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(18/12/2009 16:19:53)
Mark Shuttleworth abandonne la direction de Canonical, mais pas le développement d'Ubuntu
Canonical change de braquet. La société fondée par Mark Shuttleworth pour délivrer une distribution Linux, Ubuntu, au plus grand monde, aborde une nouvelle étape de sa croissance, et le millionnaire sud-africain a décidé de laisser les rênes de son entreprise à son actuelle directrice opérationnelle, Jane Silber. « En tant qu'ancienne vice-présidente chez General Dynamics, écrit Mark Shuttleworth sur son blog, Jane a plus d'expérience des grands clients et de la direction de grandes organisations, ce que je juge essentiel pour Canonical durant les cinq prochaines années. Des entreprises de plus en plus grandes nous font confiance en tant que partenaire ou fournisseur, et je veux être sûr que nous puissions être une réponse robuste à leurs besoins. » Mark Shuttleworth n'abandonne pas Ubuntu pour autant. Il explique qu'il restera actif au niveau de la direction du développement, et qu'il disposera aussi de davantage de temps pour aller voir des partenaires et des clients. « Ce sont les domaines où je prends le plus de plaisir, mais aussi ceux où je peux avoir le plus d'impact sur le marché et sur l'Open Source. » (...)
(18/12/2009 15:45:41)L'offre cloud d'Orange reprend les bonnes recettes du Minitel
Tout le monde n'attendait plus que l'annonce officielle : c'est fait, Orange Business Services a présenté son offre de cloud, ainsi que sa feuille de route. Barbara Dalibard, patronne démissionnaire d'OBS (après 30 ans de carrière chez France Telecom, elle rejoint la SNCF pour diriger la branche TGV), a expliqué le pourquoi de ce retard à l'allumage : « On a un peu attendu parce qu'on voulait être sûr que notre équipe ait construit une légitimité forte. » Cela passe, dit-elle, par la mise en oeuvre de services applicatifs au-dessus de la simple fourniture de puissance informatique à la demande ; comme pour le Minitel, ce seront les services applicatifs proposés par Orange qui devront assurer le succès commercial. « Nous devions pouvoir gérer la couche collaboration nous-mêmes, que cela soit une preuve pour nos clients. En tant qu'opérateur, le premier service sur lequel on doit être bon, c'est la communication. » Barbara Dalibard : « Le cloud, c'est notre métier » En ouverture de la conférence de presse, Camille Mendler, du Yankee Group, a servi sur un plateau les arguments qui donnent aussi à la branche services d'Orange sa légitimité : « Lors des études que j'ai menées sur le cloud, j'ai été surprise de l'absence de questions sur la partie connexions, réseaux, accès redondants... Or, c'est absolument indispensable ! » Et Barbara Dalibard d'aligner les chiffres et l'historique de France Telecom pour expliquer combien « le cloud, c'est notre métier », quelque chose « basé sur l'ADN d'un opérateur ». Orange peut en effet se targuer de gérer 30 000 sites en VoIP, 12 millions de clients abonnés à Internet haut débit, 10 000 sites en mode Centrex... ainsi que rien de moins que « le réseau mondial le plus développé de la Terre ». Pour Barbara Dalibard, opérer un cloud est finalement très proche du métier d'opérateur. Elle énumère ainsi les compétences similaires : infrastructure mutualisée étendue, engagements sur sécurité et la qualité de service de bout en bout, opération 24x7, facturation à l'usage, gestion des services aux utilisateurs finaux, respect de la conformité réglementaire, mise à disposition d'un portail pour la gestion, les commandes et le reporting... « Cerise sur le gâteau », fait-elle remarquer, décharger les clients de la gestion de leur informatique diminue leur consommation énergétique, et contribue à leurs stratégies de Green IT. L'ambition : constituer un portefeuille global de services applicatifs en ligne facturés par Orange De façon plus discutable, Barbara Dalibard a aussi repris les propos de Camille Mendler sur la nécessité pour les entreprises de s'appuyer sur un tiers de confiance. Pour l'experte du Yankee Group, en effet, les entreprises vont probablement choisir de recourir à plusieurs prestataires. Il