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(03/11/2010 14:39:09)

ZendCon 2010 : Les développeurs PHP critiquent la surmédiatisation du cloud

Les développeurs ont pu entendre Andi Gutmans, CEO de Zend Technologies, exposer les projets de son entreprise en matière de cloud, lesquels impliquent le développement d’une plateforme PHP Zend Cloud. Au cours de sa présentation, celui-ci s’est interrogé pour se demander si le cloud amorçait un vrai changement ou si cette technologie était tout simplement une mode. Les développeurs ont donné par la suite des avis mitigés sur la question. « Je pense que dans les 10 ou 15 ans à venir, nous utiliserons tous le cloud, mais au jour d’aujourd’hui, les vendeurs font le forcing sur ce modèle, » a déclaré Phillip Winn, développeur back-end pour l’éditeur de jeux Tapulous. « Je ne vois pas de valeur dans cette technologie, » a t-il ajouté. « Et même si je n’ai pas d’opinion tranchée sur le sujet, le cloud a peu d’intérêt pour moi, et cela ne m’affecte pas. » Philipp Winn s’est souvenu de l’un de ses anciens employeurs qui pensait que cette solution pouvait servir à réduire les coûts et les effectifs. « Au final, économiquement, il s’est avéré que ce modèle n’avait aucun sens pour son entreprise, » a t-il déclaré.

Pour Chuck Hudson, également présent au ZendCon 2010 et fondateur du cabinet conseil Aduci, le cloud est devenu à la mode et bénéficie d’une promotion hors norme. « Mais il y a sûrement des choses à prendre ici, où l’on trouve des développeurs capables de développer des systèmes rapidement et des entreprises qui souhaitent réduire leurs coûts en infrastructure et en maintenance, et profiter des avantages que peut apporter le cloud, » explique-t-il. Plutôt que de considérer ce modèle comme un destructeur potentiel d'emploi, Chuck Hudson pense que, pour les informaticiens, celui-ci représente une chance d’élargir leurs horizons. « Pour les personnes en place, le Cloud doit être une opportunité d'apprendre une autre technologie et de l'appliquer en s’apparentant plutôt dans ce cas à une mise à jour des outils. » Pour Joseph Munowenyu, programmeur informatique à la Valley City State University (Dakota du Nord), le cloud est « l’espace d’où tout est dirigé. » Quant au cabinet conseil Atos Origin où travaille le développeur Chris Campbell, celui-ci n'utilise pas encore le cloud. « Nous en avons examiné la possibilité. Mais,il nous a semblé que la technologie était mise en avant par un battage médiatique visant à faire adopter le concept, » a t-il déclaré.

Critique, mais pragmatique


Après sa présentation, Andi Gutmans a reconnu que l’on pouvait être « un peu fatigué d'entendre à ce point » parler de cloud computing. « Cependant, les clients n'en sont pas moins intéressés de tirer parti de ses avantages, » a t-il ajouté. Sa plateforme Zend Cloud offrira aussi bien des services cloud portables et natifs, le contrôle des applications, la gestion du cluster, le déploiement d'applications, la gestion de la configuration et l'intégration IDE.

Attenant à la Zend Conference, les participants à la Cloud Computing & Expo Conference semblaient, comme on peut s’y attendre, plus positifs quant aux avantages du cloud. «Nous sommes vraiment intéressés par cette technologie et à l'heure actuelle, je réfléchis à la mise en place d’un projet qui utiliserait les Amazon Web Services. Celui-ci nous premettrait de mener l’ensemble de notre travail de recherche», a déclaré Jim Cannaliato, vice-président de la technologie au SAIC. Un autre participant a témoigné du fait que son entreprise investissait de manière croissante mais mesurée dans le cloud. « Nous sommes partiellement équipés, de sorte que nous ne sommes pas pleinement Cloud, mais c'est la direction que nous avons choisi, » a déclaré Sadri Behbahany, senior director des TI chez Wacom.

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(03/11/2010 14:22:58)

Microsoft investit dans la détection des mouvements en 3D

Dans un communiqué publié sur son site Internet, Canesta, annonce céder ses technologies ainsi que ses brevets à Microsoft. Cette société californienne détenait jusque-là une quarantaine de brevets (et des dizaines d'autres en cours) portant notamment sur la détection des mouvements en 3D pour l'informatique, les périphériques électroniques ou les jeux vidéo.

Certaines technologies développées par Canesta permettent par exemple de contrôler les applications d'un ordinateur par le doigt ou la main, sans avoir à appuyer sur un écran, ou manipuler un clavier ou une souris. Le rachat de cette entreprise pourrait permettre à Microsoft d'étendre à l'informatique son système de détection de mouvements pour les jeux vidéo qu'il s'apprête à lancer cette semaine avec l'accessoire Kinect pour sa console Xbox 360.

