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(01/02/2011 18:48:03)
L'Ecole Centrale de Nantes crée un double diplôme d'ingénieur franco-indien
L'Ecole Centrale de Nantes et l'Anna University de Chennai, ville située dans la région de Tamil Nadu en Inde, créent un double-diplôme franco-indien en sciences de l'ingénieur. L'accord entre les deux établissements, signé le 8 décembre dernier, permettra aux élèves d'obtenir en six ans les diplômes d'ingénieur de chacun des deux écoles au lieu de cinq ans actuellement pour un seul diplôme. Après sélection de leur candidature, cinq étudiants d'Anna University vont pouvoir suivre leur double cursus à Centrale Nantes sur deux ans à compter de la rentrée 2011. Compte-tenu du calendrier académique en France, la sélection des candidats français en partance pour Chennai sera connue à l'automne 2011. A moyen terme, les deux établissements tablent sur l'accueil d'une dizaine d'étudiants français et indiens dans chacune des structures chaque année.
« La complémentarité scientifique sur les sciences et technologies est l'une des raisons majeures du développement de ce double-diplôme, commente la direction de la communication de l'EC Nantes Il s'agit d'un partenariat fort avec un pays puissant où s'implantent de nombreuses entreprises françaises et internationales à la recherche de cadres supérieurs biculturels, voire multiculturels, dans différents secteurs de l'industrie. Le XXIe siècle se construit très vite aujourd'hui en Inde comme en Chine. Il faut y être ». Selon l'établissement nantais, cet accord permettra de créer et de développer un pool d'ingénieurs franco-indiens capables de travailler dans les deux pays et dans le reste du monde. Le double-diplôme apportera une preuve d'adaptabilité et de cosmopolitisme très recherchée par les entreprises. Il contribuera au développement d'un réseau de cadres indiens à forte culture européenne et d'ingénieurs français capables de comprendre les besoins des clients indiens.
Les niveaux de rémunération augmentent en Asie
« L'Inde est puissante en mathématiques, en informatique et en technologies de l'information et de la communication », rappelle la porte-parole de l'Ecole Centrale de Nantes, en ajoutant que l'Hexagone peut également lui apporter ses compétences. « Par ailleurs, ce double-diplôme fera office de porte d'entrée dans le domaine de la recherche. Les chercheurs indiens et français ont beaucoup à échanger et l'Inde est très intéressée par les technologies françaises très éprouvées ». Du côté de la politique salariale, les niveaux de rémunération sont en train d'augmenter en Asie. « Aujourd'hui, les Indiens peuvent faire de belles carrières dans leur propre pays, estime le service communication de l'Ecole centrale. La fuite des cerveaux qui a légitimement beaucoup préoccupé l'Inde jusqu'à il y a une dizaine d'années est en train de s'arrêter. Les salaires des cadres se sont considérablement élevés en Inde, comme en Chine, ces dernières années.30% de la population indienne de la Silicon Valley en Californie seraient maintenant rentrés en Inde, avec de gros salaires. »
Illustration: les bâtiments de l'Anna University de Chennai. Crédit photo: D.R
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Amazon va proposer la base d'Oracle comme un service dans son cloud
La base de données d'Oracle sera disponible dès le deuxième trimestre au sein d'Amazon RDS (Relational Database Service), le service proposé par Amazon Web Services permettant de configurer, dimensionner et exploiter une base de données dans le cloud. Cette annonce, que vient de faire tout juste de faire l'opérateur du cloud public EC2, semble répondre au projet de Salesforce.com, annoncé début décembre, de livrer un service de base de données facturé à l'usage, dénommé Database.com, et reposant lui aussi sur le produit d'Oracle.
A l'instar des autres offres d'infrastructure proposées dans son cloud, le futur service reposant sur Oracle sera facturé par Amazon sur la base d'une tarification horaire, qui n'impliquera aucun contrat à long terme.
MySQL déjà disponible sur AWS
Amazon offre déjà un service de base de données relationnelle s'appuyant sur le produit Open Source MySQL. Avec l'ajout de l'offre Oracle, l'opérateur affirme que les utilisateurs disposeront des mêmes bénéfices de réduction des tâches d'administration de la base et d'évolutivité du stockage associé et des ressources informatiques.
