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(26/10/2010 11:17:13)
Solutions de stockage : Compubase livre son étude 2010
Premier constat, le nombre de revendeurs de produits de stockage avoisine les 7000, soit près 50% de l'ensemble des sociétés impliquées dans la fourniture de matériel et de services IT en France. Une très grande partie d'entre eux est impliqué dans la commercialisation de périphériques de sauvegarde ou de disques durs. Les revendeurs de solutions de stockage pour serveur sont moins nombreux mais représentent tout de même un part importante des professionnels présents sur le marché du stockage. En revanche, les revendeurs de solutions d'hébergement fournies par des tiers constituent encore une niche.
Des partenaires plutôt locaux ou régionaux
Dans le rangs des 7000 partenaires comptabilisés par Compubase, ceux dotées d'un effectif compris entre 2 et 9 personnes sont de loin les plus représentés. La proportion de ceux qui comptent de 50 à 249 salariés est inférieure à 10%. En terme de positionnement géographique, les partenaires IT présents sur le marché du stockage rayonnent la plupart du temps au niveau local ou régional.
D'un point de vue financier, les ventes de produits et de solutions de stockage réalisées par les partenaires représentent en moyenne 10% de leur chiffre d'affaires global. Résultat, les deux tiers des sociétés interrogées par Compubase réalisent 10 K€ de revenus par an en revente de produit et de solutions de stockage. Les partenaires qui réalisent plus de 100 K€ de chiffre d'affaires annuel sur ce périmètre sont une minorité. Une analyse plus fine par type d'acteurs distribuant des produits de stockage montre que (hormis les grossistes et la revente aux particulier), ce sont les revendeurs et les intégrateurs d'infrastructures qui captent la plus grande partie des revenus du marché. Chose étonnante, bien qu'elles constituent en taille le deuxième vivier de sociétés présentes sur le marché du stockage, les SSII et les sociétés de services ne génèrent qu'une faible part de ses revenus.
Selon IDC, Les ventes de PC marquent le pas en EMEA
La croissance du marché des PC en EMEA continue sa progression à deux chiffres au troisième trimestre 2010, un trimestre marqué par la rentrée scolaire (le « back to school »). Ce marché atteint 27,8 millions de PC vendus sur la région et sur ce trimestre. Une croissance de 10,5% par rapport au même « quarter » de 2009. Toutefois, cette croissance était beaucoup plus forte sur les deux trimestres précédents de 2010, elle atteignait par exemple 21% au deuxième trimestre.
Principale cause de baisse (par rapport au 2ème trimestre 2010) : le marché des notebooks qui chute de 25% au Q3. Il subit l'effet de l'arrivée des tablettes PC, déjà observée sur les mois précédents. « Le bruit fait autour de ces nouveaux terminaux et les annonces commerciales ont contribué à accélérer la tendance, souligne Eszter Morvay, directeur de recherche chez IDC EMEA PC Tracker, ce qui a touché les intentions de renouvellement de PC portables. Certains utilisateurs ont acheté un iPad, beaucoup attendent Noël pour se décider ».
Les portables progressent toujours
Le marché grand public a quand même continué à progresser, les PC portables ont par exemple grimpé de 10,1%. Mais, si de nombreuses promotions ont stimulé les ventes au cours des deux premiers trimestres, leur effacement et des prix plus élevés ont changé la donne au 3ème trimestre. Du côté des entreprises, remarque IDC, la rénovation des parcs à contribué à soutenir une demande positive. Toutefois, l'essentiel de l'effort de renouvellement est attendu pour 2011. Beaucoup de PME restant prudentes.
Par sous-régions l'étude est également très significative. L'Europe centrale et orientale progresse de 43%, le Moyen-Orient de 12,4%. Ces deux sous-régions et l'Afrique progressent de 29,4%. La Turquie, les Emirats et l'Afrique du sud se distinguent particulièrement avec des croissances à deux chiffres.
Acer redevient n°1
Par constructeur, l'étude trimestrielle recèle plusieurs surprises. Acer redevient n°1 mais affiche la plus faible progression, à +3,4%, il détient désormais 23,1% de parts de marché. Acer a progressé de 60% en Europe centrale et orientale mais baisse en Europe occidentale, où il compte des stocks dans le channel. Son suivant direct, HP est à 20,1%, mais 5,6% de progression (avec une « approche efficace et ciblée » commente IDC). Acer avait perdu son leadership il y a un an au même trimestre.
