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(28/01/2010 17:51:36)
Google active la fonction recherche sociale
Google a annoncé que son service de recherche sociale allait, dans les prochains jours, être intégré à son célèbre moteur, les liens afficheront donc les publications des utilisateurs de réseaux sociaux, directement dans les résultats. Persuadé des possibilités d'améliorations du système, Google a cependant notifié qu'il ne s'agirait que d'une version bêta. « Nous pensons être encore loin d'explorer tout le potentiel de la recherche sociale, nous ne faisons pour l'instant qu'en gratter la surface ». affirme Maureen Heymans, responsable technique en charge de la recherche sociale. Les utilisateurs, pour en bénéficier, devront obligatoirement posséder un compte Gmail, et seront encouragés à remplir leur page de profil avec les liens de leurs sites web, blogs, photos, pages de réseaux sociaux etc. En recoupant toutes ces informations et en y ajoutant celles de leurs contacts, le moteur de recherche fournira des liens « proches » de l'utilisateur qui lui paraîtront donc, plus pertinents. Google affichera également les publications présentes dans les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Myspace, etc) qualifiés comme étant très prolifiques en terme d'informations « tant leurs utilisateurs y passent du temps une fois connectés». Ces sites ont en effet prouvé leur utilité pour répandre rapidement des informations sur les évènements majeurs de l'actualité. Cette arrivée de la recherche sociale s'inscrit dans la volonté qu'a la firme de Mountain View de toujours améliorer son moteur de recherche, notamment pour rester compétitif vis à vis de Bing, l'outil de Microsoft. Les deux sociétés qui avaient signés un accord avec Twitter en octobre 2009 sont également en train de développer une autre évolution pour la recherche sur Internet: la recherche sémantique (...)
(28/01/2010 17:29:45)Selon une étude Markess, le collaboratif atteindrait 7,8% de croissance en 2010
En France le marché du collaboratif en entreprises se montait à 860 millions d'euros en 2009, il atteindra le milliard en 2011. Le taux de croissance annuel moyen est de 7,8%. Ce marché est aux mains de multiples acteurs, principalement des éditeurs et des intégrateurs. Ce sont eux qui vont profiter de la croissance de ce marché. Les 200 responsables d'entreprises interrogés par Markess ont cité, dans 54% des cas, les éditeurs et, à 40%, les intégrateurs et les SSII. Ont également droit à plusieurs mentions : les cabinets conseil (32%), les hébergeurs (15%), les infogéreurs (8%), les opérateurs de télécoms (8%). Ces responsables ont également répondu à 80% qu'ils recourraient, pour les solutions de collaboration, à un prestataire externe. Ces prestataires viennent d'horizons et de métiers très différents. C'est la caractéristique de ce marché. On retrouve aussi bien « les poids lourds du marché » venus de l'office productivity » comme Microsoft et IBM que des éditeurs spécialisés. Parmi ces derniers, certains viennent de la gestion de contenu comme Alfresco, Jalios, Nuxeo. D'autres de la conférence à distance tels que Cisco, Genesys, Skype. La gestion de projets est présente avec des acteurs comme Augeo Software. Le monde de l'applaication sociale pointe le nez avec Bluekiwi. Le partage de fichiers est un autre grand acteur avec Oodrive. Sans oublier « les telcos » comme Orange business services. Ou des acteurs tels que EMC, Open Text présents à d'autres titres. « C'est une typologie d'acteurs qui devrait bouger dans les années à venir » note Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée du cabinet Markess en charge de la recherche. Quatre axes principaux sur ce marché L'autre changement à venir tient aux nouveaux besoins clients détectés ou à détecter. Markess classe le collaboratif selon quatre axes principaux : les échanges, les plannings projets, la présentation, les contenus. Pour chacun d'eux, le cabinet identifie les besoins actuels et ceux à venir. Pour les échanges, sont connus : la messagerie et les communications vocales, vont entrer en jeu : les fameux réseaux sociaux, la messagerie instantanée, la gestion de présence. Pour le deuxième axe, le planning des projets, l'agenda partagé est connu, la gestion proprement dite de projet va se mettre en place. Quant au troisième point, la présentation, il fait déjà intervenir : la présentation en ligne et la conférence à distance, vont prendre du poids : la conférence à distance et la conférence web. Enfin, sur le quatrième point, les contenus, si le partage de fichiers et de contenus est connu, les espaces collaboratifs, la création de contenus à plusieurs vont se mettre en place. Voilà pour l'aspect usages qui constitue autant d'argumentaires pour les intégrateurs. Markess note aussi des changements techniques à prendre en compte, en terme d'intégration évidemment, de sécurité, d'archivage, d'accès distant, de recherche avancée ou d'interactivité. Le collaboratif implique aussi d'autres modifications, situées moins dans l'informatique que dans l'organisation de l'entreprise. (...)
