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(02/11/2010 17:00:03)

Fortinet dément les rumeurs de rachat par IBM

Lundi après-midi, les actions du spécialiste de la sécurité Fortinet ont fait une envolée suite aux rumeurs du rachat potentiel de la société par IBM. Cette information a aussitôt été démentie par l'éditeur de solutions de sécurité pour les réseaux. Dans un communiqué, la société a précisé qu'elle entendait se concentrer sur le développement d'une entreprise indépendante et forte et qu'il n'était nullement question d'un rapprochement avec IBM. De son côté, un porte parole de Big Blue n'a pas souhaiter commenter ces informations.

Des solutions appelées à progresser fortement

La valeur du cours de l'action Fortinet a récemment augmenté de 6,2% a 31,85 dollars, pour atteindre son plus au niveau, à 36,27 dollars. Depuis cette année, le cours de l'action s'est apprécié de  quelque 81%. Pour la société d'investissement William Blair & Co,  Fortinet pourrait être une cible  de choix en raison d'une vaste palette d'outils de sécurité, des solutions appelées à progresser fortement et rapidement. Il y a eu une multitude de rachats dans le secteur de la sécurité, avec dernièrement l'annonce de l'acquisition d'ArcSight par HP, et le rachat, en août dernier, de Mc Afee par Intel. Ces transactions interviennent au moment où les entreprises IT cherchent à adresser un nombre croissant de menaces émergentes et que les habitudes des utilisateurs de PC ont été amenées à changer. En outre, le développement du cloud computing et la prolifération des terminaux d'accès (tablettes, mobiles, netbooks) nécessitent des besoins supplémentaires en matière de sécurité.
Lors de la publication de ses résultats du troisième trimestre 2010, Fortinet avait engrangé 85 M$ de  chiffre d'affaires, en hausse de 29% par rapport à la même période l'année passée.

(...)

(02/11/2010 16:43:44)

Des défections supplémentaires pour le projet OpenOffice.org

Le délitement continue pour le projet de suite bureautique OpenOffice.org. Après la création de la Document Foundation et la mise en place d'un nouveau projet, baptisé LibreOffice, on apprend que 33 des contributeurs d'OpenOffice.org viennent de décider de rejoindre les rangs de cette fondation. Ces derniers, qui sont pour la plupart de la communauté de langue allemande OpenOffice.org, comprennent  des traducteurs, des spécialistes du marketing et de l'assurance qualité et au moins un développeur. Pour Charles Schulz, porte-parole de la Document Foundation  «le projet allemand sur OpenOffice.org est presque orphelin ».

La suite open-source de productivité bureautique est passée sous le contrôle d'Oracle lors de l'acquisition de Sun Microsystems plus tôt cette année. Le spécialiste de la base de données a dit qu'il envisageait de poursuivre le projet, mais la transition a été marquée par des tensions. Citant des «malentendus inutiles » avec Oracle et un prétendu manque de stratégie, les contributeurs ont déclaré que le changement était nécessaire pour permettre au projet d'évoluer. « Bien qu'à plusieurs reprises, une collaboration sur le plan technique ait été soulignée, ainsi que de possibles changements - il n'y a eu aucune volonté de la part d'Oracle de modifier son comportement sur la question de l'organisation du projet et sa gestion» explique les contributeurs.

Cette défection n'est pas une surprise. Depuis l'acquisition de Sun et du projet de base de données MySQL, la firme de Redwood a certaines difficultés à gérer ces différents projets Open Source  qui sont en concurrence à un certain niveau, avec ses propres produits.

Oracle n'a pas fait de commentaires sur cette annonce.

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(02/11/2010 16:49:58)

Avec ATG, Oracle se paie un des pionniers du e-commerce

Oracle va débourser 1 milliard de dollars pour s'offrir Art Technology Group, que l'on connait plus couramment sous le nom d'ATG. Ce pionnier des applications de commerce électronique, installé à Cambridge (Massachussetts) a généré un chiffre d'affaires de 50,3 millions de dollars (M$) au troisième trimestre 2010, en progression de 16% par rapport à l'an dernier. Il affiche un bénéfice net de 4,2 M$ (+5%). Sur neuf mois, son chiffre d'affaires progresse de 11% à 129,7 M$.