Loin derrière, on trouve Dell avec 9% des parts, mais 12,2% de progression, puis Asus 7,4% du marché et 26,8% de hausse. Lénovo affiche la plus forte progression, à +61,1%, mais 4,1% de parts de marché.
Illustration : Acer TravelMate Timeline 8571
La Cnav choisit une démarche projet basée sur la virtualisation d'applications
Pour centraliser son informatique et mutualiser l'ensemble des fonctions pour la totalité de ses postes de travail (sièges régionaux, agences locales points d'accueil) la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (Cnav) a mis en place la solution de virtualisation d'applications Citrix XenApp. « L'environnement technique de la Cnav fonctionnait auparavant d'une manière extrêmement décentralisée, à travers 20 centres de productions régionaux », expose Serge Lamproux, architecte national de la Cnav et responsable du département informatique Carsat (Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail)
des pays de la Loire. Le système d'information reposait, à la fin des années 1990, sur une architecture client serveur (sous Powerbuilder avec des bases de données Oracle). Des serveurs, des applications et des données embarquées étaient alors déployés dans toutes les régions Au final, l'architecture et le déploiement étaient devenus complexes et les temps de réponse, très élevés. Il s'agissait donc, pour la DSI de répondre à plusieurs problématiques : « Nous souhaitions être équipés de versions de produits pouvant être déployées plus rapidement et ayant des performances acceptables sans contraintes fortes au niveau du poste de travail », souligne Serge Lamproux et d'ajouter : « il s'agissait également de réduire les coûts d'administration, de faire en sorte que les différentes technologies cohabitent, tout en améliorant la qualité des services.»
Des temps de réponse diminués
Plusieurs solutions technologiques ont été étudiées, notamment l'ajout dans toutes les agences locales de serveurs AIX et de bases de données Oracle. Mais cette alternative fut abandonnée en raison de son coût, et trop consommatrice en ressources informatiques, sans amélioration significative des performances. Le passage à la solution XenApp de Citrix a permis d'établir un système d'accès au SI pour tous, avec toutes les applications de la branche retraite fonctionnant sur une même plate-forme. Les temps de réponse ont globalement été divisés par deux ou trois, sans accroître les débits du réseau.
7 M€ d'investissements sur trois ans
La suppression des serveurs locaux a représenté une économie importante. Parallèlement, le cycle de vie des postes de travail s'est allongé de 66%. Ils sont aujourd'hui remplacés en moyenne tous les cinq ans alors qu'ils étaient considérés comme obsolètes tous les trois ans sous l'ancienne architecture. L'investissement global autour de Citrix s'est porté à 7 millions d'euros sur trois ans, contre 8,7 millions pour une architecture classique. Du côté des gains, la non migration massive de l'OS des postes de travail et des mises à niveau associées a permis à l'organisme d'économiser 2,5 millions d'euros. Le fait de ne pas avoir à doubler les liaisons réseau entre le siège de la caisse et les agences a également contribuer à économiser un million d'euros. L'informatique régionale a été conservée dans les 20 sites de la Cnav, passant d'un schéma de 8 centres de production, à un total de deux centres au final.
Illustration : Serge Lamproux, architecte national de la Cnav a piloté le projet de serveurs d'applications reposant sur la plate-forme XenApp. Crédit photo : D.R
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Comment sécuriser un iPad pour une utilisation en entreprise ?
Parmi ces ajouts, on peut citer le chiffrement des e-mails et des pièces jointes stockés sur les appareils, déclare Andrew Jaquith, analyste chez Forrester Research. « Nous nous attendons à ce qu'Apple accélère matériellement le système de chiffrement pour que les données restent sécurisées, même si le terminal lui-même a été jailbreaké ou compromis par une attaque », explique l'analyste Jaquith dans son rapport « l'iPhone et iPad d'Apple suffisamment sécurisés pour les entreprises? » Le système d'exploitation mis à jour devrait également supporter les VPN SSL, qui autoriseront des sessions d'accès à distance sur iPad.
