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(28/10/2008 16:18:38)
Avec OpusUna, IBM imagine le futur du travail collaboratif en ligne
IBM a présenté lors du salon AjaxWorld RIA de San Jose la semaine dernière ses travaux en matière de solutions de 'webconférence', ou travail collaboratif en ligne. Le projet, baptisé OpusUna, ne sera mis entre les mains des utilisateurs qu'en 2009, mais il donne déjà un aperçu de ce que le groupe de technologies Internet émergentes d'IBM essaie de faire - un « outil de collaboration de nouvelle génération [...] où les gens interagissent d'une façon très différente ». Les outils de travail collaboratif sur Internet existent déjà depuis longtemps et en grand nombre. Mais plutôt que les technologies de type tableau blanc ou 'webinar' (séminaire en ligne) offertes par les solutions professionnelles de type Genesys Conferencing ou WebEx (racheté par Cisco), le projet d'IBM se rapproche plus d'un Google Apps ou d'un Microsoft Sharepoint, avec la possibilité d'agir à plusieurs sur un document et de converser en audio/vidéo. L'idée, explique David Boloker, directeur technique du groupe Emerging Internet Technology Software d'IBM, est « d'étendre le concept Ajax afin de permettre des interactions multiples entre utilisateurs ». Le projet est dérivé de QEDwiki, projet de wiki simple et rapide à mettre en place (qui a cédé depuis la place à IBM Lotus Mashups), auquel IBM a voulu ajouter des fonctions de communication. (...)
(28/10/2008 15:03:53)Trimestriels SAP : un bénéfice net en recul de 5%
Finalement, les ventes de logiciels réalisées par SAP sur son troisième trimestre fiscal (échu le 30 septembre) se situent très légèrement au-dessus des estimations révisées à la baisse que l'éditeur allemand de PGI (progiciels de gestion intégrés) avait communiquées début octobre, à la suite d'une « chute très soudaine et inattendue » de ses ventes, intervenue en fin de trimestre. Mais son bénéfice net recule de 5% sur la période, à 388 M€, par rapport au troisième trimestre 2007, ce qui a contribué à faire chuter le cours du titre SAP de plus de 9% -dernière cotation, 24,36 euros à 14 h 15 (30,22 dollars à la fermeture du New York Stock Exchange hier soir). Le bénéfice par action sur le trimestre s'établit à 41 cents, contre un consensus de 40 cents. La maintenance progresse de 20% sur le trimestre Sur ce troisième trimestre, le fournisseur a réalisé un chiffre d'affaires de 763 M€ (+7%) sur ses ventes de licences (ses prévisions révisées début octobre annonçaient entre 740 et 750 M€, à comparer aux 850 M€ attendus jusque là par les analystes). Sur l'ensemble des ventes de logiciels et services associés, incluant cette fois les revenus de la maintenance, le chiffre d'affaires s'établit à 1,99 Md€ (+15%). A noter que les seuls revenus de la maintenance ont augmenté de 20% sur le trimestre, à 1,17 Md€ (contre 975 M€ sur le 3e trimestre 2007). Quant aux revenus issus des prestations de conseil, ils ont augmenté de 13%, à 617 M€. +4% sur les ventes de licences en zone EMEA A l'image des résultats enregistrés ces derniers trimestres par l'ensemble des acteurs de la IT, c'est dans la région Asie Pacifique que SAP réalise sa meilleure progression sur ses ventes de licences sur les trois mois écoulés : +18% à 139 M€. Sur ce poste, le continent américain ne progresse que de 6%, à 280 M€ et la zone Europe, Afrique et Moyen-Orient de 4%, à 344 M€. Sur le chiffre d'affaires global, la progression est plus équilibrée : +16% sur la zone EMEA, à 1,44 Md€, +11% pour le continent américain, à 954 M€ et + 14% en Asie Pacifique/Japon, à 363 M€. Henning Kagermann veut préserver la marge opérationnelle [[page]] Quelques jours après son avertissement sur chiffre d'affaires, SAP n'avait pas tardé à annoncer un programme de réduction des coûts, notamment le gel de ses embauches. Un programme qui a bien démarré, selon Henning Kagermann, co-PDG de l'éditeur allemand. Le dirigeant se voit néanmoins contraint à revoir à la baisse ses prévisions sur les résultats de l'année 2008. Il prévoit maintenant une marge opérationnelle autour des 28% quand il espérait 29% en juillet. Henning Kagermann souligne toutefois qu'il s'agit pour SAP du 19e trimestre consécutif enregistrant une croissance à deux chiffres sur les ventes de licences et de services associés, que les clients continuent à investir dans leurs produits et que le modèle économique de SAP est flexible : « Nous nous focalisons sur la préservation de notre marge opérationnelle et de nos gains », confirme le dirigeant dans un communiqué. Il affirme que l'approche adoptée a permis à l'éditeur de traverser d'autres cycles économiques difficiles dans le passé et d'en sortir avec un leadership renforcé. Un bénéfice net en recul de 11% sur les neuf premiers mois de l'année Sur les neuf premiers mois de l'année 2008, SAP a réalisé un chiffre d'affaires global de 8,07 Md€ (+15%), suivant les normes US GAAP. Les ventes de logiciels et services ont pesé 5,79 Md€ (+17%) et les strictes ventes de licences, 2,28 Md€ (+15%). Sur la période, le bénéfice net a en revanche reculé de 11%, à 1,03 Md€ par rapport aux neuf premiers mois de 2007 (1,17 Md€). (...)
