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(12/11/2010 17:23:30)

Conférence LMI/CIO : Réussir la transformation du secteur public

Les attentes des usagers-citoyens sont croissantes vis-à-vis des administrations, collectivités et services publics. Habitués au e-commerce, ils exigent du secteur public une e-administration efficace, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Cela implique des bouleversements dans les organisations... ou un habile habillage pour que la complexité administrative soit dissimulée par une interface commune.

De plus, le secteur public a des obligations liées aux calendriers électoraux et à l'aménagement du territoire. Enfin, et ce n'est pas la moindre difficulté, la rigueur budgétaire impose de toujours faire plus avec moins de moyens, notamment moins de moyens financiers mais aussi moins de moyens humains. Les trois fonctions publiques (Etat, Hôpitaux, Collectivités Locales) ont, de plus, chacune leurs propres enjeux liés à leurs contraintes propres, à la fois budgétaires et institutionnelles.

Pour consulter le programme de cette matinée du 7 décembre à l'hotel Prince de Galles à Paris dans le 8e et découvrir les nombreux intervenants, rendez-vous sur ce lien. (...)

(12/11/2010 16:51:16)

Le programme Ambition PME souffle sa 2ème bougie

Ce plan d'accompagnement avait étrenné ses ambitions il y a près d'un an lors d'une journée de présentation. L'édition 2010 qui se déroulera le 16 novembre prochain, à la Bourse du Commerce à Paris, reviendra sur le bilan, mais également sur la découverte du plan Ambition PME. Animé par le pôle de compétitivité System@TIC, les chambres de commerce et d'industrie de Paris et de l'Essonne, la Région Ile de France et OpticsValley, ce programme se définit comme un accompagnement des PME autour de 5 actions prioritaires :

- Tisser un lien et un dialogue entre PME et grandes entreprises

- Trouver des compétences, comme des commerciaux en innovation. Pour cela, les partenaires travaillent notamment avec HEC pour élaborer un cursus spécifique et dédié.

- Le financement à travers soit l'amorçage de société ou la mise en relation avec des capitaux-risqueurs.

- L'accès à l'international. Ce programme bénéficie de la présence de société et de représentation à Boston au coeur du MIT, prochainement en Californie et en Chine.

- Travailler sur un modèle d'innovation ouverte, en interconnexion avec d'autres sociétés, des laboratoires de recherche.

L'ensemble de ces actions sont liées. Gérard Huot, président de la CCI de l'Essonne, va même plus loin «  l'aspect international est essentiel pour le développement des PME innovantes au même titre que l'intelligence économique pour connaître où en sont les concurrents et votre position par rapport à eux ». Jean-Noël de Galzain, vice-président PME au sein de System@TIC et PDG de Wallix, ainsi que Philippe Bregi, président d'OpticsValley  se rejoignent notamment « sur l'effort en matière de recrutement » en mettant en avant le site Jobhightech.com pour promouvoir les offres du secteur, mais également pour trouver des candidats lors d'une implantation à l'étranger.

La finalité de ce programme Ambition PME est « de créer des entreprises de taille intermédiaire de demain » souligne Jean-Noël de Galzain. Cette dénomination issue de la loi TEPA définit les sociétés comprises entre 250 et 5000 personnes. Il s'est inquiété des propositions parlementaires sur la loi de finance qui prévoit un coup de rabot sur le crédit d'impôt pour la recherche, ainsi que sur le statut fiscal de la Jeune Entreprise Innovante. « L'effort financier pour des PME serait plus important que les grandes sociétés. Or l'innovation vient des PME » conclut-il.

(...)

