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(24/10/2008 16:43:34)

Microsoft se serre la ceinture pour affronter la crise

Malgré des résultats financiers conformes aux attentes du marché , Microsoft a présenté hier un plan pour braver la crise économique. Le géant de Redmond ne voit pas d'amélioration à l'horizon et préfère se mettre au régime dès à présent. « Nous ne pouvons pas contrôler l'économie mondiale mais nous pouvons contrôler nos propres performances » a indiqué Chris Liddell, directeur financier de la société. Avec ce plan, Microsoft espère alléger ses dépenses de 500 M$ pour le reste de l'exercice en cours, qui se termine le 30 juin 2009. Au menu : une réduction des dépenses dans tous les pôles considérés à priorité basse. Le marketing est particulièrement visé. La société a récemment déboursé 300 M$ en frais de marketing et de campagne de publicité pour Windows Vista qui n'a, de surcroît, jamais réussi à répondre aux attentes de Microsoft. Sont également concernés les investissements dans les centres de données et les frais généraux, notamment liés aux voyages (comme l'a fait SAP il y a quelques jours, suite à l'avertissement sur résultats). Moins de recrutements et Microsoft ne remet pas l'affaire Yahoo sur le tapis Microsoft met également un frein sur les recrutements. Ils ne seront pas gelés, mais ils seront sous les 15% atteints l'an dernier par l'éditeur. Pour attirer et retenir de nouveaux clients à la recherche de « faire plus avec moins » dans un climat économique difficile, le directeur financier a annoncé que Microsoft allait se concentrer sur la fourniture de « produits à valeur ajoutée mais à faible coût ». Il a cité des outils tels que le logiciel de virtualisation Hyper-V ainsi que des solutions de communication unifiées pour les entreprises. Chris Liddell n'a pas évoqué l'éventualité pour Microsoft de mettre sur la table une autre offre de rachat de Yahoo, alors que Steve Ballmer a récemment déclaré publiquement qu'un accord entre les deux sociétés « avait encore un sens économique » . (...)

(22/10/2008 17:15:09)

Le 'Saas' pèse déjà 6,4 Md$ selon Gartner

Le chiffre d'affaires du 'Saas' (software as a service) devrait dépasser les 6,4 Md$ cette année, selon Gartner. Le cabinet d'études estime que ce marché des applicatifs distants et utilisables à la demande a représenté 5,1 Md$ en 2007. La progression d'une année sur l'autre serait donc de 27%. Se projetant en 2012, Gartner voit le chiffre d'affaires atteindre 14,8 Md$. Gartner prend bien soin de distinguer le vrai Saas des offres de type ASP (Application service provider, fournisseur d'applications hébergées ou FAH en français), qui impliquent un contrat sur la durée, ou 'outsourcing' (externalisation) où c'est finalement l'informatique du client qui est gérée par un prestataire. « Parce que le Saas est à la mode », prévient Gartner, beaucoup de prestataires ont abusivement qualifié de Saas, ou informatique à la demande, ce type de service. Mais, précise Chris Pang, analyste principal, la vraie définition du Saas/onDemand, c'est la fourniture d'un service multi-utilisateurs, depuis un point distant via le protocole Internet (IP) et selon un contrat de souscription à l'usage. Les puristes ajoutent que la souscription à un service ou au contraire son arrêt doivent être immédiats. Même avec cette définition relativement restreinte, le marché du Saas est promis à un bel avenir dans les entreprises, estime Gartner. Les services à la demande répondent en effet à un besoin fondamental : accélérer la fourniture de fonctions aux utilisateurs tout en réduisant les coûts de mise en oeuvre. « Les inquiétudes du début sur la sécurité, les temps de réponse et la disponibilité ont diminué chez beaucoup d'entreprises, dans la mesure où les modèles économiques et techniques du Saas ont mûri, et où son adoption s'est généralisée », note Sharon Mertz, directrice de recherches. Gartner précise cependant que le Saas n'est pas la réponse idéale pour tous, et qu'il convient évidemment d'évaluer sa pertinence pour chaque besoin. Les outils de collaboration et ceux de gestion de la relation client dominent le marché du 'Saas' [[page]]Les catégories d'applications connaissant les croissances les plus rapides dans le Saas sont les suites bureautiques et les outils de création de contenu. Qui partent toutes deux de très peu, précise cependant Gartner. De 2007 à 2012, le marché de la bureautique à la demande (Google Apps, Adobe Buzzword, ThinkFree, Zoho...) pourrait connaître une croissance annuelle moyenne de 99,2%, le chiffre d'affaires atteignant 1,9 Md$ en 2012. De même, le marché de la création de contenu augmenterait de 96,1% par an, la communication des entreprises évoluant vers davantage de Web. Toutefois, tels des copayers dominant de leur haute stature la forêt brésilienne, ce sont les segments des outils collaboratifs et de la gestion de la relation client (GRC) qui devraient rester les piliers du Saas. Les outils de collaboration, de communication et de gestion de contenu représenteraient déjà 2,1 Md$ en 2008, et le chiffre d'affaires devrait plus que doubler d'ici à 2012, pour atteindre les 4,7 Md$. Côté GRC, le chiffre d'affaires devrait dépasser 1,7 Md$ en 2008, et 3,2 Md$ en 2012. (...)

