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(08/02/2011 10:16:32)
Annuels Canon : le japonais renoue avec les profits
Le groupe Canon publie ses chiffres annuels mondiaux pour l'exercice 2010. Ils marquent un retour de la croissance et du profit, le groupe en profite pour annoncer une année 2011 performante. Sur 2010, Canon publie un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de yens (45,7 milliards de dollars) en hausse de 7,8%.
Une nouvelle ère de profits
Le profit net se monte à 1,78 milliard de yens en hausse de 47% par rapport à l'exercice précédent. Le profit opérationnel est en hausse de 11,7% à 387,5 millions de yens. «2010, c'est la 1ère année d'une nouvelle ère de profits » a souligné, lors de sa présentation, Toshizo Tanaka, vice-président et CEO. Pour 2011, il anticipe un chiffre d'affaires de 4,1 milliards de dollars, en hausse de 10,6%. « Ce sera une année pour bâtir les fondations d'un résultat très bénéficiaire en 2012, supérieur à notre année record de 2007 ».
(...)
Des puces RFID pour suivre les échantillons organiques au CHU de Nice
L'établissement a donc mis en oeuvre une solution pilote sur les prélèvements thoraciques depuis juillet 2010 baptisée Mistrals. Elle a été développée puis intégrée par Fréquentiel. Son déploiement est envisagé sur l'ensemble des prélèvements.
La technologie choisie est celle de la RFID. Celle-ci permet en effet un repérage constant de l'échantillon tagué tout au long de la chaîne de traitement, du prélèvement au stockage définitif, y compris jusqu'à -196°C, parmi les 57 000 pièces stockées à ce jour. De plus, l'absence d'étiquette lisible par un oeil humain garantit la confidentialité des données tandis que le RFID permet malgré tout de gérer un grand nombre d'informations pouvant être lues sans contact (en l'occurrence avec des PDA Workabout Pro de Psion). Chaque échantillon prélevé peut être associé à jusqu'à 500 données par patient.
SFR et Orange renoncent à la hausse de la TVA sur les abonnements mobiles
SFR prendra à sa charge l'augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée à la manière de son concurrent Bouygues Telecom. Orange a également annoncé la même démarche. Effective depuis le 1er janvier 2011, la hausse de la TVA s'applique sur les forfaits électroniques permettant de recevoir la télévision (mobiles 3G, triple play ADSL). Beaucoup de clients avaient reçu des couriers de la part de leur opérateur pour leur indiquer que leur forfait allait augmenter. Cela leur ouvrait le droit à résiliation sans frais de leur abonnement pour aller chez un autre opérateur. Devant les risques de pertes de clients, les opérateurs ont finalement choisi de prendre la hausse de la TVA à leur compte.
Par contre, SFR, tout comme Orange appliquent en revanche la nouvelle TVA sur ses offres Internet haut débit. Depuis le 1er février, les offres inférieures à 20 euros sont majorées d'1 euro. L'augmentation atteint 2 euros pour les offres au tarif supérieur à 20 euros. Le prix de l'abonnement Neuf Box Evolution est ainsi passé de 34,90 à 36,90 euros en zone dégroupée.
(...)(07/02/2011 17:31:04)RIM pousse WebWorks sa plate-forme applicative pour tablette et smartphones
Pour accompagner la sortie de sa tablette Internet PlayBook, RIM annonce une plate-forme de développement, baptisée WebWorks Application qui permet aux développeurs d'utiliser des outils web standard pour créer des logiciels qui fonctionnent comme des programmes natifs sur les terminaux mobiles de la compagnie. WebWorks, est en fait une version rebadgée de la plate-forme BlackBerry Widgets présentée en septembre dernier à San Francisco lors de la conférence développeur du canadien. Ce kit de développement exploite le moteur de rendu WebKit. Jeudi dernier, RIM est retourné à San Francisco pour donner plus de détails sur WebWorks, disponible en Open Source sur le site de développement GitHub. WebWorks est le premier environnement applicatif de RIM pour les smartphones et la tablette PlayBook, attendue en mars prochain. Une version bêta du SDK de WebWorks pour Tablet OS a déjà été proposée le mois dernier.
