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(22/12/2009 12:20:35)

La SNCF équipe 16 500 agents d'un smartphone HTC avec GPS

La SNCF équipe 16 500 agents de conduite nationaux (conducteurs de trains) d'un kit de mobilité à base de smartphone avec GPS, le modèle Touch HD du constructeur taïwanais HTC. Ce smartphone est doté d'une batterie à haute capacité spécifiquement conçue pour la SNCF par Honeywell Batteries, et d'une housse de protection spécifique à la SNCF réalisée par le français Mobilis. Le déploiement concerne 16 500 assistants numériques à destination de tous les agents de conduite. La Direction de la traction de la SNCF investit ainsi dans un outil métier unique mis à la disposition des Agents de Conduite pour améliorer la qualité de service rendue. Ce déploiement a lieu dans le cadre du système SIRIUS, Système Informatique Regroupant les Informations Utiles au Service. Il s'agit de faciliter l'accès à l'information en situation opérationnelle et les échanges entre services tout en modernisant l'image de la profession d'Agent de Conduite. Cet outil devait être « universel » et s'adapter aux différents pupitres de conduite présents dans les 60 types de locomotives en activité (TGV compris). Le déploiement a été confié à la société Quadria, société de services, dans le cadre d'un contrat de 3 ans, qui livrera des kits prêts à l'emploi. Le service comprend l'intégration, la masterisation, le déploiement et la maintenance J+1 sur toute la France. (...)

(21/12/2009 19:27:27)

Red Hat cessera de supporter l'Itanium dans Enterprise Linux 6

Red Hat a annoncé hier, 20 décembre, qu'il cesserait de supporter le processeur Itanium d'Intel dans la prochaine version majeure de son système d'exploitation, Enterprise Linux 6. Le nombre de serveurs basés sur des Itanium qui ont été vendus ne constitue sans doute pas une base suffisamment importante qui justifie que Red Hat consacre des ressources à son support dans une version de l'OS destiné à cet environnement. Cette équation économique explique la décision de l'éditeur, selon Chris Ingle, directeur de recherche chez IDC. Red Hat pourra ainsi se consacrer au support des serveurs x86. Actuellement, pour sa version 5 d'Enterprise Linux, Red Hat assure aussi le support des environnements Power, System z et S/390 d'IBM. Pour l'Itanium, il continuera à le faire dans cette version 5 jusqu'en mars 2014 à laquelle il ajoutera de nouvelles fonctions pour cet environnement. Il supportera aussi de nouveaux matériels conformément à sa politique standard de cycle de vie des produits, a précisé l'éditeur. Les fournisseurs OEM pourraient assurer le suivi Plusieurs fournisseurs OEM offriront aussi un support étendu pour RHEL 5 sur serveur Itanium jusqu'en mars 2017, toujours selon Red Hat. Chris Ingle, du cabinet IDC, considère que l'abandon de cet abandon ne devait pas changer grand-chose parce que beaucoup d'utilisateurs reçoivent déjà leur support des OEM. Ces derniers pourraient choisir de continuer à le faire pour la version 6 de RHEL. Unix domine le marché des serveurs Itanium. En Europe, 61% des serveurs Itanium livrés en 2009 utilisent Unix, 29% Linux et 5% Windows, selon les estimations d'IDC. Selon Chris Ingle, cet environnement se maintiendra comme voie de migration pour les systèmes Risc et comme une alternative lors de la consolidation de bases de données. (...)

(21/12/2009 18:38:55)

« Il faut développer la prise de risque vis-à-vis de l'innovation » (Interview de la députée Laure de la Raudière)

