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(27/01/2010 19:34:08)

Apple dévoile enfin sa tablette iPad à un prix aggressif : 499 $ !

Sans surprise Steve Jobs, le patron d'Apple, a dévoilé ce mercredi lors d'une conférence de presse à San Francisco sa très attendue tablette tactile. Baptisée iPad, cette dernière se situe à mi-chemin d'un baladeur iPod Touch et d'un MacBook. Livrée avec iTunes et iWorks, elle permet de créer des documents, de consulter des journaux en ligne, de surfer sur Internet, ou encore de lire des livres électroniques. Mais on note toujours l'absence du support du Flash comme sur l'iPhone et l'Ipod Touch. Point particulièrement important, la compatibilité avec la plupart des applications de l'App Store pour iPhone et iPod Touch est assurée. Les logiciels s'afficheraient dans une petite fenêtre à la manière de widgets ou leur résolution serait doublée pour occuper une grande partie de l'espace proposé par l'écran de l'iPad. Un kit de développement sera d'ailleurs proposé pour aider les développeurs à concevoir des applications spécifiques à l'iPad sur l'App Store. Pour montrer les possibilités de cette tablette, Steve Forstall, senior vice président chez Apple, a invité sur scène les représentants du New York Times, Electronics Arts, Gameloft et MLB.com. Steve Jobs a ensuite dévoilé une application baptisée iBooks pour afficher et gérer ses livres électroniques. Tout en créditant Amazon, pionnier sur le marché avec son Kindle, Steve Jobs a annoncé l'ouverture d'une section eBook sur iTunes. Penguin, Harper-Collins, Hachette, Simon & Schuster et d'autres éditeurs ont déjà signé des accords pour apporter leurs titres. Ils seront disponibles au format ePub. Plus à venir.. (...)

(27/01/2010 17:35:54)

Annuels SAP : CA en chute de 9%, bénéfices de 10% en 2009

SAP s'est livré ce 26 janvier à un exercice inhabituel pour lui : annoncer de mauvais résultats annuels. L'éditeur fait état d'un chiffre d'affaires mondial de 10,7 milliards d'euros (non-Gaap) en recul de 9% à taux de change constant. Les ventes de logiciels baissent de 27%, les services de 5%. Le résultat opérationnel baisse de 11%. Pascal Rialland, qui va quitter SAP et la direction générale France cette fin janvier, a esquissé une analyse : « Nous sortons d'un cycle de compression des investissements observé en 2008 chez nos clients. Comme beaucoup d'industriels nous avons traversé un exercice difficile. Mais nous pouvons renouer rapidement avec une croissance significative.» Deux éléments peuvent l'y encourager : la reprise observée sur certains de ses marchés fin 2009, et le plan de réduction des coûts entamé très en amont.

Tout ira mieux en 2010


Pour 2010, SAP anticipe une reprise de sa croissance. Les ventes de logiciels sont déjà reparties (au Q4 2009) aux Etats-Unis (+8%), au Royaume-Uni (+27%), dans les BRIC (+46%), en Allemagne (+5%). SAP prévoit une croissance annuelle 2010 comprise entre 4 et 8%.La marge opérationnelle se situerait entre 30 et 31%. SAP a développé un programme de réduction de coûts qui va maintenant porter ses fruits. Entamé en octobre 2008, il a provoqué le départ de 3 000 personnes au plan mondial. Pour la France, SAP a réduit ses effectifs de 5% sur une base de 1 500 collaborateurs. L'éditeur a lancé un plan de départs volontaires qui a intéressé 34 personnes. En plus de la crise, SAP a fait face à deux évènements : l'intégration en 2009 de Business Objects racheté début 2008 et l'affaire des coûts de maintenance. Sur ce dernier point, SAP s'est résolu à ne pas imposer de passage en force vers le système Enterprise Support, les clients restent donc sur le modèle Standard Support. « J'ai espoir que dans les trimestres ou les années à venir, les clients iront vers Enterprise Support » note Pascal Rialland. (...)

