Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 5071 à 5080.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/02/2011 15:27:57)

OpenStack dévoile Bexar et recrute Cisco et Canonical

« Cisco devrait contribuer au code du projet pour rendre plus facile la configuration de ses commutateurs dans un environnement OpenStack », a déclaré Mark Collier, vice-président du développement commercial chez Rackspace. Dans une déclaration par e-mail, Lew Tucker, directeur technique de la division Cloud Computing de Cisco, a déclaré que son groupe était «heureux d'annoncer sa participation en tant que membre à part entière de la communauté OpenStack. » et d'ajouter « allouer des ressources réseau ou des services basés sur le réseau est une des composantes fondamentales du cloud computing et nous sommes impatients de travailler avec le reste de la communauté pour assurer le succès de ce projet Open Source».  Avec Cisco, d'autres membres vont accompagner les efforts d'OpenStack, comme Extreme Networks, et Grid Dynamics. Le projet comprend maintenant environ 50 membres, dont Dell et Citrix. Microsoft n'est pas membre, mais a indiqué que son logiciel de virtualisation Hyper-V supportera OpenStack.

Canonical, membre récent, va distribuer le projet avec la prochaine version de sa distribution Linux, qui devrait rendre plus facile l'intégration dans un environnement OpenStack. L'éditeur a indiqué la compatibilité de son offre avec Eucalyptus (concurrent d'OpenStack) souligne le président de Canonical, Mark Shuttleworth. « Nous aurons deux options de service cloud, OpenStack et Eucalyptus dans Ubuntu 11.04, à paraître en avril, et nous verrons alors comment ils se positionnent en termes concurrentiels », dit-il dans une vidéo sur le site web de Dell.  Il ajoute « nous commençons à avoir une idée de l'importance de la normalisation au niveau de l'infrastructure du cloud, et les deux projets mis en avant vont être au coeur de ce processus ».

Bexar dévoilé en attendant Cactus

Le projet est encore récent - sa première version, Austin, est sortie seulement en octobre dernier. Rackspace a annoncé le lancement d'une prochaine version d'OpenStack, sous le nom de code Bexar, qui ajoute des capacités de stockage, un logiciel de sauvegarde des images et de soutien pour le protocole IPV6. «Les gens sont amenés à prendre des décisions stratégiques sur le cloud qui auront un impact durant plusieurs années. Si quelqu'un envisage d'adopter une plateforme cloud, en particulier Open Source, soutenue par des sociétés crédibles, il aura plus confiance sur le long terme » indique Mark Collier. Le support IPv6 dans Bexar a été fourni par l'opérateur japonais NTT, qui est aussi membre OpenStack. La prochaine version comprendra également une traduction en huit langues, confirme Mark Collier. La solution de sauvegarde d'image, appelée Panorama, fournit des services de recherche, de sauvegarde et la restauration des images de machines virtuelles. Bexar élargit la capacité de stockage des objets qui passe de 5 Go par objet dans la version Austin à une taille illimitée, ajoute Mark Collier.

Les travaux sur la prochaine version, nom de code Cactus, sont en cours. Un des principaux objectifs est de la rendre suffisamment robuste pour des déploiements à grande échelle auprès des opérateurs télécoms et des fournisseurs de services, en ajoutant de nouveaux outils pour faciliter la gestion, » conclut Jesse Andrews, co-fondateur d'Anso Labs, qui travaille avec la NASA pour exécuter son propre environnement cloud. (...)

(04/02/2011 15:40:37)

Patch Tuesday : Microsoft va réparer trois bugs zero-day

Les 12 mises à jour de sécurité du prochain « Patch Tuesday » viendront réparer 22 failles, principalement dans le navigateur Internet Explorer (IE), le système d'exploitation Windows et Internet Information Server (IIS), le serveur web de Microsoft. A cette occasion, l'éditeur fournira des « patches » pour trois bugs identifiés par les utilisateurs et reconnus par l'éditeur, l'un d'eux étant exploité depuis plusieurs semaines par des pirates. « Les trois bugs zéro-days vont être corrigées, c'est l'information importante », souligne Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité de nCircle Security.

