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Poste de travail

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(22/02/2007 18:31:14)

Google attaque MS Office dans les grandes entreprises

Avec le lancement mondial de sa suite logicielle Google Apps Edition Premium, l'éditeur américain Google ne se contente plus de vouloir proposer un ensemble d'outils bureautiques hébergés gratuits à des PME ou pour une utilisation personnelle. Ce sont les grandes entreprises qui sont cette fois visées. Non seulement pour l'usage de la messagerie Gmail et de l'agenda partagé, mais aussi pour celui des nouveaux outils de traitement de texte et de tableur en ligne (simplement nommés Document et Tableur, en français). Qu'on en juge. Ce matin, au siège de la filiale française, parmi les trois entreprises invitées à parler de leur projet autour de Google Apps, deux d'entre elles, Essilor et Nexans, comptent plus de 20 000 collaborateurs dans le monde, même si tous ne sont pas des utilisateurs potentiels des Google Apps. Et si la troisième, Médiamétrie, est une PME de 400 personnes, sa direction des systèmes d'information (DSI) ne rassemble pas moins de 70 personnes. Mais la perspective de gérer un nombre exponentiel d'utilisateurs n'effraie pas Google. Il se sent de taille. Et de citer en exemple, parmi les usagers pionniers de son offre, l'Université d'Arizona et ses 65 000 comptes de messagerie. 50 dollars par utilisateur et par an Sa nouvelle offre est d'ores et déjà disponible. Pour 50 dollars, par utilisateur et par an, on peut donc désormais exploiter en ligne l'Edition Premium des Google Apps (le prix en France devrait avoisiner les 40 euros). Outre les applications déjà citées, la suite comprend l'outil Start Page pour créer une page d'accueil, le logiciel Page Creator pour concevoir un site Web, la messagerie instantanée Google Talk, un antivirus et un antispam. La version Standard, gratuite, se distingue par un affichage publicitaire et son espace de stockage est de 2,5 Go par utilisateur contre 10 Go pour la version Premium. Mais les fonctions des deux suites sont exactement les mêmes. Il en existe une troisième, iso-fonctionnelle, pour l'éducation. Evidemment, l'offre destinée à la grande entreprise comporte la fourniture d'API (interfaces de programmation) qui lui permettront de s'intégrer aux annuaires d'entreprise ainsi qu'à d'autres applications. Des fonctions d'authentification unique (SSO, single sign on) peuvent également être mises en oeuvre. Pour les entreprises françaises conviées au lancement de l'édition Premium, le prix de l'abonnement reste un argument secondaire. Toutes trois s'apprêtent à lancer un projet pilote d'environ six mois pour juger concrètement des gains apportés par la solution. La principale inquiétude se concentre, comme on pouvait s'y attendre, sur les considérations de sécurité et de confidentialité des données. Celles qui seront gérées avec les Google Apps seront effectivement entièrement confiées aux bons soins de Google. Des outils de collaboration très attendus « Notre appréciation des gains sera plus qualitative que quantitative », prévoit Marc Guiraud, directeur technique d'Essilor (fabricant de verres correcteurs), pour qui le poste de travail sous Windows n'est actuellement plus à la hauteur de ce qu'on peut attendre. Adepte enthousiaste des logiciels de Google, il juge particulièrement claire l'interface de Gmail où s'affiche le fil des courriels reçus, livrant en un coup d'oeil l'historique des échanges. Julie Dorel, responsable des portails intranet et Internet du fabricant de câble Nexans, souligne de son côté le très fort besoin d'outils de collaboration entre les équipes sur le terrain, une nécessité également pointée par Essilor, les deux groupes intervenant sur plusieurs continents. Or, l'un des points mis en avant par Google sur sa suite applicative hébergée, c'est justement ses fonctions de travail en groupe. Le traitement de texte et le tableur permettent de modifier un document à plusieurs, en incluant une gestion des autorisations et des versions. Pour des collaborateurs dispersés à travers le monde, il est en outre intéressant de pouvoir, à partir de la même interface, consulter ses courriels, fixer un rendez-vous commun ou dialoguer sur le champ avec un collègue qui vient de se connecter, par l'intermédiaire de la messagerie instantanée Google Talk. Cette exigence de collaboration est partagée par la société de mesure d'audience Médiamétrie : « Le besoin de croiser les données augmente alors que nous travaillions autrefois par silos », explique son DSI, Jean-Marie Personeni. Pas de concurrence frontale, estime Microsoft Pour Microsoft France, comme pour Google d'ailleurs, cette offre en ligne ne vient pas concurrencer en frontal la suite bureautique MS Office, à la couverture fonctionnelle très étendue. Et lorsque l'on oppose à Fabrice Milhoud, responsable stratégie de Microsoft France, que la plupart des utilisateurs n'exploite qu'une faible partie des fonctions proposées dans Office, il avance la nécessité de répondre aux différents usages identifiés dans l'entreprise et aux demandes de toutes les catégories d'utilisateurs. Par ailleurs, il ne tient pas pour un avantage absolu le mode hébergé proposé par Google. « Avec MS Office Live, nous proposons une autre approche, plus complémentaire, en conservant une offre déconnectée et des outils en ligne pour l'enrichir. Nous pensons que, même demain, il n'y aura pas de monde purement online ». Il considère comme un inconvénient de devoir disposer d'une connexion Internet, pas toujours disponible, pour exploiter ses outils bureautiques de base. Même si, à l'inverse, Bill Gates évoque avec constance lors de ses interventions publiques un univers où l'on pourrait accéder constamment à ses données en ligne. (...)