Des applications plus "riches"
RIM a rebaptisé Widgets afin de souligner qu'il peut être utilisé pour créer
des applications complètes et pas seulement des petits gadgets sur l'écran, a déclaré Christopher Smith, responsable de la plate-forme de développement BlackBerry. « Une application WebWorks est une application complète. Elle a pleinement accès à toutes les ressources natives de l'appareil. Toutes les données, tous les services » a complété Christopher Smith. Tous les outils de sécurité et de politiques de la plate-forme BlackBerry s'appliquent également à cette application, précise-t-il encore.
« Sous le capot, nous sommes en train d'encapsuler le moteur web dans un container natif » ajoute le responsable développement de RIM. Pour les smartphones BlackBerry, le container est de type Java et, pour ceux à venir sur le PlayBook, ils sont basés sur les modules Flash et Air d'Adobe.
Programmer en HTML5, CSS et JavaScript
Avec WebWorks, les développeurs peuvent programmer en HTML5, CSS et JavaScript et créer des applications beaucoup plus sophistiquées que celles basées sur le web, a déclaré Jeff Jackson, vice-président en charge de l'activité logiciels chez RIM. Il est difficile de faire la différence entre des applications natives et web, indique encore Jeff Jackson. Lors de l'événement, RIM a montré des applications multimédias sur le PlayBook qui ont été écrites avec les outils web standards, tel qu'un programme d'animation entièrement écrit en CSS.
La société propose WebWorks en complément de son environnement de développement d'origine pour BlackBerry parce que de nombreux développeurs d'applications mobiles ne veulent pas apprendre à travailler sur de nouveaux outils de programmation pour écrire des logiciels pour chaque vendeur de plates-formes, indique Christopher Smith. James Pearce, directeur des relations développeur chez l'éditeur du Framework Sencha, est d'accord avec ce point de vue et précise que les outils basés sur le web apportent un bon dénominateur commun. «Il serait fou de parier contre le web » ajoute James Pearce.
Rattrapper iOS et Android
L'utilisation des technologies web standards est une stratégie intelligente pour RIM, qui est peu susceptible d'attirer les développeurs spécialisés travaillant déjà pour iPhone et Android, indique Will Stofega, analyste chez IDC. Cette plate-forme abaisse les obstacles à franchir pour développer sur BlackBerry et peux encourager les développeurs travailler sur les smartphones et le PlayBook de la société canadienne, précise-t-il.
Il y a plus de 19 000 applications dans le magasin World App pour BlackBerry et 35 millions d'utilisateurs mobiles environ ont téléchargé les logiciels à ce jour, avec un taux actuel de 2 millions téléchargements par jour, précise Chriptopher Smith. Mais ce n'est rien en comparaison de l'App Store d'Apple, qui a plus de 300 000 applications disponibles, et de l'Android Market de Google qui affiche 200 000 logiciels selon le recensement effectué par la compagnie AndroLib (http://www.androlib.com/appstats.aspx). L'App Store a récemment célébré son 10 milliardième téléchargement. AndroLib estime que l'Android Market a eu 2,5 milliards de téléchargements.
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(07/02/2011 16:06:02)Business ByDesign 2.6 : SAP mise sur le SDK pour étendre l'écosystème
Annoncé depuis le printemps dernier, le kit de développement pour Business ByDesign arrive avec la version 2.6 de l'application de gestion hébergée par SAP. L'éditeur l'avait promis pour janvier. Il va permettre à ses partenaires de créer des extensions et des add-on autour de cette offre destinée principalement aux PME. Tant pour SAP que pour les observateurs du marché, ce SDK est jugé crucial pour le succès de Business ByDesign. S'il peut amener les partenaires de l'offre à une croissance profitable, « nous sommes potentiellement assis sur quelque chose d'assez fantastique », considère Chris Horak, responsable marketing global pour le produit. L'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, n'en disconvient pas, avec toutefois une mise en garde. « Ce qu'il y a de plus important pour un éditeur de logiciels en ce moment, c'est de s'assurer un solide écosystème de développeurs. Mais, les outils doivent être bons. » Le SDK devra donc convaincre.
