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(02/02/2011 16:00:55)
Avec Duet Enterprise , SAP et Microsoft tentent de relancer le concept Duet
La dernière communication faite mardi autour de cette stratégie concerne essentiellement la disponibilité de Duet Enterprise, un logiciel connectant Microsoft SharePoint 2010 avec les applications ERP de SAP, et sa commercialisation via un nouveau programme de partenariat. Selon un document SAP, Duet Enterprise fournit des outils et du contenu préconfiguré qui aide à accélérer le développement d'applications composites pour SAP et SharePoint. Parmi les autres caractéristiques du logiciel, on peut citer des outils de gestion et de suivi, un système d'authentification unique et la possibilité de l'utiliser hors ligne. Les clients peuvent créer des « espaces collaboratifs dans lesquelles ils peuvent montrer à des utilisateurs travaillant avec SharePoint et Office des informations créées dans des applications SAP,» ajoute le document. Duet Enterprise permet également des intégrations dans le flux de travail, comme par exemple le traitement des demandes d'approbation dans une application SAP depuis Outlook ou SharePoint. Le produit qui présente des caractéristiques semblables à ceux de la version Duet existante est construit sur le nouveau framework d'intégration Project Gateway de l'éditeur allemand qui prévoit « un accès facile et standardisé aux applications SAP, » selon le communiqué.
Les conditions sont aujourd'hui réunies
Selon Jon Reed, un analyste indépendant qui suit de près les activités de SAP, « les entreprises tentent peut-être de remettre sur les rails le concept Duet, » dont le « lancement a été plutôt laborieux, » a-t-il déclaré. «C'était trop hype, » a-t-il ajouté. Duet Enterprise leur donne peut-être une chance de « renouer avec une histoire à succès autour de SharePoint ». De nombreux clients SAP, si ce n'est la plupart, vont adopter, à des niveaux différents, SharePoint. Cela créé certainement une certaine attraction. » Reste que, selon lui, les clients ne voudront pas s'engager dans de grands projets de développement. « Pour moi, la question essentielle est de savoir dans quelle mesure cette solution peut-être plug-and-play ? » Pour Ray Wang, directeur général et analyste principal chez Constellation Research, « SAP et Microsoft ont cette fois une meilleure chance de réussir. » Lors du lancement de Duet, « SAP et les technologies de Microsoft sous-jacentes n'étaient pas prêtes, » a-t-il estimé. « Si bien que le concept était coûteux et difficile à déployer. C'était une excellente idée, tout simplement parce que la plupart des entreprises vivent dans un environnement Microsoft. » Aujourd'hui, « si l'on regarde en arrière, il y a eu des progrès significatifs dans SharePoint 2010 qui ont vraiment transformé la manière dont les gens accèdent aux données SAP, » fait remarquer Ray Wang. « SAP a également apporté des améliorations dans l'interface utilisateur et dans la façon dont le produit s'intègre avec des sources externes. » Il reste au final que le succès de Duet Enterprise dépendra de facteurs clefs, et le coût est le premier d'entre eux. À noter à ce propos qu'aucune information concernant les prix n'a été divulguée lors de cette annonce.
(...)(02/02/2011 15:53:47)Aubay recherche 800 informaticiens
Les recrutements se poursuivent dans les SSII. Après Venedim, c'est au tour d'Aubay de poursuivre le rythme de ses embauches. La société de services entend intégrer, d'ici la fin de l'année, 800 ingénieurs et consultants en Europe, dont 500 en France pour ses bureaux couvrant les régions Ile-de-France (Paris), Grand Ouest (Nantes) et PACA (Nice). Le groupe recherche des profils expérimentés en grande majorité (80%) et des jeunes diplômés pour le reste: la palette des offres est assez vaste : il s'agit d'architectes SI et fonctionnels, de concepteurs, d'analystes et de développeurs maîtrisant les technologies Java, .Net, Cobol, LAMP. Les postes à pourvoir concernent également des consultants (AMOA, infrastructures, ERP), des chefs de projets, des administrateurs systèmes et réseaux et des ingénieurs en intégration et validation de systèmes.
