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(26/10/2011 11:58:03)

IBM critique l'acquisition d'Autonomy par HP

Dixit IBM, HP devra « lutter » pour réussir à intégrer les solutions de gestion de l'information de l'éditeur Autonomy  et les ressources combinées des deux sociétés ne seront pas une menace sérieuse pour ses offres de gestion et d'analyse des données. Cette déclaration a été rapportée par notre confrère de ComputerWorld UK, Antony Savvas, à l'occasion de la sixième édition de l'événement Information On Demand (IOD) d'IBM (du 23 au 27 octobre à Las Vegas). 10 000 clients et partenaires étaient attendus sur ce salon dédié aux solutions de gestion des données de Big Blue.

Interrogé à cette occasion sur l'impact attendu suite au rachat d'Autonomy par HP, Steve Mills, senior vice-président en charge de l'activité logiciels et systèmes d'IBM, a été particulièrement critique. M.Mills a ainsi déclaré: « Ça va être dur pour HP d'exploiter Autonomy et obtenir un retour sur investissement, ils ont dépensé beaucoup d'argent pour ça [cette acquisition] et il n'y a aucune certitude quant à ce retour. (...) Nous étions déjà en compétition avec Autonomy sur ce marché avant l'acquisition et faire partie de HP sera ou ne sera pas une difficulté pour eux. »

Une course frénétique aux acquisitions

HP a récemment finalisé l'acquisition  d'Autonomy pour un montant de 11,7 milliards de dollars  et même IBM a récemment acquis l'éditeur canadien d'analyses de risques Algorithmics, qui travaille notamment avec HSBC et Société Générale, pour un montant plus modeste, 387 millions de dollars. Steve Mills a indiqué sur ce dernier point : « Nous sommes un peu plus réfléchi quant à la façon de dépenser l'argent des actionnaires ! »  

Cela dit, ces dernières années IBM a effectué une vingtaine d'acquisitions dans le domaine de la gestion de l'information et de l'analyse des données. La firme d'Armonk estime d'ailleurs qu'elle est sur ​​la bonne voie pour capter une bonne partie d'un marché estimé à 16 milliards de dollars en 2015.

Oracle toujours dans le collimateur d'IBM

La compétition avec le duo HP / Autonomy n'était pas la seule cible d'IBM lors de cette discussion avec le dirigeant d'IBM, Oracle est également venu sur le tapis. A la question de savoir si le nombre d'inscrit à événement IOD n'était pas plutôt modeste par rapport aux 45 000 personnes qui participent tous les ans à la manifestation OpenWorld, Arvind Krishna, directeur général d'IBM en charge de l'activité gestion de l'information, a rejeté la comparaison.  « Alors qu'Oracle a choisi d'organiser un grand événement, nous avons cinq manifestations différentes qui se concentrent sur des domaines différents : cet événement IOD, la conférence Impact, Lotusphere, Rational et Tivoli, et nous pensons que cela fonctionne beaucoup mieux ainsi. »


Arvind Krishna, directeur général d'IBM en charge de l'activité gestion de l'information

Pendant la keynote d'Arvind Krishna, Curt Cotner, employé au sein de la division gestion de l'information d'IBM, a tapé sur les capacités de traitement des bases de données d'Oracle, indiquant que le nombre de coeurs et processeurs utilisés dans les résultats publiés par l'éditeur de Redwood  était «incertain».

Un autre dirigeant d'IBM dans le New Hampshire, qui a préféré resté anonyme, a également cogné sur Oracle en affirmant à notre confrère de ComputerWorld UK : « Nous sommes meilleurs quant à l'intégration de technologies issues d'entreprises que nous avons achetées, il suffit de regarder Oracle, ils ont parlé de « Fusion » pendant des années après les acquisitions de PeopleSoft et JD Edwards, et ces technologies ne sont pas encore totalement intégrées. »


Illustration principale : Steve Mills, senior vice-président en charge de l'activité logiciels et systèmes d'IBM, crédit photo D.R.

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(25/10/2011 09:56:41)

Trimestriels Staff and Line : Une orientation de plus en plus SaaS

Spécialiste de la gestion des infrastructures,  Staff and Line a réalisé un CA de 6,7 millions d'euros sur les neuf premiers mois de l'exercice, en progression de 10%. Sur le troisième trimestre, l'activité s'est même accélérée, signe que la crise n'a pas de prise sur Staff and Line.

