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(29/01/2010 18:11:59)

Nicolas Sekkaki prendra bientôt la direction de SAP France

Actuellement directeur général d'IBM France en charge de l'activité services, Nicolas Sekkaki arrivera bientôt à la tête de SAP France, en remplacement de Pascal Rialland. Après plusieurs scénarios, c'est donc un pur produit IBM qui va assurer la direction de la filiale française de l'éditeur allemand. Diplômé de l'Ecole nationale supérieure de l'Aéronautique, Nicolas Sekkaki a entamé sa carrière chez Big Blue en 1990. Après divers postes en France et au siège du groupe, il assure en 2000 la direction de la division serveurs et stockage avant de passer en 2006 aux services. Contacté par la rédaction, le service de presse d'IBM France a refusé de confirmer le départ prochain de Nicolas Sekkaki qui serait attendu mi-février chez SAP selon nos informations. (...)

(29/01/2010 17:03:27)

L'Apec ouvre une passerelle vers Viadeo

L'Apec vient d'ouvrir sur son site Web un espace qui établit une passerelle vers les fonctions du réseau social professionnel Viadeo. Les cadres utilisant leur compte Apec pour gérer leur recherche d'emploi vont, depuis cette interface, accéder à l'actualité de leur compte Viadeo et retrouver leurs contacts, directs et potentiels. S'ils souhaitent se renseigner sur une entreprise qui recrute, ils pourront, par exemple, vérifier si l'un de ces contacts y travaille, donne en exemple l'Association pour l'emploi des cadres. Au sein du même espace, le cadre accède aussi à des conseils pour mieux utiliser les réseaux professionnels dans sa recherche. Il y a deux ans, un partenariat similaire avait déjà été signé par l'association avec LinkedIn. L'an dernier, c'est Cadremploi et Keljob qui s'installaient dans Facebook. On imagine bien tout l'intérêt que cette combinaison de fonctions présente pour un demandeur d'emploi. En revanche, l'utilisation parfois abusive, par les recruteurs, des informations personnelles publiées sur les réseaux sociaux, ont conduit les professionnels du secteur à vouloir mettre en place certaines règles du jeu. En France, la « Charte Réseaux sociaux, Internet, Vie Privée et Recrutement » a ainsi été établie, à l'initiative de l'association 'A Compétences Egales', qui regroupe 40 cabinets de recrutement autour de la lutte contre la discrimination à l'embauche. Cette charte a notamment été signée par l'Apec et Viadeo, ainsi que par le Medef et Syntec Informatique et plusieurs autres organisations professionnelles importantes. Elle préconise en particulier de « limiter le recours aux réseaux personnels, du type Facebook ou Copains d'avant [...] à la seule diffusion d'informations, plus particulièrement d'offres d'emplois à des utilisateurs ayant manifesté leur intérêt pour de telles informations ». Elle recommande ensuite de « privilégier l'utilisation des réseaux professionnels, du type Viadeo ou LinkedIn » et, surtout, « de ne pas utiliser les moteurs de recherche ni les réseaux sociaux comme outils d'enquête pour collecter des informations d'ordre personnel [...] ». Les cadres ayant ouvert un compte sur le site de l'Apec peuvent maintenant, depuis cet espace, accéder à leurs contacts sur Viadeo. (...)

(29/01/2010 16:57:04)