y aura donc des besoins en compétences techniques, mais aussi des besoins en termes d'analyse et de suivi des offres : il faudra s'assurer que les opérateurs de cloud disposent de réseaux et de serveurs redondants, de plans de continuité de l'activité et de reprise après sinistre, d'outils de surveillance, etc. En d'autres termes, « les entreprises auront besoin d'intermédiaires de confiance qui pourront intégrer, gérer, mesurer les garanties et s'appuyer sur tel ou tel en fonction des demandes des entreprises, et enfin payer les tiers ». Est-ce un nouveau rôle pour les opérateurs, s'interroge l'analyste. Bien que le profil soit plus probablement celui d'une société de conseil spécialisée indépendante, Barbara Dalibard n'hésite pas à endosser ce costume. Mais à entendre le discours de Didier Jaubert, un ancien d'IBM Global Services chargé par Barbara Dalibard de porter l'offre Cloud, ce rôle d'intermédiaire se verrait plutôt entre les éditeurs de logiciels, appelés à s'appuyer sur le cloud d'Orange pour proposer leurs offres enligne, et les entreprises. La véritable ambition de l'opérateur est en effet de constituer un portefeuille global de services applicatifs en ligne, disponibles depuis un portail unique (le "Saas Store", cf. capture ci-dessus), avec une facturation unique - soit le modèle du Minitel puis du mobile. Cloud et Saas ont beau être des concepts modernes, les vieux réflexes ont la vie dure. (...)
(18/12/2009 11:34:12)Orange annonce à son tour son offre cloud computing
C'est Barbara Dalibard, directeur exécutif d'Orange Business Services - sur le départ car elle rejoindra prochainement la SNCF, la date étant encore en négociation avoue-t-elle - , qui a présenté la feuille de route de l'offre cloud computing d'Orange Business Service (OBS ) le 17 décembre dans les locaux de France Telecom à Issy Les Moulineaux (92). « Le cloud computing est dans l'ADN des opérateurs télécoms. Nous faisons du cloud comme Monsieur Jourdain fait de la prose » décrit-elle. L'offre cloud computing sera plus précisément sous la responsabilité de Didier Jaubert, Senior Vice President Global Services chez Orange. Didier Jaubert a travaillé durant vingt ans chez IBM avant de rejoindre France Telecom. Et ce parcours est révélateur de la partie qui se joue : la lutte va avoir lieu entre les informaticiens et les opérateurs télécoms et chacun entend miser sur ses points forts pour commercialiser du cloud, sans négliger les atouts de son concurrent. « Les informaticiens sont sur le Build, les opérateurs sont sur le Run et ils savent gérer un réseau enrichi pour le cloud. Nous sommes dans la suite de la convergence et je partage la vision de Cisco avec leurs nouveaux serveurs qui font aussi routeurs » décrit Barbara Dalibard. Quelle sera l'importance en termes de revenus de ces offres de cloud dans l'activité d'OBS ? « Le cloud fait partie de notre activité Real Time Business, qui devrait représenter 15 à 20% de notre business. Si nous réalisons 1 milliard d'euros avec l'activité Real Time Business, ce serait bien » répond Barbara Dalibard. Photo : Barbara Dalibard, directeur exécutif d'Orange Business Services, a présenté la feuille de route de l'offre cloud computing, le 17 décembre. [[page]] L'offre d'Orange se décline à la fois en services Iaas (Infrastructure as a service) et en Saas (Software as a service). Déjà disponible en ce qui concerne l'Iaas, on trouve le service « Flexible Computing » qui a été lancé en juin 2009. « Nous avons déjà des clients » indique Didier Jaubert. Il s'agit d'une offre d'hébergement de machines virtuelles - typiquement sous VMWare - via un portail de gestion, de contrôle et de provisionning. Une démonstration réalisée en direct par les équipes techniques d'Orange a permis d'illustrer cette offre. On achète du Ghz (en clair de la puissance processeur, et un nombre de processeurs), de la mémoire et de l'espace disque. Via le portail, on peut gérer l'arrêt ou le démarrage de la machine virtuelle. On définit plusieurs réseaux virtuels dans la salle informatique (des Vlans) de l'opérateur et on place les VM (Virtual Machine) dans le Vlan de son choix. Puis, on