(12/11/2010 15:40:31)

Mise à jour record pour Mac OS X : 134 patchs, dont 55 pour Flash

Pour l'expert Charlie Miller, au fait des vulnérabilités de Mac OS X, cette «énorme» mise à jour laisse quand même de côté un nombre important de failles. « Apple sort un correctif gigantesque, mais tous les bugs que j'ai identifiés ne sont pas traités, » a t-il déclaré dans un tweet. « Ça donne une idée du nombre de failles dans leur code, ou bien ils n'ont vraiment pas de chance ! » a t-il ajouté. « L'update de sécurité 2010-007, livré séparément aux utilisateurs de Leopard, intégrait des changements importés de la version 10.6.5 non corrigée de Snow Leopard. Il corrigeait déjà 46% de vulnérabilités de plus que tous les patchs livrés par Apple à cette date, » a t-il calculé.

55 vulnérabilités corrigées dans le lecteur Flash d'Adobe

Mais le nombre de correctifs de la dernière mise à jour a été largement gonflé par un bataillon de 55 vulnérabilités à corriger dans le Player Flash d'Adobe, soit 41% du total des failles corrigées par Apple cette fois-ci. En effet, contrairement aux autres éditeurs de système d'exploitation, Apple fournit le Player Flash avec son OS et se charge de la maintenance du lecteur multimédia d'Adobe - souvent pointé du doigt pour le nombre de failles qu'il contient - en utilisant son propre processus de mise à jour. A la différence de la précédente mise à jour de Flash effectuée via Mac OS X, celle-ci inclue tous les derniers correctifs du lecteur multimédia, y compris les 18 livrés la semaine dernière par Adobe. En juin, Adobe, par la voix de Brad Arkin, son directeur en charge de la sécurité et la confidentialité des produits, avait critiqué Apple, l'accusant de ne pas fournir à ses utilisateurs la version la plus récente de son lecteur. « La mise à jour 10.6.4 pour Mac OS X comprend le player Flash, mais pas la dernière version, » avait-il déclaré à l'époque. La mise à jour d'Apple qui comprend les 4 correctifs de sécurité pour Flash livrés par Adobe entre le début du mois de juin et le début novembre rattrape désormais ce retard.

Les mises à jour Flash bientôt évincées

Mais on ne sait pas pendant combien de temps Apple continuera à fournir des correctifs pour Flash à ses clients. Il y a trois semaines, Apple a confirmé qu'elle ne livrerait plus le lecteur d'Adobe avec son système - le nouveau portable MacBook Air est le premier du genre à être dépourvu de Flash - sans préciser quand elle cesserait de corriger les failles du player d'Adobe. Entre temps, l'éditeur de San José a promis d'ajouter une notification automatique pour informer les utilisateurs Mac de la disponibilité d'une nouvelle version de Flash, mais a refusé de fournir une date de sortie pour cet outil. Depuis 2007, Apple et Adobe s'affrontent à propos de Flash. Mais le différend s'est beaucoup envenimé cette année, pendant laquelle les deux entreprises ont eu de vifs échanges à son sujet. En avril, Steve Jobs s'en est pris au lecteur Flash, en excluant toute intégration aux terminaux d'Apple tournant sous iOS. Mi-mai les vice-présidents du conseil d'administration d'Adobe avaient vivement réagi en accusant Apple de saper le web !