Autre élément crucial, dans ces comptes, le SaaS. « La part récurrente du chiffre d'affaire, explique la société, a atteint le niveau record de 63% au 3ème trimestre, portée par une légère progression de la Maintenance et le dynamisme des ventes en mode hébergé. Multiplié par 5 à 0,35 M€, le chiffre d'affaires en mode SaaS a plus que compensé la baisse de chiffre d'affaires licences de 0,5 à 0,4 M€ (- 0,1 M€). »        

La société accorde une place centrale aux solutions sur ce modèle de distribution.

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(24/10/2011 17:07:40)

Oracle rachète RightNow, spécialiste du CRM pour 1,5 milliard de dollars

Oracle muscle son portefeuille de services dans le cloud public en rachetant l'éditeur de CRM en mode SaaS,  RightNow Technologies.  Ce dernier aide les entreprises à améliorer le support client via les centres d'appels, les réseaux sociaux et le web, et non plus de s'occuper uniquement du suivi des cycles de vente. Le montant du rachat est estimé à 1,5 milliard de dollars et l'acquisition devrait être finalisée à la fin de l'année ou au début de l'année 2012. Cette opération permet aussi à Oracle de reprendre la main face à son rival Salesforce.com, qui a ajouté ces fonctionnalités grâce à l'acquisition d'InStranet en 2008 et s'est lancé dans une stratégie axée sur les relations entre les entreprises et le « social web ».

Une intégration avec d'autres solutions Oracle

Dans une présentation publiée lundi, Oracle a indiqué que les produits RightNow s'intégreront au sein d'un package comprenant son CRM Siebel, sa plateforme d' e-commerce ATG Commerce, des applications de logistique et la solution de recherche de données non structurées Endeca Technologies, acquise la semaine dernière. La firme de Redmond estime que cette combinaison aidera les entreprises à gagner des clients et à les fidéliser tout en réduisant les coûts opérationnels.

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(24/10/2011 16:45:41)

Salesforce.com veut fournir du collaboratif aux clients de SAP

Se disant à l'écoute de ses clients qui veulent transformer la façon dont ils collaborent, communiquent et partagent l'information en interne et vers l'extérieur, l'éditeur américain Salesforce.com a élaboré un ensemble de services de conseil et d'intégration à l'attention des utilisateurs de SAP. Cette offre doit permettre à ces entreprises d'intégrer la plateforme Force.com afin d'exploiter au sein d'applications cloud les données qui sont gérées dans les systèmes SAP. C'est ce qu'explique sur un blog officiel Mike Rosenbaum, vice-président de Salesforce.com, responsable de la plateforme, du marketing et des opérations.

Salesforce.com propose une demi-journée gratuite d'évaluation pour établir un projet de mise en oeuvre de Force.com. Il met aussi en avant l'accès à des bonnes pratiques d'intégration de données via ses partenariats avec des spécialistes du domaine tels qu'IBM, Informatica ou Skyvva.

« Salesforce.com n'offre qu'une petite part de ce que SAP peut faire et les clients le reconnaissent », a minimisé Vishal Sikka, directeur technique de SAP et membre du comité exécutif de l'éditeur allemand. Il ajoute qu'une véritable stratégie d'entreprise visant à exploiter la dimension du réseau social consiste à donner aux collaborateurs les moyens de travailler, d'interagir et d'appréhender leurs défis quotidiens sur de nouveaux modes. Et de les connecter plus directement avec les informations qui sont importantes. « Ce n'est possible qu'avec une intégration étroite des applications exploitées par les utilisateurs avec les processus et les données gérées en arrière-plan. Seul SAP apporte cette expertise, sur l'ensemble des domaines de notre portefeuille de produits ». 

Un projet d'intégration reposant sur des partenaires

Salesforce.com, par la voix de son tonitruant PDG, Marc Benioff, a fortement poussé sa vision de « l'entreprise collaborative » ces dernières semaines, notamment sur la conférence utilisateurs DreamForce 2011, fin août. Une démarche que les entreprises peuvent, selon le dirigeant, conduire en trois étapes : connexion aux sites sociaux publics tels que LinkedIn, création d'un réseau social privé, injection de la dimension collaborative dans les applications d'entreprise. Le principal outil de Salesforce dans ce domaine est Chatter qui apporte des capacités de collaboration en temps réel. Mais l'éditeur a également acquis les solutions de Radian6. Celles-ci permettent à une entreprise de surveiller médias sociaux et forums pour récupérer les avis émis par ses clients sur le web.

SAP n'a pas d'outils de réseau social en propre, mais il a développé différentes solutions de collaboration, comme StreamWork, ou Duet qui permet des échanges entre ses applications et SharePoint de Microsoft. L'annonce de Salesforce a suscité un commentaire sceptique de la part de l'analyste Kelly Craft, qui intervient sur la mise en place de plateformes de collaboration. En y regardant de plus près, il ne s'agit guère plus que de susciter des projets d'intégration pour des partenaires, peut-on lire sur son billet de blog. Les explications suivent : « Excusez mon cynisme, mais j'ai du mal à imaginer ce que les clients pourraient avoir d'autre qu'une simple maquette de projet, réduite à l'essentiel, après une demi-journée de diagnostic. »

Un cheval de Troie chez les clients de SAP

Salesforce.com devra aussi compter avec les efforts que fait SAP pour faciliter l'accès à ses données, par exemple avec la plateforme River. Même si, en l'occurrence, ceux-ci sont davantage tournés vers le développement d'applications métiers indépendantes et légères, plutôt que vers une stratégie plus large de réseau social. Il reste à voir si Salesforce.com va adresser une offre similaire aux clients d'Oracle qui entrerait alors en confrontation directe avec le service de réseau social annoncé sur OpenWorld 2011 par la société de Larry Ellison.

Néanmoins, l'initiative a du sens, estime China Martens, analyste chez Forrester Research. Elle comble un manque tandis que SAP fourbit sa stratégie collaborative. « Jusqu'à présent, SAP s'est concentré sur StreamWork, où la collaboration est spécifiquement liée à la prise de décision et raccordée à la BI. Il s'agit donc d'un focus différent de celui adopté par Salesforce.com avec Chatter », souligne-t-elle dans un e-mail à nos confrères d'IDG News Service. L'annonce pourrait faire partie de la tentative de Salesforce.com d'utiliser Chatter et son message autour de l'entreprise collaborative comme un cheval de Troie pour pénétrer dans les comptes où il n'a jusqu'à présent pas été capable d'entrer avec ses applications de CRM ou sa plateforme Force.com, ajoute-t-elle. « Une fois sur place, l'éditeur peut espère étendre l'usage de ses logiciels ».

Crédit illustration : Salesforce.com

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(24/10/2011 15:38:00)

Qlikview 11 privilégie le collaboratif

Le spécialiste de la Business Intelligence conduite par l'utilisateur, Qliktech, a présenté la dernière version de sa solution Qlikview. La 11ème édition comprend plusieurs fonctionnalités complémentaires et l'éditeur a travaillé sur cinq thèmes en particulier rappelle Stéphane Briffod, commercial avant-vente chez Qliktech. En premier lieu, le collaboratif car « il est nécessaire de partager l'information, mais aussi de savoir d'où viennent les sources » précise le responsable. Pour cela, Qliktech a intégré un système d'annotation au sein d'une session de Qlikview. Par exemple, si un directeur commercial travaille sur une analyse des parts de marché de certains produits dans une zone géographique particulière, il peut lorsqu'il affine sa recherche, annoter la page et la transmettre par mail à ses collaborateurs pour avoir des informations en retour. Stéphane Briffod indique que cette fonctionnalité est disponible avec des outils de collaboration existant comme Chatter de Salesforce.com et Sharepoint de Microsoft.

Le partage d'écran avec des utilisateurs extérieurs fait aussi son apparition. La partie mobile est aussi un des thèmes importants de Qlikview 11, la solution est d'ailleurs portée sur les smartphones et les tablettes comme l'iPad, mais aussi la Playbook de Blackberry ou les terminaux fonctionnant sous Android.

Autre axe de l'offre décisionnelle, le développement rapide d'applications. Pour ce dernier, Stéphane Briffod indique « nous avons affiné la récupération de sources d'information pour créer sa propre application de BI à partir des données les plus pertinentes (tableur, graphes, rapports, etc.) ». De plus, Qlikview s'interface avec d'autres plateformes comme Powercenter d'Informatica, mais aussi SAP et Salesforce.com.

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(24/10/2011 12:29:29)

Facture électronique : le Français b-process est racheté par Ariba

L'éditeur français b-process, spécialisé dans la dématérialisation des factures, vient d'être racheté par la société américaine Ariba pour environ 35 millions d'euros en numéraire. Il avait réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros et compte actuellement 125 collaborateurs. De son côté, Ariba développe des solutions de gestion des approvisionnements, des fournisseurs et des dépenses. Il a réalisé 339 millions de dollars sur son exercice fiscal clos fin septembre 2010 et 321 millions de dollars sur les neuf premiers mois de son exercice 2011.

La semaine dernière, en livrant l'édition 2011 du classement Truffle 100 Europe des éditeurs de logiciels, Bernard-Louis Roques, directeur de Truffle Capital, avait souligné les capacités d'investissement des éditeurs américains susceptibles de jeter de nouveau leur dévolu sur des éditeurs européens.

Avec sa plateforme hébergée billManager, b-process propose aux entreprises un guichet unique pour les échanges collaboratifs liés au traitement des factures, de leur édition jusqu'à leur archivage (d'une durée de dix ans). Celui-ci supporte en entrée les différents formats structurés de fichiers factures (EDI, XML, PDF...). L'accès se fait en mode https avec, pour l'authentification des utilisateurs, une gestion des profils par annuaire LDAP. 

80 milliards d'euros traités par b-process

b-process revendique sur son site web 80 000 acheteurs et fournisseurs interconnectés sur billManager. Les factures traitées par son intermédiaire représenteraient une valeur de plus de 80 milliards d'euros échangés (68 milliards en 2010). Dans un communiqué, l'éditeur français indique que ses solutions sont certifiées pour la dématérialisation fiscale dans 24 pays par un cabinet agréé et qu'elles sont utilisées par 3 000 sociétés clientes, parmi lesquels des groupes comme Carrefour, EADS, Eurocopter, Gefco, Saint-Gobain ou encore Vinci Energie. 

Ces solutions vont être associées à la suite Ariba Invoice Management. Parmi les concurrents d'Ariba figurent des sociétés telles que BravoSolution et Ivalua.

Dans le domaine de la dématérialisation, un autre rapprochement a eu lieu récemment sur le marché français des échanges numériques sécurisés, avec l'acquisition, fin septembre, d'OpenTrust par Keynectis.

Illustration : solutions de facturation entrante (crédit : b-process)

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(20/10/2011 16:34:08)

IBM intègre de l'analytique dans les mainframes et les serveurs

IBM a décrit ses serveurs Smart Analytics System comme des packs comprenant du hardware et des logiciels analytiques, de la BI (business intelligence) et des systèmes de traitement d'importants volumes de transactions. Big Blue en a également profité pour annoncer une appliance de business analytics (BA) d'entrée de gamme capable de traiter des données à la volée, pour les transactions réalisées dans le cloud par exemple.

Le constructeur fait le choix de s'orienter vers une offre de serveurs conçus pour des charges de travail spécifiques, comme les bases de données et la gestion des processus d'entreprise (BPM). Les serveurs Smart Analytics sont basés sur des matériels IBM existants et tournent sur des puces x86 et sur des processeurs Power. Comme le fait valoir IBM, les solutions Smart Analytics 9700 et 9710, basées sur l'architecture zEnterprise, ont pour objectif de fournir une appliance analytique opérationnelle à un prix abordable. Ces serveurs peuvent tourner sur SUSE ou Red Hat Linux.

Le constructeur a également annoncé un Smart Analytics System 7710 basé sur le processeur Power, et le 5710, basé sur le processeur x86, deux solutions « que l'on peut déployer en quelques jours, et qui comprennent notamment des fonctions de reporting en BI, d'exploration de données et d'analyse des données non structurées, » a ajouté le constructeur dans sa présentation. « Basé sur le serveur P740, le Smart Analytics System 7710  tourne sous l'OS AIX et convient à l'entreposage de données en-dessous des 10To, » a encore détaillé IBM. Quant au 5710, basé sur une architecture System X, il tourne sous Linux et est livré avec InfoSphere Warehouse 10, ainsi que le logiciel de BI Cognos 10. Pour l'instant, on ne connaît ni le prix, ni la date de disponibilité de ces serveurs.

Une vue sur la concurrence et sur le cloud


Sur le marché du serveur unifié, IBM est en concurrence avec Oracle, lequel propose une Exadata Database Machine, un système préconfiguré conçu pour l'entreposage de données et le traitement des transactions. La solution Exadata associe un logiciel d'Oracle à du hardware et des solutions de stockage Sun.

IBM a également annoncé une technologie DB2 Analytics Accelerator, qui doit aider les clients à traiter beaucoup plus rapidement les quantités massives de données circulant à travers le cloud. « Au lieu d'attendre la sortie des rapports, les clients peuvent disposer d'une analyse approfondie et prendre des décisions alors que les transactions sont en cours de traitement dans le cloud, » a déclaré une porte-parole d'IBM. L'appliance analytique se branche sur le serveur d'entreprise zEnterprise 196 d'IBM, et l'accélérateur se connecte à la base de données DB2 pendant que les transactions sont traitées dans le cloud.

L'accélérateur intègre une technologie héritée de Netezza, un fournisseur de données analytiques basé aux Etats-Unis, acquis par IBM l'an dernier pour 1,7 milliard de dollars. « C'est la première fois que la technologie de Netezza est portée sur le cloud, » a indiqué la porte-parole d'IBM. L'appliance pour serveurs sera disponible en novembre, mais IBM n'a pour l'instant fourni aucune indication sur son prix.

Crédit Photo : IBM

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(19/10/2011 10:17:06)

Oracle rachète Endeca, spécialiste de l'analyse des données non structurées

Oracle rachète Endeca Technologies pour un montant non dévoilé. L'opération doit être finalisée avant la fin de l'année. Cette acquisition s'apparente à une réponse d'Oracle sur le rachat d'Autonomy par HP. Endeca est connue pour son moteur MDEX pour le traitement des données non structurées, telles que les emails et les informations textuelles d'autres provenances, mais aussi pour sa plateforme applicative d'analyse Latitude et son produit CEM (Customer Experience Management) InFront.

Les entreprises font face à une explosion du volume d'informations non structurées générées par leurs sites web, les réseaux sociaux, les centres d'appels et d'autres sources. HP et Oracle veulent offrir aux entreprises la capacité d'analyser en détail et rapidement les données pour mieux les comprendre et réaliser des économies.

Avec les application ATG Commerce et de BI (Business Intelligence) d'Oracle, les solutions d'Endeca créeront « une suite d'outils analytiques pour corréler et analyser les données structurées et non structurées grâce à un ensemble commun d'interfaces utilisateur, » précise la firme de Redwood .  Des applications analytiques préconfigurées pour certaines industries sont également envisagées.

Sur le plan de la distribution, Oracle bénéficie aussi du portefeuille client d'Endeca qui comprend 600 clients, parmi lesquels Toyota, Ford, Raytheon et Walmart.

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(18/10/2011 13:07:15)

SGI lance un package Cloudera Hadoop

Le constructeur de serveurs haute performance SGI a annoncé hier qu'il prévoyait de proposer des clusters pré-construits exploitant la plate-forme d'analyse de données Apache Hadoop. Les clusters Hadoop du groupe exécuteront des versions de la distribution Cloudera (CDH), sur  la ligne de serveurs Rackable. SGI, qui rejoint le programme Cloudera Partner Connect, proposera une seule ligne téléphonique de support  pour répondre aux questions des clients sur le matériel de SGI ou sur le logiciel Hadoop.

SGI va commercialiser ces clusters sur ses marchés traditionnels qui sont les administrations et les institutions financières, en se concentrant sur ceux qui ne disposent pas de compétences internes pour construire de tels clusters. Les principaux utilisateurs d'Hadoop, parmi lesquels des géants de l'Internet comme Yahoo ou des agences de renseignements américaines, se sont constitués une expertise dans ce domaine, en construisant leur propre déploiement Hadoop. Toutefois, la plupart des entreprises n'ont pas cette capacité. Cela ne les empêche pas de vouloir utiliser Hadoop pour analyser des volumes de données de plus en plus important, a souligné Bill Mannel, responsable des produits chez SGI.

De telles entreprises ont des budgets moins conséquents et sont à la recherche de solutions logicielles robustes et de services de support, a t-il ajouté.

Spécialisé sur le marché des supercalculateurs,  SGI est bien placé pour fournir aux clients de grands clusters à des coûts intéressants, considère Ed Albanese, responsable du développement chez Cloudera, qui rappelle que SGI s'est toujours concentré sur le ratio prix/performance.

Dans le cadre d'un benchmark Terasort que SGI a réalisé ce mois-ci, un cluster Hadoop SGI de 20 noeuds a pu classer 100 Go de données en 130 secondes. Il s'agissait de serveurs Rackable C2005-TY6 demi-profondeur, chacun exploitant des processeurs Intel Xeon E5630, 48 Go de mémoire et 4 disques SATA de 1 To. Le constructeur dévoilera les prix, les références, les configurations et d'autres détails supplémentaires lors de la conférence Hadoop World, qui se se déroulera à New-York, les 8 et 9 novembre prochains.

Préparation d'un cluster Hadoop dans les usines de SGI - Wisconsin - USA
Préparation d'un cluster Hadoop dans les usines américaines de SGI dans le Wisconsin (crédit : SGI)  - Cliquer ici pour agrandir la photo (...)

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