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(17/10/2008 16:47:11)
SAP ouvre une place de marché pour les solutions de ses partenaires
A l'occasion de sa conférence technologique TechEd de Berlin (14-16 octobre), SAP a annoncé l'ouverture d'une place de marché, SAP EcoHub, permettant de rechercher, par secteurs d'activité, des solutions partenaires certifiées qui s'appuient sur ses applications de gestion intégrées et les complètent. Ce canal de distribution permet d'entrer directement en contact avec les fournisseurs de ces offres afin d'obtenir démonstration, compléments d'informations et propositions commerciales. Les solutions sont réparties sur vingt-quatre secteurs d'activité (automobile, produits de consommation, high tech, chimie, télécommunications, santé, secteur public, sciences de la vie, services professionnels...). On peut aussi effectuer ses recherches par catégories d'applications : PGI, gestion de production, gestion de la relation client, des fournisseurs, des actifs, du cycle de vie des produits ou de la chaîne logistique. SAP EcoHub fournit un accès aux communautés constituées autour des applications de l'éditeur allemand : SAP Developer Network (SDN), Business Process Expert (BPX) et la communauté Business Objects. SAP investit dans le réseau d'intégration d'entreprises de Crossgate Sur TechEd Berlin, SAP a par ailleurs annoncé qu'il avait investi dans la société Crossgate AG qui a constitué un réseau d'intégration permettant aux entreprises de rester connectées avec leurs partenaires en utilisant leur mode de communication habituel (EDI, Web, télécopie, courriel, RFID, GPS, SMS). Crossgate, qui propose des services de facturation et de signature électroniques et d'automatisation de processus, a développé pour les utilisateurs d'applications SAP un service 'on demand', B2B 360°, qui leur permet d'établir une communication électronique directe avec quelque 40 000 partenaires. (...)
(17/10/2008 15:22:54)Cegid va s'allier à des sociétés de conseil pour toucher les grands comptes
Cegid a discrètement annoncé une évolution majeure de sa stratégie commerciale. A l'instar de beaucoup d'éditeurs de logiciels, Cegid privilégiait jusqu'à présent ses propres équipes de consulting qui, d'une manière ou d'une autre, entraient en concurrence avec plusieurs centaines de consultants. Désormais, l'éditeur de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) change de logique et « bascule » vers l'indirect dans le domaine du conseil. « Cette décision est fondée sur un constat simple : nous ne pouvons pas tout faire nous-mêmes et affirmer que nous disposons de toutes les compétences, analyse Florence Desprets, directrice de la nouvelle entité Alliances & Partenariats de Cegid. Auparavant, nous avions l'habitude de nous associer à des partenaires en fonction des opportunités commerciales ; désormais, il s'agira d'alliances pérennes et systématiques ». De la PME vers les grands comptes, avec des compétences métiers élargies Cegid a décidé voilà déjà plusieurs années d'étendre son champ d'action traditionnel (les PME) vers les grandes entreprises. L'éditeur a depuis constaté qu'il ne pourrait pas y parvenir sans formaliser ses partenariats avec les consultants et les SSII. « Il ne s'agit pas uniquement de pouvoir travailler avec les grandes entreprises, précise Florence Desprets, l'objectif est également de couvrir un plus grand nombre de compétences métiers. Cela passe à la fois par des partenariats et par des acquisitions ». De fait, Cegid vient d'acquérir à quelques jours d'intervalle les éditeurs VCS Timeless (secteurs mode et retail) et Civitas (collectivités). « Nous aurons finalisé à la fin de l'année une cartographie des secteurs d'activité que nous voulons adresser, poursuit Florence Desprets. Chaque fois que nous mettrons en place un partenariat, ce sera notamment pour construire ensemble un business plan. Pour préciser cette démarche, nous réunirons les partenaires potentiels lors d'un forum qui devrait avoir lieu en janvier 2009 ». Cegid veut en effet aller vite : ces nouveaux partenariats sont censés être opérationnels dès le printemps prochain. (...)