(27/01/2010 17:13:37)

L'AFNIC améliore les temps de réponse des sites en .fr

Depuis plusieurs années, l'AFNIC utilise la technologie anycast, qui permet d'augmenter les performances et la sécurité des infrastructures DNS. Elle améliore en particulier, au fur et à mesure de l'extension de la couverture géographique, la qualité du service DNS en terme de temps de réponse et de solidité. En multipliant les serveurs, elle offre en effet une meilleure résistance aux attaques par saturation. Tout en maintenant une couverture mondiale avec près de 60 noeuds, l'AFNIC a placé de nouveaux serveurs DNS à plusieurs endroits en France et en Europe, notamment Lyon qui est bien placé d'un point de vue réseau car proche de la Suisse et de l'Italie. C'est ainsi que depuis le 4 décembre dernier, l'AFNIC dispose d'un cloud anycast sur les infrastructures de Rézopole/Lyonix, le GIX de Lyon. Ce nuage entièrement géré par l'AFNIC couvre aussi La Réunion et prochainement d'autres villes comme Bruxelles et Paris. L'objectif est double : - acquérir la maîtrise de cette technologie afin de pouvoir ouvrir de nouveaux sites en complément de ceux gérés actuellement par ses prestataires. - déployer les infrastructures DNS afin d'augmenter leur densité au plus près des utilisateurs sur le territoire français. (...)

(27/01/2010 17:07:10)

HP annonce des offres globales sécurité

Les services sécurité proposés par HP «  concernent les applications, la continuité de l'activité, les contenus, l'intégrité des données, les centres de calcul, les terminaux, les réseaux, la gestion des identités et le contrôle d'accès, la gestion du risque et la sécurité opérationnelle, » comme le détaille HP dans son communiqué. Selon la compagnie de Palo Alto, « ce vaste portefeuille de services doit permettre aux entreprises et aux administrations de mettre en place une stratégie de sécurité complète afin de réduire l'exposition de leurs infrastructures aux risques ». Ainsi que l'a déclaré Chris Whitener, en charge de la stratégie du programme HP Secure Advantage « cette offre intègre les domaines clé de l'infrastructure technologique, depuis les postes de travail et les imprimantes jusqu'au datacenter et au cloud. Cela concerne aussi bien le conseil que les services gérés en interne et l'externalisation,» ajoutant que « les produits tiers inclus dans le package seraient pré-testés afin de garantir leur compatibilité et leur intégration. » HP veut désormais proposer un point d'entrée unique pour de nombreux besoins de sécurité, aidant ainsi les entreprises à réduire complexité, risques, et coûts. Une offre sécurité packagée De fait, la gamme de services « HP Security, Compliance and Continuity Services » se présente comme un «modèle de référence commun» mis à la disposition des 10 000 professionnels de la sécurité de HP et des consultants répartis dans le monde (depuis l'acquisition de EDS en août 2008). Bien que la marque EDS, acquise pour 13,9 milliards de dollars, n'est plus utilisée officiellement, elle a transformé HP en acteur majeur des services d'entreprise et d'externalisation, avec IBM comme seul concurrent. «Aujourd'hui, nous avons des milliers de clients à la fois HP et EDS dans le secteur public, ce qui n'était pas le cas auparavant», souligne Chris Whitener. « En proposant des offres de sécurité en « groupes de services et en catégories bien identifiables, » dit-il, « l'objectif de HP, transformé depuis l'intégration de EDS, est de rendre l'évaluation des besoins et l'estimation du coût des projets aussi simple que possible pour les clients. » [[page]] La sécurité et la conformité figurent parmi les principales préoccupations des entreprises, que celles-ci soient portées par des menaces ou par la pression réglementaire. Le "Cloud Computing Security Assessment» a été mis en place pour « aider les clients à comprendre quelles transformations ils doivent réaliser pour parvenir jusqu'au cloud" explique Chris Whitener. Cela les conduits à examiner dans quelle mesure les applications qu'ils utilisent dans leurs services, peuvent encore fonctionner de manière optimale dans un environnement cloud, ou encore de s'interroger sur les questions posées par la violation des règles relatives à la vie privée ou à la confidentialité des données, ou bien de prendre en compte les exigences de sécurité dans le domaine du paiement par carte bancaire, par exemple. L'accès non autorisé à certaines informations peut en effet conduire à des infractions qui ont un coût pour l'entreprise et peut engendrer des pertes commerciales. Par exemple, les solutions intégrées aux environnements d'impression - HP Access Control Printing Solution Suite et HP Scanjet Enterprise 7000n Document Management Workstation Series - permettent de réduire ces risques à l'aide de fonctions d'administration avancées. Des solutions adaptées à des failles bien ciblées Le « HP Enterprise Secure Key Manager » est là pour centraliser et renforcer la sécurisation des données, afin de limiter les coûts liés au risque de vol ou de perte d'informations sensibles. Cette solution dirige les clients vers des politiques de sécurité et fournit une administration cohérente et unifiée des clés de chiffrement sur l'ensemble de l'infrastructure informatique. "Application Security Center of Excellence Services" vient quant à elle empêcher les attaques ciblées sur des applications web. Elle aide aussi les clients à définir une stratégie rapide en fonction des risques commerciaux, mais les conseille aussi sur la technologie adéquate à utiliser. Enfin, une offre "SAS Project Services for Application Security Center" prend en charge la mise en oeuvre de ces initiatives de sécurité dans une configuration entretenue et gérée par HP. (...)