affecte l'adresse IP. Ceci dit, à côté de cette offre Flexible Computing, « Ce sont les services de cloud privés - conçus sur mesure pour nos grands clients - qui ont le plus de succès » précise Didier Jaubert. Les grandes entreprises sont plus prudentes tandis que ce sont les petites entreprises qui optent pour les offres dans le nuage public. Les équipes des Labs d'Orange de Lannion ont montré ensuite la prochaine étape, attendue d'ici un an : l'affectation dynamique de puissance à la demande dans le nuage, via des interfaces de programmation ou API (Application Programming Interface), et une facturation à l'usage. L'exemple présenté concerne un infographiste travaillant sur des images 3D pour le cinéma qui a besoin de puissance de calcul à la volée. Depuis son poste de travail dans son entreprise, il lance son logiciel de travail et une commande établit un tunnel IPSec avec Orange, via lequel une machine virtuelle est lancée dans le centre informatique de l'opérateur pour la durée du calcul afin de doper la puissance CPU pour un moment. La VM est donc lancée rapidement. Cette offre demande a priori d'implanter des services au sein des routeurs, et les équipes des Orange Labs ont indiqué qu'aussi bien Cisco que Juniper Networks avaient fait en sorte que le lancement de ces API soient intéropérables entre leurs équipements, utilisés lors de la démonstration. [[page]] A l'heure où l'offre d'Orange se précise, que pense Didier Jaubert de l'offre EC2 d'Amazon, où il suffit de sortir sa carte bleue pour acheter une machine virtuelle, que l'on peut louer pour l'espace d'un test durant quelques heures ? « Ce n'est qu'un petit segment du marché. C'est très grand public. Les locations pour ce qui nous concernent sont au moins d'un mois. Nous ne ciblons pas la réponse à du test sur trois jours, par exemple. Amazon c'est juste de la location de Computing Power. Il faut une capacité de mutualisation importante. Mais nous utilisons nous-même l'offre d'Amazon quand nous avons des pics de charge, par exemple, pour du développement. » Autre axe de développement chez Orange : le Saas. Cette offre recouvre déjà aujourd'hui des services de collaboration as a service, de postes de travail virtuel (les applications sont dans le nuage, Orange annonce 1000 utilisateurs), de téléphonie sur IP hébergée en mode Centrex (Orange annonce 10 000 sites équipés en Centrex IP) ou de messagerie hébergée avec Hosted Exchange à base de serveurs Exchange de Microsoft (Orange gère 1 million de boîtes aux lettres). La prochaine offre qui sera lancée concerne Business Productivity Online Suite (BPOS) de Microsoft. Cette offre de messagerie dans le Cloud de Microsoft (entièrement gérée par Microsoft) sera enrichie par de la sécurité et de la téléphonie sur IP d'origine Cisco par Orange. Mais le futur pour Orange sera plutôt du côté de « Saas Store ». Un magasin d'applications en ligne, dans lequel l'utilisateur peut piocher les applications qui l'intéresse. Un worflow permet à l'employé d'une grande entreprise de faire valider par sa hiérarchie l'accès à une application donnée. Le catalogue d'applications est en cours de construction par Orange qui négocie avec des éditeurs, avec une sortie prévue entre fin 2010 et début 2011. La démonstration a été réalisée avec l'application de CRM, Sugar CRM. D'autres outils ont été utilisés lors de la démonstration tels que Zoho CRM, le traitement de texte Zoho writer ou Blender, un outil 3D. Le service proposé par Orange repose sur un poste de travail rénové pour l'utilisateur, vers lequel on pousse les applications hébergées dans le nuage géré par Orange ou d'autres fournisseurs. Le PC nouvelle génération héberge alors plusieurs environnements professionnels ou d'ordre privé. Dans ce cadre, Orange entend être le tiers de confiance qui gère la relation d'un côté avec les utilisateurs et de l'autre avec les éditeurs de logiciels, afin d'établir la facturation à l'usage. Un modèle qui n'est pas encore accepté par les éditeurs reconnaît Orange mais qui leur permettrait pourtant de se différencier de la concurrence grâce à une nouvelle politique tarifaire, conclut l'opérateur. (...)