(17/10/2008 10:38:05)SAPexpert.eu aide à recruter des indépendants spécialistes de SAP
Parmi les exposants partenaires de l'USF lors de sa convention annuelle (Tours, 15-16 octobre), la plate-forme SAPexpert.eu, du cabinet Conseils Plus, disposait d'un stand pour présenter ses services. Cette place de marché permet à des entreprises ayant besoin de compétences ponctuelles sur SAP de recruter aisément un indépendant. Rechercher les indépendants en fonction des modules SAP Les freelances s'inscrivent sur la place forme en se qualifiant par rapport à chaque module SAP. Les entreprises en demande peuvent alors chercher un indépendant en fonction des modules sur lesquels il devra intervenir, de critères annexes (langue pratiquée...) et de la période visée. Pour 750 euros, SAPexpert.eu fournira jusqu'à cinq contacts. Charge ensuite au client et aux indépendants sélectionnés de se rencontrer pour finaliser la transaction. La plate-forme ne se rémunère pas sur le montant facturé, quelque soit la durée de la mission, ou sur les prises ultérieures de contact en direct entre cet indépendant et l'entreprise qui est désormais son client. A l'issue de la mission confiée via la plate-forme, le client est appelé à évaluer l'indépendant employé. Les autres clients potentiels peuvent donc juger de la pertinence de recourir aux services de cet indépendant. (...)
(16/10/2008 16:47:47)Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée
Pour les 900 clients de SAP qui viennent de se réunir à Tours (15-16 octobre), la convention annuelle de l'USF (utilisateurs de SAP francophones) a abordé deux sujets majeurs : l'intégration de l'éditeur Business Objects au catalogue de SAP et la hausse du tarif des contrats de maintenance. Suite à la nervosité des clients de SAP sur la décision récente de l'éditeur de majorer le coût de son support, le Sugen, qui réunit la plupart des clubs SAP à travers le monde, a lancé en septembre une enquête pour sonder les utilisateurs sur cette évolution. Toutefois, les résultats, encore en cours de consolidation, ne seront communiqués par les clubs nationaux que début novembre. L'offre BW sera maintenue au moins quinze ans Lors de son intervention, Pascal Rialland, DG de la filiale française de SAP, a préféré longuement détailler le rachat de Business Objects, peu conflictuel, et ne consacrer que quelques minutes au sujet plus délicat de la maintenance. La fusion juridique entre BO et SAP a eu lieu en février 2008. SAP a rapidement voulu rassurer ses clients sur l'avenir de son propre module décisionnel BW et sur le futur de son offre en matière de décisionnel. La business intelligence sera clairement développée désormais uniquement sur BO, qui gardera sa transversalité et sa capacité à se connecter à des produits non-SAP, mais BW sera maintenu au moins quinze ans, permettant ainsi une migration en douceur au fil des besoins métier réels. Beaucoup de clients estiment ne pas utiliser à fond la maintenance standard [[page]] La disparition, le premier janvier prochain, de l'offre de maintenance dite « standard » à 17% du coût initial des licences et son remplacement d'office par une offre à 22%, dite « enterprise support », passe plus difficilement. Même si Pascal Rialland a voulu démontrer à quel point la mariée était belle : des conseillers accessibles en permanence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, une prise en charge sous une heure avec un premier correctif sous quatre heures en cas de besoin, un engagement de niveau de service pour la solution SAP installée... Sans préjuger des futurs résultats de l'étude du Sugen, beaucoup de clients disent déjà ne pas utiliser tout ce que leur apporte l'offre « standard ». Ils estiment donc que l'augmentation de services est inutile pour eux et qu'elle génère un surcoût important. Devant la presse, le DG de SAP France a voulu se justifier davantage en mentionnant que certains clients, visiblement inconscients, ne voulaient pas couvrir convenablement par une maintenance de bon niveau leur installation SAP alors même que