Plus facile à utiliser que NetWeaver
Selon les premiers retours de plusieurs partenaires, le kit de développement est plus facile à utiliser que NetWeaver (la couche middleware de SAP), même s'il reste toujours nécessaire de se former auprès de l'éditeur. Pour ceux qui sont déjà passés par l'école de SAP, « c'est un environnement plus productif que NetWeaver », indique Ray Wang.
L'application Business ByDesign a été lancée en septembre 2007, sur un nombre restreint de pays (cinq puis six). La montée en puissance devait être progressive. Elle a finalement été retardée et le nombre d'entreprises exploitant l'offre a été volontairement limité jusqu'à ce que SAP renforce et rationalise son infrastructure technique afin de pouvoir accueillir davantage d'utilisateurs de façon rentable pour lui. Il a ouvert les vannes cet été avec le passage à la version 2.5 et compte aujourd'hui 250 clients sur ByDesign. Il s'est fixé l'objectif d'atteindre le millier de clients en 2011 (on se souvient que lors du lancement de l'offre, il espérait atteindre 10 000 clients et générer 1 milliard de chiffre d'affaires en 2010 avec cette solution SaaS).
Des add-on hébergés chez SAP ou par le partenaire
Quoi qu'il en soit, SAP ne pourra pas atteindre son objectif sans un solide programme partenaire qui révélera ce que les clients veulent vraiment faire avec le produit, estime de son côté Jon Reed, un analyste indépendant. « Un certain nombre d'add-on métier parmi les plus importants résulteront directement des retours et des besoins exprimés par les clients », considère-t-il.
Illustration : Chris Horak, responsable marketing global pour l'offre Business ByDesign (crédit : D.R.)[[page]]Pour l'instant, SAP dispose d'environ 50 revendeurs pour Business ByDesign et de 40 partenaires dans le domaine du développement, selon Chris Horak, responsable marketing de l'offre. L'éditeur avance doucement afin de parvenir à la meilleure combinaison de partenaires et s'assurer que tous les add-on qui seront développés pourront disposer d'un support.
SAP prévoit différents scénarios de développement autour de ByDesign, allant des applications très verticales plutôt complexes jusqu'aux interfaces utilisateurs alternatives. Suivant les cas, l'application complémentaire sera hébergée par SAP ou par un partenaire, explique Chris Horak. « Si l'add-on exploite nos données, il est logique qu'il réside sur nos serveurs », cite-t-il en exemple.
Analyse de données « In memory » pour la v.2.6
Business ByDesign va également constituer la plateforme sous-jacente pour les applications on-demand que SAP développe en direction de ses grands clients. Mais les développements réalisés dans ce domaine ne semblent pas devoir démarrer avant la fin de cette année.
Parmi les autres apports de la version 2.6 de ByDesign figure le support des terminaux mobiles iPad d'Apple et BlackBerry de RIM. L'application dispose aussi de fonctions d'analyse de données en mémoire. Par ailleurs, SAP compte désormais pousser cette solution hébergée dans les filiales des grandes entreprises. Cela constitue un chargement par rapport au positionnement d'origine de l'offre qui avait été conçu pour les PME. Outre-Atlantique notamment, elle pouvait être perçue comme une réponse à des produits tels que l'ERP on-demand commercialisé par NetSuite.
Depuis le mois d'août, SAP propose plusieurs packs de démarrage autour de Business ByDesign. Outre le coût de la mise en place (de 9 900 euros pour le Starter Package CRM à 34 900 euros pour l'offre PSP destinée aux entreprises de services), l'utilisation du logiciel en ligne va de 79 euros (pour le CRM) à 149 euros (PSP) par utilisateur et par mois.
