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(03/04/2008 16:27:00)
Premiers fruits de l'alliance Accenture/Sun autour de la sécurité
En septembre 2006, Sun et Accenture annonçaient leur intention de collaborer sur la sécurité et la gestion des identités. Un an et demi après, les premiers fruits de leur travail sont arrivés. Regroupés sous le nom d'Accenture Smart Identity Solution, ces logiciels gèrent tous les besoins en identification et en authentification forte des entreprises, aussi bien au niveau logiciel qu'au niveau matériel (avec entre autres la prise en compte des données biométriques), y compris une gestion fine des droits d'accès à certaines applications, dont SAP. Bâtie pour être intégrée dans des systèmes d'informations hétérogènes, l'Accenture Smart Identity Solution se présente sous la forme de modules préconfigurés, prêts à être implémentés dans l'infrastructure existante sans risques et à moindre coût. « Nous avons réalisé tout le travail amont [à l'implantation d'une solution de sécurité], donc nos clients peuvent déjà réaliser de substantielles économies en ne le faisant pas eux-mêmes », explique Mark Herring, vice-président de l'infrastructure logicielle chez Sun. En y ajoutant une plus grande flexibilité d'usage et une administration simplifiée, les deux sociétés promettent une réduction des coûts moyenne de 20%. Accenture Smart Identity Solution rassemble quatre solutions différentes qui peuvent aussi être utilisées de façon indépendante. La première, Accenture Entreprise Identity Management Solution, s'occupe plus particulièrement de la gestion d'identités. La deuxième, Accenture Solution for Control and Compliance, intègre les produits de gestion d'identités avec les outils SAP de gouvernance. La troisième, Accenture SOA Jumpsart Solution for Sun Java CAPS, facilite le déploiement de solutions SOA basées sur Java, et la quatrième, Accenture Secure SOA Solution, sécurise complètement la mise en place d'une architecture orientée service avec les partenaires, fournisseurs et clients d'une entreprise. (...)
(02/04/2008 23:00:16)Sage veut accroître de 50% le nombre de ses clients en CRM d'ici 2010
Avec le lancement de SalesLogix 7.2 le premier avril, Sage vient de boucler un cycle de renouvellement de l'ensemble de sa gamme d'outils de CRM. En février dernier, l'éditeur avait déjà livré Sage CRM 6.1 (qui dispose d'un équivalent ASP avec SageCRM.com) et Act ! 2008. « Les évolutions apportées à ces logiciels sont un pas supplémentaire dans la mise en oeuvre de la stratégie produit que nous avons définie jusqu'en 2010 », indique Florence Méro, la directrice générale de la division Sage CRM Solutions. Cette stratégie produits repose sur trois piliers, en commençant par l'interopérabilité entre les logiciels de CRM de l'éditeur, pour faciliter les migrations et les prises en mains d'une part, ainsi que le développement de composants communs (Workflow, Interface utilisateurs, décisionnel.... ). Deuxième axe : améliorer l'usage et l'accessibilité des applications par une optimisation de l'accès aux données (en mode connecté, déconnecté, en situation de mobilité). Enfin, l'intégration avec les logiciels de gestion et les ERP de Sage constitue l'un des points centraux de la stratégie CRM de l'éditeur qui veut ainsi capitaliser sur sa base installée dans les deux premiers domaines. Sur ce point, Sage CRM 6.1 est le premier à répondre à cette exigence en s'interfaçant nativement avec la Ligne Sage 100, et bientôt l'ERP X3, via des services web. SalesLogix devrait bénéficier des fonctionnalités offerte par cette approche de type SOA d'ici la fin de l'année. Comme il le fait dans le domaine de la gestion, Sage mise également sur la constitution d'un catalogue d'application métiers développées par ses partenaires pour adapter ses logiciels de CRM aux besoins spécifiques de certains clients. [[page]] Parallèlement à la ligne conductrice suivie en termes de produits, l'éditeur doit aussi développer son expertise et celle de ses partenaires dans le domaine du CRM. Ses propres équipes ont déjà fait un grand pas dans ce sens lors de l'acquisition de l'éditeur français de logiciels de CRM KDP en septembre 2007. Les 15 personnes issues des équipes de cette société ont fortement contribué à apporter les compétences recherchées, sans compter une base installée de 2700 clients, à la division CRM de Sage aujourd'hui dotée d'un