Flux RSS
Progiciels
2426 documents trouvés, affichage des résultats 1461 à 1470.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(14/04/2008 13:53:39)
Les Google Apps à l'assaut du million d'utilisateurs de Salesforce
Un pas de plus vient d'être franchi par Salesforce et Google, grands zélateurs des logiciels en ligne, dans la mise en commun de leurs forces. En juin 2007, après plusieurs années de partenariats, une première offre combinée (centrée autour des Google AdWords) laissait augurer d'un pacte applicatif plus musclé dans les mois suivants. C'est chose faite. Cette fois, avec Salesforce for Google Apps, les deux éditeurs mettent les outils bureautiques de Google au sein même des applications de gestion de la relation client (GRC) de Salesforce, de façon librement accessible puisque la version de base des Google Apps est gratuite.
Ce faisant, le géant des moteurs de recherche entre en contact avec un million d'utilisateurs potentiels parmi lesquels certains, bien sûr, ont déjà recours à sa suite de productivité et de collaboration (traitement de texte, tableur, messagerie instantanée, agenda, calendrier...). Rappelons que l'un des intérêts des Google Apps, qui s'exploitent à partir d'une connexion Internet, est de permettre le partage de documents en temps réel entre plusieurs utilisateurs.
Un environnement pour développer des extensions
Les deux associés profitent de l'annonce pour brandir l'étendard du cloud computing qui caractérise une nouvelle façon de « consommer » du logiciel, en s'abonnant à un service sur Internet, avec la possibilité de l'interrompre dès qu'on le souhaite. Une sphère en plein développement avec une poignée d'acteurs emblématiques dans laquelle Gartner place effectivement Salesforce et Google. Le rapprochement des deux acteurs élargit aussi les possibilités des éditeurs indépendants qui conçoivent des applications sur Force.com, la plateforme de développement de Salesforce, et qui pourront désormais exploiter aussi les interfaces de programmation (API) liées aux Google Apps.
Les deux premiers à s'engager dans cette voie sont Appirio et Astadia en ajoutant des fonctions à Salesforce for Google Apps. Il s'agit, en l'occurrence, d'utiliser Google Calendar pour établir la chronologie des campagnes (Appirio Campaign Timeline), ou encore d'exporter des données de Salesforce vers Google Spreadsheets pour partager des rapports avec des utilisateurs n'accédant pas à Salesforce (Astadia Report Collaboration for Google Spreadsheets). L'été prochain, Salesforce deviendra aussi revendeur des Google Apps pour la version Premier, qui comprend des outils d'administration et de sécurité, et proposera aussi une offre de support téléphonique autour de la solution.
(...)(11/04/2008 14:01:32)En forte croissance, le marché du PLM se redessine
En 2007, le PLM a affiché une croissance de 13,5%, plus importante que prévu. C'est le constat établi comme en 2006 par le cabinet d'études spécialisé Cimdata. Celui-ci estime que le marché mondial des outils de gestion du cycle de vie des produits (product lifecycle management, PLM) représente aujourd'hui 24,3 Md$, et devrait atteindre 40 Md$ en 2012 avec une progression annuelle moyenne de 9,8%. « Nous voyons de plus en plus les grandes entreprises lancer des projets majeurs de PLM complet, explique Ed Miller, président de Cimdata. Une attitude qui accentue la pression sur les éditeurs. » Pour Cimdata, le PLM complet correspond au PLM intégré dont les fournisseurs parlent depuis déjà longtemps mais qui reste encore peu pratiqué par les entreprises. Il s'appuie sur une vision globale et collaborative du cycle de vie des produits et non sur un vague puzzle accolant CAO, SGDT et workflow. Sur la totalité des ventes mondiales du PLM, les outils de conception assistée par ordinateur (CAO, CAO mécanique, etc.) continuent de représenter la plus grande part avec 16 Md$. La SGDT, gestion collaborative de documents techniques, qui ne compte que pour 7,5 Md$, présente cependant la plus forte croissance avec 16,3%. Chaque éditeur suit sa propre voie Du coté des acteurs, le marché a changé de visage après deux années de consolidation. « C'est très intéressant car les