(21/10/2008 16:38:40)

SQLI intègre les Google Apps avec le système d'information

Après avoir expérimenté et lui-même installé en interne les logiciels Google Apps, le groupe français SQLI propose maintenant des services d'intégration et d'accompagnement autour de la mise en place de ces outils de collaboration en ligne. Par rapport aux autres intégrateurs des applications bureautiques de Google, parmi lesquels figure Cap Gemini, SQLI peut ainsi s'appuyer sur son propre retour d'expérience, fait remarquer Guillaume Plouin, responsable de la veille IT du groupe, « en particulier sur tous les aspects de gestion du changement, d'adoption des solutions et de réaction de la DSI ». La résistance peut effectivement venir des départements informatiques qui ne voient pas toujours d'un bon oeil l'arrivée d'outils hébergés qui les court-circuitent quelque peu. SQLI a d'abord mis à l'épreuve l'agenda, le carnet d'adresses, le calendrier et les outils bureautiques de Google dans le cadre de son programme d'industrialisation de l'innovation 6mmx (bâti pour tester des technologies ou des applications innovantes avant de les proposer aux clients). « Google propose aussi du stockage de fichiers et de vidéos « qui s'apparente à un YouTube privé », rappelle Guillaume Plouin. Sans oublier Google Apps Engine pour développer des applications et les héberger sur la plateforme de Google. Ou encore Google Site, présenté comme un outil de wiki, utilisé comme espace de partage documentaire dans le cadre de projets. Intégration autour des API de Google SQLI a déployé les Google Apps auprès d'une centaine de ses collaborateurs. D'ici à la fin de l'année, le déploiement devrait concerner les 2 000 salariés du groupe. Parmi les prestations proposées par la SSII autour de ces applications figure l'intégration avec le système d'information de l'entreprise, par le biais de trois interfaces de programmation développées par Google. D'une part, l'API de provisionning qui permet à une entreprise de créer un compte chez Google quand un nouveau collaborateur arrive et de le supprimer à son départ ; « une mise en oeuvre qui n'a rien de trivial », souligne Guillaume Plouin. D'autre part, une API de synchronisation permettant de relier le calendrier de Google à d'autres calendriers, MS Outlook, notamment. Enfin, l'API de reporting qui servira à établir des statistiques d'utilisation des Apps. Outre son offre d'intégration et de gestion du changement, SQLI a élaboré un plan de migration vers les Google Apps ; un plan en plusieurs étapes (pilote, expérimentation, déploiement progressif) qui inclut la synchronisation d'applications sensibles telles que la messagerie. (...)