La cooptation, principal canal de recrutement
Le groupe recherche en priorité des profils diplômés d'un Bac+5 ou issus d'écoles d'ingénieurs. Les postulants devront posséder des compétences en informatique de gestion, en génie logiciel, en télécoms et réseaux et connaître le monde de la finance et de l'industrie. Pour attirer un maximum de candidats, Aubay mise sur une politique de recrutement axée à hauteur de 25% sur la cooptation, mais aussi sur le web et sur des salons spécialisés comme Lesjeudis, Horizon Informatique, Cadre & co ou ProSearch. La SSII a également renforcé ses relations avec des grandes écoles d'ingénieurs en allant chercher des jeunes diplômés au sein même de leur établissement ou sur des forums étudiants à travers la France. Avec 560 embauches réalisées en 2010 et après l'acquisition de la société Adex en juillet dernier Aubay compte 2 400 collaborateurs qui interviennent techniquement et fonctionnellement auprès d'acteurs de la banque, finance et assurance, et dans les secteurs de l'industrie, de l'énergie et des télécoms.
Illsutration : le site d'Aubay à Boulogne. Crédit photo : D.R
(...)
L'Egypte de retour sur Internet
Les pages d'accueil de Vodafone Egypt et Etisalat, deux des plus importants opérateurs télécoms du pays étaient les premières à réapparaitre vers 0930 UTC, selon le système de veille mis en place par l'agence de presse IDG News Service. Peu de temps après, les sites Internet d'Orascom Telecom et de la Bourse égyptienne ont réapparu. Le site web du Parlement égyptien est maintenant accessible en dehors de l'Égypte, mais ne semble pas avoir été mis à jour depuis le 24 janvier dernier.
Presque aussitôt après les premières connexions, les Égyptiens se sont immédiatement exprimés sur les réseaux sociaux. «Ceci est mon premier tweet depuis qu'Internet est de retour en Égypte #.Vive la liberté:) « , a écrit Hany Fakhry sur Twitter. D'autres ont commencé à transférer les images et les vidéos qu'ils avaient prises pendant les manifestations de protestations.
« Je ne sais pas combien de temps cela va durer. Je suis en train de télécharger des photos sur mon compte Flickr », a déclaré un autre utilisateur de Twitter, Hossam, dont le profil le décrit comme « un journaliste social ». Les photos, apparemment prises au cours des derniers jours, donnent un aperçu des protestations qui ont parcouru les rues du Caire.
Une coupure brutale et arbitraire
L'Égypte a été presque complètement coupée de l'Internet vendredi dernier, le 28 janvier, alors que les protestations contre le régime du président Hosni Moubarak commençaient à s'intensifier. Les manifestations, les pires troubles que l'Égypte ait connus en trente ans, se poursuivent et beaucoup au Caire demandent aujourd'hui la démission du président Moubarak.
Quelques pays ont déjà tenté de couper l'accès à Internet, mais aucun ne l'a fait à une aussi grande échelle qu'en Égypte. En 2009, le régime chinois avait interrompu le réseau Internet pour toute la province du Xinjiang après des émeutes ethniques qui avaient causé la mort de 140 personnes. Les protestations avaient également poussé le gouvernement de la Birmanie à couper les accès à Internet en 2007, mais ils avaient été restaurés quelques semaines plus tard. Dans ces deux pays, le nombre de personnes touchées avait été relativement faible en raison de la faible pénétration d'Internet dans ces régions à l'époque.
En Égypte, une personne qui ne semble pas avoir trouvé de connexion Internet de secours
est Hosni Moubarak. Le site de la présidence égyptienne restait en effet inaccessible lorsque ce sujet a été rédigé.