De plus, les outils de gestion des périphériques mobiles ajouteront des API issues d'applications tierces qui peuvent verrouiller ou effacer des iPad, dit-il. Ces API permettront le contrôle à distance de l'inventaire des terminaux en circulation et la gestion des mots de passe par des applications tierces. La mise en place de politique de sécurité au sein de l'entreprise peut également être prise en charge par ces API, mais il n'y a pas de plate-forme de gestion Apple adaptée pour une utilisation d'entreprise, souligne l'analyste. Toutefois, des fournisseurs tels que Mobile Iron, Odyssey et Tangoe tous ont un accès privilégié aux API pour développer de tels outils.
Une méthode didactique pour renforcer la sécurité
En dehors de ces différents éléments prévus dans l'iOS 4.2, Andrew Jacquith affirme que toute la planification des activités d'iPad devrait tenir compte de sept étapes:
1-Chiffrer les sessions e-mail, qui peut être fait via ActiveSync de Microsoft.
2-Les effacer s'ils sont perdus ou volés à l'aide d'outil de
3-Les verrouiller avec un code d'authentification forte.
4-Les bloquer automatiquement quand ils ont été inactifs pendant une période donnée.
5-Les effacer après un certain nombre d'échecs de connexion.
6-Signer la configuration de votre profil et la protéger par mot de passe pour éviter la falsification.
7-Actualisation automatique des politiques de sécurité à l'aide d'ActiveSync en combinaison avec Microsoft Exchange 2007.
Pour les entreprises avec des exigences plus strictes, Jaquith recommande:
* L'utilisation d'un chiffrement matériel à venir avec iOS 4.2.
* Le renforcement du niveau des codes.
* L'utilisation de l'authentification par certificat.
Même avec toutes ces mesures en place, l'iPad ne sera pas en mesure de répondre à certaines exigences de sécurité, prévoit l'analyste. Par exemple, certaines entreprises sont tenues d'archiver les messages comme les SMS, ce qui ne peut pas se faire sur la tablette d'Apple. Cette dernière ne prend pas non plus en charge les lecteurs de cartes à puces, qui pourraient lier le possesseur de la carte à son terminal.
BT dévoile son offre cloud Virtual DataCenter
Les annonces des opérateurs télécoms se suivent, mais ne se ressemblent pas toutes. BT vient en effet d'annoncer son offre de cloud computing, nommée Virtual DataCenter (VDC). Bruno Fleisch, responsable du pôle IT et Services de BT France revient sur l'historique de ce produit « VDC est une offre globale qui existe depuis des années pour une utilisation interne à BT. Le 1er avril 2010, BT a décidé de commercialiser ce service, puis le 1er juillet dernier, il a été lancé en France, mais reposait sur une datacenter en Angleterre ». La nouveauté de la récente annonce est que VDC est maintenant disponible sur une plate-forme en France. BT dispose de 4 datacenters dont 2 en propre et 2 en location chez Interxion, VDC repose sur une de ces derniers. Ce choix d'un emplacement local répond à deux problématiques souligne Bruno Fleisch « des questions techniques, car la proximité apporte des améliorations en termes de bande passante et des impératifs législatifs pour la localisation des données ».
Une puissance de calcul dédiée
La plate-forme VDC repose techniquement sur les solutions VMware, Cisco et NetApp pour la partie stockage. Elle est complétée par HP pour la partie calcul. Bruno Fleisch a souhaité que l'offre soit lisible et s'établisse en fonction de la demande. Les prix débutent à partir de 180 euros par mois et par machine virtuelle, sur des contrats de 3 mois, 1 an ou 3 ans. Pour se différencier des autres opérateurs qui se lancent dans l'aventure cloud, le responsable précise que « BT propose de la puissance CPU dédiée pour chaque client et non du calcul mutualisé, afin de se prémunir contre certaines perturbations et de paramétrer le niveau de contention ». Le modèle de distribution de l'offre VDC qui sera disponible à la fin du mois de novembre se fera via un portail web, mais également dans un package comprenant un service d'infogérance. Traditionnellement orienté vers les sociétés du CAC40, BT entend bien également toucher le mid market et va travailler avec des éditeurs de logiciels pour proposer sa solution en mode SaaS. Bruno Fleisch ne rend pas public les objectifs souhaités sur VDC, mais pense moins gagner des clients qu'accompagner ses clients existants vers la transformation de leurs usages informatiques.
Interview : Jean-Noël de Galzain, DG de Wallix
LMI : Pourquoi partir à la conquête du marché nord américain ?