X11, Quicktime, Image IO, ATS et plus

Parmi les 79 correctifs, hors Flash, de cette mise à jour massive, 16 concernent X11, l'environnement permettant d'exécuter des applications du système Unix X Window sous Mac OS X, 9  concernent QuickTime, le lecteur multimédia d'Apple, 4 corrigent le composant ImageIO  du système, et 4 autres touchent à l'Apple Type Services (ATS), le moteur de rendu de polices. Parmi les bugs ATS corrigés, figure celui rendu publique lundi par l'entreprise de sécurité informatique Core Security Technologies. Celle-ci mettait notamment en garde les utilisateurs Mac sur le fait qu'Apple avait déjà laissé passer deux échéances pour corriger la variante d'un bug utilisé l'été dernier pour effectuer le « jailbreak » des iPhone sous IOS 4 et affectant Mac OS X 10.5 Leopard. 3 des 9 vulnérabilités affectant QuickTime ont été signalées à Apple par TippingPoint, un organisme mis en place par HP et chargé de chapeauter le programme de chasse aux bugs Zero Day Initiative. Une autre faille concernant QuickTime avait été révélée par Nils, un chercheur travaillant pour le cabinet de conseil en sécurité basé au Royaume-Uni MWR InfoSecurity, surtout connu pour ses exploits au concours de hacking annuel Pwn2Own. En 2010, il avait réussi à contourner deux grandes technologies de protection - DEP et ASLR - dans Windows 7, pour exploiter des failles dans Firefox de Mozilla. En 2009, il avait réussi à cracker Firefox, Safari et Internet Explorer 8. La plupart des failles corrigées mercredi sont accompagnées du commentaire habituel d'Apple, à savoir qu'elles peuvent « conduire à l'exécution de code arbitraire, » une manière pour l'entreprise de Cupertino, de dire que celles-ci sont critiques.

Pus de stabilité et de fiabilité aussi

À côté de ces 134 patchs, Apple a remédié à une vingtaine de problèmes qui n'ont pas de rapport avec la sécurité. Plusieurs d'entre eux sont liés à la stabilité ou à la fiabilité. Fidèle à sa tradition, Apple n'a divulgué aucun détail sur ces correctifs. De manière très laconique, elle indique par exemple que certains concernent «  la stabilité et les performances des applications graphiques et des jeux» même s'ils peuvent éventuellement impliquer un grand nombre de changements au coeur du système d'exploitation. La mise à jour 10.6.5 résoud également un problème rencontré avec certaines imprimantes HP connectées à un réseau sans fil. De même, elle ajoute le support des transferts de fichiers cryptés au service de stockage en ligne d'Apple, comme elle améliore la fiabilité des connexions aux serveurs Microsoft Exchange.

Une MAJ maousse de 645Mo

Compte tenu de la taille de la mise à jour - entre 240 Mo et 645Mo pour la version client de Mac OS X - il n'est pas surprenant de voir, sur le forum du support technique d'Apple, les difficultés rencontrées par certains utilisateurs. Plusieurs déclarent, par exemple, qu'ils n'arrivent plus à se connecter à des réseaux sans fil 802.11n après le passage en 10.6.5. Mais le problème le plus grave concerne les utilisateurs du logiciel de cryptage Whole Disk Encryption de PGP. Ceux-là ont signalé que leur Mac ne démarrait plus après la mise à jour, les forçant à restaurer leur système à partir d'une sauvegardeSelon PGP, les utilisateurs peuvent appliquer cette mise à jour en toute sécurité s'ils ont au préalable procédé au décryptage de leur disque dur.

La mise à jour Mac OS X 10.6.5 peut être télécharger sur le site d'Apple ou simplement installé automatiquement depuis l'outil Mise à jour de logiciels dans le menu Pomme.

(...)

(12/11/2010 12:37:19)

Support de MySQL : Oracle défend sa politique de prix et dissipe un malentendu

Certes, Oracle a relevé le prix du contrat de base pour le support de MySQL. Mais les clients vont en avoir pour leur argent, assure l'éditeur américain. Davantage, en tout cas, qu'ils n'en recevaient de Sun Microsystems, précédent propriétaire de la base de données Open Source. C'est ce qu'affirme Oracle dans un billet de blog officiel publié cette semaine.

Le 1er novembre, Oracle a émis une liste de prix sur laquelle on découvrait que le tarif le plus bas pour accéder aux services de support de MySQL était désormais fixé à 2 000 dollars par serveur par an. Or, avant que Sun ne soit racheté, le support de base ne démarrait qu'à 599 dollars par serveur et par an. Ce contrat de service « n'incluait que les accès aux correctifs et aux mises à jour, ainsi que la possibilité d'appeler pendant les heures de bureau, fait valoir Monica Kumar, responsable marketing produit senior pour Oracle. Il ne permettait de résoudre que deux incidents par an. C'était un support très très limité, insiste-t-elle sur le billet de blog en ajoutant que, de toute façon, cette option n'était pas très populaire.