Trimestriels Microsoft : résultats en hausse grâce à Windows 7

Le géant de Redmond affiche de bons résultats pour le deuxième trimestre de son année fiscale 2010. Une hausse largement portée par les ventes de son système d'exploitation Windows 7. Avec 6,7 milliards de dollars de bénéfice net soit 60 % plus qu'en 2008 à la même période, Microsoft peut se féliciter du bon accueil de son système d'exploitation Windows 7 sur le marché depuis octobre dernier. L'éditeur annonce que 60 millions de Seven ont déjà été vendus (OEM et retail). « Le meilleur score de vente jamais atteint en un trimestre ! » ajoute Bill Koefoed, Directeur général des relations ente investisseurs pour Microsoft. Microsot peut dire merci aux pré-ventes de Seven Pourtant, si le chiffre d'affaires (arrêté au 31 décembre 2009) a atteint 19,02 milliards de dollars (+14% par rapport à 2008), il est en réalité enjolivé par le milliard sept générés par les pré-ventes du système d'exploitation de Microsoft. Sans ce revenu différé, le bilan de Redmond atteint 17,31 Md$ et offre un bénéfice par action de 60 cents. Cela correspond aux prévisions des analystes financiers qui prévoyaient un chiffre d'affaires de 17,9 Md$ et un bénéfice par action de 59 cents selon Thomson Reuters. L'action Microsoft a gagné 62 % au cours des 12 derniers mois, à comparer à un gain de 40% pour le Nasdaq. Enfin, malgré la hausse générale, toutes les branches de Microsoft ne se portent pas aussi bien: la division entreprise et le secteur consoles (jeux et périphériques) enregistrent une baisse de leurs chiffres d'affaires respectifs : 4,7 Md$ (-2,8%) et 2,9 Md$ (-10,9%). En revanche la division serveurs et outils de développement se porte bien et affiche un chiffre d'affaires de 3,8 Md$ (+2,3 %). La section Windows et Windows Live reste la plus porteuse: les bénéfices atteignent 6,9 Md$, soit une progression de 72 % du chiffre d'affaires, l'équivalent du bénéfice net de l'entreprise. Office 2010 devrait fortement impacter l'année en cours Ce fut la dernière clôture fiscale dirigée par Chris Liddell qui a quitté le poste de directeur financier de Microsoft le 31 décembre 2009. C'est Peter Klein, son remplaçant qui en commente le bilan: « Ces bons résultats n'ont été possibles que parce qu'il y a eu une demande plus forte de la part des utilisateurs de PC ». L'éditeur estime en effet que le nombre de clients augmente de 20% d'une année sur l'autre, mais les ventes de PC sont, quant à elles, restées les mêmes qu'en 2008. De plus, le marché des netbooks, pourtant en pleine expansion, ne représente aujourd'hui que 11% des ventes de Microsoft, exactement comme en 2008 à la même période. L'entreprise affirme cependant que la hausse devrait reprendre avec la sortie de nouvelles gammes :« Même si nous ne savons pas le temps que cela prendra, nous devrions réussir à générer de nouveaux profits dès que le marché sera relancé » affirme Peter Klein. Le nouveau directeur financier a ensuite indiqué que la sortie de Microsoft Office 2010 en juin prochain constituerait l'une des principales sources de revenus de l'année, tout comme la plate-forme cloud Azure et le système de commandes pour Xbox, un projet pour l'instant connu sous le nom de code « Natal ». (...)

(29/01/2010 16:26:19)

La Loppsi pourrait paradoxalement profiter aux réseaux pédophiles

Et si les barrages que les lois Hadopi et Loppsi voulaient ériger sur les autoroutes de l'information n'aboutissaient qu'à renforcer les réseaux criminels, à l'instar de ce qui s'est passé pour la prohibition ? Tel est le point de vue que défend Fabrice Epelboin, entrepreneur, blogueur et désormais voix française de ReadWriteWeb, dans une étude d'une trentaine de pages. Rédigé dans un langage très compréhensible, bien qu'abordant des sujets techniques, le document s'appuie sur la confession d'un technicien ayant oeuvré dans et pour les réseaux pédophiles. En effet, après Hadopi censé défendre le droit d'auteur, mais qui est en retard d'un métro sur les technologies, Loppsi est censée mettre un frein, sinon un terme, à la pédopornographie sur Internet. Or, Fabrice Epelboin décrit minutieusement comment les distributeurs de contenu pédophile se sont déjà organisés pour échapper à toute menace de ce type. Les moins compétents techniquement se feront sans doute prendre, ce qui pourrait légitimer la loi aux yeux des politiques et des médias, mais le noeud du problème restera. Car le véritable problème, soutient l'auteur, est celui de l'argent. Ceux qui distribuent ce contenu illégal ne le font pas par idéologie (nauséabonde), mais parce que cela rapporte de l'argent, et que des banques acceptent de fermer les yeux sur les transactions en ligne effectuées dans ce cadre. S'attaquer au circuit financier serait dès lors plus profitable. Et cela éviterait peut-être que des adolescents cherchant à contourner Hadopi ne se retrouvent sur des serveurs mafieux tenus par des réseaux pédophiles... (...)