« Il n'y a guère de doute que nous verrons dans la prochaine décennie la généralisation des interfaces utilisateurs naturelles (NUI) pour accéder à toutes sortes de terminaux » a déclaré Jim Spare, PDG de Canesta. « Avec la diversité du champ d'application de Microsoft de l'entreprise au grand public, sa présence sur le marché et son intérêt pour les NUI, nous sommes certains que notre technologie sera adoptée à travers de nombreuses applications ».

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(03/11/2010 14:16:24)

SAP veut verser à Oracle 120 M$ pour frais d'avocats

SAP accepte de payer 120 millions de dollars à Oracle pour les honoraires d’avocats passés et à venir que ce dernier a déboursé dans le cadre du procès TomorrowNow qui oppose les deux sociétés. C’est ce que stipulent les termes d’un accord déposé lundi à la cour fédérale de Californie du Nord. La plainte d’Oracle pour vol de propriété intellectuelle remonte à 2007.

Suivant l’accord, l’ancienne filiale de SAP, TomorrowNow, prend acte de la plainte d’Oracle pour violation de la loi fédérale relative à la fraude et aux abus informatiques, pour rupture de contrat, atteinte par négligence, concurrence déloyale, atteinte aux biens, enrichissement sans cause, etc. En retour, Oracle ne cherchera pas à obtenir de dommages et intérêts punitifs de TomorrowNow (société fermée en novembre 2008) ou de SAP. Le jury du procès en cours devait être informé en conséquence de considérer uniquement les dommages prévus dans le cadre du Copyright Act. SAP doit payer les 120 millions à Oracle d’ici le 9 novembre 2010. Les termes de l’accord ne s’appliqueront qu’après son approbation par le tribunal et les deux parties peuvent s’en retirer si les dispositions ne sont pas acceptées.

Oracle a évalué la totalité des dommages qu’il avait subis à près de 2 milliards de dollars, tandis que SAP a longtemps maintenu que ceux-ci ne se chiffraient en réalité qu’à quelques dizaines de millions de dollars. Désormais, l’éditeur allemand est prêt à verser à Oracle bien plus que ses propres estimations de départ, avant même que la question des dommages pour violation de propriété intellectuelle n’ait été tranchée, et cela, malgré l’abandon des dommages et intérêts punitifs.

A l’audience, les avocats présentent leur mode de calcul


Hier, mardi 2 novembre, au second jour du procès, les avocats ont plaidé les causes respectives de leurs clients en expliquant de façon très différente la façon dont les dommages et intérêts devaient être calculés. Pour Geoffrey Howard, qui défend Oracle, SAP devrait payer quel que soit le montant de redevance sur les licences qui aurait pu été négocié par les entreprises pour les logiciels téléchargés illégalement. Rappelons que l’éditeur américain vise les 2 Md$. SAP voulait désespérément rivaliser avec Oracle, a déclaré Geoffrey Howard. « Il aurait pu choisir de livrer une concurrence loyale. Au lieu de cela, il a choisi d’acquérir TomorrowNow ». Or, a poursuivi l’homme de loi, le comité exécutif de SAP savait que la société qu’il rachetait exerçait une concurrence déloyale.

Pour l’avocat de l’éditeur allemand, Bob Mittelstaedt, la façon de calculer d’Oracle est fantaisiste. [[page]]Son client ne doit payer que pour les ventes de logiciels perdues à cause du comportement illégal de sa filiale, ainsi que pour l’argent qu’il a gagné avec les clients qui sont passés des logiciels d’Oracle à ceux de SAP. Dans les deux cas, il s’agit de sommes assez faibles parce que les clients qui se sont tournés alors vers l’éditeur allemand à ce moment l’ont fait en raison du climat d’incertitude qui entourait alors Oracle (en cours de rachat de PeopleSoft et JD Edwards). Selon l’avocat, la société de Larry Ellison profite d’une aubaine. « Elle veut récupérer un pactole hors de proportion avec le mal dont elle a souffert ».

Seuls 86 clients gagnés dont 84 quittaient déjà Oracle


Le plaignant a fait valoir que SAP savait, en rachetant TomorrowNow, qu’il pouvait être attaqué à tout moment par Oracle. Une vidéo a été présentée dans laquelle Henning Kagermann, ancien PDG de SAP, reconnaissait que ce rachat comportait des risques. Un courriel de Shai Agassi, ancien directeur technique du groupe, a également été évoqué dans lequel il était dit que le cours de l’action Oracle chuterait sans doute de 10% lorsque les investisseurs apprendraient que SAP prévoyait d’acquérir TomorrowNow pour récupérer des clients d’Oracle. « Voilà l’impact que SAP attendait de cette acquisition en janvier 2005 », a martelé Geoffrey Howard.