Pour les logiciels développés par les partenaires, SAP a finalisé un modèle de partage des revenus, a confirmé Chris Horak, mais l'éditeur n'en a pas encore communiqué publiquement le détail. (...)
Le fondateur de Wikileaks pourrait être extradé à Guantanamo
L'audience portant sur l'extradition de Julian Assange a débuté ce lundi à Londres. Les avocats du fondateur de WikiLeaks ont préparé leurs arguments sur un risque d'extradition vers la base de Guantanamo, s'il était d'abord extradé en Suède. L'Australien est recherché par un procureur suédois suite à une affaire de viol, de contrainte et d'agression sexuelle. Il a toujours soutenu que les deux femmes qui avaient porté plainte contre lui en août dernier étaient consentantes. Après que les autorités suédoises aient demandé qu'un mandat d'arrêt européen soit délivré à son encontre, Julian Assange s'était rendu à la police du Royaume-Uni le 7 décembre dernier. Après une semaine de détention, il avait été libéré sous caution à la condition qu'il remette son passeport, porte un dispositif de surveillance électronique et se rende régulièrement auprès de la police pour vérification. Ses avocats envisagent de faire valoir que le mandat d'arrêt a été délivré « aux fins de poursuivre ou de punir Julian Assange pour ses opinions politiques», selon un document de 35 pages décrivant leurs arguments juridiques. Rappelons que les problèmes juridiques de Julian Assange se sont intensifiés lorsque Wikileaks avait dévoilé, fin novembre, 250 000 câbles diplomatiques américains.
Eviter les pressions exercées par les Etats-Unis
L'annonce avait provoqué la fureur des politiciens des États-Unis, parmi lesquels l'ancien gouverneur de l'Arkansas Mike Huckabee, qui avait demandé la peine de mort pour ceux qui avaient émis ces câbles, ou l'ancienne vice-candidate à la présidence, Sarah Palin, qui était allée jusqu'à déclarer qu'Assange devait être pourchassé avec le même degré d'urgence qu'Al-Qaïda et les chefs talibans. Ces observations alimentent les arguments des avocats de Julian Assange, qui soutiennent que, si ce dernier était extradé vers la Suède, le pays pourrait céder aux pressions des États-Unis. Le bureau du procureur américain avait enquêté sur le fondateur de WikiLeaks, mais aucune charge n'avait été retenue. « Le risque est sans doute réel, que si il est extradé vers la Suède, les Etats-Unis chercheront alors à obtenir son extradition et/ou son transfert vers les États-Unis, où il pourrait être détenu, que ce soit dans la base de Guantanamo ou ailleurs», indique le document.
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Situé à Cuba, le centre de détention de Guantanamo a été créé en 2002 sous le mandat de George W. Bush pour tenir les prisonniers de guerre issus des conflits en Afghanistan et en Irak. Il a été conçu pour placer en détention les personnes qui devaient être jugées par des tribunaux militaires. Le président américain Barack Obama s'est engagé à fermer Guantanamo, quand il a pris ses fonctions en Janvier 2009, mais la controverse politique a entravé cet effort.
Un interrogatoire non conforme au droit britannique
La défense de Julian Assange semble similaire à celle de Gary McKinnon, le hacker britannique qui est en attente d'une décision du Home Office sur son extradition vers les États-Unis, suite à des accusations de piratage informatique. À un moment donné au cours de son appel, les avocats du hacker avancèrent qu'il pouvait être classé comme terroriste dans la mesure où les États-Unis pourraient l'accuser d'avoir interrompu des réseaux militaires après les attentats terroristes du 11 septembre 2001.