Le tarif horaire n'a pas encore été dévoilé. Il dépendra de l'édition de la base Oracle et de la taille de l'instance utilisée, a simplement indiqué Amazon. L'opérateur va proposer par ailleurs des instances de bases réservées, dans lesquelles les clients paieront une redevance unique pour exploiter l'instance à un prix réduit par rapport au prix normal. Nul doute que le coût du service sera examiné de près. De son côté, Salesforce.com a prévu une version de démarrage gratuite de Database.com, qui sera ensuite facturée en fonction du nombre d'enregistrements, de transactions et d'utilisateurs, et de services d'entreprise optionnels tels que la gestion d'identité, l'authentification et autres fonctions de sécurité.
Cette annonce vient renforcer le partenariat existant entre Oracle et Amazon, ce dernier ayant déjà permis à des utilisateurs d'exploiter des outils middleware, des applications et la base d'Oracle sur son cloud AWS. (...)
Venedim recrute une centaine d'informaticiens
Venedim, SSII francilienne spécialisée dans la gestion des infrastructures Unix, ainsi que dans l'administration des bases de données Oracle et DB2, dévoile un plan de recrutement ambitieux pour 2011. Après avoir intégré 80 collaborateurs supplémentaires en 2010, portant ainsi ses effectifs à 160 personnes, la société de services informatiques envisage de recruter 120 informaticiens d'ici la fin de l'année. Les profils recherchés sont essentiellement des ingénieurs, des chefs de projet, des architectes mais également des commerciaux. 70% des postes à pourvoir concernent des candidats expérimentés, la part restante s'adressant à des jeunes diplômés. Pour trouver ses futurs collaborateurs, Venedim mise principalement sur la cooptation et sur des sites d'emplois généralistes, dans une moindre mesure.
Des projets dans la banque, les assurances, l'énergie et les télécoms
Les candidats pourront intégrer l'une des quatre filiales du groupe spécialisées dans la gestion des infrastructures (virtualisation, conseil en solutions de stockage, sauvegarde des données, gestion des outils applicatifs), le conseil (organisation, maîtrise d'ouvrage, architecture technique applicative et fonctionnelle, intégration et développement), les télécoms et réseau (expertise voix, données, fixe et mobile), et le stockage (intégration des solutions de stockage). Ils travailleront sur des projets d'ingénierie système et télécom, de développement autour de nouvelles technologies (Java/ J2EE), et sur la mise en place de solutions de stockage (EMC,HDS,Netapp) pour différents secteurs de l'industrie comme la banque, les assurances, l'énergie, et les télécoms.
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Défaut de conception du Sandy Bridge : Intel cesse ses livraisons
Intel a indiqué hier avoir interrompu les livraisons du chipset utilisé dans sa dernière génération de processeurs Core, après la découverte d'un défaut de conception. Le chipset incriminé a été intégré dans des ordinateurs équipés de processeurs Core de prochaine génération basés sur l'architecture Sandy Bridge et annoncés début janvier pendant le Consumer Electronics Show de Las Vegas. Le problème de conception a été réparé, a déclaré le fondeur.
Une mise en jour fin février
« Les processeurs Core ne sont pas touchés, mais les clients ayant acheté des systèmes équipés de processeurs quad-core de deuxième génération Core i5 et Core i7 pourraient être affectés par le problème », a ajouté Intel. Il affirme cependant que « les consommateurs peuvent continuer à utiliser leurs systèmes en confiance » le temps qu'il fournisse, en concertation avec ses partenaires, une solution définitive, peut-être sous forme d'une puce qui résoudrait le problème. « L'entreprise prévoit de livrer une mise à jour du chipset à ses clients à partir de la fin du mois de février et pense pouvoir achever la procédure en avril. » Intel s'engage sur la qualité de ses produits, a jugé utile de rappeler le fabricant dans un communiqué.
Les ports Serial ATA en cause dans la série-6
Le problème de conception a été découvert dans le chipset 6-Series, nom de code Cougar Point, utilisé dans des configurations intégrant des processeurs Sandy Bridge, qui ont commencé à être livrées à partir du 9 janvier dernier. En cause, les ports Serial-ATA (SATA) des chipsets qui pourraient se dégrader au fil du temps et affecter les performances ou les fonctionnalités des périphériques de stockage, disques durs notamment. « L'un des symptômes repéré sur ces chipsets défectueux consiste en des erreurs de débit lors du transfert des données », a déclaré Steve Smith, vice-président d'Intel et directeur des opérations pour les PC. « Il est peu probable que les ordinateurs manifestent ce type de problème rapidement, mais au fil du temps, des transferts de données intensifs pourront provoquer davantage d'erreurs », a indiqué Steve Smith. Selon Intel, la meilleure chose à faire était de résoudre le problème aussi rapidement que possible, avant que le chipset ne soit livré dans les PC destinés au grand public.
