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Poste de travail

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(12/05/2010 14:01:31)
Viadeo s'agrège à Outlook 2010
Après un premier accord avec LinkedIn en février dernier, Microsoft signe un partenariat avec Viadeo pour intégrer les services du réseau social professionnel à Outlook 2010. Via la passerelle Outlook Social Connector, les utilisateurs de la messagerie de Microsoft pourront échanger des informations avec leurs contacts enregistrés sur la plate-forme Viadeo. Les news de leurs correspondants pourront également s'afficher à côté des courriers électroniques reçus. L'éditeur poursuit le développement d'Outlook 2010 comme agrégateurs de flux. « L'intégration de Viadeo dans Microsoft Outlook, c'est l'alliance de la messagerie électronique la plus utilisée sur la planète et du premier réseau social professionnel en Europe, qui compte par ailleurs plus de 30 millions de membres dans le monde », déclare Dan Serfaty, fondateur et CEO de Viadeo.
Reste à savoir s'il est bien judicieux de concentrer et de partager toutes ses informations sur une plate-forme unique. Les réseaux sociaux sont déjà suffisamment intrusifs pour ne leur ouvrir les portes de sa messagerie principale alors que certains utilitaires permettent d'agréger ses comptes en séparant ses activités professionnelles et personnelles.
(...)(12/05/2010 10:04:03)Selon le BSA, le piratage de logiciels baisse en France
Selon cette enquête, qui évalue le taux de piratage des applications dans plus de cent pays, l'installation de logiciels sans licence sur les micro-ordinateurs a diminué de 1 point en France entre 2008 et 2009. Ce taux se situe désormais à 40%, contre 42% en 2007, et 47% en 2005. La valeur commerciale de ces logiciels illégaux en France est estimée à 2,54 milliards de dollars.
A l'échelle mondiale, le taux de piratage des logiciels a augmenté de 41 à 43% entre 2008 et 2009. Cette croissance est liée aux marchés à fort taux de piratage, comme la Chine, l'Inde et le Brésil. Ce taux est en repli dans 54 pays, et en hausse dans 19 (sur 111). Dans le monde, la valeur commerciale des logiciels piratés en 2009 est évaluée à 51,4 milliards de dollars. Les Etats-Unis, le Japon et le Luxembourg sont les pays où les taux de piratage des logiciels sont les plus bas (respectivement 20, 21 et 21%), tandis qu'en Géorgie, au Zimbabwe et en Moldavie, ces chiffres sont supérieurs à 90%.
Crédits photo ©elen 418
Microsoft Office 2010 face aux Google Apps dans l'entreprise
Microsoft Office 2010 arrive. La disponibilité commerciale du produit sera effective le 12 mai pour les entreprises (et mi-juin pour le grand public). Face à lui, Google agite ses 'Apps'. Toutefois, pour régner demain sur les outils bureautiques des entreprises, il reste encore quelques points à régler dans le face à face qui oppose ces deux grands acteurs.
En premier lieu, en dépit du prix attractif des logiciels Google Apps et des deux millions d'entreprise qui, selon Google, les utilisent déjà, la société de Larry Page et Sergey Brin est encore très loin du compte par rapport à Microsoft. Le taux d'adoption de ses outils le place également derrière des suites comme OpenOffice et Lotus Symphony, d'IBM. On peut estimer, selon nos confrères de CIO.com, que Google a généré en 2009 quelque 50 millions de dollars avec ses 'Apps', soit 0,2% de son chiffre d'affaires total sur l'année (23,6 milliards de dollars).
Microsoft, de son côté, se doit bien sûr de fournir une réponse concurrentielle avec les Web Apps livrées au sein d'Office 2010 (ou accessibles gratuitement pour le grand public sur Windows Live). Mais pas trop, puisque ces applications en ligne vont vraisemblablement rapporter beaucoup moins que la traditionnelle suite Office. Sur son exercice 2009, la division Business de Microsoft, au sein de laquelle Office constitue une pièce majeure, a généré 18,9 milliards de dollars. L'éditeur de Redmond doit maintenant convaincre qu'il évolue dans le cloud de la même façon que Google.