L'une de ces failles a été détectée dans Internet Explorer, une autre concerne l'affichage des vignettes dans Windows et la troisième se loge dans le serveur web IIS. L'éditeur a reconnu la première d'entre elles le 22 décembre, quelques semaines après une alerte de la société française Vupen prévenant que toutes les versions d'IE, incluant l'IE8 de 2009, étaient touchées. Peu de temps après, Microsoft avertissait que des pirates exploitaient la faille. Le deuxième bug a été découvert mi-décembre lors d'une conférence sur la sécurité en Corée du Sud. A la suite de quoi, l'éditeur a de nouveau publié un avertissement le 4 janvier en précisant cette fois qu'il ne sortirait pas de patch en urgence pour résoudre le problème. 

Rien pour le bug du gestionnaire de protocole MHTML

De façon inhabituelle, Microsoft a fourni en ce début d'année une liste des bugs connus sur lesquels il devait intervenir, en détaillant cinq failles non corrigées. Le prochain Patch Tuesday n'en corrigera donc que trois. « Ils rectifient le rouge, l'orange et le jaune, commente Andrew Storms en se référant aux codes couleurs utilisés par Jonathan Ness, ingénieur du centre de sécurité de Microsoft (MSRC). « Ce sont de très bonnes nouvelles ». En revanche, d'autres vulnérabilités, également reconnues par l'éditeur, ne sont pas concernées par le patch du 8 février. C'est le cas de la faille découverte la semaine dernière dans le gestionnaire de protocole MHTML. Pas de surprise à ce sujet car les experts s'attendaient tous à ce que Microsoft ne puisse pas la réparer ce mois-ci.

Sur la douzaine de mises à jour attendues, trois sont dites « critiques ». Dans l'échelle de classement, il s'agit du niveau le plus élevé. Les neuf autres sont « importantes ». La plupart des rustines (10 sur 12) s'appliquent à Windows. Parmi elles, l'une concerne la faille en déni de service d'Internet Information Server 7.0 et IIS 7.5 dans Windows 7 et Windows Server 2008 R2. Les deux correctifs restants viennent réparer des vulnérabilités dans Internet Explorer et dans Visio, le logiciel de création de diagrammes. Andrew Storms pense que celui destiné à Visio va corriger un problème de format de fichier.

Une conférence web le 9 février

Le directeur des opérations de sécurité de nCircle Security trouve que le bulletin « advance notification » fourni par Microsoft sur le patch de mardi donne finalement peu d'informations et qu'il est difficile de déterminer dans le détail quels composants spécifiques il vient corriger. Malgré tout, il croit comprendre que l'une de mises à jour (actuellement numérotée Bulletin 4) pourrait concerner un bug dans le kernel de Windows Vista et Windows 7, qui s'appliquerait aussi à Windows Server 2008 et 2008 R2. Selon Microsoft, ce Bulletin 4 n'englobe pas les anciens Windows XP et Windows Server 2003. C'est ce qui fait dire à Andrew Storms qu'il concerne le kernel puisque ce dernier a été revisité par Microsoft dans Vista et les versions suivantes.

Le mois dernier, l'éditeur de Redmond a comblé une faille dans Vista en pointant du doigt le programme Backup Manager du système d'exploitation. Cette mise à jour était la septième qu'il livrait pour réparer des vulnérabilités de type « hameçonnage par chargement de DLL » (Dynamic Link Library load hijacking) ou « insertion de code » (binary planting), découvertes par les experts en août 2010.

Microsoft tiendra une conférence web pour répondre aux questions relatives à ses bulletins de sécurité, le mercredi 9 février 2011, à 11 heures Pacific Time (20 heures à Paris). (...)

(04/02/2011 12:28:52)

IPv4 : avec la distribution des dernières adresses, le passage à IPv6 s'impose

Lors d'une cérémonie qui s'est tenue hier à Miami, les décideurs de l'Internet ont officiellement remis les cinq derniers groupes d'adressage IPv4 à chacun des 5 registres Internet régionaux (RIR), marquant ainsi l'épuisement du pool gratuit de ressources d'adressages et de routage Internet en IPv4, principal protocole de communication sur l'Internet. L'objectif n'était en effet pas seulement de célébrer ce jalon historique dans l'histoire des 40 ans de l'Internet, mais aussi de montrer que cette précieuse ressource d'adresses IPv4 avait été répartie de façon équitable au niveau mondial.

