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(15/10/2007 17:32:56)
Adobe Max : Astro, futur Adobe Flash 10, présenté à Barcelone
Sur la conférence Max, organisée par Adobe à Barcelone, les développeurs Flash semblent avoir particulièrement apprécié les avancées prévues pour la version 10 de leur outil de création de contenus interactifs. C'est Kevin Lynch, architecte logiciel en chef d'Adobe, qui a déroulé en session d'ouverture ces améliorations sensibles, portant sur la gestion de la 3D, mais aussi sur la présentation des textes. L'outil, en cours de développement, est actuellement connu sous le nom de code Astro. Des démonstrations, menées par Justin Everett-Church, chef produit, chargé des relations designers/développeurs pour Flash, ont illustré le nouveau moteur de mise en page d'Astro. Les participants ont pu constater la simplicité avec laquelle on pourra prochainement ajuster des textes sur une page, grâce à l'exploitation, par le langage ActionScript 3, de primitives de bas niveau. Le redimensionnement d'une fenêtre affichant un texte, par exemple, prendra automatiquement en compte la langue utilisée (s'écrivant de droite à gauche, à l'occidentale, ou de gauche à droite, comme l'arabe ou l'hébreu) pour renvoyer le texte à la ligne. Il en ira de même pour ajuster la mise en page d'un texte. Des modifications que, pour l'instant, le développeur doit prendre en compte lui-même, en recourant à des interfaces de programmation (API) spécifiques. Hydra, pour créer ses propres filtres d'effets spéciaux Quant à la gestion des effets 3D, elle sera elle aussi largement simplifiée pour le développeur. Une nouvelle API, DisplayObject, permettra de faire pivoter un objet sur trois axes et de le redimensionner. Enfin, Justin Everett-Church a également fait un zoom sur Hydra, nouveau langage de programmation sur lequel travaille Adobe et qui permettra aux développeurs Flash de créer leurs propres filtres d'effets spéciaux. Enfin, sur l'adoption remarquable de la technologie Flash sur le marché, Kevin Lynch a rappelé qu'aujourd'hui, 70% de toutes les vidéos disponibles par le Web sont au format Flash. En conclusion, l'architecte logiciel en chef a précisé qu'en un an, la version 9 du lecteur Flash Player avait été adoptée par 90 % des utilisateurs. Une version, connue sous le nom de code Moviestar, qui, depuis août dernier, supporte désormais les standards vidéo H.264 et audio HE-AAC, améliorant nettement la qualité des vidéos visionnées avec Flash Player 9. (...)
(15/10/2007 16:53:05)Capgemini se lance dans l'infogérance d'une offre améliorée de GRC
Capgemini vient d'annoncer la création d'un service original dans la GRC (gestion de la relation client) destiné en priorité aux clients dans les secteurs de l'énergie, des télécoms et de l'administration. Plutôt que de se contenter de faire de la simple gestion de la relation client, Capgemini propose en effet d'analyser et d'agir sur la relation client en fonction des objectifs business de l'entreprise. Baptisée CC&I pour Customer Care and Intelligence, cette offre sera inscrite au catalogue des solutions Business Process Outsourcing (BPO) de la SSII. Elle prévoit donc l'infogérance des processus de ses clients qui se verront également proposer une gamme d'outils pour améliorer leur gestion dont notamment des solutions de Business Intelligence pour tirer un meilleur profit des informations stockées dans les bases de données. Au passage, les entreprises pourront également bénéficier de l'expertise métier de la SSII dans le domaine, raison d'ailleurs pour laquelle Capgemini a dans un premier temps limité l'offre aux secteurs qu'elle maîtrise parfaitement. Aujourd'hui, Capgemini dispose déjà de plus de 2000 consultants à travers le monde en mesure de répondre aux besoins des clients dans le cadre de cette offre et envisage de créer un nouveau centre dédié à l'offre CC&I au Kansas avant la fin du mois. (...)
(15/10/2007 15:10:23)Oracle annonce 51 rustines pour la semaine prochaine
Administrateurs, prévoyez pour la semaine prochaine quelques heures à consacrer à vos consoles. Oracle annonce pour jeudi prochain la mise à disposition de cinquante et une rustines de sécurité. Parmi les vingt-sept qui concernent le SGBD maison dans ses différentes versions, cinq sont qualifiées de critiques au motif qu'elles peuvent être "exploitées au travers d'un réseau sans identifiant ni mot de passe"... Les autres rustines s'adressent à Oracle Application Server (onze), à la suite e-Business (huit) et à Entreprise Manager. Trois rustines touchent les logiciels de PeopleSoft. Aucun patch n'est prévu pour les produits originaires de JD Edwards et pour Collaboration Suite. La prochaine série de rustines est annoncée par le 15 janvier prochain. (...)