(18/12/2009 11:26:32)Selon IDC, les ventes de PC vont significativement progresser de 2010 à 2013
La période de vaches maigres est bientôt terminée pour les fabricants de PC, selon IDC. D'après le cabinet d'études, les difficultés seront derrière eux à partir de 2010, une fois bouclée l'année 2009 sur une hausse de seulement 1,3% des livraisons ordinateurs. L'an prochain, les volumes de ventes devraient en effet atteindre 321,4 millions d'unités, soit une hausse de 10,3% comparé à cette année. Le phénomène se répètera au moins jusqu'en 2013, avec une croissance des ventes en volumes de 12% en 2011, 11,9% en 2012 et 10,3% en 2013. Cette progression sera à mettre en bonne partie au crédit des marchés émergeants, même si les marchés dits matures réaliseront des résultats honorables. Comme c'est déjà le cas depuis plusieurs années, la hausse des ventes de PC portables sera largement supérieure à celle des ventes de PC de bureaux. Toutefois, IDC prévoit qu'elle ne sera jamais supérieure de plus de 3 points jusqu'en 2013 à celle enregistrée sur ce segment de produits en 2009 (+15,8%), et toujours loin derrière les 32,2% de croissance dégagés en 2008. De fait, c'est avant tout la remontée, certes faible, des ventes de desktop (+0,1% en 2010, +1,6% en 2011, +2% en 2012 et +0,9% en 2013) qui va optimiser les effets de la hausse de celles des notebook et autres netbook sur l'ensemble du marché mondial du PC. (...)
(18/12/2009 11:21:38)La loi sur la lutte contre la fracture numérique publiée au Journal Officiel
Sans tarder, la loi relative à la lutte contre la fracture numérique vient d'être publiée au Journal Officiel. Elle a été adoptée définitivement le 10 décembre dernier en deuxième lecture par le Sénat qui n'a pas modifié le texte voté quelques jours plus tôt par l'Assemblée Nationale. Lundi dernier, Nicolas Sarkozy, président de la République, a présenté ses priorités pour l'Emprunt National, au rang desquels figure le déploiement du très haut débit. (...)
(18/12/2009 11:21:14)Cisco recule sur le marché des appliances de sécurité en Europe de l'Ouest
Le cabinet d'études détaille les différents segments de ce marché. Les UTM représentent le principal secteur des appliances de sécurité avec un marché de 114,3 millions de dollars au troisième trimestre 2009 en croissance de 1,9% par rapport au même trimestre de 2008. Fortinet domine ce marché, suivi de Secure Computing et Juniper. Les firewall et les VPN représentent 72,53 millions de dollars (au Q3 2009) en baisse de 28,9% par rapport au même trimestre de 2008. Par rapport au deuxième trimestre 2009, la baisse se monte à 14,5%. Le Content management progresse de 4,3% entre Q3 2008 et Q3 2009 à 70,11 millions de dollars. Cisco est n°1 de ce marché devant McAfee puis Barracuda. Les IPS, Intrusion prévention appliances, baissent de 27,1% et représentent 66,24 millions de dollars. Baisses de Cisco et Juniper, progression de leurs suivants Par acteur, IDC remarque des résultats spectaculaires. Le leader, Cisco, reste à la première place mais baisse de 43,5% (entre Q3 2008 et Q3 2009) passant de 138,7 à 78,4 millions de dollars. Son suivant, Juniper, est également à la baisse, mais de 18,3% passant de 35,63 à 29,10 millions de dollars. Le troisième, McAfee, affiche au contraire une spectaculaire progression, de 54% avec 20,44 millions de dollars au Q3 2009, contre 13,28 un an auparavant. Fortinet progresse de 6,3% à 16,41 millions de dollars, Secure Computing est cinquième avec 10,6% de hausse et 12,45 millions de dollars. (...)
