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(14/10/2008 16:00:07)
Teradata dévoile un gestionnaire de données capable de traiter jusqu'à 50 petaoctets
A l'occasion de sa conférence Teradata Partners qui se tient à Las Vegas cette semaine, Teradata a annoncé son appliance Teradata Extreme Data Appliance 1550, une appliance de datawarehouse qui peut être configurée en grille pour stocker jusqu'à 50 Po de données. Le produit est vendu à partir de 16 500 $ par To de données. Il s'adresse aux utilisateurs cherchant un moyen relativement économique de conserver toutes leurs données dans un même entrepôt, plutôt que de les archiver ou de les supprimer. Teradata s'intéresse entre autre au marché des télécommunications, avec de larges volumes d'appel. « Le 1550 devrait encore renforcer Teradata dans le très haut de gamme du datawarehouse en terme d'évolutivité, insiste James Kobelius, analyste pour Forrester Reseach, mais il lui permettra aussi de cibler l'entrée de gamme avec une solution aussi abordable en termes de prix que Sybase, Greenplum, Dataupia et quelques autres - et beaucoup moins cher que les appliances d'Oracle, IBM et Netezza ». Reste à savoir, comme le note l'analyste, comment Teradata évitera de cannibaliser son offre plus chère. Stocker de façon plus accessible les données importantes [[page]]Teradata annonce aussi que la prochaine version de sa base de données, Teradata 13, inclura 75 nouvelles fonctions dont la virtualisation de stockage, qui permettra aux utilisateurs de stocker des données souvent utilisées ou récentes sur des parties plus rapides du disque. Cette technologie est une extension de la technologie « multi-température » de Teradata. « Mais la nouvelle virtualisation de stockage permet aussi aux utilisateurs d'exploiter différents types de supports . Il propose un niveau de granularité qui descend au niveau du bloc et permet de stocker les données les plus récentes au plus près de l'axe du disque », selon Scott Gnau, directeur du développement chez Teradata. La bêta de la base Teradata 13 est attendu au quatrième trimestre avec une version finale dans la première moitié de 2009. Teradata prévoit aussi la démonstration d'un prototype d'une appliance qui utilise du SSD en lieu et place des disques durs classiques. Il devrait s'agir d'une système à deux noeuds basée sur une appliance existante qui utilize 128 Go de SSD. Le prix de la machine n'a pas été dévoilé. Un système qui devrait, selon Teradata, devenir une option viable pour la plupart des enterprises entre 2010 et 2011. Et bientôt du SSD... [[page]]Le constructeur a aussi annoncé un prototype de plateforme analytique utilisant des disques SSD à 128 Go. Celui-ci ne serait pas commercialisé avant 2010 ou 2011. Enfin la société a promis quelques 75 évolutions dans sa base de données y compris un système de virtualisation de stockage pour conserver les données « chaudes », plus souvent utilisées, sur des disques plus rapides. Cette base de donnée, Teradata 13 sera disponible en beta au dernier trimestre 2008, et en version finale avant juin 2009. (...)
(13/10/2008 16:44:03)Hausse de la maintenance SAP : Forrester suggère des parades
Alors même que SAP vient de supprimer le choix entre ses contrats de maintenance Basic et Premium pour ne proposer qu'un contrat annuel unique à 22% (du prix des licences achetées), il ressort d'une étude publiée par Ray Wang, vice-président de Forrester, que de nombreux clients de l'éditeur s'interrogeaient déjà sur ce que leur apportait leur contrat de base à 17%. Parmi les 200 clients interrogés par le cabinet d'étude, 80% décrivent en effet une utilisation minimale de ce contrat Basic. Le client moyen contacte SAP moins de six fois par an, ce qui revient pour lui à souscrire une assurance très complète mais rarement mise à contribution. Les entreprises se plaignent aussi à Forrester du temps qu'il faut à SAP pour prendre en compte leurs demandes de nouvelles fonctionnalités. « Les clients pensent que la contribution versée à SAP pour la maintenance doit servir à combler les manques fonctionnels de l'offre, indique le rapport de Ray Wang. Pourtant, on trouve pléthore d'exemples de fonctionnalités clés ayant été réclamées deux à quatre ans plus tôt par de nombreux clients -d'un même secteur d'activité ou de secteurs différents- qui n'ont pas été livrées dans SAP R/3 4.7, pas plus que dans SAP ERP 6.0. » Selon Forrester, les entreprises aimeraient savoir dans quelles proportions leur contribution annuelle est réellement réinvestie dans le développement. Faire baisser le prix des licences, évaluer la concurrence [[page]] Pour contrebalancer la hausse du coût de la maintenance, les clients devraient chercher à obtenir des réductions supplémentaires sur le prix des licences, estime Forrester. Une autre tactique pourrait consister à mettre sur pied une stratégie de « contention » de SAP incluant une surveillance de ce que font les autres éditeurs. Le cabinet indique qu'une partie des entreprises qu'il a interrogées avait, par exemple, commencé à évaluer les solutions de gestion de la relation client (CRM) d'Oracle/Siebel ou de Salesforce.com. Les clients peuvent aussi s'enquérir des solutions de support externes. Rimini Street, par exemple, créé par le fondateur de ToMorrow Now (qui a causé et cause encore tant de tracas à SAP), avait annoncé son intention d'offrir une alternative de maintenance moins coûteuse autour des applications SAP. Mais celle-ci n'est pas encore disponible et ne devrait de toute façon concerner que les applications R/3. Sur tous ces points, le rapport de Forrester contredit donc quelque peu l'argument avancé par SAP qui établit que, même si les clients répugnent à voir leur facture augmenter, ils savent reconnaître la valeur d'un nouveau service. En France, l'USF, club des utilisateurs francophones de SAP, devrait communiquer, dans les jours ou semaines qui viennent, les résultats de l'enquête menée auprès de ses adhérents sur la hausse du tarif de maintenance. L'USF tient sa convention annuelle à Tours mercredi prochain 15 octobre, en présence de Léo Apotheker, fondateur de la filiale française et désormais co-PDG de SAP. (...)