effectif de 60 collaborateurs. Ces derniers doivent poursuivre la construction, entamée il y a un an et demi, d'un réseau de distribution capable de distribuer les logiciels de CRM de Sage. A l'heure actuelle, l'éditeur estime que 110 de ses partenaires français sont capables de vendre SalesLogix et Sage CRM. Quarante d'entre eux disposent d'une équipe d'au moins 5 personnes axées sur le CRM et sont ainsi considérés comme des experts par Sage. On compte parmi eux Dimo Gestion, Absys Cyborg, Prodware ou encore Micropole Univers. Un marché du CRM en croissance de 6% par an jusqu'en 2011 Forts de ces stratégies commerciales et produits, l'éditeur a pour objectif de faire progresser de 50% son parc installé de clients équipés d'un de ses logiciels de CRM à l'horizon 2010. A l'heure actuelle, 11 000 entreprises en sont déjà équipés en France. Le gros des troupes est constitué des clients Acte ! (7000 sociétés), un logiciel de gestion de contacts qu'un cabinet de conseil reconnu comme Pierre Audoin Consultant ne prend pas en compte pour évaluer le marché français du CRM. Viennent ensuite les 2300 à 2400 société utilisatrices des logiciels KDP puis les 1600 clients ayant souscrit une licence SalesLogix ou Sage CRM. A défaut de disposer des chiffres permettant de le mettre en perspective avec la croissance attendue sur le marché français du CRM, on peut toutefois estimer que l'objectif en volume de Sage est ambitieux. Selon IDC, les revenus des services et des licences de logiciels de CRM devraient en effet connaître un taux de croissance annuel moyen de 6% jusqu'en 2011. Un taux qui n'est pas, à priori, de nature à s'extasier alors que les entreprises françaises restent encore une clientèle à conquérir en matière de CRM. Environ 62% d'entre elles ne sont pas équipées de ce type d'applications. « Le secteur des entreprises de 20 à 500 salariés offre les meilleurs perspectives de croissance », indique Florence Méro. Ce qui va dans le bon sens pour Sage puisque c'est auprès de ces entreprises que les logiciels de gestion de l'éditeur sont les mieux implantés. Selon une étude d'Ipsos IT, Sage dispose en outre d'un taux de notoriété de 25% auprès des entreprises sur le marché de la relation client, loin devant ses concurrents que son notamment Microsoft et SAP. (...)
(02/04/2008 17:31:42)Léo Apotheker devient co-PDG de SAP
Ainsi que l'on s'y attendait depuis un certain temps déjà, Léo Apotheker, actuel PDG délégué de SAP, vient d'être nommé co-PDG de l'éditeur allemand, aux côtés de l'actuel PDG Henning Kagermann. Selon Hasso Plattner, président du conseil de surveillance de SAP, Henning Kagermann a souhaité la nomination de Léo Apotheker comme co-PDG, afin de préparer sa propre succession. Henning Kagermann doit quitter la direction de l'entreprise au printemps 2009 pour prendre sa retraite. Les deux hommes dirigeront conjointement SAP, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés, qui vient d'achever l'absorption de l'éditeur français Business Objects, spécialiste du décisionnel. Léo Apotheker, fondateur de la filiale française, a rejoint SAP en 1988. Membre du comité exécutif depuis 2002, il est PDG délégué de SAP depuis mars 2007. Il a été nommé à ce poste alors que Shai Agassi, responsable des développements technologiques et promis à un bel avenir au sein de la société, avait préféré partir lorsque le mandat de Henning Kagermann à la tête de SAP avait été prolongé jusqu'en 2009. Le patron américain prend la main sur les ventes mondiales Parallèlement à la promotion de Léo Apotheker, le conseil de surveillance de SAP a nommé au comité exécutif de l'entreprise trois nouveaux membres, ce qui porte à dix le nombre total de ses membres. Il s'agit d'Erwin Gunst, de Bill McDermott et de Jim Hagemann Snabe qui prendront leurs fonctions le 1er juillet prochain. Erwin Gunst devient directeur opérationnel (COO, chief operating officer). Collaborateur de SAP depuis vingt ans, il était jusqu'alors président pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Jim Hegemann Snabe, chez SAP depuis quinze ans, est désormais responsable du développement de l'offre intégrée SAP Business Suite et de la plateforme d'intégration SAP NetWeaver. Enfin, entré chez SAP en 2002 pour diriger le continent américain, Bill McDermott sera désormais responsable des ventes mondiales de SAP, une lourde responsabilité qui incombait jusque-là à Léo Apotheker. (...)
