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(21/04/2008 09:31:25)

Une plateforme collaborative pour les entrepreneurs de l'Ouest francilien

La chambre de commerce et d'industrie de Versailles, du Val d'Oise et des Yvelines (CCIV), vient d'ouvrir une plate-forme collaborative à destination des chefs d'entreprise de l'Ouest francilien, et des collectivités territoriales et locales. Ecobiz permet aux acteurs économiques des Hauts de Seine, du Val d'Oise et des Yvelines d'assurer une veille économique en ligne et de partager leurs pratiques professionnelles, en accès gratuit. Cette solution packagée, développée avec le logiciel KnowledgeManager de Knowings, associe une méthode d'animation de communautés d'entreprises et un portail collaboratif d'information et de services. Côté contenu, la plateforme propose des informations juridiques, des données sur l'économie nationale et régionale, des pistes sur la formation, l'intelligence économique, et l'environnement, et des indications sur les démarches nécessaires à la création et à la transmission d'entreprise. Des bases de connaissances (ressources documentaires, indicateurs économiques, fiches pratiques et dossiers thématiques en ligne) sont également à disposition des utilisateurs qui peuvent y apporter leurs propres contributions. Un agenda économique local les tient informés des réunions d'information, manifestations et événements de la CCIV. En parallèle, il est possible d'obtenir des conseils d'experts en ligne, ainsi qu'une sélection d'appels d'offres publics et privés. Egalement à disposition des adhérents, un annuaire de contacts (rassemblant un peu plus de 1 000 sociétés et 2 000 membres), ainsi que des réseaux thématiques, destinés notamment aux managers de l'environnement, aux jeunes entreprises, et à la création/transmission/reprise d'entreprises. (...)

(21/04/2008 11:42:41)

Nexedi dote les PME d'un ERP en ligne

En septembre dernier, Nexedi a ouvert l'accès à ERP5 Express, une version hébergée de son progiciel de gestion intégré développé en Open Source. L'abonnement était alors fixé à 15 euros par mois. Désormais, l'éditeur français permet d'accéder gratuitement en ligne à cette version d'ERP5 qui a été spécifiquement pré-configurée pour les petites et moyennes entreprises. Parallèlement, il propose des services de formation, d'assistance, de conseil et de configuration à la demande.

« ERP5 est gratuitement téléchargeable depuis 2001, mais auparavant les utilisateurs devaient l'installer et le configurer eux-mêmes, ce qui n'est pas évident pour les PME ne disposant ni de compétences informatiques internes ni de ressources financières suffisantes pour faire appel aux prestations de service », indique Jean-Paul Smets, PDG de Nexedi. D'où la mise en place de cette offre hébergée accessible en ligne. L'éditeur utilise sa technologie ERP5 Wizard pour configurer le progiciel dans des délais réduits, tant les plans comptables que les rôles d'utilisateurs.

ERP5 Express comporte des modules de comptabilité, de négoce et de gestion de la relation client (GRC), auxquels s'ajoutent des fonctions de gestion des documents et des connaissances et, bientôt, des outils de paie.

(...)

(18/04/2008 14:41:33)

Oracle renchérit dans l'affaire SAP/TomorrowNow

Oracle a l'intention de déposer une nouvelle plainte contre SAP dans la procédure pour vol d'informations imputé à TomorrowNow, filiale de l'éditeur allemand. Le fournisseur américain compte mettre à jour une nouvelle série de comportements illégaux, « différents et même plus graves » que la conduite décrite dans la plainte initiale. Rappelons qu'en mars 2007, Oracle a accusé SAP et sa filiale TomorrowNow d'avoir illégalement téléchargé sur ses serveurs des documents liés à la maintenance des progiciels de gestion Oracle e-Business Suite. Pour les avocats de SAP, Oracle gonfle exagérément sa plainte et cherche à allonger la procédure, en se servant de ses conclusions comme de communiqués de presse. Des dirigeants de SAP savaient, selon Oracle Sur la base de récentes dépositions, le plaignant déclare maintenant que des collaborateurs de TomorrowNow auraient téléchargé des applications d'Oracle, et pas uniquement des documents liés à leur maintenance, et les auraient utilisées, notamment pour former ses employés. Oracle dit aussi que des dirigeants de SAP auraient pu être au courant. L'éditeur allemand n'a accepté qu'à contrecoeur de repousser encore une fois la date du procès d'un an, en février 2010, Oracle disant avoir besoin de temps pour poursuivre ses recherches. SAP souhaitait parvenir à un règlement à l'amiable et, à plusieurs reprises, ses avocats ont vivement regretté qu'Oracle réclame des délais supplémentaires pour des recherches sans fin. Ils demandent au juge qu'Oracle explique, de façon factuelle, comment la conduite de SAP a causé du tort à son activité. (...)