Le groupe de Larry Ellison lui propose 6 dollars par action, soit un bonus de 46% par rapport à la valeur du titre ATG à la fermeture de la Bourse lundi soir. Cette valorisation n'avait pas été atteinte par la société depuis 2001 alors que se dégonflait la bulle Internet. ATG a survécu à l'éclatement. L'éditeur a continué à développer ses solutions axées sur les moyens de convertir en clients les visiteurs des sites web, de les fidéliser et d'augmenter la valeur de leurs transactions.

Personnalisation des interactions avec le client


Outre sa plateforme de commerce électronique (catalogue, panier d'achat, moteur de personnalisation, gestion de contenus...) permettant de gérer plusieurs sites de façon centralisée, ATG dispose d'une offre OnDemand, de solutions de merchandising et de gestion des campagnes marketing et de solutions analytiques. Il propose aussi une large palette d'outils pour optimiser les interactions avec les clients sur les différents canaux de vente, médias sociaux inclus (suivi des contacts, gestion des réponses électroniques, appels sur un clic depuis un site web ou une vidéo...). L'éditeur a par ailleurs développé le programme Catalyst qui favorise, entre ses clients et partenaires, l'échange de code et de modules d'extension à sa suite d'e-commerce. Parmi ses clients figurent notamment Best Buy, l'une des grandes chaînes de magasins spécialisés aux Etats-Unis, mais aussi Tommy Hilfiger, Louis Vuitton, Vodafone, Expedia.com, T-Mobile, Continental Airlines et AT&T.

A noter que la suite e-commerce d'ATG se complète aussi d'un module B-to-B (Business-to-Business) pour les fournisseurs qui vendent aux entreprises ou en mode indirect aux consommateurs. En mai dernier, IBM avait de son côté racheté Sterling Commerce, spécialiste des solutions d'échanges interentreprises qui possède également des solutions de gestion des ventes et de la logistique.

Des solutions complémentaires au CRM


Oracle considère que l'offre d'ATG est très complémentaire de ses logiciels de gestion de la relation client (CRM), mais aussi de ses progiciels intégrés (ERP), de ses solutions spécialisées sur le secteur de la distribution, en particulier celle de Retek, et ses logiciels de gestion de la chaîne logistique (SCM). Les produits collent aussi avec ses technologies middleware et décisionnelles. Pour Thomas Kurian, vice-président exécutif d'Oracle pour le développement, le rapprochement de ces technologies complémentaires débouchera sur la prochaine génération de solutions unifiées de commerce cross-canal et de CRM.

(...)

(02/11/2010 14:39:01)

Apple met le multi-touch au coeur d'un procès contre Motorola

Au total, dans les deux procès intentés contre Motorola, Apple revendique pas moins de six brevets (on peut en lire le détail dans le document Patently Apple). La procédure fait aussi office de contre-attaque contre Motorola, qui avait affirmé au mois d'octobre qu'Apple violait 20 de ses brevets.

Deux brevets attirent l'attention du non spécialiste : le United States Patent 7812828, intitulé Ellipse Fitting for Multi-Touch Surfaces ou Structure en Ellipse pour surfaces multitouch. Celui-ci concerne «  les fonctions se rapportant au suivi simultané par plusieurs doigts ou résultant des contacts avec la paume de la main au moment où celle-ci se rapproche de l'appareil, le toucher et le glissement induit par le système de détection de mouvement de proximité, le multipoint de surface. L'identification des configurations et la caractérisation des déplacements manuels intuitifs permettant une intégration sans équivalent de la frappe, de la pause, du pointage, du défilement, de la manipulation d'images 3D, et de l'écriture sur un appareil informatique ergonomique et polyvalent. » L'autre brevet concerne le Multipoint Touchscreen, c'est à dire l'écran multipoint. Celui-ci est décrit comme « un écran tactile ayant une interface transparente capable de détecter les frappes multiples ou les quasi frappes pouvant se produire simultanément et à des endroits distincts sur le plan de l'écran tactile et capable de produire des signaux distincts en fonction de la localisation de la frappe sur la surface de l'écran tactile, chacun étant associé à une frappe. »

Utiliser Motorola pour intimider Google ?