Les décideurs politiques de l'Internet - dont l'Internet Assigned Numbers Authority (IANA) et l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN) - ont profité de l'occasion pour souligner la nécessité pour les opérateurs réseaux et les fournisseurs de contenu à migrer vers l'IPv6, la mise à jour tant attendue de l'IPv4. « C'est l'un des jours les plus importants de l'Internet, » a déclaré Rob Beckstrom, président et CEO de l'ICANN. « Notre capital d'adresses Internet qui s'élevait à plus de 4 milliards de ressources a été dépensé... Cette étape indique qu'il est temps de passer à une autre version du protocole IP, tellement immense, qu'il est même difficile d'en imaginer l'ampleur... Surtout, elle pourra nous accompagner vers le futur. »

Des adresses IPv6 pour tous les utilisateurs

L'IPv4 utilise des adresses 32-bit et peut prendre en charge 4,3 milliards de périphériques connectés directement à Internet. L'IPv6 utilise pour sa part des adresses 128-bit et supporte un nombre virtuellement illimité de périphériques - 2 à la puissance 128. Chacun des RIR a reçu ce un bloc « /8 » d'adresses IPv4, lequel est composé d'environ 16,7 millions d'adresses. Selon les experts, il reste trois à sept mois aux registres pour distribuer la réserve d'adresses IPv4 restantes aux opérateurs. Une fois que les RIR auront distribué toutes les adresses IPv4, les opérateurs de réseaux devront soit déployer des réseaux à technologie NAT de traduction d'adresses complexes et coûteux pour permettre le partage des adresses IPv4 entre plusieurs utilisateurs, soit adopter l'IPv6.

Pour la communauté technique de l'Internet, il s'agissait de ne pas rater le rendez-vous de Miami pour encourager les opérateurs réseaux et fournisseurs de contenu à adopter rapidement l'IPv6. « Aujourd'hui s'écrit le dernier chapitre de l'IPv4, » a déclaré Lynn St. Amour, président et CEO de l'Internet Society. « Plus tôt nous adopterons tous l'IPv6, meilleur et plus prometteur sera notre avenir... L'élément essentiel du succès de l'Internet c'est l'unification des réseaux avec un système d'adresses global. C'est la raison pour laquelle, un certain nombre d'acteurs a intensifié son déploiement vers l'IPv6. » Selon Olaf Kolkman, président de l'Internet Architecture Board, l'adoption de l'IPv6 par les opérateurs réseaux et les fournisseurs de contenu est nécessaire, parce que les solutions de contournement techniques disponibles seront de plus en plus difficiles à mettre en oeuvre. « Les 2 ou 3 prochains milliards d'utilisateurs de l'Internet n'utiliseront que l'IPv6, » a-t-il averti. Tout en ajoutant que la coexistence des deux protocoles se poursuivra pendant des décennies. « Tant qu'il y aura des gens avec des équipements travaillant en IPv4, ils auront besoin de l'IPv4 pour communiquer. »

 

(...)

(04/02/2011 12:10:49)

2/3 des parents n'activent pas le contrôle parental

65% des parents avouent ne pas utiliser de logiciel de contrôle parental sur leur ordinateur, selon un sondage réalisé conjointement par Profil Technology et le site Mafamillezen.com à l'occasion de la Journée mondiale pour un Internet Plus Sûr qui se tiendra le 8 février prochain à travers 60 pays. Seulement 35% des sondés gardent un contrôle sur l'accès Internet de leurs enfants. Pourtant, 59% d'entre eux précisent que l'ordinateur utilisé par leur progéniture est installé dans leur chambre, contre 41% dans le salon familial.

Le sondage a été réalisé en novembre et décembre 2010 auprès de 300 visiteurs du site www.mafamillezen.com

(...)