(27/01/2010 16:35:34)

Selon IDC, les ventes de smartphones Android devraient exploser d'ici 2013

Confirmant l'étude du cabinet Gartner qui aboutissait au même résultat pour 2012, IDC a indiqué que Symbian et Android seraient les deux systèmes les plus répandus parmi les 391 millions de smartphones prévus sur le marché en 2013. C'est Blackberry qui prend la troisième place du podium, juste devant le Windows Mobile de Microsoft et l'iPhone OS d'Apple. L'étude de Gartner avait prédit la même chose pour 2012, sauf pour iPhone OS, placé quatrième devant Windows Mobile. IDC place ensuite Web OS de la firme Palm en sixième position, suivit de tous les systèmes Linux. Gartner pronostique en revanche le Maemo de Nokia à la sixième place : un système de la famille GNU/Linux développé pour les terminaux mobiles Android reste un OS d'avenir Android devrait donc connaître, jusqu'en 2013, la meilleure progression de tous ces systèmes d'exploitation. L'étude IDC affirme en effet que l'OS de Google tournera sur une grande variété d'appareils, issus d'une multitude de constructeurs. Les experts ont d'ailleurs affirmé que cette situation pourrait «  générer de la confusion entre les utilisateurs dans leurs comparaisons et leurs expériences avec les smartphones. » Reconnaissant que les développeurs indépendants sont quelque peu bloqués par le système Android (à cause de la multitude de patchs et de modules à installer pour créer des applications ), l'étude d'IDC prévoit, à l'avenir, une simplification du système qui ne devrait plus poser ces problèmes. Dans une interview faite en début d'année dernière, un des analystes d'IDC, Will Stofegad, avait même déclaré que les constructeurs ne sauraient jamais quoi faire avec l'Android de Google. Un an plus tard, l'ensemble des analystes parle d'une même voix affirmant «  Cet OS sera l'un des plus importants du marché ! ». Will Stofega reconnait avoir changé d'avis depuis: « Nous voyons des interfaces utilisateurs de plus en plus sur base Android» comme celle de Motorola avec la surcouche MotoBlur de Motorola. Ces bonnes faveurs, Google les doit à la création de l'OHA (Open Handset Alliance), un programme qui vise à étendre les domaines de compatibilité de son OS. Will Stofega conclut par un élément important: « même s'il aura du mal à s'imposer comme l'unique système dominant, beaucoup de fabricants sont déjà très intéressés par Android. » [[page]] Une concurrence bien présente Peu implantée aux États-Unis, la firme finlandaise Nokia a toutefois déjà vendu 250 millions de smartphones dans le monde. Selon les estimations, son système Symbian devrait progressivement baisser, mais rester en pôle position quelques années encore. Ce succès s'explique par la polyvalence de ses OS Symbian qui supportent une grande variété de programmes aux langages différents, et séduisent donc les développeurs. Les applications Symbian sont en effet disponibles sur plusieurs plateformes de distribution, dont Ovi.com, celle de la maison Nokia. IDC table sur 68 millions de smartphones Android vendus en 2013 contre 12 millions aujourd'hui. Bien loin donc des 75,8 millions de terminaux Symbian de Nokia (132 millions en 2013). Les Blackberry devraient atteindre 66 millions d'exemplaires vendus en 2013. Pour Microsoft, qui devance actuellement Android avec 18,3 millions d'appareils, IDC annonce 51,7 millions d'exemplaires pour 2013, et met en avant les fonctionnalités de Windows Mobile 7 qui, selon eux, devraient attirer beaucoup d' utilisateurs. Enfin, reconnaissant que l'iPhone est bel et bien une icône parmi les smartphones, les analystes annoncent cependant une progression assez faible des ventes de l'appareil d'Apple qui ne feront que doubler d'ici 2013 (elles passeront de 25 millions à 49 millions d'exemplaires vendus). Les experts considérant que l'iPhone n'est pas encore assez adapté à l'environnement professionnel, notamment à cause du passage obligé par iTunes pour synchroniser l'appareil, à sa batterie non amovible et à l'absence de clavier physique. (IDC a basé ses prévisions sur des études de marché et des interviews de directeurs de ventes). (...)