Les avocats de Julian Assange ont également l'intention de faire valoir plusieurs arguments juridiques et techniques sur la façon dont la Suède a poursuivi ce dernier. Ils vont arguer que le procureur suédois Marianne Ny n'était pas autorisé à délivrer un mandat d'arrêt européen, et que l'extradition dans le seul but de l'interrogatoire d'un suspect n'était pas en conformité avec le droit britannique. Le fondateur de WikiLeaks a soutenu qu'il s'était rendu disponible pour être interrogé par la justice suédoise, mais qu'il n'avait pas été contacté. L'audience, qui a débuté à 10 h ce lundi au tribunal de Belmarsh, autorisera la diffusion de news via Twitter. Au cours de l'audience du 14 décembre dernier, la Cour de Westminster avait permis aux journalistes d'utiliser Twitter dans la salle, alors qu'en général, les huissiers demandent aux auditeurs d'éteindre leur téléphone portable. Reste que deux jours après la caution interjetée lors de l'appel, un juge de la Haute Cour de Londres n'avait pas permis d'utiliser le service de microblogging pour diffuser des mises à jour en temps réel.
Illustration: Crédit photo: D.R
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Microsoft corrige un bug de sécurité affectant Windows Azure
Le bug concerne les sites web et les services Internet qui utilisent des cookies pour conserver certaines informations de statut entre deux sessions de navigation, et fournir aux clients de Microsoft qui gèrent des sites web sur Azure certaines informations générées par les visiteurs pendant leur connexion. Quand le processus fonctionne correctement, le cryptage des cookies fait que « les clients peuvent constater que des informations de statut sont effectivement transmises, mais sans qu'ils soient en mesure ni de les voir, ni de les modifier » a indiqué Microsoft. La faille identifiée rend visible ces informations contenues dans le cookie. « Ce problème affecte les applications développées avec ASP.NET et utilisant la nouvelle fonctionnalité « Full IIS» du SDK v1.3 qui implémente le Web Role (en charge de traiter les requêtes HTTP/HTTPS) » a indiqué la firme de Redmond. « Dans le cas où ces Web Roles sont vulnérables, le client peut voir le contenu des informations de statut (sans pouvoir les changer). La confidentialité du contenu n'étant plus assurée, la sécurité du site web se trouve compromise. » Les clients Azure concernés par ce problème doivent télécharger la mise à jour du SDK, redéployer leurs applications et vérifier que le correctif assure son rôle. Des instructions pour la mise en oeuvre du correctif sont disponibles sur le blog de Windows Azure. En plus de ce correctif spécifique, l'éditeur doit corriger cette semaine 22 bogues, conformément à son calendrier Tuesday Patch mensuel. Toutes les versions de Windows doivent recevoir plusieurs correctifs critiques. Pus Internet Explorer, qui n'échappe pas à cette campagne de correctifs.
L'annonce de configurations Extra Small
Indépendamment de ces annonces de sécurité, Microsoft a annoncé qu'il offrirait des instances de calcul « de très petite taille » dans Windows Azure. Avec la nouvelle version bêta publique, l'entreprise veut apporter aux développeurs un moyen peu onéreux de démarrer avec le Cloud computing. En effet, Microsoft a fixé le prix de ces mini instances de calcul dans Windows Azure à 5 centimes de l'heure, contre 12 à 96 centimes actuellement pour les quatre offres d'instances de calcul de plus grandes tailles. La nouvelle instance se compose d'un CPU à 1GHz, de 768 Mo de mémoire vive, 20 Go de capacité de stockage, et des performances I/O inférieures aux configurations plus conséquentes. Des instances de deuxième niveau avec un CPU de 1.6GHz, 1.75GB de mémoire vive et 225 Go de stockage, plus une meilleure performance I/O sont également proposées. L'éditeur indique que ces instantes de petite taille, disponibles en version bêta privée depuis octobre dernier, ont reçu un très bon accueil.
« Cette configuration de petite taille permet aux développeurs d'accéder à un environnement de développement et de test à un prix très avantageux, » a indiqué Microsoft. « Les développeurs peuvent également utiliser la configuration Extra Small pour tester des solutions cloud à un moindre coût.» La version bêta publique est accessible à tous. Les petites instances Windows Azure proposées par Microsoft sont semblables aux configurations « micro » proposées par son concurrent Elastic Compute Cloud (ECC) d'Amazon. Aujourd'hui, un an après son lancement commercial, Windows Azure compte 31 000 abonnés actifs et héberge 5 000 applications.
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