(01/04/2008 18:32:07)Première offensive commune de SAP et BO France
C'est à l'unisson que Pascal Rialland et Marc Béhar, les directeurs généraux de SAP France et Business Objects France, ont détaillé, ce matin à Paris, le contenu de leur portefeuille unifié de solutions décisionnelles. Quelque 550 clients avaient été réunis dans un restaurant du Bois de Boulogne pour la première étape d'un Tour de France consacré à la version 3.0 de la plateforme BusinessObjects XI, annoncée mi février. Plus forts ensemble que séparément, affirment les deux dirigeants. « Nous sommes à la tête d'un capital produit et humain sans précédent sur le marché qui doit constituer un vecteur de croissance extrêmement fort pour SAP », s'enorgueillit Pascal Rialland. Le patron de la filiale française présente la plateforme de Business Objects comme le point fort de l'offre commune, une plateforme « agnostique », indépendante des applications, tient-il à rappeler, qui s'insère dans une offre SAP ayant « fait sa révolution d'ouverture avec Netweaver, en franchissant le pas de l'intégration avec les solutions non SAP. Et cela, nous n'entendons absolument pas le changer ». « Faire fructifier l'actif » Comme LeMondeInformatique.fr l'avait déjà indiqué dans son édition du 27 mars, les deux éditeurs ont dû procéder à des arbitrages entre certaines de leurs offres, principalement parmi les produits de gestion de la performance, en raison des recouvrements fonctionnels apparus après la fusion (cf « SAP réajuste son catalogue décisionnel après l'absorption de BO ». [[page]] Mais, pour ne pas brusquer la migration des clients, les offres sur lesquelles les développements vont être arrêtés seront, selon les contrats, maintenues pendant trois à sept ans, voire davantage. L'éditeur allemand s'apprête à investir des marchés où il est encore peu présent mais où BO, au contraire, est fortement implanté, afin de « fertiliser le terrain », de « faire fructifier l'actif ». Parmi les points forts de BO, outre sa plateforme décisionnelle, figure notamment la base installée de Cartesis (solution de consolidation financière). D'ailleurs, les dirigeants ne s'en cachent pas. Les objectifs de la nouvelle entité « SAP Business Objects » ont été revus à la hausse. Ils dépassent de 5 à 10% les objectifs respectifs que chaque éditeur s'était respectivement fixé avant le rapprochement. Une ambition alimentée par l'évolution de certains projets dont le périmètre s'est étendu face à l'offre combinée de SAP et BO, et confortée par la marge de manoeuvre sur le terrain. « Les recoupements de projets chez nos clients respectifs sont très limités en France », confirme Marc Béhar, DG de Business Objects France. Une dimension d'ouverture essentielle Le catalogue fusionné de l'entité « SAP Business Objects » comprend deux grandes catégories de produits. On y distingue, d'une part, les applications de gestion des risques (de SAP) et les outils de pilotage opérationnel et de gestion de la performance financière (où cohabitent solutions SAP et BO). D'autre part, on trouve la plateforme décisionnelle apportée dans la corbeille par BO : un éventail de logiciels très bien implanté en France où BO compte 4 000 clients. Rappelons que la plateforme décisionnelle réunit des outils de gestion des données (intégration, qualité, métadonnées, MDM apporté par SAP, datamarts) et de restitution de l'information (reporting, analyse multidimensionnelle, tableaux de bord, recherche, diffusion, analyse prédictive). « Cette offre apporte une dimension d'ouverture essentielle à SAP », reconnaît Vincent de Poret, responsable chez SAP des solutions pour les directions financières. (...)
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