(27/01/2010 15:15:18)

Pour distinguer Bing, Microsoft mise sur la recherche sémantique

La technologie sémantique donne aux ordinateurs la capacité de mieux comprendre les informations tapées par l'utilisateur, afin de fournir de meilleurs résultats, plus pertinents pour les internautes. C'est Scott Prevost, le directeur de développement de Bing, le moteur de recherche de Microsoft, qui a qualifié la technologie sémantique comme un outil d'avenir pour mieux répondre aux requêtes des utilisateurs. Il a ensuite affirmé que les recherches dans ce domaine avaient déjà commencé chez Microsoft. Avec la technologie sémantique, les ordinateurs pourront comprendre les sens des mots lorsqu'ils sont placés dans une phrase, et pourront les mettre en relation pour proposer, non pas des pages contenant les mots clefs d'une recherche, mais des réponses directes. « Plus perfectionné, plus rapide, moins cher et allant à l'essentiel ». C'est ainsi que Scott Prevost, également directeur général de Powerest (moteur de recherche axé sur les articles Wikipédia, racheté par Microsoft en 2008), voit l'avenir de Bing. « La recherche sémantique offrira des réponses pertinentes aux utilisateurs et les aidera même pour leurs prises de décisions. Le moteur va devenir plus interactif, avec plus d'options pour aider les utilisateurs à trouver des réponses concrètes». Il a ensuite ajouté que la quantité de pages dîtes « pertinentes » qui sont en fait de vieilles pages web rendait la situation actuelle « critique ». Vendredi dernier, Google, le leader des moteurs de recherche, a fait une annonce similaire en parlant de recherche en « highlighting », c'est à dire « éclairée ». Au lieu de pointer des pages avec des mots-clefs, Google pourrait directement afficher une réponse. Le moteur s'aligne ainsi sur celui de Microsoft qui se différenciait jusque-là par sa volonté de privilégier les pages qui contenaient le plus de connaissance. Quoi qu'il en soit, cette guerre entre les leaders de la recherche sur Internet est l'un des signes majeurs de l'arrivée du web 3.0 placé sous le signe de la sémantique. (...)

(27/01/2010 13:55:07)

Attention au virus dissimulé derrière un test de QI

L'éditeur BitDefender, spécialisé dans les solutions de sécurité informatique, a annoncé avoir identifié une menace sur Internet "alliant le comportement destructeur des virus aux mécanismes de diffusion des vers". Ce virus "Win32.Worm.Zimuse" s'introduit dans les ordinateurs sous la forme de test de QI. Une fois exécuté, il peut causer d'importantes pertes de données car il écrase les 50 premiers Ko de la zone d'amorçage du disque dur. BitDefender recommande bien sûr d'installer et de mettre à jour régulièrement une suite antimalware complète avec une protection antivirus, antispam, antiphishing et pare-feu. Le minimum quand on utilise un système Windows. (...)

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