(22/02/2007 12:36:24)

Bruxelles appelle à l'ouverture des fréquences pour l'UWB

L'Europe doit s'ouvrir dans les six mois à l'ultra-wideband (UWB) et aux périphériques liés à ce type de réseau sans fil. C'est le message que Bruxelles a envoyé aux 27 membres de l'UE ce 21 février, les enjoignant d'ouvrir leur spectre radio pour permettre l'usage de l'UWB par les 500 millions de consommateurs européens. Les périphériques UWB émettent et reçoivent des données en haut débit en utilisant une large partie du spectre (. La transmission ne requiert cependant qu'une très faible puissance, réduisant par conséquent les interférences avec les autres types de signaux. En tant que Bluetooth survitaminé, l'UWB pourrait être utilisé, par exemple, pour transmettre de la vidéo. Les Etats-Unis ont d'ores et déjà autorisé la transmission UWB sur la plage 3,1 - 10,6 GHz. Une plage qui inclut les fréquences 5-6 GHz, déjà utilisées par les réseaux WiFi 802.11a. L'approche de l'Europe est légèrement différente, en ce qu'elle repose sur une étendue de fréquences moindre. Théoriquement donc, tous les périphériques fonctionnant aux Etats-Unis ne pourront émettre et recevoir en Europe. L'appel lancé par la Commission pourrait cependant laisser l'opportunité aux constructeurs de mettre au point des produits adaptés aux deux côtés de l'Atlantique et reposant sur les fréquences communes aux deux continents. Le CeBit, qui se tiendra au mois de mars à Hanovre, donnera l'occasion aux constructeurs de présenter leurs produits utilisant la technologie UWB, des appareils photos aux disques durs, en passant par les imprimantes. (...)

(22/02/2007 12:35:20)