Alors qu'avec l'option à 2 000 dollars, actuellement proposée dans le cadre du contrat Standard Edition, le client dispose d'une offre illimitée, avec un support qui fait le tour du cadran et qui inclut l'outil Workbench [avec lequel un DBA ou un développeur pourra modéliser, générer et gérer des bases de données]. « Soit un niveau de services beaucoup plus élevé et davantage de fonctionnalités », souligne Monica Kumar.
Oracle propose également un contrat Enterprise Edition à 5 000 dollars par serveur et par an.

Ne pas confondre la Community Edition et la Classic


Par ailleurs, une autre offre, MySQL Cluster Carrier Grade Edition, est maintenant disponible par abonnement pour la première fois, à 10 000 dollars par serveur et par an. Dans tous les cas, les clients reçoivent un meilleur service et plus de fonctions que par le passé, insiste la responsable produit d'Oracle.

Toutefois, Monica Kumar n'insiste pas sur le fait que ces différents tarifs ne s'appliquent qu'aux serveurs équipés de un à quatre sockets. L'éditeur explique ce qu'il définit comme un socket : un connecteur qui reçoit un processeur (ou un module multi-processeurs) qui contient un ou plusieurs coeurs. Or, dès qu'un serveur contient cinq sockets ou plus, le prix d'abonnement aux différents contrats de support est doublé. On peut le vérifier sur la liste tarifaire.

La responsable produit revient aussi sur la confusion qui a pu se diffuser autour de la présence ou non du moteur de stockage InnoDB dans la version gratuite de la base de données, MySQL Community Edition. Cette dernière est toujours disponible sous la licence Open Source GPL. Elle inclut tous les moteurs de stockage existants (c'est-à-dire InnoDB, MyISAM, Memory, Archive, etc.), a expliqué Monica Kumar dans un précédent billet. La Community Edition comprend aussi les connecteurs disponibles (ODBC, JDBC, .Net, etc.) et toutes les fonctionnalités (réplication, partitionnement). Il n'y a aucun changement sur ce terrain-là.

En revanche, le produit MySQL Classic Edition, qui s'adresse aux éditeurs indépendants qui souhaitent embarquer la base de données dans les solutions qu'ils développent, a troqué son moteur pour MyISAM. Il ne faut pas confondre la Community Edition et la Classic Edition, met en garde Monica Kumar.

Illustration : Capture d'écran de MySQL Monitor + extrait de la liste de prix des contrats de support de MySQL (crédit photo : D.R.)

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(12/11/2010 11:48:06)

Riverbed s'attaque aux clouds privés et publics

Riverbed poursuit son évolution dans les outils de performance informatique. Après l'optimisation des applications pour les environnements difficiles avec Virtual Steelhead, l'équipementier s'attaque aux clouds et à la migration des entreprises vers les nuages privés et publics. Pour Apurva  Davé, vice-président du marketing produit de Riverbed, « le cloud concentre deux problématiques, la gestion de la croissance des données échangées  et les questions de bande passante (latence, temps de réponse). Pour répondre à ces questions, Riverbed propose deux produits.

