.

Stephen Elop est donc pressé d'agir, il faudra encore être un peu patient et attendre vendredi pour en savoir un peu plus sur ses ambitions pour Nokia.

(...)

(07/02/2011 12:13:10)

Le Nasdaq en proie à des intrusions informatiques

Selon le rapport, qui cite des sources anonymes, les ordinateurs du groupe Nasdaq OMX ont été compromis plusieurs fois au cours de la dernière année, mais la plate-forme de négociation de l'entreprise n'a pas été affectée. « Jusqu'à présent, les auteurs de ces intrusions n'ont pas été actifs mais plutôt observateurs »  explique une source au quotidien.

Nasdaq OMX Group gère un certain nombre de places de marché, y compris le Nasdaq, ainsi que les places d'échanges commerciaux de Copenhague, Stockholm, Helsinki et de la région Baltique. L'enquête est menée par le FBI et les services secrets américains, indique le rapport.  Les représentants Nasdaq n'a pas pu être joint pour commenter.

Des tentatives de plus en plus fréquentes

Les incidents d'intrusion de ce genre sont de plus en plus fréquents, comme les attaques depuis les e-mail et via le web, au sein des entreprises et des administrations. Dans certains cas, le piratage d'un ordinateur d'un simple employé peut être la première étape pour une attaque plus sophistiquée, mais souvent les cybercriminels ne peuvent pas aller plus loin dans le réseau.

Les informations  révélées par le journal sont inquiétantes, car elles interviennent quelques jours après les révélations du Times qui rapportait que la police anglaise avait enquêté pour savoir si la chute dramatique en mai 2010 de 1000 points de l'indice Dow Jones pourrait être lié à un cybercrime. Les autorités enquêtent aussi sur des incidents qui se sont déroulés le 24 août 2010 à la bourse de Londres et portant sur des mouvements spéculatifs suspects sur cinq sociétés, dont BT et Next, rapporte le Times. Une erreur humaine serait à l'origine de ces deux incidents.

(...)

(07/02/2011 10:50:09)

La lettre recommandée électronique devient réalité par décret

L'article 1369-8 du Code Civil prévoyant une lettre recommandée électronique attendait son décret d'application depuis sa promulgation, il y a cinq ans. C'est désormais chose faite : le Journal Officiel du 4 février 2011 vient de publier le décret détaillant les modalités pratiques de l'envoi et de la réception d'un courrier électronique recommandé.

La lecture du décret peut surprendre si l'on ne lui redonne pas sa place dans l'assemblage des textes. En particulier, les modalités générales de preuves en matière d'écrits électroniques sont spécifiées au chapitre 7 du titre 3 du livre 3 du Code Civil dont la seule section 3 concerne « l'envoi ou de la remise d'un écrit par voie électronique ». L'absence de mention explicite, dans ce décret, de la signature électronique est donc tout à fait normale et ne remet nullement en cause l'obligation de son usage. Le premier alinéa de l'article 1369-8 du Code Civil y pourvoit en renvoyant aux modalités générales du chapitre en matière de preuve.

Une procédure qui reste lourde


On retrouve dans la procédure de lettre recommandée électronique les trois parties : un opérateur (qui joue le rôle de La Poste), un expéditeur et un destinataire. Le décret précise les informations devant être fournies et les opérations à réaliser par chaque partie. Le destinataire sera en mesure d'accepter ou de refuser l'envoi électronique d'une lettre recommandée après un avis préalable à la délivrance. Il pourra aussi demander à recevoir le courrier recommandé sous forme papier, l'opérateur se chargeant à partir de cet instant de convertir le courrier électronique recommandé en courrier papier recommandé sans que l'expéditeur ait quoi que ce soit à faire. Un professionnel ne pourra pas refuser un courrier électronique.

L'expéditeur est bien sûr informé de la réception ou de la non-réception d'un courrier recommandé électronique. Le destinataire s'authentifie pour prendre connaissance du courrier, ce qui implique l'usage d'une signature électronique avec stockage de l'empreinte numérique garantissant l'intégrité du dit courrier. Précisons enfin que le courrier électronique recommandé ne sera conservé qu'un an par l'opérateur.

Des questions en suspens


Cette limite de durée très courte risque d'être problématique en cas de procédure judiciaire. Cette dernière peut en effet durer des années et l'expéditeur ou le destinataire vont devoir prendre leurs précautions en conservant précieusement les traces de leurs échanges avec l'opérateur.

Même si la jurisprudence est amenée à trancher des litiges pour préciser les pratiques, et malgré la tendance naturelle à vouloir davantage de sécurité dans un système d'échanges électroniques par rapport à un échange papier, le décret possède ainsi quelques zones d'ombres. Un autre exemple concerne la réception d'un avis préalable à la distribution du courrier recommandé. Si cet avis, envoyé par courrier électronique simple, est perdu ou est filtré comme pourriel, devra-t-on considérer que le recommandé n'a jamais été réclamé ? Le cas est finalement similaire à celui d'un papillon postal perdu au milieu des prospectus dans une boite aux lettres d'immeuble.

De la même façon, l'idée d'acheminer sous format papier un recommandé électronique sur demande du destinataire pose une question économique. Ce choix n'appartient pas à celui qui paye le service, l'expéditeur. L'opérateur devra-t-il intégrer le coût du courrier recommandé papier à son service de recommandé électronique, ce qui aboutira à le rendre plus cher que le service papier, ou bien refaire payer l'expéditeur si le destinataire demande l'envoi papier ? L'intérêt de la procédure risque d'en pâtir.