Les analystes pensent que s'il existe un acteur doté de la puissance financière et de l'image de marque suffisante pour prendre le pas sur Microsoft, c'est bien Google. Le chemin est encore long, toutefois.
Forrester souligne la faible pénétration des Google Apps
L'entreprise d'aujourd'hui se voit certes offrir une pléthore d'outils de productivité. Outre Microsoft et ses challengers comme Symphony, on trouve donc des produits uniquement accessibles sur le Web, comme les Google Apps et la suite Office de Zoho. Pourtant, même si le navigateur web est devenu l'outil le plus répandu, le recours aux outils bureautiques dans le cloud reste faible, comparé à l'usage de Microsoft Office, selon une récente enquête de Forrester Research. En mars, le cabinet d'étude a consulté 115 responsables des choix technologiques dans des entreprises situées en Europe et en Amérique du Nord. Seuls 4% d'entre elles utilisaient les Google Apps tandis que 81% s'appuyaient sur Office 2007. Plus encore, un tiers des personnes interrogées prévoyaient de migrer vers la version 2010 d'Office l'année suivante, et un quart dans les deux ou trois ans. [[page]]Dans ce contexte, Google a-t-il une chance face à MS Office dans l'entreprise ? Peut-être pas tout de suite, mais les analyses pensent qu'il figure en bonne position pour creuser son sillon à mesure que les entreprises glissent vers le Web.
« Google est un acteur du Web et c'est lui qui a le plus de ressources pour amener l'entreprise sur ce terrain, affirme Sheri McLeish, analyste chez Forrester Research. Les environnements mixtes dans lesquels Google complète Microsoft représentent l'avenir ». Malgré tout, Sheri McLeish n'est pas encore convaincue du total engagement de Google à l'égard des entreprises. Elle considère que l'interface claire et simple de ses outils qui, de fait, convient au grand public, pourrait s'avérer trop limitée pour une utilisation professionnelle. « Google Wave, par exemple, semble être une bonne idée, mais cet outil a besoin d'une masse critique et il ne l'atteint pas ».
Microsoft a scellé ses fondations dans l'entreprise
Les Google Apps sont tarifées 50 dollars par utilisateur par an avec 25 Go de stockage pour la messagerie Gmail et les outils de sécurité Postini. La conservation des archives est facturée en sus (de 13 à 33 dollars selon la durée). Le mois dernier, Google Docs a été mis à jour : plus rapide, il a amélioré ses capacités de collaboration en temps réel, terrain sur lequel Google dispose justement d'un atout face à Office. Et pour marquer les esprits, le géant des moteurs de recherche a convié 400 CIO pour leur présenter la nouvelle version de son traitement de texte en ligne.
Côté Microsoft Office, outre-Atlantique, le tarif s'étage entre 150 et 680 dollars selon les versions. La version 2010 apportera des déclinaisons Web de Word, Excel, PowerPoint et OneNote, mais qui ne disposeront pas de toutes les fonctions des versions pour poste de travail. Il existera deux versions des Web Apps. Celle destinée au grand public, gratuite, comportera des messages publicitaires. Celle qui s'adresse aux entreprises se déploie dans un environnement SharePoint, accessible dans le cloud via les Online Services de Microsoft. L'entreprise peut aussi choisir un déploiement interne sur ses propres serveurs SharePoint.
Quant aux Online Services, ils rassemblent un véritable arsenal d'applications dans le cloud : le portail collaboratif SharePoint Online, le serveur de messagerie Exchange Online, les fonctions de messagerie instantanée et d'indication de présence OCS et les outils de webconférence Live Meeting. Le tout pour 10 dollars par utilisateur et par mois.[[page]]La difficulté pour Google, c'est que face à lui, Microsoft a acquis une expérience considérable dans le support aux entreprises, insiste Sheri McLeish, de Forrester Research. « Microsoft a scellé ses fondations dans l'entreprise. Cela signifie qu'il peut continuer à demander des tarifs élevés pour les versions complètes d'Office alors même que les Google Apps sont moins chères ou même gratuites ».