(21/10/2008 10:58:21)

Le président d'Oracle montre l'intérêt d'associer CRM et réseaux sociaux

Chez Oracle, on estime que la place prise par les communautés et les réseaux sociaux dans la gestion de la relation client (GRC, CRM en anglais) est suffisamment importante pour que Charles Phillips (photo), le président de l'éditeur américain, se déplace en personne à Paris pour ouvrir la conférence Oracle Executive CRM Summit 2008 (20-21 octobre), ciblée sur l'utilisation des technologies Web 2.0 dans la GRC. Cette année, le fournisseur a lancé pour les directions commerciales et marketing trois applications qui s'appuient sur le principe du réseau social. Sales Prospector, Sales Campaign et Sales Marketing permettent respectivement de déterminer (grâce à des fonctions de datamining) les produits qu'un portefeuille de clients est susceptible d'acheter, d'augmenter les taux de retour des campagnes marketing et de constituer plus facilement des documentations commerciales. Le tout en partageant des contenus et en s'appuyant sur des tags, commentaires et notations sur la pertinence des documents partagés, émis par des intervenants internes ou externes à l'entreprise. Oracle utilise notamment les interfaces de programmation (API) Open Social, de Google, pour se connecter aux réseaux sociaux externes compatibles, tels que LinkedIn ou Ning, et y récupérer des informations (après acceptation des internautes concernés). « Le client veut maintenant engager la conversation » Or, il ne va pas de soi d'adopter dans l'entreprise des usages qui se sont pourtant répandus sur le Web très rapidement, de façon virale. Devant 150 clients et prospects venus d'une vingtaine de pays européens, et après avoir justifié la stratégie d'acquisitions d'Oracle qui vise à constituer rapidement un catalogue applicatif étendu, Charles Phillips a donc cherché à démontrer l'intérêt et la pertinence d'utiliser les technologies du Web 2.0 dans les applications de CRM. « Nous sommes progressivement passés d'un CRM gérant les transactions à un CRM analytique. Le client veut maintenant 'engager la conversation' », déroule le dirigeant. Avec ses trois nouvelles applications, l'éditeur entend donc répondre à cette invitation, voire la stimuler. Et de citer la propre expérience d'Oracle qui a déjà créé de nombreuses communautés, pour ses développeurs (OTN), ses partenaires (Oracle PartnerNetwork) et désormais ses clients (Oracle Mix), le tout complété de nombreux wikis et blogs alimentés par ses collaborateurs et dirigeants. Sales Prospector suit Amazon et Sales Library, FlickR [[page]] « Si vous recherchez une des vingt premières marques mondiales sur Google, 30% des liens affichés sur la première page sont reliés à un site de type réseau social », a rappelé de son côté Anthony Lye, vice-président senior pour l'offre Oracle CRM, soulignant l'importance prise par ces médias d'échange. Cet expert de la relation client, ancien vice-président de Siebel, distingue trois types de réseau social : celui sur lequel se retrouvent les consommateurs, celui qui répond à un besoin de productivité et, enfin, celui qu'un fournisseur ouvre pour créer un lieu d'échanges avec ses clients. Pour concevoir ses trois offres de Social CRM, Anthony Lye reconnaît qu'Oracle s'est largement inspiré de ce qui marchait déjà très bien sur le Web. Selon lui, Sales Prospector emboîte ainsi le pas à la librairie en ligne Amazon - qui analyse les goûts de ses clients. Sales Campaign s'apparente au site Evite qui propose d'envoyer des cartes d'invitation (18 millions d'utilisateurs enregistrés). Quant à Sales Library, il suit les traces de FlickR, célèbre site de partage de photos. L'iPhone remplace la carte de fidélité chez Body Shop Mais le vice-président reconnaît aussi que la plupart des entreprises ne sont pas encore prêtes pour les applications de CRM suscitant et exploitant les interactions clients. Un accompagnement est nécessaire. « Nous travaillons de façon étroite avec les premiers clients qui adoptent ces solutions », précise-t-il. Il y a néanmoins de vrais pionniers sur ce terrain. Parmi eux, Anthony Lye cite le Français L'Oréal qui, sur sa filiale Body Shop, met en place une application de fidélisation de clientèle permettant à ses clients équipés d'iPhone d'utiliser leur mobile Apple comme carte de fidélité pour numériser les codes barres des produits achetés et recevoir des bons de réduction. (...)

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