(10/10/2008 10:12:52)Sage cherche à recruter en région
Les implantations régionales de Sage sont largement concernées dans ses recrutements. La moitié d'entre eux, l'an passé et pour l'année à venir, est effectuée en région. Sachant qu'une année chez Sage, au plan fiscal, commence début octobre, l'année passée s'est achevée au 30 septembre dernier. Elle s'est conclue sur un chiffre de 500 recrutements, celle qui commence arrivera au chiffre de 350. Sur ces 350 postes, Sage compte en recruter le tiers dans les services (assistance dans la mise en place des produits), le quart dans les activités commerciales, 20% en R&D. 40% auront moins de deux ans d'expérience, une moitié d'entre eux sortiront des écoles. Sur la région nord et est par exemple, Sage compte des implantations très diverses. Une agence commerciale à Lille est animée par des commerciaux et des consultants techniques, une dizaine. Mais à Metz, l'éditeur compte 200 personnes, une petite partie dans une agence commerciale mais l'essentiel dans trois activités avec des équipes techniques. Il s'agit de R&D (développeurs, chefs de projet, ingénieurs de développement) et de techniciens-conseil chargés d'accompagner les clients par téléphone. A Strasbourg enfin, Sage dispose d'une petite équipe de développement sur son CRM. Forte représentation de Sage dans l'Est Trente personnes ont été recrutées l'an passé sur cette région. On pourrait s'étonner d'une telle présence dans l'Est, en particulier sur Metz. L'historique explique cette forte implantation. En 1992, Sage rachète Saari, qui lui-même venait de racheter à Metz un autre éditeur : Microland. Les produits de Microland, essentiellement des logiciels de comptabilité (gamme Maestria), ont participé à la naissance de la ligne 100 de Sage. De Saari, il reste la partie paie de cette même comptabilité 100. Il reste surtout l'établissement de Metz, qui continue de maintenir les produits de Sage et d'en développer de nouveaux. [[page]] Toute la France est ainsi parsemée d'implantations de Sage, qui, pour une bonne part sont l'objet de recrutements. En Rhône-Alpes, c'est à peu près le même schéma que dans l'Est, avec trois implantations : Lyon, Annecy, Grenoble. 25 recrutements sont intervenus l'an passé, soit en commercial à Lyon, soit en développement, cette fois sur des ERP, dans les centres d'Annecy et de Grenoble. Sur les autres régions, les implantations et les recrutements sont moins importants. Dans le sud est, Sage a recruté 25 personnes sur son agence commerciale de Aix-en-Provence qui assure les services d'assistance pour la comptabilité. Sage compte une centaine de personnes à Toulouse sur des profils de : techniciens conseil, et R&D. Dix recrutements sont intervenus sur l'exercice 2007/2008. Près de Bordeaux, à Mérignac, c'est 30 recrutements qui appuient l'équipe assurant les développements sur les gammes MGE (moyennes et grandes entreprises), du commercial et du conseil technique. C'est également le siège d'API et de la future branche TPE que constitue Sage à partir de ce rachat. Tours représente 35 recrutements l'an passé sur Cogestib, un produit de gestion de la distribution automobile. Ce site compte au total 200 personnes, fruit là aussi d'un rachat. Sage enfin commence à s'implanter sur le grand ouest en commercial sur Nantes, en conseils techniques sur les Sables d'Olonnes et Brest. 20 recrutements ont été enregistrés en 2007. La DRH raisonne par grandes régions et dispose d'un responsable en local pour chacune d'elles. Utile pour assurer les contacts locaux et des recrutements en étant présent sur tous les salons et tous les forums. Utile également pour déployer l'autre plan de recrutement de Sage, celui concernant les partenaires : le PPS, Partenaires Puissance Sage, dans lequel l'éditeur les aide à trouver des commerciaux. (...)