(29/01/2010 16:10:11)

Microsoft AppFabric et Velocity en action chez JM Bruneau

C'est l'un des premiers déploiements d'AppFabric en France ; et pour cause, l'offre middleware de Microsoft n'est pas encore officiellement disponible. La société de conseils Expertime, spécialisée dans les technologies Microsoft, a en effet préconisé cette solution lors de la refonte du système d'information du vépéciste JM Bruneau. Elle interviendra d'ailleurs à ce sujet lors des Techdays (conférence utilisateurs Microsoft France, du 8 au 10 février à Paris). Fournisseur de mobilier et matériel de bureau, JM Bruneau propose plus de 15 000 références à 900 000 clients, pour un chiffre d'affaires dépassant les 300 M€. Le commerce électronique prenant une place de plus en plus importante, JM Bruneau voulait industrialiser ses processus métier - en permettant notamment une livraison directe depuis le fournisseur jusqu'au client sans passer par du stock - et augmenter le taux d'achats parmi ses visiteurs : le vépéciste compte aujourd'hui 1,5 million de commandes par an, pour 2,5 millions d'interactions enregistrées chaque année sur son site. Le DSI, André Etchemendy, a voulu profiter de cette refonte pour « urbaniser les domaines fonctionnels », en s'attachant à « bien modéliser les processus en amont » et appliquer les préceptes des architectures orientées services (SOA) : « Les domaines fonctionnels exposent leurs services métier à travers de WCF [Windows communication framework, le protocole d'échange interapplicatif de Microsoft], et tous les échanges se font via le bus. » La liaison avec les applicatifs, Microsoft et autres, s'effectue au travers de Biztalk Server. Une administration unifiée des technologies WCF et WWF Les technologies Microsoft ont donc été choisies à la fois pour exposer les services, orchestrer les échanges et présenter les écrans (avec WPF, Windows Presentation Framework). « Il y a un an, nous aurions sans doute été voir des technologies tierces, explique Philippe Lacroix, directeur technique d'Expertime. Mais nous sommes entrés dans le programme TAP de Microsoft. » En vertu de ce programme, quelques partenaires peuvent utiliser en amont les technologies de Microsoft et bénéficier du soutien de l'éditeur. Pour Philippe Lacroix, Windows Server AppFabric tombait à point nommé pour ce type de projet. Avec ce logiciel serveur, Microsoft fédère en effet ses outils middleware pour présenter un véritable serveur d'applications (nom de code Dublin) doublé d'outils de communication interapplicative (WCF), de workflow (WWF, Windows Workflow Foundation) et d'administration « Une réponse largement suffisante pour le démarrage d'un projet SOA » [[page]] « Les SOA exigent de la fiabilité, des capacités d'administration, etc., et AppFabric permet de pérenniser ce choix », indique le directeur technique d'Expertime. Car, dit-il, « AppFabric donne la capacité de suivre le déploiement et l'exploitation ». Jusqu'à présent, il fallait recourir à des solutions tierces, type Amberpoint, au ticket d'entrée bien plus élevé. « Bien sûr, on ne dispose pas de toutes les fonctionnalités d'un Amberpoint, mais il s'agit d'une réponse très intéressante en termes de coût et de couverture fonctionnelle. Cela suffit largement pour le démarrage d'un projet SOA. » Le pré-requis d'AppFabric est d'installer la version 4.0 de .Net (dont la disponibilité générale sera annoncée en même temps que l'atelier Visual Studio 2010, d'ici quelques semaines). Mais « la migration se fait facilement », selon Philippe Lacroix. « Il a juste fallu réaliser quelques aménagements, modifier des espaces de nommage. » Les débuts de Velocity, système de cache distribué Avec .Net 4 et AppFabric vient aussi Velocity, le système de cache distribué que Microsoft élabore depuis plus de deux ans. Pour Philippe Lacroix, dont les équipes suivent le produit depuis sa genèse dans l'équipe SQL Server, il s'agit d'une immense avancée. « .Net disposait d'un système de cache client. Là, il s'agit d'un vrai système de cache à haute disponibilité, avec toutes les avancées que vous pouvez attendre en matière de clustering et d'équilibrage de charge. » La mise en oeuvre est assez simple, explique encore Philippe Lacroix, puisqu'il suffit de déployer Windows Server en lui attribuant ce rôle de cache distribué. Velocity répartit alors les données dans les mémoires vives des noeuds du cluster, tout en offrant une vue unifiée aux applications. Un moteur SQL permet par ailleurs de libérer de la mémoire en assurant la persistance des données sur disque dur. Philippe Lacroix n'attend désormais qu'une chose : la sortie officielle des produits, qui marquera leur stabilisation. Et à l'avenir, espère-t-il tout de même, « encore un peu de simplification ». (...)