Annuels Osiatis : des revenus à 243,6M€ en hausse de 4,6%
L'année 2010 se termine bien pour Osiatis. Au cours du 4ème trimestre, la SSII a connu une nouvelle accélération de sa croissance. A 64,8M€ son chiffre d'affaires a progressé de 7,9%, dont 5% en organique, par rapport à la même période de 2009. Sur l'ensemble de l'année, les revenus ont augmenté de 4,6% (dont 3,3% en organique) pour s'établir à 243,6M€.
Croissance soutenue des services aux infrastructures
La dynamique est restée forte dans les services aux infrastructures qui représentent 88% du volume d'affaires consolidé. Au cours du 4ème trimestre 2010, cette activité a crû de 9,5% par rapport à la même période l'année précédente et de 6,9% sur l'exercice 2010 portant son chiffre d'affaires annuel à 213,5M€. Sur le marché français, les services ont progressé de 12,5% au cours du dernier trimestre 2010 (par rapport à la même période en 2009) et de 7,8% sur l'ensemble de l'année. Les revenus générés par les filiales internationales d'Osiatis ont légèrement progressé par rapport à l'an dernier (+2,6%) pour s'élever à 34,8 M€.
En revanche la branche développements et nouvelles technologies est en repli, avec de revenus à 30,2 M€, en baisse de 9,1% par rapport à 2009. Osiatis a toutefois précisé qu'au cours du 4ème trimestre, le recentrage progressif de cette activité aurait permis de contenir la baisse de volume d'affaires à -2,6%. La SSII compte évoiler ses résultats en mars prochain .
(...)
Microsoft propose 2 certifications cloud à ses partenaires
Microsoft on line services compte 800 partenaires revendeurs certifiés, dont 350 activés, c'est-à-dire avec au moins une vente réalisée. L'objectif quantitatif est d'atteindre les 1 500 certifiés d'ici à fin juin, (date de clôture de l'exercice fiscal chez l'éditeur). La moitié de ces 1 500 compterait au moins une vente réalisée. Au total, Microsoft souhaite que 15% de ses partenaires soient certifiés cloud d'ici fin juin, dont la moitié avec déjà une vente enregistrée. Mais, Microsoft veut surtout distinguer, parmi l'ensemble de ces partenaires, les meilleurs d'entre eux. Deux certifications sont donc lancées : essential et accelerate (la plus élevée).
Pour être « essential », le partenaire doit se certifier en ligne (dans le cadre de Microsoft Partner Networks) et présenter 250 utilisateurs BPOS et 250 sur CRM online (lancé en janvier). « Accelerate » nécessite le passage d'un examen en ligne (où il faut obtenir le niveau 300 sur 400 points possibles) et 3 références clients. Ce niveau s'adresse aux partenaires axés sur les projets complexes.
Microsoft leur propose une rémunération très étudiée : 12% et 6% la première année (sur le chiffre d'affaires de la 1ère année) et 6% chacune des années suivantes. L'abonnement est de un an. « Dans ce système, les services de migration sont particulièrement intéressants, explique Olivier Pigois, directeur d'ABC Systèmes, certifié « Accelerate. Pour nous, ils vont représenter 2, 3, 10 fois le coût de l'abonnement annuel ».
Microsoft compte également sur CRM online, lancé au mois de janvier dernier, pour pousser ses offres cloud en direction des PME françaises, jusqu'ici rétives au CRM. L'occasion pour les partenaires par exemple d'intégrer le CRM dans Outlook.
Des services cloud chez Resadia
« Nous voulons devenir le 1er cloud maillé français » souligne Gaël Brisson, directeur de Pentasonic à Nantes et responsable de la commission »cloud » du groupe. Resadia compte disposer de 7 datacenters (niveau tiers 3 ou plus) d'ici fin 2011, de 15 dans trois ans. Un catalogue de services est disponible, comprenant : le PRA, la sauvegarde en ligne, le bureau en ligne, le poste de travail virtuel, la messagerie, l'archivage en ligne, la téléphonie, la visioconférence. En plus, un catalogue d'offres applicatives se prépare. Resadia va disposer d'un cloud public et d'un cloud privé.