celle-ci était critique pour leur activité, obligeant (moralement ?) SAP à délivrer un service non-payé en cas de crash. Les mesures d'économie de SAP sans impact sur les clients, assure Léo Apotheker [[page]] En fin d'après-midi de cette première journée, Léo Apotheker, co-PDG de SAP, a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur pour apaiser les tensions Leo Apotheker a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur en fin de première journée pour apaiser les tensions sans vraiment apporter d'information nouvelle. Il a beaucoup insisté sur l'absence d'impact pour les clients de SAP des mesures d'économies décidées au sein de l'éditeur (dont des mesures sur l'emploi) et sur la solidité de l'entreprise. Rendant également un hommage appuyé à « l'écosystème SAP », Léo Apotheker a défini le réseau de partenaires de l'éditeur comme une des raisons de son succès. Après tout, il est vrai que, dans un écosystème, il y en a qui mangent et d'autres qui sont mangés, surtout si leur activité de maintenance est assurée par un éditeur en mal de prestations complémentaires pour justifier ses augmentations de tarif. « L'ancienne maintenance ne correspondait plus à notre monde » A propos de la nouvelle maintenance, Léo Apotheker a souligné qu'elle proposait une couverture globale de la « plate-forme » SAP, y compris les applicatifs non réalisés par SAP (notamment les personnalisations). « L'ancienne maintenance, celle de l'époque de R/3, ne correspondait plus à notre monde où la flexibilité et la complexité sont la règle » a-t-il indiqué. Et la nouvelle maintenance comprendra un outil qui tracera les impacts des patchs afin de ne pas obliger à des tests de non-régression complets à chaque évolution ou correction mineures. Mais cette approche « un seul service pour tout le monde » fait beaucoup grincer des dents parmi les utilisateurs et les dirigeants de l'USF ne se cachent pas de leur souhait d'un retour de l'éditeur à une variété dans son offre de maintenance, pour s'adapter aux besoins de chaque client. (...)
(16/10/2008 15:47:13)Trimestriels : la crise n'épargne pas Cegid
A l'instar d'autres acteurs IT, l'éditeur de progiciels de gestion intégré Cegid voit ses résultats baisser au cours du troisième trimestre de l'année. Le chiffre d'affaires est en léger repli à 53,8 M€ contre 54,2 M€ un an avant (-0,75%). Sur neuf mois, le CA parvient tant bien que mal à se maintenir à 169 M€ (+1,3%). Le pôle matériels et installations est toujours en déclin (-6% pour le trimestre). Sur neuf mois, ce pôle a vu ses revenus passer de 17,9 M€ à 14,5 M€, soit une baisse de 19%. L'activité licences et services d'intégration auparavant rentable enregistre également une baisse de l'ordre de 6% au cours du troisième trimestre. Les autres services (conseil, formation et déploiement) continuent de progresser. Les rachats expliquent la baisse des résultats [[page]]L'éditeur lyonnais explique ces résultats par un « ralentissement de l'activité au mois de septembre et des décalages de décisions et d'investissements » ainsi que par les derniers rachats qu'il a réalisés (VcsTimeless pour se conforter dans la distribution et Civitas dans les collectivités territoriales et les établissements publics). L'éditeur estime que sur l'ensemble de l'année son excédent brut d'exploitation (Ebitda) ne devrait pas souffrir des remous économiques, sans toutefois donner de chiffres. (...)
(15/10/2008 16:05:14)Microsoft et Oracle livrent un record de rustines le même jour
Hier mardi noir pour les responsables informatiques : Microsoft et Oracle ont mis à disposition leur jeu respectif de rustines. Les deux éditeurs y ont inclus des rustines jugées critiques pour la sécurité. Chez Microsoft, cette livraison mensuelle ne compte pas moins de onze rustines qui corrigent vingt failles de sécurité. Quant à la fournée trimestrielle d'Oracle, elle corrige trente-six bogues. Le prochain mardi où les hasards du calendrier conduiront Microsoft et Oracle à mettre à disposition leurs rustines le même jour, sera le 13 janvier 2009. (...)