A l'initiative de l'éditeur de Blu-Age Netfective, une quinzaine de DSI et de dirigeants d'entreprises ont déjeuné avec Jacques Attali et Laure de la Raudière, Députée d'Eure-et-Loir, Vice-Présidente de la commission des affaires économiques à l'Assemblée Nationale, autour du sujet du financement des entreprises innovantes en général et des éditeurs de logiciels en particulier. Cette ingénieur télécoms et ancienne chef d'entreprise s'est récemment lancée en politique. Si elle constate la fracture entre le monde politique et celui des chefs d'entreprises, elle veut le combattre afin, notamment, de permettre aux entreprises françaises innovantes de réussir sur le marché national et international. Co-présidente du groupe d'étude UMP du Grand Emprunt, elle s'est réjouie que le Grand Emprunt apportera 4,5 milliards d'euros pour le numérique (dont deux milliards pour les infrastructures et 700 millions pour la numérisation du patrimoine culturel) et 6 milliards d'euros pour les PME innovantes, dont les PME du numérique. Elle nous a accordé une interview exclusive en vidéo. L'interview de Laure de la Raudière en vidéo La députée concède qu'il y a un risque à financer sur fonds publics des PME qui pourront, demain, être rachetées par des grands groupes internationaux mais précise qu'il y a des possibilités de contrôle. Surtout, il est aussi possible que des entreprises françaises rachètent des firmes étrangères, à condition qu'elles disposent des fonds propres nécessaires. L'un des problèmes majeurs rencontrés par les entreprises françaises, c'est de ne pas pouvoir se battre à armes égales avec les entreprises américaines. L'exemple le plus criant est celui des éditeurs de distributions Linux, comme Mandriva, qui se heurte à la vente liée PC-Microsoft Windows. Laure de la Raudière considère que le parlement est désormais davantage sensibilisé à ce genre de problèmes mais que ce n'est pas là le plus grave problème. Pour elle, le premier coupable est l'absence de la culture du risque en France : choisir une entreprise innovante française est rarement envisagé face à un mastodonte américain, même si les innovations sont porteuses de valeur ajoutée ou de moindre coût. L'Etat peut bien sûr jouer son rôle dans le soutien aux entreprises innovantes, comme cela a été dit lors du déjeuner Netfective. Même si les élus ne peuvent pas intervenir dans l'attribution de marchés publics, ils doivent agir pour que certaines mauvaises habitudes changent, par exemple le fait d'exiger les bilans de trois exercices comptables pour admettre un candidat à un marché public, ce qui est évidemment impossible pour une jeune entreprise innovante. Cette réflexion est très lente et l'Etat devrait montrer l'exemple aux collectivités locales, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. L'interview de Laure de la Raudière en vidéo (...)

(21/12/2009 18:11:42)

Numérisation de livres : La Martinière souhaite que Google négocie avec les éditeurs français

Le PDG du groupe d'édition français La Martinière aimerait trouver un terrain d'entente avec Google dans le dossier qui l'oppose à la société américaine sur la numérisation de livres sous droit d'auteur et leur diffusion sur Internet [sur son service Google Books]. Il y a trois jours, Google a été condamné par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 300 000 euros de dommages et intérêts à La Martinière (groupe qui chapeaute notamment les éditions du Seuil) pour contrefaçon de droits d'auteur. Le TGI interdit à l'Américain de continuer à numériser et à afficher sans autorisation les ouvrages du groupe français. Google dispose d'un mois pour se conformer à ce jugement, avec une astreinte de 10 000 euros par jour de retard. « Je préfère ne rien toucher sur ces 10 000 euros et que l'on trouve un accord avec Google, a reconnu Hervé de la Martinière, PDG du groupe français, ce matin, lundi 21 décembre, lors d'un point presse, rapporte l'AFP. Google, lui, a prévu de faire appel du jugement du TGI. Pour le responsable juridique de Google France, l'interdiction de numériser qui lui a été faite s'applique uniquement aux ouvrages de La Martinière. Au contraire, rapporte l'AFP, pour l'avocat de La Martinière, « le jugement fait très clairement une interdiction générale », sans distinction « entre ce qui relève du Seuil et des autres éditeurs français ». L'emprunt national prévoit 750 M€ pour numériser le patrimoine culturel Au cours des derniers mois, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer les conditions dans lesquelles le projet Google Books (Google Livres) se mettait en place. Plusieurs pays européens se sont notamment opposés à « l'accord de règlement » que la société de Sergey Brin et Larry Page cherchait à passer avec les auteurs de livres et éditeurs dans le cadre de son service Google Book Search (Google Recherche de Livres). Ce projet d'accord définit notamment le mode de rémunération des livres publiés sur Google Livres. L'an dernier, la Ville de Lyon a confié à Google la numérisation de 500 000 documents du fonds ancien de sa Bibliothèque municipale. Cet été, c'est la Bibliothèque nationale de France qui avait reconnu être en discussion avec Google pour la numérisation d'ouvrages. Dans les priorités de l'emprunt national, communiquées lundi dernier 14 décembre par le président de la République Nicolas Sarkozy, figurent 2,5 Md€ pour les contenus et usages innovants. Dans ce montant, il est prévu 750 M€ pour numériser le patrimoine culturel. (...)