Le premier a été baptisé Cloud Steelhead. Il s'agit  d'une version de l'appliance Steelhead de Riverbed qui est en charge de l'optimisation WAN.  Cet outil comprend des modules complémentaires qui  accélère la circulation des données vers et depuis les centres de données des fournisseurs de clouds, sans nécessiter la reconfiguration des réseaux des entreprises ou des prestataires. Le trafic ainsi optimisé accélère l'exécution des applications dans le cloud public, rendant ainsi cet environnement plus attractif financièrement que garder certaines applications dans un cloud privé. Cet équipement est compatible pour l'instant avec le cloud public EC2 d'Amazon. Il est livré avec un logiciel baptisé, Discovery Agent, qui se connecte au module de gestion de Riverbed, hébergé chez Amazon.  Ce portail crée un lien logique entre une appliance Steelhead installée sur un site d'entreprise (ou un client Steelhead Mobile sur un ordinateur individuel) et le serveur recherché. Apurva Davé souligne « le déploiement d'une telle solution est rapide et évolutive, si une entreprise à besoin d'une autre instance, elle est opérationnelle en quelques minutes ». En ce qui concerne le prix, Riverbed a adapté sa tarification en fonction de la bande passante, il faut compter 250 dollars pour un lien à 1 Mbits.

Le stockage optimisé


Le second produit répond au nom poétique de Whitewater. Cette solution est utilisée par les fournisseurs sauvegarde et d'archivage en mode cloud. Elle permet la transformation des protocoles (CIFS, NFS, etc...) de stockage entre les datacenter d'entreprise et ceux des prestataires de stockage cloud. Elle réduit le nombre d'octets qu'il faut pour stocker des données dans le cloud et les crypte aussi pour ne pas être lus pendant le transfert ou quand elles sont stockées, souligne Riverbed. Le produit, qui sera vendu comme un logiciel ou un équipement physique, déduplique le trafic et le sécurise en utilisant un chiffrement AES 256. Il stocke les clés de chiffrement et renvoie les données dédupliquées stockées dans sa forme initiale quand elles sont récupérées sur le cloud. Whitewater est compatible avec EMC Atmos, AT & T Synaptic Storage as a Service et Amazon S3. Ce produit qui se déclinera en version small, medium et large est vendu en tranches en fonction du nombre d'octets de données stocké dans le cloud. Le coût pour 1 To de stockage est de 12 000 dollars.

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(12/11/2010 11:45:01)

Les liaisons 100G Ethernet se construisent

La connexion 100G Ethernet entre les routeurs de Juniper Networks s'appuiera sur le réseau fibre déjà en place sur le réseau de Verizon. Le lien utilisera un composant de transport optique de Ciena.

La norme pour le 100G Ethernet, IEEE 802.3ba a été ratifiée au début de cette année. Il marque une vitesse dix fois plus rapide que la norme précédente, 10 Gigabit Ethernet, qui est largement déployée dans les réseaux fédérateurs et commence à être intégrée aux interfaces serveurs. Comme le volume du trafic issu d'applications vidéo et autres augmente rapidement, les opérateurs et les entreprises spécialisées ont souhaité mettre en place un système plus rapide pour les backbones. Verizon Business dispose déjà d'un lien 100 gigabit optique, qui n'utilisait pas Ethernet, sur l'axe Paris-Francfort de la dorsale européenne. Ces deux liens sont conçus pour transporter le trafic combiné de plusieurs clients de Verizon Business, mais comme la capacité de trafic augmente fortement, les fournisseurs de services pourrait offrir un lien dédié 100G Ethernet à de grandes entreprises.

Un déploiement américain aussi


Au même moment, l'organisation Internet2 a annoncé qu'il allait ajouter une dorsale Ethernet 100G à son réseau qui relie les universités et autres établissements de recherche à travers les États-Unis. En renforçant son backbone, Internet2 devrait élargir son réseau avec les écoles, les bibliothèques, les centres de santé publique... Internet2 va commencer le déploiement de 100G Ethernet dans les prochaines semaines et les travaux se termineront en 2013. Comme Verizon, Internet2 utilisera des routeurs Juniper de la série T, mais Internet2 n'a pas encore annoncé le nom du fournisseur de composants optiques.

D'autres grands fabricants de routeur, y compris Brocade Communications et Alcatel-Lucent, ont également annoncé ou commercialisé des interfaces Ethernet 100G. Cisco Systems propose du 100G Ethernet sur son routeur CRS-3, mais n'a pas annoncé de clients qui utilisent son produit. (...)

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