(28/10/2008 12:55:59)Google s'investit dans les énergies renouvelables
Google s'intéresse de plus en plus aux des énergies renouvelables, qu'il considère comme une « opportunité d'affaires potentielles » comme le rapporte le New York Times. Il faut dire que dans une de ses études, Gartner et le WWF ont épinglé l'Américain comme l'un des plus gros consommateurs d'énergie du secteur IT. Le géant de la recherche en ligne veut apparemment en finir avec cette réputation de pollueur planétaire. Pour soutenir ces efforts, Google a embauché des ingénieurs - dont un ancien astronaute de la Nasa - qui planchent sur les énergies renouvelables. Il souhaite aussi développer des outils pour guider les utilisateurs qui cherchent à diminuer leur consommation d'énergie. A cet effet, Eric Schmidt et Jeffrey R. Immelt, PDG de Google et de General Electric, ont annoncé qu'ils allaient travailler ensemble sur des moyens d'améliorer le réseau de distribution de l'électricité. Avec la crise, les investisseurs pourraient néanmoins freiner les ardeurs « green » de Google [[page]]Il a récemment présenté son plan Clean Energy 2030 dans le cadre de google.org, son unité philanthropique. De la même manière, HP, qui vient de terminer l'installation de 6 526 panneaux solaires pour alimenter 10% des besoins électriques de son usine de San Diego, Google mise aussi sur ce type d'énergie. Il souhaite voir la part de l'électricité produite de cette manière passer à 12%. La récession économique ainsi que la légère baisse du pétrole pourrait toutefois bouleverser le calendrier de bonnes résolutions de Google. Les investisseurs pourraient en effet freiner les ardeurs du mastodonte d'Internet dans sa quête de green et le pousser à se consacrer à des projets plus urgents. (...)
(27/10/2008 17:50:42)Avec CloudView, le moteur d'Exalead se mue en brique technologique
Pour Exalead, éditeur français de moteur de recherche, le développement de la gamme CloudView constitue une évolution majeure de son offre. « Nous changeons de plateforme et nous focalisons sur de nouveaux marchés », décrit le PDG François Bourdoncle, co-fondateur de la société en 2000. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Cloudview n'a rien à voir avec le cloud computing. Le nom de l'offre fait référence au « nuage de données » qui environne l'utilisateur professionnel, tant dans l'entreprise (bases et applications internes) qu'à l'extérieur du pare-feu (systèmes d'information partenaires et données du Web). L'objectif est de transformer ces informations diffuses et réparties, accessibles dans des environnements hétérogènes et cloisonnés, en informations structurées, directement exploitables par les applications. « On passe d'un monde où le moteur de recherche est une application à un monde où il devient une brique technologique permettant d'étendre la portée et la souplesse des applications métiers », explique François Bourdoncle. Une version OEM pour les éditeurs [[page]]La gamme CloudView se décline en deux versions. La première, CloudView Search, s'adresse au marché traditionnel d'Exalead, les entreprises, « avec des couches basses qui restent dans la lignée de ce que nous proposions, notamment une capacité à indexer énormément de documents », précise le PDG d'Exalead. Il insiste sur les temps réduits de déploiement de l'offre et sur sa capacité à répondre aux contraintes de haute disponibilité. Le produit propose une administration centralisée de grappes de serveurs. L'autre version, CloudView OEM, vise les éditeurs, avec un produit sans interface utilisateur, uniquement accessible par API, permettant d'accéder à 100% des capacités du moteur. Une version qui sera directement commercialisée aux Etats-Unis. 25% des entreprises utilisent Exalead pour des applications en ligne Actuellement, 75% des clients d'Exalead utilisent le moteur de recherche sur leurs données internes, à l'intérieur de leur pare-feu. Les 25% restants exploitent le produit pour des applications en ligne (ViaMichelin, notamment). François Bourdoncle souligne l'intérêt d'intégrer les données propriétaires avec les informations du Web pour offrir un meilleur service au client. L'éditeur français réalise aujourd'hui la moitié de son chiffre d'affaires dans l'Hexagone et le reste en Europe et aux Etats-Unis. Il compte 170 clients. (...)