(28/01/2010 17:07:55)Apple obtient le brevet "proximity sensing" pour écran tactile multitouch
Ce brevet est l'un des 13 accordés à Apple, peu avant le dévoilement de sa tablette multitouch iPad mercredi. Le fait a été signalé par Patently Apple, un site internet qui permet de suivre les demandes de brevet et les prix reçus par la société, sorte d'indicateur des innovations et des investissements réalisés par Apple en matière technologique. En tapant le numéro de brevet 7653883 dans le moteur de recherche de l'US Patent and Trademark Office qui donne accès à la totalité du contenu, on peut voir que le «proximity sensing, » déposé initialement au cours du troisième trimestre 2005 par Apple, s'applique à plusieurs techniques différentes, seules ou associés, et concerne la capacité de détection à proximité d'un objet tel que le doigt ou le stylet. Les techniques concernées incluent l'ombre optique, les champs électrique, inductif, capacitif et autres, un ou plusieurs capteurs. Patently Apple suggère que le coeur du brevet peut effectivement concerner la maîtrise de la technologie de détection de proximité et étend cette capacité à l'interface visuelle de l'utilisateur. Ce brevet fait partie d'une série d'applications qu'Apple utilise dans la technologie d'affichage, y compris celle qui rend les pixels des écrans LCD "tactiles", laquelle permet d'éliminer plusieurs couches dans la technologie d'écran actuelle, pour obtenir un écran plus lumineux, plus mince et plus léger. Un récent brevet déposé par Apple confirme que l'entreprise californienne met au point une technique pour réaliser des écrans tactiles plus minces, et plus lumineux pour ses ordinateurs portables et ses appareils mobiles, l'iPhone en particulier. [[page]] L'un des documents du brevet contient plusieurs schémas montrant un doigt entrant dans la proximité du "champ de détection" d'un élément spécifique (un bouton par exemple) dans l'interface utilisateur, affiché sur l'écran d'un périphérique qui ressemble à une tablette. Le système permet alors à un "élément particulier l'interface graphique," comme un clavier virtuel, d'apparaître. Après avoir tapé le texte, les doigts s'éloignent de l'écran, le système désactive l'objet et le fait disparaitre de l'écran. La technologie décrite laisse entrevoir les possibilités du « proximity sensing » et montre comment Apple peut offrir à l'utilisateur mobile une expérience beaucoup plus souple et plus fluide, dans une interface où les éléments semblent flotter les uns au-dessus des autres. L'interface graphique a évolué pour devenir moins évidente, perdant au passage sa fonction d'intermédiaire comme c'est le cas avec le système actuel des fenêtres et des éléments contrôlés à la souris ou au clavier. Mais l'interface utilisateur multitouch réalisée pour l'iPhone et l'iPod Touch a marqué une étape dans la façon de faire interagir l'utilisateur avec un appareil portable. L'approche est similaire à celle préconisée par l'ancien chercheur de l'Université de New York, Jeff Han, qui avait fait en 2006 la démonstration d'un écran tactile très sophistiqué à la conférence annuelle de la TED. Au cours de sa démonstration, Jeff Han avait, à plusieurs reprises, envisagé le fait que l'interface conventionnelle, celles des claviers physique et virtuel, disparaîtrait au profit d'une interface tactile pour la manipulation des données et des images. Depuis, il a fondé Perceptive Pixel, une entreprise à l'origine du Multi-Touch Wall réalisé en 2008 et utilisé par le réseau câblé CNN. La vidéo de Jeff Han sur le site www.ted.com (...)
(28/01/2010 16:56:15)Adobe cherche des idées d'applications développées en Flash pour iPad
La technique de compilation d'applications développées en Flash pour les iPhone peut tout à fait convenir aux iPad, explique Michael Chou, chef produit chez Adobe, sur le blog Adobe Flash Platform. Sourd aux demandes d'Adobe concernant les iPhone, Apple n'a en effet pas davantage ouvert sa tablette présentée hier, l'iPad, au format Flash. Comme le regrette le responsable marketing Adrian Ludwig dans un autre billet sur le même blog... On se souvient que Steve Jobs expliquait ses réticences par le fait que Flash consommait trop de ressources ; or, la tablette est beaucoup plus puissante que les iPod Touch et iPhone. En outre, le projet Open Screen a fait évoluer les choses, et la dernière version du client Flash a drastiquement réduit ses exigences. Il s'agit donc bien d'une volonté délibérée d'Apple de ménager ses propres options pour la diffusion du contenu. En effet, si les applications Web en Flash devenaient librement accessibles, cela remettrait en cause la raison d'être de l'App Store. Néanmoins, pour ne pas couper ses utilisateurs du marché de l'iPhone, Adobe a prévu dans la prochaine version de sa suite pour créatifs CS5 un outil, Packager for iPhone, capable de compiler un projet Flash afin qu'il puisse tourner sur iPhone. Il pourra donc servir aussi pour l'iPad mais, prévient Michael Chou, il ne pourra pas tirer parti, dans un premier temps, de sa définition plus importante (1024x768, contre 480x320 pour les iPhone et iPod Touch). Michael Chou invite néanmoins les développeurs ayant des idées d'applications à le contacter, dans le but « de les soumettre à l'iTunes App Store au cours des deux prochains mois ». Soit juste avant que ne soit commercialisé l'iPad. (...)