Un impact sur le volume de PC Sandy Bridge
A ce jour, l'entreprise n'a reçu aucun retour concernant le processeur défectueux, livré seulement dans quelques PC quad-core de type Core i5 et Core i7, et les responsables disent que peu de clients ont été affectés. « Le chipset avait passé les tests et la validation effectuée en interne sans problème, ainsi que ceux normalement réalisés par les fabricants de PC », a indiqué le vice-président d'Intel. Le problème a été identifié dimanche dernier, alors que le fondeur cherchait à mieux comprendre un problème de température, de voltage et de dégradation au niveau des circuits électriques.
Intel continue à expédier des processeurs Sandy Bridge, à part la série-6, mise en attente, comme l'a précisé Steve Smith. Mais le chipset et les processeurs Sandy Bridge sont associés dans de nombreux modèles de PC, si bien que les responsables d'Intel ont reconnu que l'interruption de livraison du chipset pourrait affecter indirectement les ventes de PC Sandy Bridge. Ainsi, Steve Smith a confirmé que la commercialisation de PC portables intégrant des puces dual-core Sandy Bridge, prévue dans quelques semaines, pourrait être retardée. Les processeurs Core de seconde génération basés sur la micro architecture Sandy Bridge comprennent un certain nombre d'améliorations par rapport à leurs prédécesseurs. C'est surtout le premier processeur à associer CPU et GPU sur une seule puce, un design qui améliore les performances graphiques et optimise le fonctionnement des applications.
300 millions de dollars de recettes en moins
Le problème de conception devrait réduire les recettes d'Intel d'environ 300 millions de dollars au premier trimestre 2011, compte tenu de l'interruption de la production de la puce défectueuse et au lancement de la fabrication des puces modifiées. Même si ses recettes en année pleine ne devraient pas être très affectées, selon lui, c'est tout de même une mauvaise nouvelle pour le fondeur qui a la réputation de construire des processeurs sans défaut. Celui-ci comptait également réaliser environ un tiers de son chiffre d'affaire avec ces puces Sandy Bridge sur l'exercice fiscal 2011. (...)
EMC fournit une version gratuite de Greenplum aux développeurs
Le logiciel, qui est disponible au téléchargement sur le site web de l'entreprise, élimine la barrière du coût d'accès à ces technologies. Il donne aux développeurs la capacité de travailler sur les futurs outils, selon un communiqué. La Greenplum Community Edition comprend l'outil MPP (traitement massivement parallèle) pour les bases de données, Madlib, une bibliothèque Open Source d'algorithmes d'analyse et un outil de modélisation de données appelé Alpine Miner. Les développeurs qui utiliseront cette édition pourront construire un environnement d'analyse de données leur permettant de visualiser, de modifier et d'améliorer les fichiers de démonstrations proposés », a indiqué EMC. Ils peuvent également participer à différents forums communautaires sur le sujet.
Le logiciel est uniquement destiné à la recherche, au développement et aux tests. Cela implique l'achat de licences en cas d'utilisation commerciale. « Ce projet donne aux développeurs la capacité de programmer en utilisant les outils les plus populaires. ils disposent d'un lieu pour contribuer à l'extension de la brique Open Source », a précisé Luc Lonergan, CTO et vice-président de la division Data Products d'EMC.
Fédérer autour de son projet
Cette mise à disposition peut également être considérée comme une étape nécessaire étant donné la position Greenplum dans un marché où la concurrence est de plus en plus agressive. On y retrouve à la fois des startups comme Aster Data, des acteurs historiques comme Teradata et ceux qui attaquent ce marché avec le développement de leur propre plateforme, tels qu'Oracle avec Exadata et SAP avec HANA. Toutes ces entreprises ont besoin de développer des communautés actives autour de leurs technologies et la délivrance des versions gratuites du logiciel est un moyen naturel à cette fin.
Chaque fournisseur de datawarehouse positionne leur produit comme une brique unifiée pour la recherche analytique avancée, a commenté James Kobielus, analyste chez Forrester Research. « Le simple fait d'avoir la capacité de gérer d'énormes volumes de données n'est pas un facteur de différenciation. Le véritable avantage concurrentiel réside dans la capillarité des outils d'analyses mis à disposition par les fournisseurs d'entreposage de données et la création d'un écosystème de partenaires. » À cette fin, Greenplum a besoin de construire une communauté forte afin de susciter l'intérêt des éditeurs de logiciels, conclut James Koebelius.