(27/10/2008 15:43:04)Autodesk en passe d'acheter les technologies 3D de Softimage
Fidèle à sa stratégie de croissance externe, l'éditeur de logiciels de création multimédia et de PLM Autodesk annonce vouloir s'offrir Softimage. Il vient en effet de signer un accord avec Avid Technology pour le rachat de la quasi-totalité du groupe Softimage. Avid avait lui-même acheté l'éditeur à Microsoft en 1998. La transaction devrait se monter à 35 M$ en espèces. Par cette opération, Autodesk enrichit encore son catalogue de technologies 3D dont il fait désormais sa vitrine. Le Canadien Softimage est spécialisé dans le développement de ce type d'environnements pour le cinéma, la télévision et les jeux vidéo. L'acquisition soutiendra en premier lieu la stratégie de jeux d'Autodesk et servira de complément à son offre de produits de divertissement numérique et de communications visuelles. Mais depuis le début de l'année, l'éditeur s'emploie aussi à travailler àproposer une plus grande synergie au niveau des outils 3D entre son entité « media et divertissement » d'un côté, et ses autres activités à destination de l'industrie par exemple. Autodesk Media et Divertissement propose des solutions d'animation, d'effets visuels, de montage, de finition et d'étalonnage des couleurs pour le marché de la 3D. En toute logique, il devrait donc continuer de développer et de commercialiser la principale gamme de produits de Softimage, tout en intégrant certaines des technologies dans les prochaines versions de ses propres solutions. Parmi les logiciels qui intéressent Autodesk se trouvent : l'animation 3D Softimage XSI (modélisation, animation, rendu et développement 3D), Softimage Face Robot pour la création et l'animation de visages 3D, le système avancé SOFTIMAGE Cat d'animation de personnages pour 3DS Max d'Autodesk et l'outil d'interopérabilité Softimage Crosswalk. (...)
(27/10/2008 10:28:29)Sage recrute et forme des consultants ERP
« Nous avions besoin d'un écosystème plus large pour notre ERP X3 et notre suite financière FRP » indique Christophe Letellier, directeur général de la division moyennes et grandes entreprises de Sage. L'éditeur a donc étendu à quarante le nombre de ses intégrateurs certifiés. Dix autres sont en cours de signature. Un intégrateur, Micropole Univers, et une SSII, Logica, ont même fait de X3 leur ERP de référence. Pour ces partenaires intégrateurs, Sage a lancé plusieurs initiatives et d'abord, en termes de gestion de compétences. L'éditeur a mis en place, au mois de juin dernier, des certifications spécifiques. Fin septembre, 116 consultants étaient certifiés chez les partenaires intégrateurs de Sage. 170 consultants internes de Sage le sont également. Le programme « Partenaires puissance Sage » permettant de recruter et de transformer des spécialistes de comptabilité et finance en consultants informatiques ERP (sur 2 000 heures de cours, deux tiers de la formation se font sur le consulting, un tiers sur le produit). X3 se développe à l'international [[page]] X3 se développe également à l'international. Depuis début septembre, il est distribué en Allemagne, le plus grand marché d'Europe. Au total, 35 pays le commercialisent. C'est un vecteur de développement pour Sage. Contrairement aux autres produits de Sage qui sont, pour des raisons fiscales et réglementaires, essentiellement nationaux, X3 peut être facilement adapté à des marchés étrangers. L'offre a été développée en France par une équipe R&D de 270 personnes réparties sur Annecy, Bordeaux, Grenoble, Paris, Sophia-Antipolis. Les équipes chargées de X3 et FRP comptent au total 800 personnes en France et 500 à l'étranger. X3 enrichi avec des offres d'autres éditeurs Pour accroître les fonctionnalités de X3, Sage a aussi décidé d'intégrer les produits d'autres éditeurs très spécialisés. C'est ainsi que Assetium fournit sa solution de PLM (product lifecycle management), Osis des outils de manufacturing system, et PréActor une solution de gestion de planning. X3 fait aussi appel aux solutions de GED de ReadSoft et de Docubase. Ces nouvelles fonctions seront disponibles en 2009 avec la nouvelle version de X3. Celle-ci permettra également de recourir davantage aux services web et comprendra une gestion d'entrepôts et une partie RH. La suite financière FRP bénéficiera elle aussi d'une nouvelle version. (...)
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