Navigateurs : Safari qui rit, Firefox qui pleure

Selon le baromètre Net Applications, la progression de Firefox sur le marché des navigateurs aurait enregistré en janvier un fléchissement. Son premier véritable ralentissement depuis mai 2006, précise l'étude. En janvier, Firefox représentait 13,67% du marché des navigateurs, en baisse par rapport aux 14% enregistrés en décembre. Et Net Applications d'ajouter que cela n'est pas une anomalie statistique, mais symbolise bien que Firefox marque le pas, au profit d'autres outils. Au total, Internet Explorer maintient la tête du classement avec 79,75% du marché, suivent Firefox et Safari, le navigateur de MacOS X qui enregistre la plus belle progression sur la période (4,70% du marché en janvier contre 4,24% en décembre). Il y a un an, Safari totalisait 3,1% du marché. Netscape et Opera se partagent, quant à eux, les troisième et quatrième place, avec respectivement 0,79% et 0,73% du marché. Pour Net Application, qui mesure également l'usage des OS des internautes, la progression de Safari est liée à la hausse des ventes de Mac sur la période. En janvier, les parts de marché d'Apple, selon son propre indice, atteignaient 6,2%, contre 5,7% en décembre. Windows XP occupant toujours 85% du marché. (...)

(21/02/2007 17:50:20)

L'OLPC XO sécurisé par un système d'activation à distance

L'OLPC (One Laptop Per Child) XO, ordinateur portable fruit du programme humanitaire éponyme du MIT, embarquera un système de protection contre le vol. Dans un document technique publié le 7 février sur le site du programme, Ivan Krstic, responsable sécurité du XO, explique qu'"à la demande de certains pays qui souhaitaient rejoindre le programme, le projet OLPC a fourni un puissant service anti-vol qui agira comme un agent de dissuasion contre les voleurs". Une annonce qui intervient alors que les premières écoles africaines (notamment celles de Libye, du Rwanda, d'Egypte et d'Ethiopie) ayant adhéré au programme doivent recevoir leur modèle dans le courant du mois. Le but du service, baptisé Bitfrost Security Platform, est de donner la possibilité de désactiver le portable selon certains scenarii. Pour cela, les pays participants doivent centraliser auprès d'une autorité nationale les numéros de série de chaque XO. Un identifiant qui sera contrôlé à intervalles réguliers (laissés à discrétion de chaque pays). Si le portable ne s'est pas reconnecté dans ce laps de temps, il sera alors verrouillé. Si le portable est déclaré volé, une fois connecté à Internet, il sera désactivé. La procédure reste réversible, indique le document, à condition de le réactiver. Selon les spécifications, le service de protection ne peut pas être désactivé, y compris en mode administrateur. Reste alors à résoudre les problèmes de connexions Internet plus qu'aléatoires dans les pays concernés par le programme, mais alors nécessaire à la maintenance du portable. (...)

(21/02/2007 17:43:50)

Microsoft livre des outils gratuits pour déployer Vista en entreprise

Afin de faciliter le déploiement de Vista chez les grands comptes, Microsoft vient de mettre en téléchargement gratuit six outils différents. Le premier, Microsoft Solution Accelerator for Business Desktop Deployment 2007 (BDD), est une mise à jour du guide des bonnes pratiques pour distribuer Vista et Office 2007 sur les postes de travail. Il inclut des applications pour créer une image-disque unique et déployer Vista et Office à distance. Le deuxième, Application Compatibility Toolkit (ACT) 5.0, vérifie que les différentes applications utilisées par le système d'information fonctionnent correctement sous Vista. Le troisième, Windows Vista Hardware Assessment, effectue les mêmes vérifications pour le matériel. Le quatrième outil, Volume Activation Management Tools (VAMT), et le cinquième outil, Key Management Service pour Windows Server 2003 (KMS), permettent, quant à eux, l'activation de licence en masse, sans obliger chaque poste à se connecter à Internet. Avec KMS, un seul numéro de licence suffit pour activer plusieurs postes, mais il faut que celui-ci soit renouvelé tous les 180 jours pour éviter que Vista passe en fonctionnement réduit. Or jusqu'à présent, seul un ordinateur utilisant lui-même Vista pouvait héberger la version bêta de KMS. En la rendant disponible pour Windows Server 2003, Microsoft lève un obstacle important au déploiement de masse de Vista en entreprise. Enfin, le dernier outil n'est autre que la version 2007 de Virtual PC. Celle-ci est plus particulièrement destiné aux utilisateurs de Vista Entreprise Solutions qui veulent installer d'autres versions de Windows conjointement à Vista sur un même poste. (...)

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