Jean-Noël de Galzain : Nous avons considéré la taille du marché, la concurrence et la maturité du marché de la compliancy pour lancer nos solutions.
Quel est le coût de l'opération (votre engagement financier) ?
Nous avons prévu d'investir 1 million d'euros sur 18 mois.
Combien de personnes seront basées à New York ?
Deux pour le moment, plus un secrétariat, le reste est externalisé.
Quels produits de votre gamme allez-vous promouvoir ?
Les produits de traçabilité Wallix AdminBastion et la nouvelle Wallix LogBox.
Où allez-vous assurer le support, aux USA ou à partir de la France ?
Le support de premier niveau est effectué par Prevalent Networks, notre premier partenaire certifié. L'une de nos ressources sur place fera également du support de niveau 2 et de l'avant-vente. Dès le début 2011, nous étofferons cette équipe pour accompagner la croissance de nos ventes.
À partir de NY, attaquez-vous tout le marché ou la côte Est pour commencer ?
Nous attaquons la côte Est en priorité et nous ne donnons aucune limite. C'est le retour des clients et des partenaires qui influera sur notre expansion géographique.
Pour consulter la suite de cette interview, cliquer sur le lien vers la rubrique Entretiens.
MAX 2010 : Project Rome, le logiciel de création à tout faire d'Adobe
Le projet Rome d'Adobe permet de réaliser aussi bien des documents destinés à être imprimés, comme des flyers, ou des cartes de visite, que des fichiers électroniques ou des pages à publier sur Internet. Tous peuvent contenir des éléments graphiques, des photos, du texte, de la vidéo, de l'audio, des animations, et des liens interactifs. L'outil permet aussi de créer des sites web simples, et des animations. En environnement professionnel, Rome peut servir à créer des présentations, des documents marketing, de la publicité en ligne et des sites Internet. Quant aux particuliers, ils peuvent utiliser Rome pour réaliser des carnets de vacances illustrés, des sites web familiaux, des invitations, des albums numériques, des CD et des DVD de présentation, ou tout autre projet multimédia personnel. Les enseignants se voient gratifiés d'une version spéciale éducation appelée Project Rome for Education qui leur permet de réaliser des supports de cours visuels pour exposer leurs sujets. Dans tous les cas, le logiciel permet d'enregistrer les documents aux formats PDF, SWF, JPG, PNG, SVG, ou FXG ou comme fichiers web compatibles avec tout site hébergé.
Les versions grand public - Home & Business - et la version Education de Rome permettent toutes deux de travailler avec la gamme complète de médias et supportent l'ensemble des formats et des projets disponibles. La version grand public permet de se connecter à Adobe.com avec son identifiant, l'hébergement Web et les échanges communautaires. En ce qui concerne la version destinée à l'enseignement, l'institution qui utilisera le logiciel devra disposer de Google Apps for Education et/ou du module de gestion de l'apprentissage Moodle. Rome for Education prend également en charge la protection de contenu publié sur Internet et sait gérer les contraintes liées aux modes de fonctionnement des infrastructures informatiques.
En local ou sur le cloud d'Adobe
L'application multiplateforme existe soit sous forme de programme Adobe AIR à utiliser sur le bureau soit comme service basé sur un navigateur web. Celle-ci peut en effet fonctionner en mode cloud et permet alors de partager des fichiers via Acrobat.com, Google Apps, ou via la bourse d'échange Project Rome Template Exchange. Les utilisateurs peuvent également créer des liens sur Facebook, Twitter et Google buzz pour renvoyer directement leurs visiteurs vers les créations réalisées avec Rome. Enfin, pour l'instant, le logiciel ne fonctionne pas sur les téléphones et autres appareils mobiles. Le logiciel est disponible dès maintenant en préversion gratuite, téléchargeable sur http://rome.adobe.com/ en version anglaise uniquement. Cette version peut être installée sur un PC ou un Mac doté de 2 Go de RAM, au minimum. Les utilisateurs ont également besoin de Flash Player 10.1.x et d' AIR 2.0.3 ou plus pour faire tourner l'application sur le bureau.
Adobe attend les retours des utilisateurs avant de lancer l'application dans le commerce. Le prix de la version commerciale n'a pas encore été fixé. On sait cependant que Rome sera offert comme un service sous forme d'abonnement payant.
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