(21/12/2009 16:15:52)

Trimestriels Oracle : les ventes de licences semblent repartir

Oracle a vu ses ventes de nouvelles licences augmenter de 2%, à 1,65 M$ (28% du CA) sur son deuxième trimestre fiscal, clos fin novembre. Et son président, Charles Phillips, ne s'est pas privé, lors de l'annonce de ces résultats, d'affirmer qu'il s'agissait du quatrième trimestre consécutif sur lequel sa société avait pris des parts de marché à SAP, dans chaque région du monde. Il est vrai que l'éditeur allemand a subi un recul de 31% sur ses ventes de licences au troisième trimestre 2009. Selon Safra Catz, les résultats ont été obtenus sur une base large et non à la seule faveur de gros contrats. « Le contexte économique semble s'améliorer. Nous voyons nettement que les clients recommencent à investir [...] de façon vraiment généralisée ». Effectif : près de 1 300 départs sur le trimestre De septembre à fin novembre, Oracle a par ailleurs enregistré une hausse de 14% sur les revenus issus de sa maintenance et de ses mises à jour de logiciels, à 3,28 M$ (56% du CA). En revanche, le chiffre d'affaires réalisé sur les services a reculé de 15%, à 958 M$. L'éditeur affiche par ailleurs un bénéfice net en hausse de 12%, à 1,46 M$, sur ce deuxième trimestre fiscal. Sur la période, Oracle a encore réduit son effectif, de 1 273 personnes, sans que l'on sache précisément ce qui résulte de licenciements. Il comptait fin novembre 83 366 employés (contre 86 657 l'an dernier à même époque). La présentation des résultats trimestriels a aussi permis à Safra Catz, présidente d'Oracle, d'exprimer son optimisme sur l'issue de l'enquête menée par Bruxelles autour du rachat de Sun. « Nous pensons que la Commission Européenne va autoriser sans condition l'acquisition de Sun en janvier, a-t-elle indiqué. Nous voulons remercier tous nos clients pour le soutien massif qu'ils nous ont apporté à Oracle pendant ce processus. » Exadata : des appliances de datawarehouse qui pourraient rapporter gros Parmi les produits sur lesquels Oracle semble miser dans les mois à venir, la récente gamme Exadata Database Machine, spécialisée dans les applications de datawarehouse, pourrait avoir un impact important. La deuxième version associe des serveurs de stockage Sun au logiciel d'Oracle (la première reposait sur des serveurs HP). « La vente [des appliances Exadata] devrait générer des milliards de dollars, a laissé entrevoir le président Charles Phillips. Sans même compter la redevance annuelle des contrats de maintenance. Mais nous ne pouvons pas encore déterminer à quel moment nous atteindrons ce stade ». Certains clients demanderaient des systèmes multiples. « Le problème que nous rencontrons actuellement se situe au niveau des capacités de production », a expliqué le président d'Oracle. (...)

(21/12/2009 11:03:15)

Avec l'Orece, l'Union européenne se dote d'une autorité de régulation pour ses télécoms

A l'instar de l'Arcep en France, l'Union européenne pourra désormais compter sur l'ORECE, Organe des régulateurs européens des communications électroniques, pour réglementer plus harmonieusement le marché intérieur des télécoms. D'après le Journal officiel de l'Union européenne du vendredi 18 décembre, cette nouvelle législation entrera en vigueur dans vingt jours. L'Orece est composé des directeurs des 27 autorités nationales de régulation des télécoms, explique l'Union européenne. Le représentant français en sera l'Arcep, l'autorité de régulation des communications électroniques et des postes. Selon Mme Viviane Reding, membre de la Commission européenne chargé des télécommunications, "à compter du printemps 2010, l'Orece aidera les autorités nationales de régulation et la Commission européenne à faire en sorte que la fourniture des services de télécommunication se fasse dans un cadre cohérent et compétitif dans l'ensemble de l'UE. Maintenant que les directives issues de la réforme ont été publiées au Journal officiel, j'invite les États membres à commencer à travailler en vue de transposer rapidement ces dispositions en droit interne. Une transposition rapide et correcte sera déterminante pour mettre en place une sécurité juridique, renforcer la concurrence et stimuler les investissements sur un marché unique européen des télécoms qui évolue". Cette création d'un nouvel organe de régulation à l'échelle européenne s'accompagne de toute une batterie de réformes en faveur des consommateurs. Parmi celles-ci figurent la possibilité de changer d'opérateur mobile ou fixe en un jour ouvré tout en conservant son ancien numéro, un renforcement de la protection des internautes contre le vol de données et le spam (pourriel) ou, encore, un accès au haut débit pour tous les Européens. (...)