(28/01/2010 16:39:36)Le marché mondial des microprocesseurs pour PC a progressé de 2,5% en 2009
En volume le marché mondial des microprocesseurs pour PC a progressé en unités de 2,5% en 2009, selon IDC. En valeur, ce marché a décliné de 7,1% à 28,6 milliards de dollars. Pour 2010, IDC anticipe une hausse de 15,1% en unités. Pour le seul 4ème trimestre, cette progression atteint 31,3%, moins qu'au 3ème trimestre 2009, plus qu'au 4ème trimestre 2008. Cette dernière donnée montre que l'industrie du PC anticipe bien une sortie de crise, estime IDC. Toutefois, le cabinet situe cette échéance à fin 2010 et reste donc prudent. En examinant les chiffres par type de PC, IDC observe trois éléments. Les processeurs Atom d'Intel, destinés aux netbooks ont augmenté de 11,7%, ceux pour serveurs x86 de 14,1%, les processeurs pour desktops ont augmenté de 4,8%. Concernant les parts de marché des industriels, IDC observe de légères variations. Intel a obtenu 79,7% de parts de marché, une perte de 0,7%, AMD passe à 20,1%, en progression de 0,8%, VIA Technologie obtient 0,3%. Par industriel et par type de processeur, Intel obtient 86,8% des parts dans le segment des processeurs pour PC, en baisse de 0,3%, AMD progressant de 0,8% à 12,8%, VIA est à 0,3% en baisse de 0,5%. Dans le segment des serveurs et stations de travail, Intel se situe à 89,9% en progression de 3,2%, AMD perd 3,2% à 10,1% de parts de marché. Enfin, dans le segment des PC de bureau, Intel se situe à 71,1% en recul de 1,1%, AMD est à 28,6% en hausse de 1,2%. (...)
(28/01/2010 15:21:39)SharePoint 2010, surdimensionné pour certains utilisateurs, selon Forrester
Les améliorations apportées par Microsoft à SharePoint 2010, la nouvelle version de sa plateforme collaborative (attendue pour juin), pourraient bien être surdimensionnées pour les utilisateurs ayant des besoins ponctuels et spécifiques, selon une récente analyse de Forrester Research. Globalement, cette étude attribue des notes élevées aux fonctions dont bénéficie désormais le serveur -qui est rapidement devenu l'une des meilleures ventes de l'éditeur. Mais le cabinet estime que seuls les utilisateurs de SharePoint 2007 en attente d'avancées sur les outils de réseaux sociaux devraient envisager de passer à la version 2010. Pour Rob Koplowitz, l'analyste de Forrester auteur du rapport, SharePoint 2010 devrait être plutôt considéré comme un choix stratégique important pour les clients qui n'ont pas encore adopté la plate-forme. Selon lui, ces utilisateurs devraient toutefois considérer l'ensemble des fonctionnalités du logiciel et s'assurer qu'il n'est pas surdimensionné par rapport à leurs besoins. Ajoutant que « SharePoint 2010 peut être un marteau, mais qu'il n'y a pas que des clous à enfoncer. » Le rapport conclut que SharePoint 2010 n'est peut-être pas adapté aux utilisateurs ayant des besoins basiques, indiquant que ceux-ci pourraient être mieux remplis par des outils comme ceux proposés par Socialtext ou Jive. En outre, les conditions de licence proposées devraient calmer ceux qui cherchent à construire des communautés sociales entre les entreprises, ou encore ceux qui ont besoin d'outils de gestion de contenus Web performants et capables de gérer d'importants flux de contenus. Les entreprises ayant des exigences avancées en matière de 'nettoyage' et de transformation de données risquent au contraire de ne pas trouver SharePoint 2010 à leur mesure. Une plateforme ouverte aux développeurs Microsoft a fait évoluer SharePoint au-delà de son rôle de serveur d'application pour le transformer en plateforme à part entière, capable de gérer des applications qui vont de l'intranet jusqu'au cloud, et qui s'ouvre aux développements externes. L'éditeur a poussé les capacités de SharePoint pour le transformer en serveur Web, y intégrer des outils de développement (Visual Studio) et de conception d'interfaces (SharePoint Designer). S'y ajoute encore un ensemble de fonctionnalités pour réseaux sociaux, un environnement plus sécurisé et un ensemble d'API pour faciliter l'intégration à un cloud, positionnant ainsi SharePoint comme une des technologies les plus avancées sur le marché. Pour Rob Koplowitz, « SharePoint 2010 répare les lacunes et les problèmes détectés dans les versions antérieures. » L'analyste souligne également que les outils destinés à constituer des réseaux sociaux sont aujourd'hui « de première classe », bien adaptés aux usages des consommateurs, et que les fonctionnalités de profilage sont bien meilleures, notamment dans le support des blogs, des wikis, des tags et des fils d'information (feeds). Le rapport détaille enfin d'autres améliorations importantes, comme l'arrivée d'un client offline, SharePoint Workspace, basé sur la technologie Groove acquise par Microsoft en 2005, de nouvelles fonctionnalités destinées aux développeurs, l'intégration avec la gamme d'applications business et des améliorations dans la recherche et la gestion documentaire. (...)