(04/02/2011 12:06:53)

Nantes accueille sa Cantine Numérique

Après Paris, Rennes et Toulouse, la Cantine Numérique vient d'ouvrir ses portes à Nantes. Destiné à un public sensible au web et à l'innovation sous toutes ses formes, le projet a pu naître grâce à Atlantic 2.0, une association qui regroupe des professionnels du web et de l'innovation et qui est soutenue par des partenaires public ( Nantes Métropole et la Région des Pays de la Loire) ou privés (SFR, Orange, Alcatel-Lucent, In Extenso, La Banque Populaire Atlantique, Cornet-Vincent-Ségurel, F.Iniciativas et la CCI Nantes/Saint-Nazaire). Entrepreneurs, salariés, freelances, étudiants ou chercheurs pourront profiter du wifi et participer aux conférences, ateliers techniques, et formations qui sont organisés chaque semaine. Les porteurs de projets et les entrepreneurs ayant développé des expertises, des technologies et des services innovants peuvent également venir les tester et les exposer.

60 000 € annuels par collectivité pendant 3 ans

Adrien Poggetti, directeur de l'établissement rappelle que la Cantine n'est pas un incubateur mais un « accélérateur de particules » qui se positionne en amont des incubateurs et pépinières. Pour Ludovic Simon, président du réseau Atlantic 2.0, le but est de se faire rencontrer des publics qui travaillent habituellement dans des lieux éclatés pour créer des synergies, développer des usages et des technologies dans un esprit d'intelligence collective, La Région des Pays de la Loire et Nantes Métropole accompagnent la Cantine, dans le cadre de leur politique d'innovation et de développement de l'économie numérique : leur aide financière est de  60 000 € annuels par collectivité, pendant 3 ans.

Illustration : Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes et président de Nantes Métropole ainsi que Jacques Auxiette, président du conseil régional des Pays de la Loire ont inauguré la Cantine Numérique hier, jeudi 3 février. Crédit photo : D.R

(...)

(04/02/2011 12:04:27)

Affaire TomorrowNow : SAP va tenter de réduire son amende

Ainsi qu'il l'avait prévu, SAP va demander à un tribunal californien de réduire la sanction de 1,3 milliard de dollars réclamée en novembre dernier par le jury, lors du procès TomorrowNow instruit contre lui par Oracle. Hier, le tribunal a livré son jugement définitif contre SAP en confirmant la sentence. L'éditeur allemand a déjà payé 120 millions de dollars à Oracle pour frais de justice et d'avocats et il doit encore verser 14,7 M$ d'intérêts avant jugement.

SAP a donc décidé de déposer une requête post-réquisitions (post-trial motions) auprès du tribunal pour essayer de voir sa condamnation réduite et peut-être également, faire appel du jugement. Un porte-parole de la société, contacté par nos confrères d'IDG News Service, n'a pas souhaité préciser quels arguments seraient avancés dans cette requête. Mais il est probable que ceux-ci souligneront le caractère disproportionné de l'amende par rapport au préjudice subi par le plaignant. Lors du procès, le défendeur avait estimé pour sa part qu'il devrait payer environ 40 M$ de dollars à Oracle. Dans un communiqué, il explique qu'il va déposer cette requête dans les prochaines semaines « afin de demander au tribunal de réduire le montant des dommages réclamés ou bien de requérir un nouveau procès ». En fonction du résultat de cette procédure, « SAP pourrait envisager de faire appel ». Rappelons que les provisions que le groupe allemand a dû effectuer dans le cadre de ce jugement ont entamé la marge opérationnelle de son quatrième trimestre fiscal, de dernier affichant par ailleurs de bons résultats.

Oracle, de son côté, s'est déclaré très satisfait du jugement à la suite de ce qu'il avait qualifié « d'infraction massive et intentionnelle aux droits d'auteur ». SAP avait reconnu que sa filiale Tomorrownow (désormais fermée), qui fournissait des services de support, avait bien téléchargé illégalement, sur un site web Oracle, des logiciels et des milliers de documents de maintenance. Le procès devait déterminer le montant de la réparation dont SAP devait s'acquitter.

Illustration : L'entrée du tribunal californien où s'est tenu le procès TomorrowNow fin 2010 (crédit photo : James Niccolaï / IDG News Service) (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >