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(07/11/2011 10:02:38)
Avec OnDemand, EMC pousse ses logiciels dans le cloud
Afin de permettre à ses clients de bénéficier en permanence des dernières versions de ses applications, EMC propose désormais un service de cloud hybride sous le nom de EMC OnDemand. EMC souhaite de cette manière aider ses clients à accélérer leur transition vers le cloud. Grâce à ce service, EMC entend également simplifier la gestion d'applications très complexes et offrir un coût de maintenance limité. Développé en utilisant une gamme de technologies best-in-class de VMware, RSA et EMC, l'infrastructure peut contenir un ou plusieurs produits de EMC et de ses partenaires. Elle est également entièrement transférable d'un centre de données à un autre. Les clients peuvent ainsi bénéficier de ce service en quelques heures seulement contre plusieurs mois auparavant.
La version initiale d'EMC OnDemand comprend :
- EMC Captiva: une solution intelligente visant à faciliter la capture, l'indexation et l'archivage des documents de l'entreprise.
- EMC Document Sciences: une solution de communication destinée à automatiser la création, la production et la délivrance sur des canaux multiples (impression papier, e-mail, SMS et web) d'informations personnalisées.
ICTJournal.ch (...)(04/11/2011 11:31:48)Trimestriels : SAP France dit gagner des parts de marché
SAP France est en forme. Ses ventes de licences ont progressé de 63% au troisième trimestre, partie Sybase non incluse, a indiqué hier Nicolas Sekkaki, son directeur général, sans toutefois fournir de chiffre d'affaires. En englobant les revenus de la maintenance, la progression de SAP France est ramenée à 15% sur le trimestre (+16% au niveau mondial, Sybase inclus). L'an dernier, à même époque, la filiale française venait de retrouver la croissance, après la crise de 2008. Cette fois-ci, elle a réalisé le meilleur troisième trimestre de son histoire, en termes de chiffre d'affaires, souligne le dirigeant. Il rappelle les orientations prises pour y parvenir : être plus proche des clients, avoir une meilleure segmentation, déployer les écosystèmes et investir sur les métiers.
« Nous savons que nous gagnons des parts de marché, nous avons remporté de nombreux affaires sur nos concurrents », a-t-il affirmé hier. Les ventes réalisées sur de nouveaux clients ont augmenté de 39% sur le trimestre, ce qui permet à la filiale d'envisager de nouvelles perspectives de croissance. Par ailleurs, si SAP et Sybase conservent un fonctionnement indépendant, les deux sociétés unissent leurs forces de vente sur certains secteurs, en particulier dans la banque, où Sybase est très présent avec Business Objects.
Sur les trois mois écoulés, deux contrats ont dépassé les 5 millions d'euros de chiffre d'affaires pour SAP France et quatre ont été supérieurs à un million d'euros. Deux d'entre eux ont porté sur des systèmes de gestion des ressources humaines (RH), notamment sur des solutions de gestion des talents. Parmi les gros contrats remportés ce trimestre figurent des noms tels que La Banque de France, Natexis, Lactalys, Atos, Total ou Vinci Autoroutes.
La filiale annonce aussi une bonne performance sur son volume d'affaires en général, dans les différents domaines applicatifs. Au nombre des nouveaux clients, on trouve Radio France (qui a acquis des solutions d'EPM, gestion de la performance de l'entreprise), le Conseil général de la Nièvre (sur la BI), le cimentier Vicat et le groupe agro-industriel Soufflet (sur l'ERP) ou encore Monoprix (sur la gestion de patrimoine immobilier).
36 clients Business ByDesign en France
Business ByDesign, l'offre hébergée pour PME, compte maintenant 36 clients en France (maj*). Dans le monde, l'éditeur en dénombre 650 et vise le millier pour la fin de l'année. SAP s'emploie depuis plusieurs mois à renforcer son réseau de partenaires pour revendre cette offre de gestion intégrée en mode SaaS. La filiale française annonce avoir signé la plus grosse affaire en indirect au niveau mondial sur Business ByDesign (màj). Dans un autre domaine, Nicolas Sekkaki signale aussi que le premier client pour l'offre Disclosure Management (validation de la clôture des comptes) a été signé en France.
* (mise à jour : il y a un an, la filiale française comptait moins d'une dizaine de clients en production)
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Pour ce troisième trimestre, le directeur général communique des progressions à trois chiffres sur les ventes de licences pour certains secteurs d'activité : le manufacturing et les services. Côté produits, sur les solutions entourant l'ERP (gestion logistique, relation client, RH...), SAP France dit récolter les fruits des recrutements réalisés pour étoffer ses équipes. « Nous n'avions pas les ressources pour amener les produits sur le marché, reconnaît Nicolas Sekkaki. Nous avons embauché massivement dans ces lignes de métiers ». La société enregistre ainsi des progressions très fortes sur les solutions RH (de gros contrats signés, cf plus haut), ainsi que sur le CRM. Le directeur général pointe l'intérêt de proposer aux forces de vente des entreprises des solutions mobiles qui puissent relier à leurs outils spécifiques les fonctions décisionnelles tout en accédant au back-office et à la gestion logistique.
La croissance repart sur le décisionnel
Sur les solutions analytiques, la filiale française « a renoué avec la croissance ». Elle affiche une progression de 38%, davantage tirée par l'intégration de données (+54% sur l'EIM) et les outils de pilotage (+40% sur l'EPM et +86% sur la gestion des risques) que sur la BI proprement dite (+26%).
Nicolas Sekkaki met aussi l'accent sur les comptes stratégiques de SAP (dont le chiffre d'affaires a progressé de 48%) et sur l'avancée réalisée dans les régions (en croissance de 60%). « Avec plus d'un million d'euros d'affaires signé en province depuis deux trimestres », pointe le dirigeant. La filiale a aussi soutenu le mode indirect sur les grands comptes (+73% depuis le début de l'année), ce qui permet aux partenaires d'améliorer leur taille critique. Accenture a inauguré avec SAP un centre d'innovation sur la partie temps réel et Capgemini s'est investi sur les solutions de mobilité.
Mieux armé qu'en 2008 pour affronter la crise
Sur l'exercice fiscal 2011, SAP France s'estime en avance sur son plan de marche, même si tout se joue sur le quatrième trimestre. Et pour 2012, il pense que la société est mieux armée qu'elle ne l'était en 2008 pour faire face à la crise. Il y a trois ans, « nous étions monoproduit et nous venions d'acquérir Business Objects. Depuis, nous avons bien consolidé la base décisionnelle qui représente une part significative de notre activité. Nous avons désormais la partie Sybase et une roadmap claire sur notre agenda produits que nous trouvons très innovant car nos solutions répondent aux besoins des clients en temps de crise en permettant un pilotage plus fin de l'entreprise ».
La semaine prochaine se tient à Madrid la conférence Sapphire de l'éditeur dont les thématiques porteront sur l'innovation, a indiqué Nicolas Sekkaki. Trois mille clients et partenaires y sont attendus. Il y sera question de mobilité, de Big Data et de temps réel. Depuis un an et demi, SAP porte une grande partie de ses efforts de R&D sur HANA (high performance analytics appliance), sa solution d'analyse des données en mémoire et en temps réel qui établit une convergence entre les données transactionnelles et le décisionnel. En France, Casino l'a adoptée et d'autres contrats devraient se clore au 4e trimestre.
« Pratiquement tous les développements que nous sommes en train de réaliser se font sur une base HANA », a souligné le directeur général France en rappelant que SAP proposait ici une rupture technologique qui n'impliquait pas un changement de système d'information. « HANA pourra s'intégrer quelle que soit la version de l'ERP utilisé par le client. Il n'y aura donc pas de coût rédhibitoire pour accéder à l'innovation » et aux gains de productivité induits. Il donne notamment en exemple, la possibilité pour une entreprise de refaire son budget quasiment en temps réel, si l'évolution de son activité le requiert.
Croissance de 15% pour le SaaS dans le SIRH
Le secteur du SIRH (système d'information de gestion des ressources humaines) comprend plusieurs briques logicielles relatives aux ressources humaines proprement dites, à la paie, à la gestion des temps. En 2011, prévoit PAC (Pierre Audoin consultants), ce marché se montera à 1,8 milliard d'euros, contre 1,7 en 2010, soit une progression globale de 5%. Derrière, le cabinet d'études, observe plusieurs tendances de fond.
Première donnée spectaculaire, le SaaS est en croissance de 15% dans le secteur du SIRH. Il concerne plus particulièrement sa partie paie dont il représente un tiers du CA, contre 1/6è pour le CRM et 1/20è pour les logiciels dans leur ensemble.
Autre ligne de force, la nouvelle maturité de ce marché et leur réorganisation. « Les DSI vont reprendre la main et urbaniser un secteur marqué par l'empilement de différents logiciels » nous explique Salim Mesbah, consultant chez PAC. La DSI va mettre bon ordre, rationaliser et aligner les logiciels de SIRH avec d'autres logiciels : talents, recrutement, performance, plans de succession. C'est en fait une volonté des directions générales qui veulent aligner les politiques RH sur la stratégie de l'entreprise et l'évolution de ses métiers.
Forte externalisation et début de ré-internalisation
PAC constate toujours un important recours à l'externalisation sur ce secteur. C'est surtout le fait des grands comptes. Mais de nombreuses prestations, hébergement, SaaS, TMA, managed services, BPO (avec reprise du personnel) se développent. Ce mouvement se fait désormais sous le signe de la qualité de service. Il est également marqué par des mouvements de ré-internalisation, par exemple pour le contrôle et al validation des données.
Signe supplémentaire de maturité et de forte évolution de ce marché, PAC souligne le rapprochement entre plusieurs prestataires. Taleo a racheté JobPartners pour se développer au niveau européen, les sociétés Vurv Technologies, E-Grasp et Stepstone Solutions ont fusionné pour laisser place à Lumesse, ADP a racheté Shared Value et Cegid a acquis Vedior Front RH
Les DSI des établissements financiers prêts pour le cloud selon Gartner
Pour la seule région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), 44% des DSI des établissements financiers estiment que, en 2015, plus de la moitié des transactions de leurs établissements seront pris en charge via une infrastructure cloud et 33 % d'entre eux s'attendent à ce que la majorité des transactions soient traitées via une solution SaaS.
Selon Peter Redshaw, vice-président de Gartner, une adoption précoce du cloud, particulièrement dans le secteur des services financiers, a probablement été limitée à des domaines non stratégiques, mais désormais elle se déplace vers le coeur de l'organisation: «Les clouds bancaires doivent être innovants et dédiés à cette industrie.» Il ajoute : « Ils ont la capacité de mener une 'destruction créatrice' (au sens de Schumpeter). En plus d'aider à améliorer ou à optimiser un service ou un processus existant, les clouds bancaires peuvent permettre - ou offrir la liberté - d'essayer complètement les nouveaux services et processus, tels que les enchères inversées. Le succès des services de cloud peuvent supplanter les processus de design, de distribution ou de transactions actuels d'une façon destructive, plutôt que de simplement les améliorer progressivement.»
Une rapidité de déploiement soulignée
Parmi les avantages les plus attrayants des cloud bancaires, Gartner met en avant la capacité de déployer (d'une manière économiquement viable) le modèle «champion-challenger» qui vise à ajouter une dynamique concurrentielle à la façon dont les processus sont améliorés et choisis. Dans la mesure où les banques remplacent progressivement les employés dans la chaîne de valeur des opérations algorithmiques pour exécuter des processus et prendre des décisions, la propriété intellectuelle des banques réside de plus en plus dans ces algorithmes. La valeur des salariés n'est pas dans la gestion des opérations, mais dans l'amélioration des opérations algorithmiques. Bien que la technologie soit encore immature sur de nombreux points, le cloud arrive en tête des priorités pour les banques qui ont besoin de poursuivre une vision à long terme basée sur l'efficacité et de soutenir la stratégie de croissance du PDG.
Pour cette enquête, 290 CIO issus d'entreprises de services financiers ont été interrogés, 109 travaillent dans le secteur des assurances et 181 sont issus d'entreprises du secteur bancaire et des services d'investissement.
CIO.PDF 44 : le marketing digital dans le brouillard 2.0
L'innovation est l'un des rôles essentiels des managers IT. Il ne s'agit pas seulement d'innover pour l'informatique, mais aussi de rendre possible? voire d'initier des innovations dans les métiers. Le marketing digital à l'ère de Facebook en est le meilleur exemple. Les outils IT y jouent un rôle central pour un fort bénéfice business à condition que le partenariat entre IT et métier soit réel.
Les retours d'expérience se multiplient sur l'association entre les réseaux sociaux, la relation client et le marketing. Sur ces sujets, l'informatique et les métiers explorent conjointement les nouvelles possibilités du numérique.
Ces questions sont au coeur du dossier de ce CIO.PDF, avec les témoignages de Guillaume Darroussez (Cyrillus), Pierre Matuchet (VSC Technologies), Erik Songeur (Société Générale), Julien Grandet (Société Générale), Valérie Darmaillacq (Voyages-SNCF.com), Patrick Oualid (Pixmania), Georges-Edouard Dias (L'Oréal), Amélie Bourgeois (Disneyland Paris), Olivier Sala (GDF Suez), Tamar Papiashvili (Pixmania).
On peut aussi décliner cette nécessaire collaboration métier/DSI au cas où le PDG et le DSI coopèrent pour réussir auprès des consommateurs. Nos confrères de CIO Etats-Unis ont ainsi interrogé le PDG de Campbell Soup, Denise Morrison, et le DSI, Joe Spagnoletti.
Enfin, à la Française des Jeux, cette collaboration pour l'innovation prend une forme particulière : Claude Boivin est ainsi en charge à la fois des systèmes d'information, des opérations commerciales et de la division « tirage & promulgation ». (...)
Dassault Systèmes relève ses prévisions sur 2011 et rachète l'offre Electre
L'éditeur français Dassault Systèmes a annoncé en fin de semaine dernière le rachat de la société belge Elsys. Celle-ci développe le logiciel de schématique électrique Electre, ainsi que Catelectre, une application d'intégration électromécanique en 3D. Ces solutions servent à créer automatiquement des schémas fonctionnels en 2D, à partir de données de référence fonctionnelles et logiques. Elles sont utilisées par de grandes entreprises internationales des secteurs de l'aéronautique, de l'automobile et de la construction navale.
Spécialisé dans les logiciels de gestion du cycle de vie de produits (PLM), Dassault Systèmes explique vouloir fournir aux utilisateurs de sa plateforme collaborative V6 une solution qui leur permettra d'associer des documents schématiques au comportement réel de leurs produits, dans différents secteurs industriels. A terme, il veut apporter « des solutions pluridisciplinaires intégrées, depuis les systèmes électriques jusqu'aux systèmes fluidiques et électroniques ».
Au catalogue d'Elsys figure aussi une plateforme d'intégration entre Electre et le logiciel Enovia SmarTeam de Dassault Systèmes, pour la gestion collaborative des données électrotechniques.
Dassault Systèmes relève ses objectifs pour 2011
Au troisième trimestre, fin septembre, Dassault Systèmes a réalisé un chiffre d'affaires de 432,8 millions d'euros, en hausse de 7% (en normes IFRS) à taux de change courants et de 11% à taux de change constants. La part des revenus logiciels s'établit à 394, 2 millions d'euros (+7% à taux courants, +11% à taux constants) et la marge opérationnelle à 25% du chiffre d'affaires (32% en non-IFRS). Le bénéfice par action s'élève à 0,62 euro (+35% en normes IFRS, +18,5% en non IFRS).
Dans un communiqué, Bernard Charlès, DG du groupe, indique que plusieurs contrats V6 ont été conclus, de même « qu'un bon nombre de transactions de taille moyenne » dans les secteurs de l'automobile, de l'énergie, des hautes technologies et des équipements industriels. Il note aussi que la demande reste soutenue sur le marché des PMI, notamment grâce à une bonne dynamique des sous-traitants. Ces bons résultats amènent la société à relever ses objectifs pour 2011. L'éditeur prévoit une marge opérationnelle de 30% sur l'année, en normes non-IFRS.
Illustration : Le logiciel Catelectre exploité au sein de Catia (crédit : Dassault Systèmes et Elsys)
Trimestriels SAP : De très bonnes ventes de licences
Le géant allemand du logiciel d'entreprise annonce un chiffre d'affaires en progression de 12% à 3,4 milliards d'euros, et une augmentation de 27% de son profit opérationnel, à plus de 1,1 milliard d'euros. Il annonce ainsi une progression de 36% de son bénéfice par action sur la période.
Le chiffre d'affaires des logiciels et services annexes, dont la maintenance, a augmenté de 18% à 2,69 milliards d'euros (à taux de change constants). Les ventes de licences logicielles, considérées comme un indicateur des futurs revenus de support et maintenance, ont connu une progression record de 32% à 841 millions d'euros, laissant envisager d'excellentes perspectives pour les prochains trimestres. La progression du chiffre d'affaires de la maintenance s'établit pour sa part à 13%. Concernant son secteur services professionnels et consulting, SAP annonce un chiffre d'affaires en hausse de 8%.
Au vu de ces bons résultats, le groupe germanique confirme ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice 2011. SAP s'attend donc à un profit opérationnel ajusté pour l'ensemble de l'exercice allant de 4,45 à 4,65 milliards d'euros à taux de change constants (contre 4,01 milliards l'année dernière), soit un résultat dans la fourchette haute de ses prévisions de début d'année.
Concernant la progression des divers marchés géographiques, SAP annonce +14% dans la région EMEA, + 16% dans les Amériques et + 24% pour la région Asie-Pacifique Japon.
ICTjournal.ch
Les entreprises incapables d'analyser 90% de leurs données, selon IBM
D'après Jeff Jonas, chercheur responsable de l'Entity and Analytics Group d'IBM, « à mesure que les ordinateurs deviennent plus rapides, les entreprises deviennent plus bêtes - aujourd'hui, elles ont la chance de bien comprendre 7% de leurs données, mais cela ne va pas durer. » Avant de se retrouver chez Big Blue, Jeff Jonas dirigeait SRD, une entreprise qui fournissait des systèmes aux casinos, et acquise en 2005 par IBM.
La multinationale américaine voudrait pousser les entreprises vers des solutions de gestion de données avant que la quantité de données générées ne se retrouve hors de contrôle pour la plupart d'entre elles. Pour cela, elle veut proposer aux services informatiques de s'appuyer sur sa solution de gestion et d'analyse des données de type BigData et ses solutions d'analytiques portées dans le cloud et pour mobiles, pour l'accès aux données.
Pour Sarah Diamond, d'IBM Global Business Services, « les banques devraient pleinement adopter les programmes de transformation de données pour satisfaire les régulateurs et offrir plus de croissance à leurs investisseurs. » Selon elle, « la crise dans le secteur des services financiers s'est prolongée, et le FMI considère qu'il a déjà effacé 2 200 milliards de dollars de créances douteuses et autres pertes. » Sarah Diamond affirme que « la transformation est devenue une nouvelle «norme», les silos de données et les tableurs ne suffisant plus pour gérer ses datas. » Ajoutant que « les entreprises doivent offrir de la transparence pour satisfaire les autorités règlementaires et créer de la croissance. »
Pendant cette semaine de conférence, IBM va en profiter pour donner plus de contenu à sa stratégie de gestion de données. La technologie BigInsights de l'offre SmartCloud de Big Blue vise à aider les clients à donner du sens aux masses de données non structurées provenant de diverses sources, y compris les réseaux sociaux et les appareils mobiles. Si l'on estime que 80 % des datas d'une entreprise sont des données non structurées, on comprend la difficulté à les gérer et à les interpréter pour un usage professionnel.
L'application IBM Cognos Mobile pour iPad inaugure aussi le support pour appareil mobile, et le logiciel SPSS Statistics 20.0 (voir illustration principale) intègre une fonction de cartographie qui permet aux utilisateurs d'ajouter une dimension géographique à l'analyse de données et au reporting. Grâce à cette fonction, ils pourront cibler, faire des prévisions et des prospections par zones géographiques.
(...)(26/10/2011 17:13:48)
Microsoft s'aligne sur Salesforce.com pour son CRM
« Jusqu'à présent, la facturation et le provisionnement pour CRM Online et Office 365 étaient traités dans des environnements distincts», a déclaré Brad Wilson, directeur général, département gestion produit de Dynamics CRM. Mais désormais, les clients seront en mesure de commander et de faire fonctionner l'application « depuis Office 365 », a-t-il ajouté.
Microsoft s'inspire en cela de Salesforce.com. Les deux versions en ligne et sur site du logiciel Dynamics CRM sont dotées des mêmes outils de micro-blogging et affichent toutes deux les flux d'activité de manière à voir les messages envoyés par les utilisateurs, de suivre les comptes des collègues, plus les opportunités et d'autres informations envoyées par le système CRM. « Ces fonctions sont accessibles depuis le client Outlook, dans l'interface du navigateur et sous Windows Phone 7, » a déclaré le DG du département Dynamics CRM. « Nous avons fait en sorte de traiter l'aspect social comme un outil de productivité et pas uniquement comme une nouvelle technologie sympathique à utiliser, » a-t-il ajouté. « Nous ne sommes pas les premiers à le faire. Mais nous nous sommes fiés à l'expérience que d'autres ont acquis dans le domaine de la productivité. »
Etendre les capacités de l'outil CRM
Microsoft prévoit d'élargir les capacités sociales de son CRM. On ne sait pas très bien encore si l'éditeur va finir par créer son propre modèle de « gestion de l'expérience client», un concept émergent, dont l'objectif est d'améliorer le support client et le service à la clientèle en utilisant plusieurs canaux, depuis les centres d'appels, les sites de médias sociaux, les sites web de l'entreprise, et jusqu'aux portails dédiés. Cette semaine, Oracle a fait une entrée remarquée dans ce marché, en faisant part de son intention de racheter RightNow Technologies pour 1,5 milliard de dollars. Adobe et IBM ont également fait des achats importants pour soutenir leurs propres stratégies dans ce secteur.
En attendant, cette version de Dynamics CRM offre également des fonctionnalités susceptibles d'être appréciées dans l'entreprise, comme le partage du système Active Directory sur site d'un client avec CRM Online, ou encore la mise en place de datascenters redondants dans différentes régions du monde. De sorte que, si le système tombe en panne dans une certaine région, il peut être remis en route depuis une autre zone située à proximité. « Cela devrait aider les entreprises à rester en conformité avec les réglementations gouvernementales, » a estimé Brad Wilson qui a précisé par ailleurs que « Dynamics CRM comptait aujourd'hui 30 000 clients environ et 2 millions d'utilisateurs. » Comparativement, en juillet 2010, Microsoft faisait état de 23 000 clients et 1,4 million d'utilisateurs pour son service.
30 000 clients dans le monde avec 2 millions d'utilisateurs
Selon le directeur général de l'activité Dynamics CRM, « le plus grand déploiement unique sur site comporte 70 000 postes. » Et que les déploiements de CRM Online comportent désormais « plusieurs milliers de postes, » a-t-il indiqué. Le lancement mondial de CRM Online l'an dernier a grandement contribué aux ventes, en fournissant à Microsoft un moyen facile de livrer des versions d'essai de son logiciel à travers le monde. Auparavant, dans les régions non couvertes par CRM Online, le logiciel devait être configuré et mis en place sur site. « Cela nous a permis de faire grandement évoluer notre modèle d'engagement à la clientèle (Consumer Engagement Model - CEM). »
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