uns et les autres ne se positionnent plus comme des concurrents directs, analyse Ed Miller. Ce n'est plus CAO contre CAO, SGDT contre SGDT. Mais chacun suit sa propre voie. » Ainsi Dassault Systèmes, qui conserve de loin la première place du PLM mondial et du logiciel français, joue la carte de la 3D. Tout en continuant de pousser la technologie et les fonctions du PLM, l'éditeur imagine un design et une conception des produits virtuelle et en 3D. Elle permettrait à tout un chacun - au consommateur en particulier - d'intervenir facilement dans la chaîne. [[page]]Toujours deuxième, Siemens PLM Software, ex-UGS devenu filiale du géant allemand, a rassuré le marché. Il n'a pas disparu dans les méandres d'un groupe gigantesque pour lequel le PLM n'était pas d'un intérêt évident. Au contraire, il a fait évoluer toute son offre, rassurant sans doute ainsi sa clientèle. « On attend cependant encore de voir comment le PLM pourrait profiter des autres activités de Siemens, déplore Ed Miller. En particulier, celle des automatismes dans laquelle la division PLM est intégrée. » Numéro trois quelque peu malmené ces dernières années, PTC s'attache davantage aux entreprises qu'Ed Miller désigne comme « l'entrée de gamme des grands comptes ». Et côté offre, il se distingue dans la gestion documentaire technique, cruciale dans le monde industriel. Le grand retour des éditeurs de PGI Les éditeurs de PGI (Progiciel de gestion intégré) devraient quant à eux faire leur grand retour. Pour une raison bien simple : le PLM qui prend de l'ampleur dans les entreprises devra inévitablement s'intégrer avec le PGI. SAP a augmenté ses investissements en R&D technique sur le sujet et ses partenaires ont accru leur chiffre d'affaires. L'allemand a bien évidemment ainsi réagi à l'acquisition d'Agile par Oracle mi-2007. « Au départ, cette opération pouvait inquiéter. Mais Oracle a fait un excellent travail avec ce rachat, estime Ed Miller. Il a en particulier maintenu la cohérence de l'offre Agile. » Outre SAP et Oracle, de plus petits acteurs comme IFS et Infor pourraient aussi pointer le bout du nez dans le PLM. Enfin, du côté des utilisateurs, les marchés historiques du PLM demeurent les plus importants et continuent de croître : automobile (environ 1,8M d$), high tech et électronique (1,5 Md$), fabrication et assemblage (1,2 Md$), aérospatiale/défense (1,250 Md$), etc. Mais les secteurs qui n'ont pas besoin de CAO, comme l'agroalimentaire ou le textile, intéressés par le PLM depuis à peine plus de deux ans, ne sont pas en reste. Le premier, avec les biens de consommation et la pharmacie, atteint presque 600 000 dollars. Mieux encore, « les services financiers, encore inclus pour nous dans la catégorie « autres », commencent à apparaître significativement », constate Ed Miller. (...)
(10/04/2008 15:49:38)Cegid se renforce sur les logiciels d'hôtellerie et restauration
Déjà implanté sur le marché des logiciels pour l'hôtellerie et la restauration, sur lequel il a réalisé l'an dernier 10 ME (4% de son chiffre d'affaires), le Lyonnais Cegid vient d'acquérir l'éditeur GD Informatique, spécialisé sur le segment de l'hôtellerie indépendante. Cette société iséroise de 18 salariés a réalisé 1,5 ME de chiffre d'affaires en 2007 et compte 350 clients. Ses logiciels WinHôtel+ et WinRestau vont venir renforcer l'offre Cegid Business Line et seront distribués par le réseau d'agences et de partenaires du groupe. GD Informatique a également mis au point un système de réservation de chambres sur Internet. Cette solution hébergée, qui a été référencée par la Fédération Internationale des Logis (Logis de France), s'inscrit tout à fait dans la stratégie SaaS de Cegid qui, depuis deux ans, fait monter en puissance la fourniture de solutions en ligne. Sur son dernier exercice, l'activité « on demand » a représenté environ 5% de son chiffre d'affaires. Cegid entend également offrir un ensemble de services (assurance multirisque, conseil sur la retraite, bilan patrimonial.) aux PME du secteur de l'hôtellerie-restauration, dans la droite ligne de ce qu'il prévoyait de mettre en place en faisant entrer l'assureur Groupama à son capital en décembre dernier. (...)