De fait, le service de recommandé électronique de La Poste est plus onéreux que son service papier. Son avantage réside donc dans la fluidité du processus côté expéditeur, notamment en cas d'envoi en nombre.

(...)

(07/02/2011 10:24:40)

Aviva bascule de Lotus à BPOS de Microsoft

Aviva est une compagnie d'assurances existant en France depuis 180 ans. Elle utilisait Lotus Notes (pour la messagerie), Microsoft Online SharePoint et Office Communicator pour une partie de ses communications. Elle souhaitait surtout mettre en oeuvre un véritable système de communications unifiées comportant une dimension collaborative.

Or, avec 4700 collaborateurs générant 6,7 milliards d'euros de chiffre d'affaires auprès de trois millions de clients grâce à un réseau de 875 agents généraux, 1800 collaborateurs d'agences, 1000 courtiers, 400 conseillers vie et 900 conseillers en gestion, la compagnie gère 30 000 comptes de messagerie alors que ce n'est pas son coeur de métier.

Aviva a donc choisi de migrer l'ensemble de ses communications au niveau mondial vers Microsoft Business Productivity Online Suite (BPOS) et d'en confier la gestion à HP. Ce dernier assurera la migration et l'exploitation du système durant neuf ans. Celui-ci sera hébergé sur le datacenter de Microsoft situé à Dublin, en Irlande.

Le montant du contrat n'a pas été dévoilé. Cette annonce intervient à la fin de Lotusphere 2011 qui s'est déroulé la semaine dernière. IBM a annoncé la prochaine disponibilité de son offre symphony en mode cloud et d'intégrer de plus en plus les informations provenant des réseaux sociaux.

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(07/02/2011 10:23:20)

Le département de la Loire rebaptise son cluster en Numélink

Changement de dimension et donc changement de nom pour le cluster du département de la Loire. Loire Numérique devient Numélink. Un nom destiné à refléter ses nouvelles ambitions et à identifier le cluster à l'international. Un jury composé des 145 adhérents et de partenaires a élaboré 120 propositions, les mêmes et des journalistes (dont Distributqiue.com) ont voté pour ce nouveau nom. En baseline, le cluster se définit comme « The creative IT Cluster » avec, comme slogan : « la dynamique numérique Loire en Rhône-Alpes ».

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(07/02/2011 10:15:01)

Etude 3sci : l'activité refleurît

«Au vu de cette enquête et après les discussions menées avec nombre de nos adhérents lors du salon IT Partners, on peut parler de sortie de crise », nous confirme Olivier Bouderand, président du 3sci. Une centaine de ses adhérents a répondu à cette enquête de conjoncture, un échantillon numériquement limité, mais très intéressant car il reflète l'opinion des SSII installées en région, celles qui subissent le plus directement l'activité économique.

Principale conclusion : c'est l'ensemble de l'année 2010 qui leur paraît plus favorable. 46% des chefs d'entreprise interrogés se montrent plutôt optimistes, 19% seulement plutôt pessimistes et 3% seulement très pessimistes. A contrario, 11% se révèlent très optimistes. Le CA a augmenté par rapport à 2009, faiblement pour 36% des répondants, fortement pour 18%. 17% parlent de stagnation. Les pessimistes sont 23% à parler de faible diminution du CA, 6% de forte diminution. La reprise est donc là, mais une proportion non négligeable des petites SSII souffrent encore, certaines fortement, la profession a même connu de disparitions.

Une sortie de crise réelle, mais encore fragile, voire longue. C'est la deuxième évidence, quand on voit 47% des interviewés estimer qu'elle durera encore 12  à 24 mois. 15% le situant à plus de 24 mois. 8% seulement ne la voient pas durer au-delà du semestre en cours. 12% la situent à moins de 12 mois. Le problème le plus épineux reste le manque de commandes et de CA pour 50% des répondants, le manque de trésorerie pour 15%, le manque de souplesse sociale pour 15 autres pourcents. C'est donc le manque de dynamisme économique général qui fait souffrir les petites SSII.

Six mois de décalage

Pour sortir vraiment de cette crise, 54% des responsables interrogés veulent augmenter leur activité commerciale, 29% trouver de nouveaux débouchés. 3% seulement parlent de licenciements, 4% de manque de trésorerie. Dans ces conditions, 2011 sera moyen pour 59% des répondants, bon pour 29%, très bon pour 3%. Ils l'emportent nettement sur les 8% qui jugent 2011 comme mauvais, 1% comme très mauvais. « Nous n'avons rien vu arriver fin 2008, commente Olivier Bouderand, la crise nous a affecté avec six mois de décalage par rapport au grands acteurs du secteur, la reprise devrait s'effectuer avec un décalage comparable ».

C'est bien l'activité commerciale qui permet de s'en sortir. Oubliées les tensions sur les finances. Les relations avec les banquiers sont restées bonnes (au 3ème trimestre) pour 72% des répondants, moyennes pour 20%, mauvaises à 1%, dégradées pour 3%. Une nette amélioration. D'ailleurs, 82% des entreprises n'ont pas demandé d'encours. Les 18% qui en ont demandé se sont vu accorder cette demande dans 92% des cas. 83% de ces demandeurs n'ont pas eu besoin de présenter de caution.

Illustration principale : Olivier Bouderand, président du 3sci

(*) Syndicat des Sociétés de Services et de Conseil en Informatique

(**) Les chiffres portent sur le 3ème trimestre, mais les interviews proviennent de novembre et décembre
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