Le groupe n'est pas frileux sur le cloud. « Il faut anticiper et ne pas subir » lance Pascal Chavernac, Président du groupe (et de Sigma Méditerranée). Resadia vend aussi bien auprès des PME que des grands comptes (le groupe soumissionne des appels d'offres, comme il le fait déjà pour Ocean). « Notre force c'est d'être des chefs d'entreprise qui connaissons nos clients depuis 10 ou 20 ans, souligne Pascal Chavernac.
(*) Resadia tient particulièrement à l'appellation « groupe » qui signifie que les 39 membres de Resadia sont bien des associés, que leur organisation n'est ni un syndicat, ni un groupement.
Avec Ivalua Buyer, PSA intègre un fournisseur en 3 jours
En mars 2010, PSA Peugeot Citroën a déployé la solution Ivalua Buyer d'Ivalua pour référencer 73 000 fournisseurs à l'attention de 2 000 utilisateurs actifs. L'enregistrement d'un nouveau fournisseur dans le référentiel mondial unique se fait désormais en trois jours (contre 11 auparavant). L'outil a été intégré non seulement au portail B2B mais aussi au PGI SAP, permettant une intégration complète de la chaîne achat.
Le constructeur précise que les circuits papier ont disparu mais n'a pas communiqué le coût du projet.
Selon L'AFCDP, 82% des entreprises ne respectent pas la Loi Informatique et Libertés
A l'occasion de la journée mondiale de la vie privée, l'Association Française des Correspondants à la protection des Données à caractère Personnel (AFCDP) a publié son baromètre annuel du respect du droit d'accès par les organisations françaises. Même si certaines améliorations sont perceptibles, 82% des entreprises et administrations ne respectent pas la Loi Informatique et Libertés du point de vue de ce droit d'accès d'accès. Cela ne préjuge pas, bien entendu, d'autres manquements de la part des 82% de « mauvais élèves » ou des 18% de « bons élèves ».
Toutes les organisations (en dehors des cas particuliers comme la police et la justice) doivent communiquer toutes les informations en leur possession sur les personnes en faisant la demande dans un délai de deux mois. Ce droit d'accès (et de rectification des informations inexactes) ne doit pas être confondu avec le droit d'opposition qui concerne l'interdiction faite à une organisation de détenir des informations sur la personne le demandant.
18% des organisations sollicitées seulement ont répondu conformément à la loi dans un délais de deux mois. 31% n'ont pas répondu dans les délais légaux. Et 51% ont certes répondu mais pas de manière satisfaisante, notamment en confondant le droit d'accès et le droit d'opposition ou bien en niant l'existence de ce droit (réponse type : « les données demandées ne sont pas communiquées car appartenant à l'entreprise »). L'AFCDP précise que certaines organisations glissent de belles perles dans leurs courriers, indiquant spontanément une attitude illégale (comme la conservation sans durée limitée des données personnelles).
Même le CPDP ne garantit pas le respect de la loi
Même si la présence d'un correspondant à la protection des données à caractère personnel (CPDP) au sein d'une organisation améliore la situation, le score reste catastrophique : 40% des réponses faites sous l'égide d'un tel CPDP sont totalement satisfaisantes (donc 60% ne le sont pas). L'AFCDP fustige, à l'occasion de ce baromètre, la difficulté à trouver, sur les sites web d'organisations, les coordonnées du responsable du traitement auprès de qui exercer son droit d'accès et de rectification. Dans 90% des cas étudiés, aucune mention du responsable de traitement ou d'un CPDP n'y est faite.
L'association a remarqué de nombreuses bizarreries supplémentaires : envoi d'un cadeau au demandeur (au lieu des données), annonce d'une purge des données (confusion droit d'accès / droit d'opposition) suivi d'un envoi des dites données miraculeusement retrouvées, demande de paiement pour le simple respect du droit d'accès (seuls les frais d'envois peuvent être facturés), etc.