Autrement résumée, cette description pour juriste concerne dans les deux cas le toucher sur un écran avec plusieurs doigts en même temps. Jusque là, la firme de Cupertino n'avait jamais impliqué ses brevets dans des procédures engagées contre des fabricants de smartphone. Par exemples, les actions judiciaires menées contre HTC et Nokia ne ciblaient pas spécifiquement le multi-touch. Dans le passé, ce qu'Apple a, au plus, revendiqué, à la fois contre les deux constructeurs, concernait « un appareil à écran tactile, la méthode, et l'interface utilisateur graphique pour la détermination des commandes résultant de l'application de calculs heuristiques». Cette définition avait été alors reconnue comme le brevet clef d'Apple en matière de multi-touch. Mais comme l'a souligné Nilay Patel du site Engadget, elle ne décrit en rien ce qui ressemble vraiment au multipoint. Le brevet couvre simplement la manière dont un iPhone réagit quand on lui demande de faire défiler une fenêtre de haut en bas, ou d'un côté à l'autre de l'écran, selon l'angle de frappe du doigt sur l'écran.

Cela semble assez irréel aujourd'hui, mais il y a bien eu un temps où les smartphones, hormis l'iPhone, ne disposaient pas du multi-touch. Palm avait ouvert la voie avec son Pre, sans être poursuivi. Android avait suivi. Maintenant ce procédé fait partie des caractéristiques communes à tout smartphone. Selon la rumeur, Google aurait conclu un gentleman's agreement avec Apple, par lequel elle s'engageait à ne pas utiliser ce système sur Android. Mais depuis Apple et Google sont devenus d'âpres rivaux sur le marché du smartphone, si bien que l'accord, passé dans le cadre d'un partenariat fragile, a sans doute échoué. Apple n'attaquera probablement pas directement Google en justice. Si bien que pour l'instant seul Motorola se retrouve au banc des accusés pour d'avoir utilisé l'une des fonctionnalités les plus importantes de l'iPhone et les conséquences pourraient s'avérer importantes. Mais comme dans tous les procès actuellement en cours où la propriété de brevets est en jeu, celui-ci ne devrait pas être résolu de sitôt.

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(02/11/2010 13:13:22)

Google lance une console pour gérer ses API

La console API que vient de lancer par Google a vocation à aider les développeurs qui recourent à ses interfaces de programmation (API). Voilà un an que le groupe américain travaille activement à la réorganisation de ses API, explique-t-il sur son blog officiel. La console va faciliter leur utilisation à travers les différentes applications et sites web où elles sont exploitées. Google en a amélioré certaines, Custom Search (qui propose de nouveaux formats de sortie) et Translate (qui remplace la précédente du même nom). Il en a supprimé d'autres, comme Local Search et l'ancienne Web Search API. Il a aussi récrit la documentation de certaines afin qu'il soit plus aisé de s'y retrouver suivant ce que l'on recherche. Jusqu'à présent, Google regroupait ses API par technologies. Il y avait par exemple les API Google Data et les API Ajax. Maintenant, chaque API dispose de sa propre documentation fournissant davantage d'informations pour ceux qui vont coder autour.

Les développeurs vont pouvoir se connecter à la console via leur compte Google pour voir les projets sur lesquels ils travaillent, créer et gérer des équipes autour des projets partagés avec des collègues ou des amis. Ils pourront obtenir les certificats d'identité qui leur serviront à suivre comment les API sont utilisées au sein d'une application ou sur un site. Ils sauront par exemple quelles sont les pages qui effectuent le plus de requêtes.