(18/12/2009 10:58:55)Probablement pas d'offres Free Mobile avant mi-2011
Après avoir été désigné par l'Arcep pour la quatrième licence de téléphonie mobile, Free doit désormais construire son réseau et ses infrastructures. Le chantier nécessitera au moins 18 mois. Les premières offres commerciales de la marque Free Mobile devraient donc apparaître vers la mi-2011. Des prix à la baisse ? Dans un communiqué publié fin octobre 2009, le groupe Iliad, maison mère de Free, avait indiqué qu'il souhaitait "répondre à la forte attente des consommateurs vis-à-vis d'offres plus simples, moins chères et plus innovantes". En interview, Xavier Niel, fondateur d'Iliad, a également évoqué son désir de diviser par deux la facture de téléphonie mobile des Français, soit une économie de 1.000 euros par an et par foyer. Pour rentabiliser les lourdes sommes investies dans la construction de son réseau, Free serait contrait de proposer des tarifs alléchants afin de recruter rapidement un maximum d'abonnés. Vers des offres de convergence Avec une base de plus de 4 millions de clients à ses offres ADSL, Free pourrait bien être tenté de proposer aux "freenautes" des abonnements incluant à la fois l'accès à Internet triple-play et la téléphonie mobile. Toutefois, ce type de démarche est mal perçu par l'Autorité de la concurrence, qui vient de lancer un avertissement à Bouygues et SFR sur leurs pratiques de "cross selling". Plus de concurrence entre les opérateurs L'arrivée d'un nouvel entrant va permettre de stimuler la concurrence entre les différents opérateurs présents sur le marché. Selon les analystes et les associations de consommateurs, le lancement d'offres agressives de la part de Free amènera ses trois autres rivaux à réviser leur grille tarifaire, à l'image de ce qui s'était produit en 2002 quand Free avait cassé le prix des abonnements ADSL à 29,99 euros par mois. De nouvelles antennes en vue C'est le côté le moins attrayant de l'arrivée d'un quatrième opérateur mobile. Free devra dans un premier temps déployer des antennes dans plusieurs grandes agglomérations françaises afin de couvrir au moins 25% de la population française. Par la suite, il pourra négocier l'accès au réseau de l'un de ses concurrents dans le cadre d'un contrat d'itinérance mobile. L'apparition de nouvelles antennes et leurs risques sanitaires devraient soulever les inquiétudes de la part des riverains et des associations. (...)
(18/12/2009 10:54:11)Free devient le quatrième opérateur mobile
Sans surprise, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a retenu la candidature de Free Mobile, une filiale d'Iliad, en tant que quatrième opérateur mobile en France au coté de Bouygues Telecom, d'Orange et de SFR. L'autorisation d'utilisation des fréquences sera délivrée par l'Arcep à compter du 1er janvier 2010. A compter de cette date, Free Mobile s'engage "à ouvrir commercialement son réseau mobile au plus tard deux ans après la délivrance de l'autorisation, soit en 2012. Autre engagement de la part du nouvel opérateur, il devra couvrir au moins 90% de la population par son réseau 3G dans les huit ans. Comme les trois autres opérateurs mobiles, Free Mobile devra ouvrir son réseau à des opérateurs mobiles virtuels (MVNO). Selon l'Arcep, Free Mobile "envisage de proposer au consommateur des offres claires et innovantes à des tarifs compétitifs de nature notamment à faciliter l'accès à l'Internet mobile". Un nouvel appel à candidatures concernant le reliquat de la bande passante 2,1 GHz sera lancé au cours du premier semestre 2010. Et au second, ce seront des "procédures d'attribution des bandes 800 MHz et 2,6 GHz permettant le déploiement des réseaux mobiles de nouvelle génération à très haut débit". (...)
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