(29/01/2010 15:57:57)

Annuels Nokia : une année 2009 sauvée par les ventes de mobiles

( Source EuroTMT ) Nokia a réservé une sacrée surprise aux analystes. En difficulté sur le marché de la téléphonie mobile, notamment en raison de l'accroissement de la concurrence sur le segment des smartphones, et plombé par les pertes de sa filiale Nokia Siemens Networks (équipementier pour les télécoms), le groupe finlandais a surpris les investisseurs en dévoilant des comptes trimestriels bien meilleurs que prévu. Reste que Nokia doit encore relever deux défis de taille : améliorer ses performances sur le marché des mobiles aux États-Unis et résister à la progression des dragons asiatiques. Dans un marché de la téléphonie mobile qu'il estime en hausse de 8 % sur l'année 2009, et qui aura vu 329 millions de terminaux vendus tous constructeurs confondus au quatrième trimestre 2009, Nokia annonce une progression de 17 % de ses ventes de mobiles. Il a commercialisé ainsi 126,9 millions d'unités (+17% par rapport à fin 2008). Qui plus est, cette bonne performance est à mettre au compte de sa gamme smartphones : 10,7 millions de séries N et E vendus, soit une hausse de 1,8 millions d'unités. Selon le groupe, il aurait regagné des parts de marché dans ce segment atteignant 40 %, contre 35 % de part de marché lors du trimestre précédent. Notamment grâce aux bonnes ventes du N97 mini selon Franscico Jeronimo, analyste chez IDC. Reste que le prix moyen des terminaux mobiles vendus s'élèvent à 63 €, soit une baisse de 8 € par rapport à l'an passé. Les analystes ont mésestimé la réactivité du finlandais Une évolution inattendue pour les analystes qui pronostiquaient tous une poursuite de la dégradation de ses positions dans les smartphones. En valeur, Nokia affiche une stabilité des revenus de sa division terminaux et services à 8,2 milliards d'euros. Mieux, le résultat opérationnel de cette branche est en progression de 14,9 % et atteint 1,2 milliard. En revanche, pour l'ensemble du groupe, le point noir demeure toujours Nokia Siemens Networks : la filiale spécialisée dans les équipements pour réseaux mobiles affiche une baisse de 16 % de ses revenus trimestriels à 3,6 milliards d'euros et un résultat opérationnel à peine positif (17 millions d'euros). Et l'avenir ne devrait guère être plus souriant. Dans une analyse récente sur le secteur des équipementiers télécoms, la Société Générale notait ainsi que 2009 avait été une année noire pour Nokia Siemens Networks, qui avait perdu à la fois des parts de marché et de l'argent. Pourtant, les chiffres du marché ne semblent pas aussi noirs que ne le disent les équipementiers occidentaux. Selon la Société Générale, la valeur totale à l'échelle de la planète des contrats conclus en 2009 dans la téléphonie mobile aura atteint 17,6 milliards de dollars, contre 14,1 milliards en 2008. [[page]] Cependant, une bonne partie (quelque 50 %) a été conclue en Chine, où les opérateurs mobile ont favorisé leurs équipementiers nationaux (Huawei et ZTE). Et pour la Société Générale, la stratégie affichée par la direction de Nokia Siemens Networks qui veut faire croître l'activité de l'entreprise ne peut passer que sur une baisse des prix pour s'aligner sur la concurrence des équipementiers chinois, mais aussi d'Ericsson. Ce qui pourrait se traduire par de nouvelles pertes pour l'équipementier. Cette situation est assez comparable à celle d'Alcatel-Lucent, qui aura réalisé pourtant un parcours apparemment meilleur en 2009. Le groupe franco-américain aurait gagné pour 2,2 milliards de contrats, en hausse de 60 % par rapport à 2008. Mais comme le note la Société Générale, cette hausse provient pour l'essentiel du contrat LTE (4ème génération mobile) conclu avec Verizon. En revanche, Alcatel-Lucent aurait une part de marché 3G inférieure à sa part de marché 2G. La question de l'avenir des deux équipementiers européens n'est donc toujours pas résolue. D'autant que même le leader Ericsson est menacé par la concurrence chinoise comme le montrent les nombreux tests LTE réalisés par Huawei auprès de bons clients du groupe suédois. Et des rumeurs circulent déjà dans l'industrie affirmant que Nokia pourrait vouloir se défaire de sa participation dans sa filiale commune avec Siemens. (...)

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