Microsoft ne manque pas une occasion de rappeler qu'il s'est construit en travaillant avec les entreprises alors que Google s'est développé avec le grand public.
Google a forcé Microsoft à transformer son modèle économique
Toutefois, même si la présence de Google est faible en entreprise, ce groupe n'en est pas moins devenu un géant qui s'est forgé un nom internationalement connu et des produits qui sont devenus familiers au plus grand nombre, en particulier Gmail. Il ne représente peut-être pas un danger véritable pour Microsoft dans l'entreprise, mais il l'a malgré tout forcé Microsoft à transformer son modèle économique. Ce dernier a dû créer des versions en ligne de ses logiciels bureautiques, baisser les prix, et expliquer aux utilisateurs pourquoi ils devaient débourser autant pour Office et Exchange alors qu'ils pourraient tout simplement passer à Google et réduire ainsi leurs dépenses.
Ce qui constituerait le pire scénario pour Microsoft
« Cette nouvelle dynamique a posé un dilemme à Microsoft qui a dû promouvoir des applications dans le cloud au détriment de ses solutions traditionnelles », réitère l'analyste Roger Kay, vétéran du secteur IT et fondateur d'Endpoint Technologies. Lui aussi considère que Microsoft doit convaincre avec ses Web Apps, mais pas trop. « Il ne tirera pas autant de revenus de ses applications dans le cloud. Il doit donc en faire des outils suffisamment légers que les gens voudront améliorer en accédant au produit le plus coûteux. Microsoft sera réticent à abandonner ce qui lui rapporte. » Ce n'est pas un problème facile à résoudre. Pour Roger Kay, le pire scénario pour la société de Steve Ballmer serait que les Office Web Apps décollent, de même que Exchange et Sharepoint Online, et finissent par cannibaliser les versions classiques d'Office, tout en ne parvenant pas à éliminer les Google Apps.
Google lui-même concède que, pour lui, un succès immédiat dans l'entreprise est quelque chose d'irréaliste. Même s'il reste complètement axé sur cette voie et s'il souligne son avancée rapide sur ce terrain en trois ans. « Les Google Apps sont sortis en 2007. Nous sommes partis de zéro pour atteindre 2 millions d'utilisateurs professionnels aujourd'hui, insiste Rajen Sheth, le responsable produit des Google Apps. Il y a un tel potentiel dans ce domaine et nous sommes sur ce marché pour longtemps. »
Microsoft minimise les avantages du VDI
« Dans l'ensemble, comparée à un environnement de bureau bien géré, une VDI s'avère généralement 9 à 11% plus chère que l'environnement PC correspondant,» écrit ainsi Gavriella Schuster, responsable du groupe de gestion commerciale des produits Windows. Celle-ci fait également remarquer que les utilisateurs de bureaux virtuels se plaignent d'une « expérience... peu satisfaisante», en particulier du fait que « la performance des applications est directement liée à la connectivité du réseau. »
« Ce message a pour but d'aider les clients à décider dans quelles circonstances ils doivent utiliser la VDI, la virtualisation client ou les applications virtualisées, » a déclaré Gavriella Schuster dans une interview. « Microsoft fera payer les droits de licence du système d'exploitation, quelle que soit la manière dont l'OS est déployé, l'éditeur laissant toute liberté à ses clients quant au mode de redistribution de l'OS à leurs utilisateurs, » a t-elle ajouté. «Nos clients professionnels travaillent dans des environnements complexes avec des types d'utilisateurs très différents. Il y a donc des situations où l'application du VDI est évidente, » explique t-elle. « Chaque client aura une VDI, et nous essayons de les aider à comprendre à quoi elle peut servir et quand elle n'est pas adaptée. »
Quant aux estimations de coûts, établies sur la base d'une enquête réalisée auprès d'une centaine de clients ayant échangé leur expérience de déploiements VDI avec Microsoft, tous n'arrivent pas aux mêmes conclusions. Ainsi, « Computer Sciences Corp a comparé les coûts de fonctionnement de 5 000 ordinateurs de bureau avec 5 000 instances VDI pour constater que, dans l'ensemble, un bureau virtuel coutait 20 % de moins, » a déclaré dans une récente interview Phil Grove, directeur mondial des services de virtualisation de bureau pour l'utilisateur final chez CSC. Cette entreprise gère environ 1,2 million de postes de travail pour ses clients, dont quelques uns sous forme de bureaux virtuels. « Dans certains cas, la VDI peut même être plus rapide que les ordinateurs de bureau, selon le réseau et le datacenter, » a déclaré Phil Grove. Dans d'autres cas, en raison des besoins en bande passante et des capacités de traitement, il faut admettre que certains utilisateurs « auront toujours besoin d'un poste de travail. »
Illustration Microsoft, crédits D.R.