De son côté, Bob Mittelstaedt a rappelé que l’éditeur allemand n’avait guère gagné d’argent avec TomorrowNow. Seuls 86 entreprises sur les 9 900 clients PeopleSoft d’Oracle se sont tournés vers des applications SAP, « parmi lesquels 84 s’apprêtaient de toutes façons à quitter Oracle ».

Les audiences du procès se tiennent de 8h30 à 13h30 (PDT) chaque jour sauf le mercredi. Il est prévu que le dossier soit communiqué au jury pour délibération le 29 novembre. (...)

(03/11/2010 11:11:44)

Information Builders France nomme son DG

Stéphane Jouaux devient directeur général d'Information Builders France. Ce dernier fournit des solutions de Business Intelligence (WebFOCUS) et d'intégration (iWay Software). Il succède à Jean-Pascal Ancelin. Stéphane Jouaux était directeur commercial et services de SAS France, où il est entré en 2005. Auparavant, il avait évolué chez Novell, Datapoint et Recognition. Il est âgé de 49 ans.

Jean-Pascal Ancelin est devenu directeur général de Microstrategy au début de l'été.

(...)

(03/11/2010 11:11:31)

Vallourec privilégie un outil dédié pour la gestion de son parc informatique

Vallourec réalise et vend des tubes industriels. Avec 18 600 collaborateurs, il est présent dans 20 pays et dispose de 8 500 postes de travail répartis dans une quinzaine de pays. Jusqu'à récemment, le groupe ne disposait que d'outils hétérogènes à travers le monde pour recenser son parc informatique, tant sur le plan logiciel que matériel. Il en résultait une vision non satisfaisante de ses actifs et des discussions plus difficiles avec les fournisseurs, notamment les éditeurs de logiciels.

En décembre 2009, le groupe industriel choisit donc de déployer une solution unique de gestion de son parc, en l'occurrence BDNA Discover, au niveau mondial. La société a privilégié un produit dédié au lieu d'un module d'un PGI afin de disposer d'un outil complet et fiable. Un des aspects importants du produit pour justifier son choix a également été la capacité de détection des actifs (pas d'agent à installer sur les postes de travail, catalogue important de produits supportés...) et la richesse des rapports publiés.

Ces rapports sont reconnus par les éditeurs de logiciels comme des preuves de l'état du parc logiciel et cela facilite les discussions commerciales sans la présomption de culpabilité de piratage fréquente chez les éditeurs. Le coût du projet n'a pas été dévoilé, de même que les effets concrets sur les négociations tarifaires avec les fournisseurs.

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(03/11/2010 11:11:59)

Les ventes de smartphones progressent

Selon l'étude GfK Retail and Technology, le marché français du mobile a connu une croissance globale de 10% en juillet-août, et de 7% de janvier à août. Cette progression est surtout liée à l'explosion des smartphones, qui affichent une croissance de 133% en juillet-août, et de 138% depuis le début de l'année.

Sur la période estivale, 27,8% des mobiles vendus en France étaient des smartphones. Ce taux n'était que de 13,1% un an plus tôt. A titre de comparaison, le cabinet ABI research estime les smartphones représentent 19% des ventes mondiales de mobiles. « Les lancements successifs de trois appareils par des acteurs majeurs du secteur ont stimulé le marché », explique GfK dans un communiqué. "Globalement, les gammes des différents fabricants se sont étoffées et les opérateurs ont renforcé leur communication autour de ces produits haut-de-gamme.»

Les subventions accélèrent le mouvement


Un boom qui s'explique également par une chute des prix des modèles proposés. En moyenne, les smartphones vendus sur la période juillet-août 2010 étaient commercialisés à 382 euros (hors packs opérateurs), contre 535 euros un an plus tôt. Avec la subvention d'un opérateur, « les consommateurs ayant acheté un smartphone ont déboursé en moyenne 154 euros (...), soit près de 70 euros de moins qu'en été 2009 », souligne Matthieu Cortesse, directeur de clientèle télécom chez GfK.

L'institut indique par ailleurs que les Français acheteurs de smartphones ont tendance à privilégier les écrans tactiles de grande taille (3,5 pouces ou plus). « Les jeux et les applications sont les stars du marché des contenus mobiles, contrairement aux sonneries et images qui subissent à nouveau cette année un recul de leurs ventes », explique Frédéric Patissier, chef du groupe contenus mobiles chez GfK.

Les smartphones, terminaux multimédias connectés à Internet et équipés d'un écran tactile et/ou d'un clavier physique complet, ont représenté 3,6 millions de ventes en 2009, contre 1,8 million en 2008. En début d'année, GfK tablait dans ses estimations sur 4,6 millions d'unités vendues en France sur l'ensemble de l'année 2010.

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