(18/04/2008 09:41:30)

Tibco Spotfire s'ouvre un peu plus aux applications composites

Un an après son rachat par Tibco, Spotfire livre une mise à jour de sa solution d'analyse de données, désormais dénommée Tibco Spotfire 2.1 et dotée de nouvelles interfaces de programmation (API) pour étendre les capacités d'applications composites (mash-up). Comme prévu, l'éditeur est resté autonome vis-à-vis de son acquéreur, tant au niveau de l'organisation que du développement et cette version ne comporte encore aucune intégration avec les outils de gestion des processus métiers de Tibco. Rappelons que ce dernier avait motivé son rachat de Spotfire par son intention d'ajouter des capacités d'analyse de données au sein des processus métiers. Chargement des données en mémoire Placé par le Gartner parmi les éditeurs visionnaires du marché du décisionnel, Spotfire met en avant ses capacités de visualisation interactive et de manipulation rapide des données, ces dernières étant rapatriées en mémoire sur le poste client. Une démarche qui rapproche son offre de celle d'un éditeur comme le Suédois Qlikview, dont le logiciel fait depuis quelques mois une percée sur le marché. L'application de Spotfire peut être prise en main par l'utilisateur non informaticien, qu'il soit spécialiste ou non de l'analyse de données. Originellement proposée en mode client/serveur, elle permet maintenant de consulter les rapports sur le Web ou de les adresser par courriel aux équipes nomades qui les explorent en mode déconnecté. Pour illustrer les nouvelles capacités d'applications composites, Olivier Nuzzo, responsable des ventes chez Spotfire, cite en exemple un service commercial qui pourrait associer une liste de clients à une application permettant de les localiser sur une carte afin d'optimiser le plan de visite. « La volonté technologique de Spotfire est d'être très ouvert afin de laisser nos clients intégrer les applications qui leur semblent les plus pertinentes », explique-t-il. (...)

(17/04/2008 09:33:14)

RGI : Bercy voudrait imposer Microsoft Office aux administrations

La nouvelle a fait le tour des administrations d'Etat durant la journée du 16 avril 2008 : le Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI), bloqué depuis le 12 octobre 2007, devient brutalement une urgence pour la DGME (Direction générale de la modernisation de l'Etat). Le RGI, mis au point par une large collaboration de toutes les administrations sous l'égide de la DGME, définit précisément les règles de bonne gouvernance des systèmes d'information des administrations, tant en termes de méthodes que de technologies, notamment de formats de fichiers. Marc Meyer, chef de service « Développement de l'Administration Electronique » de la DGME, a reconnu dans une communication interne le 16 avril 2008 que le blocage était directement lié à un gros défaut de conception du RGI : le seul format bureautique accepté était OpenDocument (ODF, norme ISO 26300). Exit Microsoft et sa suite Office 2007, utilisant le format Office OpenXML. Inacceptable pour l'éditeur américain... qui finance et multiplie les partenariats para-publics (notamment dans l'Education nationale et la Recherche). Marche arrière toute : désormais, les formats OpenDocument et Office OpenXML seront traités à égalité dans le RGI. Le prétexte du changement de politique est la récente normalisation du format OpenXML défendu par Microsoft dans les conditions que l'on sait sous la référence ISO 29500. [[page]] Mais l'égalité suppose que toutes les administrations soient en mesure de traiter (en entrée, en sortie et en interne) les deux formats bureautiques au lieu du seul OpenDocument, ce qui est aujourd'hui impossible sans acquérir Microsoft Office 2007. Cela sans oublier que le véritable format ISO 29500 est aujourd'hui une vue de l'esprit puisque Microsoft Office 2007 n'implémente qu'une version d'OOXML préalable à celle qui a été normalisée, Microsoft ayant accepté d'amender sa copie. Pas de confirmation officielle à la DGME Si la modification du RGI n'est pas encore actée, le sujet devant être traité par des réunions interministérielles et tranché aux très prochaines Assises du Numérique, elle est évidemment le fruit d'une grande bataille d'influence entre les différents acteurs du marché informatique (Microsoft et quelques rares alliés d'un côté ; IBM, Google, Sun et les acteurs du logiciel libre de l'autre). Le point semble donc a priori marqué par Microsoft. A noter que, pour des raisons juridiques, le RGI ne pourrait pas être imposé aux collectivités locales et territoriales, dont l'autonomie est garantie par la Constitution. Il en résulte que celles-ci ne pourraient qu'opter volontairement (même incitées fortement) pour le respect des règles de bonne conduite du RGI. Mise à jour Contactée par mail avant l'écriture de l'article (service communication et sous-direction concernée), la DGME n'a pas répondu à nos questions. Relancés par téléphone, les opérationnels ont refusé de commenter nos informations et la direction de la communication très sèchement de même. Selon des sources proches du dossier, l'ambiance interne de la DGME serait pour le moins animée suite aux fuites à la base du présent article. (...)