(09/10/2008 18:22:07)Atos ouvre un centre de compétences ECM à Sophia-Antipolis
Atos Origin inaugurera demain vendredi 10 octobre un centre de compétences ECM (gestion de contenu en entreprise) à Sophia-Antipolis. Ce Business Innovation Center sera installé au sein du bâtiment Millenium que la SSII possède depuis plus de 15 ans dans la technopole européenne, et où travaillent déjà 300 personnes. Avec ce centre, Atos veut conforter son positionnement sur un marché qu'il considère en pleine croissance. « Le volume de données stockées par les entreprises double tous les 18 mois et la gestion de ces flux est de plus en plus complexe », indique Jean-Marc Djian, responsable du site Atos à Sophia. La SSII possède 1000 consultants ECM en Europe, dont 200 en France et 80 à Sophia. Un centre de R&D mais aussi de démonstration et de maquettage [[page]]Ce centre de compétences est à la fois destiné aux partenaires éditeurs et aux clients finaux d'Atos. Avec les premiers (comme IBM Software, Open Text, EMC ou encore Microsoft), la SSII compte plancher sur des projets communs, afin de bâtir des solutions interopérables, en s'appuyant sur des standards comme le tout récent CMIS (content management interoperability services), par exemple, ou le modèle OAIS (Open Archival Information System) pour l'archivage. « Les entreprises sont de plus en plus souvent éclatées en agences et doivent jongler avec des infrastructures informatiques hétérogènes, souligne Jean-Marc Djian. Les éditeurs vont devoir davantage interfacer leurs solutions. » Atos souhaite également profiter du centre pour développer des solutions verticalisées, destinées à des cibles particulières, comme le secteur public, la finance, l'assurance et l'industrie. Quant aux clients d'Atos, ils auront la possibilité de venir dans les locaux pour découvrir les meilleures pratiques et les nouvelles technologies, tester les solutions ou encore maquetter des projets. « In fine, l'objectif consiste à proposer à nos clients une offre ECM globale, allant du conseil jusqu'aux services », précise Jean-Marc Djian. Atos présentera son centre demain à une soixantaine de partenaires et clients. Cinq ateliers leur seront proposés au courant de l'après-midi, avec pour thèmes la chaîne de dématérialisation, la pérennisation des données, « platform as a service » - où comment l'ECM se dirige vers le 2.0 -, la migration et l'archivage. (...)
(08/10/2008 12:17:03)IBM ouvre ses services collaboratifs et un réseau social d'entreprise en mode cloud
En toute logique, après avoir construit un réseau de centres serveur réservé au cloud computing, IBM commence à proposer des services sur ces infrastructures aux entreprises utilisatrices comme aux intégrateurs. La vitrine de cette nouvelle offre s'appelle Bluehouse, un condensé de réseau social à la Facebook et de travail collaboratif basé sur les différents logiciels Lotus. A partir de ces outils, les entreprises sont censées pouvoir construire très facilement des extranets de travail avec leurs fournisseurs et leurs clients. Par rapport à des réseaux sociaux classiques, ces logiciels sont néanmoins assortis de systèmes d'administration adaptés pour assurer un minimum de confidentialité aux échanges entre entreprises. Pour l'instant, les services Bluehouse restent en versions bêta et en anglais, et ils sont accessibles gratuitement. Des services de partage de documents et de scan des sites Web visités IBM va proposer quatre autres services dans son offre. Lotus Sametime Unyte servira à organiser simplement des conférences Web et à échanger des documents entre participants sans installer de logiciel sur un serveur local. Sametime Unyte sera intégré avec Lotus Notes et Lotus Sametime, et sera facturé à la demande ou à partir de 48 $ par mois. IBM Rational Policy Tester OnDemand, lui, est destiné à scanner automatiquement le contenu des sites Web visités pour vérifier qu'ils sont conformes aux politiques de sécurité de l'entreprise. Sur le même modèle IBM Rational AppScan OnDemand déboguera à distance les applications Web. Ces deux services seront proposés contre un abonnement annuel dont le prix n'a pas été communiqué. Enfin Telelogic Focal Point permet de répertorier les différents logiciels déjà présents dans l'entreprise en indiquant où ils se trouvent et comment ils sont utilisés. (...)
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