Poursuite de la chasse aux bugs

A noter par ailleurs qu'après la chasse aux bugs lancée autour du navigateur Chrome, en janvier dernier, Google renouvelle l'attribution de récompenses. Dans le cadre d'un programme présenté comme expérimental, il offre aux chasseurs de bugs entre 500 et 3 100 dollars pour signaler des failles de sécurité découverts sur ses sites web. Un billet de blog détaille les applications ciblées. (...)

(02/11/2010 13:15:59)

Viveo France - Temenos : Le CE assigne de nouveau la direction en référé

Le litige qui oppose les représentants des salariés de l'éditeur de logiciel Viveo France à la direction, suite au rachat de ce dernier par le groupe suisse Temenos, connaît un rebondissement. Le jeudi 28 octobre, le Comité d'entreprise a assigné pour la seconde fois la direction devant le Tribunal de Grande Instance de Paris dans le cadre d'un recours en référé. Cette procédure intervient quelques mois après l'annonce d'un plan de restructuration visant à supprimer plus d'un tiers des effectifs de Viveo France (soit 64 postes sur un total de 180 salariés). «Ce qui distingue ce recours par rapport au précédent qui avait été engagé début juillet, c'est qu'au cours de l'audience du 16 septembre, la demande avait été focalisée sur l'amélioration des conditions d'accompagnement des salariés licenciés, alors que celui-ci est centré sur les irrégularités de procédure », explique la CGT dans un communiqué.

La première demande de suspension avait été rejetée

Dans son ordonnance du 30 septembre dernier, le juge avait rejeté la demande de suspension de la procédure, formulée par le comité d'entreprise, en raison du nombre de candidats au départ volontaire qui était largement supérieur au nombre de postes à supprimer prévus dans le cadre du plan social. Le juge avait alors considéré que, dans ce contexte, la suspension de la procédure paraissait préjudiciable aux candidats volontaires.

Constatant de nombreuses irrégularités dans la conduite du PSE qui dure depuis plus de neuf mois, le comité d'entreprise a demandé au tribunal de juger illicite la procédure de licenciement économique collectif en cause et d'ordonner en conséquence sa suspension  jusqu'à sa parfaite régularisation.

L'audience a été fixée par le tribunal pour le jeudi 4 novembre au Palais de justice de Paris.

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(02/11/2010 12:12:44)

OS mobile : Symbian plastronne, Android cartonne, Apple ambitionne

Au troisième trimestre 2010, les ventes mondiales de smartphones ont pratiquement doublé par rapport à la même période en 2009. Au total, 80,9 millions de mobiles "intelligents" ont été écoulés de juillet à septembre (+95%).

Dans le classement par systèmes d'exploitation, le logiciel Symbian, utilisé en majorité par Nokia, est l'OS mobile le plus vendu sur le marché des smartphones. Un smartphone sur trois vendu dans le monde (33%) fonctionne sous Symbian. Numéro deux du marché, le système Android proposé gratuitement par Google à ses partenaires (Samsung, Motorola, HTC, LG, Sony Ericsson, Acer, etc.). Au troisième trimestre, cette plateforme a équipé un quart des smartphones vendus dans le monde (25%). 20 millions de « Google Phone » ont été acheté de juillet à septembre, contre 1,4 million il y a un an, soit un bond de 1 309%. L'iOS d'Apple, qui anime le célèbre iPhone, s'adjuge 17% de parts de marché, et se positionne devant les BlackBerry du fabricant canadien Research In Motion (15%).

Aux Etats-Unis, premier marché des smartphones au monde avec 20,9 millions d'unités au 3ème trimestre, c'est Android qui domine le secteur avec pas moins de 9,1 millions de terminaux vendus (43,6% de parts de marché). Apple arrive en seconde position avec 5,5 millions, ce qui fait de l'iPhone le modèle de smartphone le plus vendu aux Etats-Unis. RIM est troisième avec 5,1 millions de BlackBerry écoulés sur la période. Microsoft est quatrième (0,6 million).

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