(15/04/2008 16:55:23)

SQLI et le Britannique Xype créent une joint-venture

La SSII française SQLI et l'anglaise Xype ont décidé d'allier leurs compétences au sein d'une joint-venture. Baptisée GEIE Xype-SQLI, elle sera contrôlée à parts égales par les deux partenaires. Elle a pour vocation de renforcer l'accompagnement des clients européens des deux sociétés, et du groupe EADS en particulier. SQLI apportera son expertise Internet, ses nouvelles offres SAP - elle dispose d'un pôle dédié depuis le rachat du cabinet EoZen en décembre 2007 - et de décisionnel. La SSII a également structuré ses méthodes CMMI (Capability maturity model integration), qui visent à améliorer les processus des sociétés de services en termes de délais, de gestion des projets, de gouvernance... Elle est certifiée CMMI 3 et compte déployer les niveaux 4 et 5 à l'ensemble de ses agences (22 en tout). SQLI couvrira la France, l'Espagne et le Maroc. Xype de son côté est spécialisé dans le conseil, l'intégration et la formation autour des environnements de PLM (Product Lifecycle Management), de la CAO (conception assistée par ordinateur)et des SGDT (système de gestion des données techniques). La SSII se chargera des projets en Grande-Bretagne et en Allemagne. (...)

(14/04/2008 16:30:30)