(09/04/2008 16:22:22)Microsoft dévoile 14 000 pages de code
Toujours dans la ligne de mire de la Commission européenne, Microsoft tente d'apaiser Bruxelles dans le cadre de sa condamnation pour abus de position dominante. En février dernier, l'éditeur entamait donc un processus d'ouverture, rendant public certains documents afin de faciliter l'interopérabilité de ses produits avec ceux de la concurrence. La première étape du processus a pris forme mardi avec la publication de 14 000 pages de documentation concernant ses produits Office 2007 (suite bureautique), Office SharePoint Server 2007 (portail et outils de collaboration) et Exchange Server 2007 (messagerie). Au total, Microsoft en serait à 44 000 pages de documentation livrées sur ses interfaces de programmation (API) et les formats d'Office (OpenXML) et l'éditeur prévoit également, à terme, de dévoiler le code de protocoles sur Windows, client et Server. Une seconde phase, d'ici à juin 2008, devrait permettre à Microsoft de recueillir des retours et commentaires des développeurs. Fin juin, troisième et dernière étape du processus, Microsoft prévoit de fournir des versions définitives, enrichies des commentaires collectés et accompagnées des licences d'utilisation. Insuffisant pour l'April Pour l'April, principale association de promotion et de défense des logiciels non propriétaires, le processus reste insuffisant. Et ce, malgré les engagements pris par Microsoft de ne pas attaquer les développeurs de la communauté qui utilisent ses protocoles, l'éditeur se contentant de réclamer un accord de licence si les produits développés font l'objet d'une exploitation commerciale. Quoi qu'en pense l'April, le mouvement vers l'ouverture et la publication de documentation technique est bien amorcé chez Microsoft. Il devrait même se prolonger avec la prochaine version de Windows Live Messenger qui sera pour la première fois multiplateforme et compatible avec GTalk, ICQ et AIM, Yahoo Messenger étant déjà accepté. Ce mouvement d'ouverture ne date d'ailleurs pas de la pression exercée par la Commission européenne, les développeurs et les entreprises pouvant, par exemple, accéder de longue date au code de Windows, mais sous certaines réserves. De fait, face à la tendance Open Source et à la pression du marché, l'éditeur peut difficilement s'isoler avec des logiciels propriétaires et incompatibles. De là à vouloir faire de Microsoft une société Open Source, il y a peut-être un pas que l'éditeur ne souhaite sûrement pas franchir... (...)
(07/04/2008 10:54:26)Sharepoint décolle dans la gestion de contenus selon Forrester
L'adoption d'Office SharePoint Server 2007, la solution de portail et de collaboration de Microsoft, semble être en passe de changer le paysage de la gestion de documents, si l'on en croit une enquête tout juste publiée de Forrester. Une popularité qui gagne en dépit des limites rencontrées sur la gestion des gros volumes de données et, même si, sur certains processus spécifiques, le produit n'est encore pas assez mature. On ne le choisira pas pour gérer les contrats, par exemple, juge Kyle McNabb, analyste chez Forrester et auteur de l'enquête. Selon le cabinet d'études, la croissance enregistrée par Microsoft sur Office SharePoint Server (MOSS) 2007 serait l'une des plus rapides qu'aurait connu l'éditeur sur un de ses produits. Cette offre, qui paraît avoir autant d'usages qu'un couteau suisse, est adoptée de façon accélérée pour gérer les contenus d'entreprise. MOSS comporte six champs d'application principaux. La plateforme, utilisée à la fois comme portail, moteur de recherche et solution de collaboration, est aussi mise à profit pour accéder aux outils décisionnels et gérer les contenus et documents. Associée aux progiciels de gestion Microsoft Dynamics, elle permet aussi de dérouler des processus métiers. A noter que depuis le mois dernier, les fonctions de collaboration de SharePoint sont proposées en ligne, aux Etats-Unis, dans une version bêta, dans le cadre d'Online Services. .[[page]] Dans la moitié des cas, SharePoint remplace un système installé L'enquête de Forrester montre que 24% des 259 responsables informatiques interrogés migrent actuellement vers MOSS 2007 ou le mettent en place, alors que 41% prévoient de le faire dans les six prochains mois et 12% avant un an. Parmi ceux qui installent l'offre, 22% ont un projet de gestion documentaire, 17% veulent soutenir la collaboration entre les utilisateurs, 16% visent l'application décisionnelle, 15% misent sur l'amélioration des performances métiers, 9% souhaitent favoriser les échanges avec l'extérieur (partenaires, fournisseurs, clients...) et 9% comptent déployer une communication unifiée. Dans un peu plus de la moitié des projets de gestion documentaire, MOSS 2007 vient remplacer un système déjà installé, alors que dans 32% des cas, il s'agit d'une première utilisation de cette catégorie de fonctions. En complément, 16% de ces projets prévoient d'installer MOSS en complément d'un autre système de gestion de contenus. L'enquête de Forrester montre aussi qu'une majorité d'utilisateurs (60%) prévoit un déploiement par étapes, par départements ou encore par projets spécifiques, au cas par cas. 40% prévoit un déploiement à l'échelle de l'entreprise dans une période ramassée. « SharePoint va être utilisé et de façon massive, affirme Kyle McNabb. Mais pour chaque application, il y a une brèche dans laquelle peuvent s'engouffrer d'autres acteurs ». Pour lui, ceux-ci pourraient ainsi prendre charge les archives et pallier les limitations de la plateforme Microsoft sur la gestion des gros volumes. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |