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(05/05/2010 09:43:55)

Le cloud et le SaaS étendent leur périmètre applicatif

Le cabinet Markess dévoile - le même jour que CA et IDC - une étude sur le SaaS (software as a service), une notion désormais englobée, avec ses consoeurs IaaS (infrastructure) et PaaS (platform), dans celle du cloud computing. L'étude est basée sur 330 interviews menées en ligne au cours des deux derniers mois et complétée par les études menées par le cabinet en parallèle (stockage, sauvegarde, archivage ...). Rappelons également que PAC avait présenté une synthèse fort intéressante sur le sujet le 8 avril dernier et que le Syntec dévoilera son livre blanc sur la question à l'occasion du salon Datacenter Cloud Computing (au Cnit les 5 et 6 ami 2010)

Le premier enseignement est d'ordre quantitatif.  Le marché des services concernés par le cloud computing se montait à 1,200 milliard d'euros en 2008 en France, il va atteindre 1,860 milliard d'euros  en 2010 et passer à 2,730 en 2012. A l'intérieur de ce marché, c'est le SaaS qui progresse le plus.  Et à l'intérieur du SaaS, on retrouve d'année en année (de 2008 à 2010) le même groupe de tête, celui du collaboratif : messagerie, agenda partagé, gestion de projet, web conference. 

Derrière, figurait jusqu'alors les applications liées aux ressources humaines : gestion des recrutements des talents et de la paie. Entre 2010 et 2012, les applications liées à l'informatique de base : sécurité, sauvegarde, pilotage, supervision, tests, vont arriver au deuxième rang. C'est la grande nouveauté qualitative issue de l'étude. Deuxième donnée, la demande devrait se porter sur des applications transverses, mais utilisées en mode SaaS. Markess cite : la collaboration d'entreprise, les applications sociales, la communication vocale, les applications bureautiques, la gestion de contenu d'entreprise, l'analytique et le décisionnel.

 

Illustration : crédits D.R.

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(04/05/2010 17:35:20)

Bureaux virtuels : abondance et différences laissent perplexes

Leader du marché, Citrix Systems travaille dur pour déployer des bureaux virtuels dans des domaines que l'entreprise n'a pas toujours développé. A l'automne dernier, elle a mis sur le marché une version de sa solution Xen Desktop laissant à ses clients la possibilité de choisir une méthode de délivrance des applications parmi six disponibles. Juste derrière, son concurrent VMware, lui-même talonné par Microsoft et plusieurs fournisseurs d'add-on et d'intégrateurs Open-Source, proposent des solutions similaires. On  retrouve également en bout de chaîne, des offres de clients légers ou de « zéro client », comme Pano Logic ou NComputing. « Ajoutez à cela la possibilité offerte par des prestataires externes de type SaaS de délivrer des applications en streaming aux utilisateurs finaux, d'accéder à tout ou partie d'un bureau virtuel à partir du cloud via une plate-forme de service, d'héberger une machine virtuelle sécurisée dans un environnement personnel non sécurisé type iPad, smartphone et autres terminaux mobiles - et le choix devient très compliqué » explique Chris Wolf, analyste en infrastructure et en virtualisation chez Burton Group.

«La plupart des entreprises qui me parlent de bureau virtuel finissent par abandonner leur projet à cause des coûts, en particulier ceux relatifs aux licences qui, généralement, reviennent, à peu de choses près, aussi chers que de monter un PC complet en place d'un bureau virtuel » selon Roger Johnson, responsable technique pour Enterprise Systems Group auprès du revendeur de solutions audio / vidéo hauts de gamme Crutchfield Media.

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Il est intervenu lors du TechEd de Microsoft et a participé aux conférences VMWorld, pour expliquer qu'il a virtualisé des serveurs, mais pas des postes de travail chez Crutchfield. « Les licences Windows compatibles VDI annoncées par Microsoft le mois devraient néanmoins être plus attractives » a t-il déclaré.

Peu d'outils de test et un apprentissage lent

« Autre problème, les utilisateurs trouvent peu, voire aucun test de type benchmark permettant de comparer les performances des différents bureaux virtuels proposées par Citrix et VMware, sans parler de ceux vendus par les fournisseurs de cloud, » selon Brian Madden analyste indépendant, spécialisé dans les bureaux virtuels. Le mois dernier celui-ci a publié sur son site BrianMadden.com un rapport sur les Virtual Desktop Interface (VDI) qui « effleure à peine cette technologie » donnant tout juste l'avantage à Citrix face à VMware View pour la plupart des usages, « bien que l'expérience des deux fait plus penser à des applications composites qu'à des solutions abouties » dit-il.

« En 2008, à cause des coupes budgétaires et la nécessité d'équiper trois nouvelles écoles, la Montgomery Independent School au Texas a choisi Citrix à la place de Pano Logic, car celui-ci offrait une meilleure prise en charge graphique pour des applications spécifiques, » a déclaré George Thornton, directeur des opérations réseaux pour le groupe scolaire. Les coûts d'entretien étaient nettement inférieurs à celui d'un réseau de PC comparable, mais le projet a dû être élargi pour inclure trois serveurs tournant avec des solutions différentes, leurs applications virtuelles et la VDI, s'adaptant ainsi aux besoins particuliers des groupes d'utilisateur.

« C'est assez banal aujourd'hui, mais cela pourrait devenir inutile si l'évolution vers le cloud et les applications virtualisées continue au point d'amener les départements informatiques à se concentrer sur la création d'environnements virtuels personnalisés, de manière à donner à chaque employé le choix d'utiliser la solution qui lui convient le mieux, » dit Chris Wolf. « Un grand nombre de départements informatiques évoquent cette possibilité, mais ils la tiennent en réserve tant que la sécurité des bureaux virtuels n'aura pas fait ses preuves, » a dit Roger Johnson. « Le coût du projet, même s'il est faible, doit prendre en compte une période d'apprentissage, car personne ne veut avoir à payer quelques milliers de dollars pour chaque perte de carte de crédit ou pour la violation du Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPAA) » a t-il ajouté.

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