Deloitte livre son Top 10 des tendances technologiques de 2008

Quelles seront les grandes tendances technologiques de 2008 ? Deloitte apporte ses réponses sous la forme d'un Top 10, publié dans un PDF gratuit d'une vingtaine de pages. L'analyse établie par le cabinet, « à partir de recherches et de l'expérience de ses 6000 experts, de ses clients, d'analystes et d'acteurs mondiaux du secteur », met notamment en avant trois thèmes qui impactent directement les entreprises. Deloitte rappelle d'abord que le format d'échange de données financières XBRL (Extensible Business Reporting Language) fêtera cette année son dixième anniversaire, et qu'il a une maturité telle qu'il devrait être largement déployé et rendu obligatoire par les principales grandes puissances économiques. Le cabinet appelle donc les entreprises à s'y préparer, car cela impactera non seulement leur système informatique, mais aussi les compétences en interne et les processus. Côté compétences, justement, Deloitte conseille aux grandes entreprises de se préoccuper de la formation des employés aux environnements mainframe. Dans un chapitre intitulé « Gérer les compétences lorsque l'héritage devient l'avenir », Deloitte explique que les mainframes continuent de très bien se porter. « Chaque jour en 2008, on s'attend à ce que les mainframes réalisent 30 milliards de transactions, représentant 70% des données d'entreprise dans le monde », écrit Deloitte. Et de noter que la base installée croît de 5% par an. Mieux, le marketing écologique, très tendance en ce moment, serait de leur côté : « la consommation d'énergie, mesurée en nombre de Watts par transaction, est plus faible que tout autre type de serveur ». En conséquence, il faut d'urgence former des administrateurs et des développeurs rompus à ces environnements. Et au besoin rappeler les anciens pour des emplois à temps partiel, préconise Deloitte. Pas de précipitation vers la virtualisation Deloitte cite encore la virtualisation comme une des grandes tendances de 2008. Toutefois, « alors que 2007 était caractérisé par une ruée pour tester ou déployer», Deloitte estime qu'un peu de prudence sera de mise cette année. Le cabinet appelle les entreprises à ne pas se précipiter, et à bien évaluer où la virtualisation peut leur être bénéfique, à la fois en termes de technologie mais aussi de coût. Sans cela, indique Deloitte, les clients risquent de mauvaises surprises lorsque les éditeurs leur présenteront la facture. De même, Deloitte prévient qu'il vaut mieux être sûr de pouvoir bien gérer un parc de serveurs virtualisés, en expliquant que ce n'est pas parce qu'ils sont virtuels que les serveurs n'existent pas. Autrement dit, il pourrait être simple, faute de processus d'administration suffisamment aguerris, de sombrer dans un chaos générateur de coûts inutiles. L'écologie et la sauvegarde de l'environnement font bien sûr aussi partie de ce Top 10 des tendances technologiques. Deloitte explique par exemple que 2008 pourrait être l'année où les diodes électro-luminescentes (LED) remplaceront les ampoules à incandescence classiques, qui présentent un faible ratio énergie consommée / lumière délivrée, et contiennent en outre du mercure. Deloitte note que dans la mesure où les LED font partie de la famille des semiconducteurs, elles devraient bénéficier de la loi de Moore, et voir leur prix de production divisé par deux tous les dix-huit mois. Les nanotechnologies, meilleures amies de l'environnement, selon Deloitte [[page]] Deloitte estime que 2008 pourrait aussi être l'année des nanotechnologies. Ou du moins l'année d'une meilleure compréhension si les fabricants se donnaient la peine de mieux informer le public, inquiet, note Deloitte, des risques de dissémination incontrôlée de nanoparticules, ou d'autres risques pour la santé. Or, précise Deloitte, les nanotechnologies peuvent être bénéfiques à l'environnement, lorsqu'elles sont employées pour purifier de l'eau, par exemple, ou pour remplacer les piles classiques par des batteries de longue durée. Développement durable toujours, Deloitte lance un appel aux fournisseurs de technologies face aux pénuries d'eau potable. Expliquant qu'il s'agit là d'un formidable défi - mais aussi d'une grande opportunité - Deloitte incite les industriels à trouver des moyens plus économes en énergie de désaliniser l'eau, et des moyens plus économes en eau de pratiquer l'agriculture. Deloitte s'intéresse aussi à l'internaute-consommateur, estimant que l'anonymat, naguère de règle sur Internet, devrait laisser de plus en plus la place à un environnement où chacun s'identifiera, pour une sécurité accrue. De même, un nouvel équilibre commercial devrait être trouvé pour la collecte d'informations personnelles par les sites gratuits. Enfin, l'explosion de la quantité de données créée et gérée par chacun va conduire, indique Deloitte à l'émergence de nouveaux services de protection et de récupération des données. Une opportunité, note le cabinet, pour les fabricants de PC aux marges déclinantes de proposer des services à valeur ajoutée. Green IT, réseaux sociaux et homme bionique en 2007 En 2007, le rapport de Deloitte (ou plus précisément, la branche Technology, Medias & Telecommunications de Deloitte Touche Tohmatsu) avait identifié : la prise de conscience écologique et la montée des solutions 'vertes' ; la progression d'interfaces utilisateurs recourant à la voix ou aux gestes ; la nécessité tant pour les entreprises que pour les particuliers de mettre en place des politiques de stockage en fonction du coût relatif des supports ; les déploiements de plus en plus fréquents de systèmes biométriques ; la prise de conscience chez les consommateurs que le gratuit n'est pas forcément le plus confortable ; la nécessité pour les industriels de se prémunir contre le vaste niveau de fraude à la TVA en Europe ; l'importance de se focaliser sur les besoins non comblés des consommateurs, les nouvelles technologies permettant tout et n'importe quoi ; l'attention à porter aux réseaux sociaux, afin de les rendre le plus rapidement possible générateurs de revenus ; le besoin de réduire la facture énergétique des appareils électroniques et de trouver des sources d'énergie alternatives ; et enfin le début d'un débat de société qui pourrait à terme déboucher sur « l'homme bionique ». (...)

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