Lotusphere 2011 : IBM a les yeux tournés vers le cloud et l'intégration
« Get Social, Do Business » (Aller vers le social, c'est faire des affaires), tel est le leitmotiv du millésime 2011 de Lotusphere d'IBM à Orlando. Et l'aspect social est décliné sur l'ensemble des métiers de l'entreprise, relation avec le client, échange et partage entre centres d'activités, webconferencing, boîte à idée, etc. Pour mettre en perspective cette montée en puissance du partage de compétences, IBM avait invité Kevin Spacey en guest star. Ce dernier a rappelé son intérêt de voir émerger et de dénicher de nouveaux talents à travers son site triggerstreet.com (sorte de mymajor company, qui demande une contribution aux internautes pour financer les premiers longs métrages). Il est aussi connu pour avoir produit le film relatant la vie de Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, « The social network », qui a obtenu 6 nominations pour la prochaine cérémonie des oscars.
La bureautique dans les nuages
Après le show bien rôdé, place aux annonces. La première est la disponibilité au deuxième semestre 2011 de la suite bureautique Lotus Symphony (reposant sur une base du logiciel Open Source Open Office) en mode cloud. Cette version hébergée se décline en traitement de texte, tableur et outil de présentation. Elle sera accessible aux utilisateurs de Lotus Live et entre en concurrence directe avec les offres d'Oracle, Microsoft et Google. On retrouve ainsi des fonctionnalités comme le partage et la modification de document en temps réel et en simultané. Jeff Schick, vice-président Social Software d'IBM a indiqué que la suite en version cloud serait payante, comme une option au sein de la plateforme en ligne LotusLive. Aucune précision n'a été cependant apportée sur le montant de cette option, mais le prix devrait être suffisamment agressif pour être compétitif. IBM souhaite qu'une majorité de ces clients migrent vers cette solution. Une version « technical preview » est déjà disponible pour les développeurs pour travailler sur l'intégration et l'enrichissement des fonctionnalités.
Renforcer le dialogue avec les applications d'entreprises
Pour améliorer les offres collaboratives, l'accent a été mis à Lotusphere sur une plus grande intégration entre les services proposés par IBM et les applications d'entreprises. La semaine dernière, Big Blue avait ainsi annoncé des passerelles entre LotusLive et SugarCRM et Ariba, pour accompagner le développement du « social commerce », capable de dialoguer entre les revendeurs et les partenaires commerciaux. Pour accélérer ce processus d'intégration et d'adoption au sein de l'entreprise, IBM propose un ensemble d'outils basés sur des API qui se chargent d'agréger le contenu des différentes applications et de le délivrer au sein d'un framework rénové. Jeff Schick admet s'être inspiré de Facebook pour proposer le système « streaming activity ». Sur la même interface, le collaborateur dispose de sa messagerie et de son flux d'informations provenant des applications mis en mode collaboratif (Twitter, Facebook, mais également des ERP comme SAP). « Cela évite de basculer d'une application à une autre, le collaborateur peut interagir directement sur l'information », précise le responsable. Ce framework, qui peut se définir comme une extension de la solution Lotus Connections, s'adapte à l'ensemble des postes clients, y compris les smartphones ou les tablettes. Il s'agit aussi de la première étape du projet Vulcan, présenté lors de l'édition précédente de Lotusphere.
Le co-CEO du constructeur canadien RIM, Jim Balsillie, a tenu à présenter la disponibilité de ce framework sur la tablette maison, le Playbook. Les autres constructeurs ou éditeurs ne sont pas oubliés. La disponibilité sur iPhone et iPad, ainsi que l'interopérabilité avec Android et Symbian est également assurée pour l'application Lotus Live Notes Traveler.
Illustration : Séance de questions/réponses, de gauche à droite, Jim Balsillie, co-CEO de RIM, Alistair Rennie, General Manager de Lotus Software et Collaboration Solutions, Jeff Schick, Vice-Président de Social Computing Software, Kevin Canaugh, Vice-Président Messaging et Collaboration Software, et Larry Bowden, Vice-Président de l'activité Portail et Web Experience Software.
Crédit Photo: D.R. (...)
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