A l'inverse, des réactions exemplaires ont été repérées : demande de preuve de l'identité du demandeur (la communication des données personnelles ne doit être faite qu'à la personne concernée), convocation au guichet d'une mairie pour remise en main propre d'une très bonne synthèse, etc. A l'heure où les offices de défense des droits, comme la CNIL, sont soumis à de fortes pressions, notamment budgétaires, rappeler l'état de l'irrespect du droit par les entreprises et administrations est une oeuvre des plus salutaires. (...)
Lotusphere 2011 : En attendant Next, les labs IBM se penchent sur le futur
Une plus grande intégration des réseaux sociaux au sein des outils collaboratifs et une migration vers le cloud, tels sont les messages d'IBM lors de sa conférence Lotusphere, qui se déroule à Orlando (du 30 janvier au 3 février 2011). Au-delà de ces annonces, les évolutions ou les prospectives sont restées discrètes. Alistair Rennie, General Manager de Lotus Software et Collaboration Solution d'IBM, a laissé entrevoir lors de la session inaugurale ce que pourraient être les prochains outils. Ils seront accolés du qualificatif Next, Sametimes, Notes, etc . Chacun devra bénéficier de l'intégration de connections avec les réseaux sociaux ou d'informations issues d'applications métiers comme SAP ou SugarCRM. Le même dirigeant s'est risqué à un soupçon de futurisme en indiquant « pourquoi ne pas intégrer de la sémantique et de l'analytics au sein de nos solutions. Cela sera très important dans l'avenir ». Sur la futur « cloudisation » des différentes offres, elles seront orientées vers plus de personnalisation, explique Betthan Cregg, directrice de Lotus Online Collaboration : « l'interaction avec le serveur applicatif domino aboutira à la personnalisation du service Lotus Live Notes », mais d'ajouter « il ne s'agit pas de créer un LotusLive Store, mais de donner accès à un catalogue à la demande ».
Du côté des Labs
Pour trouver les orientations d'IBM sur l'avenir des outils collaboratifs, il faut se tourner vers les travaux des Labs où plusieurs initiatives sont à souligner. Ainsi, la problématique de la recherche de l'information pertinente au sein du volume des données à disposition est un des défis relevés en partie par des programmes comme Icarius. Ce dernier est une solution de récupération d'informations contextuelles depuis plusieurs sources, disque dur, documents en ligne ou d'autres flux de messages. Le traitement analytique s'invite dans la prochaine génération du calendrier en agrégeant plusieurs informations circulant au sein de l'entreprise et d'autres sources de données. Ainsi, la tenue d'un salon peut intéresser plusieurs personnes au sein de la société. Il s'agit de proposer et d'intégrer tous les participants à cet évènement avec du contenu, des liens, la liste des exposants, etc.
Le web sémantique est aussi une autre piste de réflexion pour trouver la bonne information dans le magma de flux issus des réseaux sociaux comme Twitter par exemple. La reconnaissance du visage peut-être également une autre réponse pour trouver et dialoguer avec la bonne personne au sein des grandes entreprises ou organisations. Toujours au sein des entreprises, le projet Steer a comme objectif de tracer le comportement de l'utilisateur au sein de son intranet, pour lui proposer du contenu sur mesure. Enfin, le dernier axe est clairement la mobilité et la portabilité des outils de collaboration sur les terminaux mobiles, smartphones et tablettes. Des démonstrations ont été faites sur des applications, comme Morning Report, un tableau de bord qui agrège des contenus issus de Lotus, Cognos et d'autres sources.
IBM a donc un réservoir d'idées en attendant l'adoption des réseaux sociaux dans les outils collaboratifs. Philipe Laboureix, directeur marketing pour IBM Software en France, soulignait que « les entreprises sont intéressées et réfléchissent à accompagner les évolutions de leurs salariés qui demandent l'accès aux réseaux sociaux et d'aller chercher l'information au-delà du firewall de l'entreprise. »
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