(21/12/2009 10:40:17)

Bluetooth 4.0 adopte une technologie de réduction d'énergie

Le Bluetooth Special Interest Group (SIG), regroupement d'acteurs impliqués dans le développement de la technologie sans fil Bluetooth, annonce l'adoption d'une technologie à économie d'énergie pour les appareils de nouvelle génération. Cette dernière sera la marque de fabrique du Bluetooth dans sa version 4.0. Moins chère à fabriquer et moins énergivore, la technologie Bluetooth low energy wireless a d'ores et déjà séduit Nokia, le leader mondial de la téléphonie mobile. En plus d'être économe en énergie, le Bluetooth 'Low energy wireless' devrait réduire le temps de latence dans la communication entre appareils et dans le transfert de données, de l'ordre de trois millisecondes. La portée de la connexion sans fil est par ailleurs accrue, pour atteindre plus de 100 mètres. Les données sont sécurisées par un mode de cryptage plus performant. Selon le Bluetooth SIG, il sera possible de mettre en oeuvre cette technologie aussi bien dans les produits en cours de fabrication et normalement basés sur la technologie "classique" du Bluetooth que dans les modèles de prochaine génération. Outre les téléphones portables, les ordinateurs, les téléviseurs, cette technologie devrait se trouver dans les montres, les télécommandes et autres capteurs pour le sport et la santé. (...)

(21/12/2009 10:20:09)

Microsoft dédaigne Hadoop pour son datawarehouse

Un certain engouement se manifeste autour d'Hadoop, plateforme distribuée constituée de sous-projets Open Source (gérés par l'Apache Software Foundation) qui accélère le traitement de volumes très importants de données. Hadoop inclut un système de fichiers distribués et exploite Google MapReduce, framework de développement conçu pour des calculs parallèles et distribués, à opérer sur des bases dépassant le téraoctet de données. Parmi les chefs de file des SGBD, il apparaît que Microsoft et IBM l'abordent de façon assez différente. Tandis que des éditeurs de technologies décisionnelles comme Sybase et Teradata ont adopté sans ambages Hadoop et Google MapReduce, Microsoft, lui, résiste.

« Nous n'avons jamais inséré de code Hadoop dans un de nos produits, confirme le professeur David DeWitt, de l'Université de Madison (Wisconsin), également membre des équipes techniques de Microsoft. Son manque d'intérêt n'a rien de surprenant. Expert en base de données SQL parallèles, il a co-inventé trois d'entre elles. Au printemps, il a co-signé un article qui comparait les différentes approches de l'analyse de volumes importants de données. Il y avançait que les bases de données SQL dépassaient toujours MapReduce sur la plupart des tâches. Il n'a pas changé d'avis : « De nombreux fournisseurs de base de données déclarent qu'ils exploitent Hadoop parce que ce logiciel a du succès, [...] mais les bases SQL s'en sortent toujours très bien ».

David DeWitt dirige à l'Université de Madison un laboratoire qui travaille avec la R&D de Microsoft autour de la technologie de datawarehouse (connue précédemment sous le nom de Projet Madison) qui sera intégrée à la R2 de SQL Server 2008. Selon lui, cette version de SQL Server disposera, grâce à la technologie héritée de DATAllegro, de fonctions analytiques ressemblant à certaines fonctions de MapReduce/Hadoop. Mais David DeWitt reconnaît néanmoins que sur le traitement des requêtes nécessitant un temps d'exécution important, MapReduce est meilleur que SQL. Cette aptitude pourrait amener Microsoft à essayer d'introduire ces fonctionnalités dans la future version de SQL Server orientée datawarehouse.

IBM explore les cas d'utilisation de Hadoop


IBM, l'un des principaux supporters d'Apache, est évidemment très « branché » Hadoop. Anant Jhingran, directeur technique de la division Information Management d'IBM, le reconnaît volontiers. « Je ne prétends pas qu'il constitue la réponse à tout, mais je pense qu'à terme, chaque entreprise va vouloir y recourir, même si je ne suis pas sûr de la forme que cela prendra ». Les entreprises voudront-elles intégrer Hadoop à leur base de données SQL ou dans une appliance de datawarehouse séparée, ou encore sous la forme d'un service Web s'appuyant sur Hadoop comme le fait le service expérimental M2 d'IBM ?

Pour le déterminer, IBM teste des pilotes avec une dizaine d'entreprises clientes et explore cette voie dans sa R&D, explique Anant Jhingran, sans rien vouloir dire, toutefois, sur l'éventuelle présence de fonctionnalités Hadoop dans la prochaine version de DB2 ou d'Informix. Une chose est sûre, a tout de même précisé le directeur technique : Hadoop est mieux utilisé pour des applications émergentes de type Web Analytics, détection de la fraude, ou analyse des données non structurées et semi-structurées, plutôt que pour des applications sur lesquelles les bases relationnelles ont déjà largement fait leurs preuves. (...)

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