(28/01/2010 12:35:07)Le Cebit joue la synergie avec la conférence utilisateurs SAP pour se stabiliser
La plupart des indicateurs laissent espérer une stabilisation du marché au premier trimestre, et une reprise des investissements ensuite. Une reprise anxieusement attendue par les fournisseurs, mais aussi par Deutsche Messe, organisateur du plus gros salon mondial d'informatique professionnelle, le Cebit de Hanovre. Bernd Heinolm, vice-président de l'événement annuel, a fait le déplacement à Paris pour présenter les grands thèmes du salon cette année, et rappeler que malgré la crise, le Cebit tient toujours debout. Il ne faut toutefois pas s'attendre à un Cebit plus important qu'en 2009, année où le salon avait atteint son plus bas niveau en nombre d'exposants depuis 10 ans : 4 300 exposants sur 195 500 m2, pour 362 500 visiteurs. D'ailleurs, Bernd Heinolm a admis que le carnet de réservation n'était pas encore rempli, alors que la manifestation démarre le 2 mars prochain. Le salon aura aussi un jour de moins, les exposants ayant demandé la suppression du dimanche final, avec son public plutôt familial et les importantes primes à payer aux salariés. Autre intérêt, a glissé Bernd Heinolm, les collaborateurs des entreprises exposant sur le salon auront le temps de rentrer chez eux et de retourner au travail le lundi matin. Le thème du Cebit 2010 : « Connected Worlds » Pour pallier cette désaffection des exposants et des visiteurs, le Cebit a décidé de s'ouvrir aux événements d'entreprise. SAP s'est ainsi laissé convaincre de tenir l'étape allemande de sa conférence clients World Tour à Hanovre, en même temps que le Cebit, dans l'espoir que cela dynamise le nombre de visiteurs de chacune des manifestations. D'autres actions sont entreprises pour susciter de l'intérêt dans une ville qui ne prête guère à l'amusement : des concerts seront donnés dans le cadre du thème Cebit Sounds, et des animations sont prévues au sein même de Hanovre, par le pays partenaire de cette édition, l'Espagne. Et comme en 2008, une course sera organisée dans le parc des expositions, le soir après la fermeture. Cette année, le tracé passera par tous les halls utilisés, soit 3,5 km, qu'il sera possible de parcourir 7 fois, pour les semi-marathoniens qui n'auront pas déjà été épuisés par leur journée. Du côté des thèmes, le Cebit conserve le Green IT, la « webciety » [société en réseau] ou encore la télémédecine des années précédentes, mais place cette édition sous le signe des « connected worlds ». Ces mondes connectés doivent montrer comment le rapprochement de technologies diverses peuvent créer de la valeur. Cebit Sounds, par exemple, exposera la chaîne de création de valeur de l'industrie musicale numérique. Sous le thème Connected living, un hall du Cebit associera les technologies domotiques (senseurs, capteurs, automates, équipements en réseau...). Les halls 6 et 7 accueilleront les technologies de capteurs RFID, d'identification, de géolocalisation, de transport intelligent... La liste des personnes invitées à s'exprimer sur scène montre également cet intérêt pour l'interconnexion et le Web 2.0, puisqu'aux côtés des intervenants de Microsoft, IBM ou Intel, le Cebit donnera la parole aux dirigeants de Linden Lab, Skype ou Flickr. (...)
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