(15/10/2008 15:53:37)SAP gèle ses investissements et ses recrutements
Les temps sont décidément durs pour SAP. Selon un blog du Wall Street Journal, les co-PDG de la société Henning Kagermann et Leo Apotheker ont annoncé dans un mail adressé aux salariés que la société entrait dans une période de vaches maigres. Ce mail fait suite à l'avertissement sur résultats publié la semaine dernière par SAP. Henning Kagermann parlait alors d'une « chute très soudaine et inattendue » de l'activité, intervenue à la fin du troisième trimestre, clos le 30 septembre dernier. Dans leur mail, les deux dirigeants expliquent que ce ralentissement se répercutera de deux manières, au niveau des effectifs et des investissements. Gel des embauches et des dépenses matérielles et logicielles [[page]] Les emplois temporaires seront supprimés, les postes vacants ne seront pas remplacés et les embauches seront complètement gelées. Toutes les dépenses matérielles et logicielles seront examinés à la loupe avant d'être approuvées. Les restrictions concernent également les voitures de fonction et les projets de voyage professionnel. SAP a supprimé les formations en externe, et les réunions se feront uniquement dans les bâtiments de l'éditeur, pour éviter de devoir louer des locaux. (...)
(14/10/2008 17:34:28)Forrester dessine l'ERP étendu du 21e siècle, repeint au Web 2.0
Au-delà des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP -enterprise resource planning), la mise en place d'une nouvelle catégorie d'applications d'entreprises est désormais nécessaire, juge Tim Harmon, de Forrester, dans son étude du 3 octobre intitulée « Un nouvel ERP pour le 21ème siècle » (publiée avec Peter Burris et Zachary Reiss-Davis). Sous l'appellation EERM (extended-enterprise resource management), les analystes décrivent des logiciels qui viennent compléter les systèmes traditionnels de gestion des ressources en apportant des fonctionnalités permettant de coordonner, reconnaître et optimiser le travail de « l'actif le plus convoité d'une entreprise : ses collaborateurs ». Les cadres dirigeants sont confrontés à de nouveaux modèles économiques, impliquant de nouvelles ressources. Un nouveau système de gestion des ressources Depuis les années 90, les PGI et, dans leur sillage, les solutions de gestion de la chaîne logistique, ont été conçus pour optimiser des combinaisons complexes de ressources (données financières, matières premières, inventaires, immobilisations...) afin d'améliorer l'efficacité du service aux clients. Par la suite, les éditeurs de ces solutions (SAP, Oracle, puis Microsoft, Lawson, Infor...) ont largement étendu leurs offres autour de l'ERP avec la gestion des actifs (EAM), de la relation client (CRM), de la relation fournisseur (SRM), de la gestion du cycle de vie des produits (PLM), souvent par le biais d'acquisitions. PPM, BPM, PLM, wikis, réseaux sociaux et blogs [[page]] Mais, que ce soit l'ERP ou les applications qui l'entourent, il s'agit toujours de fonctions destinées à gérer les transactions et les opérations au jour le jour. Et, pour les analystes de Forrester, ce ne sont pas celles qui permettent aux managers de prendre en compte la gestion des transformations : « L'économie de la connaissance, qui s'appuie sur les outils du Web 2.0 (communauté, collaboration...), requiert un nouveau système de gestion des ressources. » Sans remettre en cause l'ERP, les outils qui prennent la main en ce moment sont ceux qui permettent de faire remonter cette connaissance que le Web a rendue omniprésente et transparente. Pour Tim Harmon, les solutions d'EERM couvrent quatre axes. Elles doivent permettre d'améliorer la gestion des collaborateurs (cela inclut les outils de gestion des RH, des projets - PPM - et des processus métiers - BPM), de la propriété intellectuelle (ce qui inclut la remontée d'idées, la gestion du cycle de vie des produits - PLM - et les wikis), la gestion des relations (analyses des remontées clients, chaîne logistique, réseaux sociaux et blogs) et celle de la marque (surveillance de la marque et gestion du marketing). Si ces solutions ont vocation à complémenter l'ERP, en revanche, Forrester estime qu'elles ne peuvent pas s'appuyer sur la même plateforme : « les EERM seront construits sur un socle de collaboration », juge Tim Harmon. Mais ces architectures-là n'en sont encore qu'à leur début, estime l'analyste. (...)
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