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Microsoft a récemment établi un partenariat avec Citrix afin d'offrir des solutions VDI. Mais le message de Gavriella Schuster conseille de n'utiliser la VDI que « dans des cas spécifiques. » Par exemple, la VDI va de soi quand les salariés ont besoin d'avoir accès à deux ordinateurs de bureau dans deux endroits différents. Il semble également logique pour la répartition du travail quand un seul PC est partagé par plusieurs employés. Son message va aussi à l'encontre de certaines hypothèses communément admises sur les avantages du VDI, notamment dans les utilisations professionnelles ordinaires : « certes, la VDI réduit les coûts en matériel, mais elle accroît les coûts en logiciels. Elle réduit les coûts d'assistance, mais augmente les coûts d'ingénierie, » fait valoir Microsoft.
Dans son interview, Gavriella Schuster indique également que Windows 7 « annule beaucoup de motifs » qui pourraient inciter les entreprises à envisager de passer à la VDI, en particulier avec leurs copies de Windows XP ou Vista. L'une des raisons pour lesquelles les gestionnaires informatiques ont été amenés à considérer la VDI, c'est qu'elle réduit le nombre de système d'exploitation différents à prendre en charge et à maintenir, puisqu'un seul OS peut être utilisé pour plusieurs clients. Mais la gestion image de Windows 7 a été simplifiée afin que les administrateurs n'aient pas à générer d'image pour chaque machine, réduisant de fait le nombre total d'images à maintenir. Seven offre également de nouvelles fonctionnalités pour aider dans la répartition des ressources et l'assistance à distance, deux autres points forts généralement attribués aux VDI.
(...)(11/05/2010 10:23:16)Selon une étude, 14% des Français pourraient acheter un iPad
Près de 8 Français interrogés sur 10 aimeraient pouvoir tester l'iPad, et 14% l'acheter, selon un sondage publié lundi 10 mai par la société Toluna, spécialisée dans les enquêtes en ligne. Globalement, les consommateurs sont encore partagés vis-à-vis de la tablette qu'Apple commercialisera en France à partir du 28 mai. Les personnes qui souhaitent acquérir l'iPad sont principalement motivées par l'accès au Web (60%), les emails (58%), les photos et vidéos (51%), la consultation de journaux et magazines numériques (46%), des livres électroniques (45%), et les applications (39%). Les réseaux sociaux ne sont un motif d'achat que pour 26% des sondés.
L'impression laissée par l'iPad aux Français est assez mitigée. 32% considèrent en effet que la tablette d'Apple est une simple évolution de l'ordinateur, 27% estiment qu'il s'agit d'une révolution, 18% d'un gadget, et 16% déclarent que l'iPad est un produit informatique comme un autre.
Cette enquête a été réalisée le 10 mai auprès d'un échantillon de 1.017 personnes âgées de 18 ans et plus.
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