(15/10/2007 11:12:25)Adobe Max : Media Player, AIR, Flash Lite 3 et Buzzword en démonstration
Ce matin, 15 octobre, vient de s'ouvrir à Barcelone la toute première édition européenne de Max, conférence s'adressant aux utilisateurs des technologies d'Adobe. On y attend 1 200 personnes, la moitié d'entre elles issues des sphères du développement, un quart de l'univers du design et les autres participants venant du monde de l'entreprise. Quinze jours après la version américaine (à Chicago) de la manifestation, cette édition « locale » doit illustrer concrètement les projets sur lesquels travaille actuellement Adobe et ses plus récentes nouveautés. Les projets vont être présentés ici par Kevin Lynch, vice président senior et architecte logiciel en chef du pôle Plate-forme, et Shantanu Narayen, président et directeur des opérations de l'éditeur. Au chapitre des nouveautés, on pourra voir la bêta 2 de AIR, environnement d'exécution d'applications Internet riches (RIA) et découvrir comment des acteurs comme AOL, SAP ou eBay en tirent parti. Le site d'enchères en ligne, notamment, a développé l'application eBay Desktop (déjà proposée au public en version bêta) qu'un internaute peut utiliser localement, sur son PC, pour préparer ses mises en vente et ses achats hors connexion, avant de se synchroniser de nouveau avec le site. Rappelons qu'Adobe accompagne maintenant ses développeurs avec deux nouveaux portails : le site d'informations Adobe developper Connection et le site communautaire Adobe AIR marketplace sur lequel les développeurs peuvent poster les programmes qu'ils ont conçus et échanger leurs expériences. S'abonner à des vidéos Sur Max Barcelone, les participants pourront aussi rencontrer des acteurs impliqués sur l'Adobe Media Player qui permet de choisir des vidéos sur catalogue, de les télécharger et de les visionner sur son ordinateur, hors connexion. Il sera aussi possible de s'abonner à certaines séries, comme on le fait avec des podcats. Mais, surtout, Adobe Media Player, va apporter aux fournisseurs de contenus un environnement de diffusion sécurisé et des solutions pour faire payer leurs services aux consommateurs. On doit également parler de Flash Lite 3, nouvelle version du lecteur Flash pour téléphone portable. Celui-ci accepte maintenant le streaming vidéo ce qui permet désormais de consulter une vidéo en continu sur son mobile. Actuellement, 300 millions de téléphones portables peuvent lire des contenus Flash. En 2010, Robert Raiola, directeur marketing EMEA d'Adobe, pense qu'il pourrait y en avoir un milliard. Buzzword se fera AIR Rick Treitman, le PDG de Virtual Ubiquity, a également fait le déplacement. Sa petite start-up (onze personnes), dans laquelle Adobe avait investi, vient d'être racheté par l'éditeur de Flash, définitivement séduit par son traitement de texte collaboratif, joliment nommé Buzzword. A terme, l'objectif est bien, comme le confirme Robert Raiola, de faire de Buzzword une application AIR, à exploiter en mode connecté et déconnecté. Enfin, Adobe regarde de très près le modèle SaaS (software as a service), qui consiste à fournir ses logiciels sous la forme d'un service, ce dernier pouvant être, selon les cas, gratuit (l'éditeur se rémunérant avec les annonces publicitaires). "Il ne s'agit pour l'instant que de tests pour Adobe," modère Robert Raiola. Néanmoins, dans le domaine des applications hébergées, Adobe propose déjà son service de webconférence Connect. « 50 % de nos ventes sur Connect sont réalisées sous forme de services », précise Robert Raiola. « Il n'est pas impossible que des fonctions d'Acrobat soit un jour proposées sous cette forme ». (...)
(12/10/2007 13:50:33)Pentaho se met aux méta-données
Pentaho vient de mettre à jour sa suite décisionnelle en Open Source. La version 1.6, annoncée mercredi, dispose maintenant d'une gestion des méta-données et d'un client léger pour le reporting. Ce dernier va permettre d'étendre plus facilement le nombre d'utilisateurs capables d'effectuer des requêtes ad hoc et d'accéder aux rapports.
David Stoddard, vice-président de Ventana Research, cabinet d'études californien, estime qu'ainsi, Pentaho accède vraiment au rang d'outil d'entreprise.
Avec la couche de méta-données, les départements informatiques pourront créer des définitions métiers intelligibles et réutilisables (client, région...) grâce auxquelles les utilisateurs réaliseront eux-mêmes des requêtes.
Cette couche de méta-données est basée sur la spécification CWM (Common Warehouse Metamodel) de l'OMG (Object management group), utilisée par certains outils décisionnels. L'intérêt de cet alignement sur CWM apparaît limité à James Kobielus, analyste pour Current Analysis, qui juge que la spécification n'est pas très répandue sur le marché. Avis non partagé par David Stoddard qui estime au contraire que l'adhésion de Pentaho est une marque de soutien au standard.
A partir de 12 000 $ pour le support
Basé à Orlando, en Floride, Pentaho a été fondé en 2005. Sa suite se télécharge gratuitement sous licence MPL (Mozilla Public License). L'éditeur dit avoir gagné de grands clients parmi lesquels Motorola et MySQL AB. La société, qui tire ses revenus de ses services de support et de conseil, n'est pas encore profitable, selon Lance Walter, vice-président du marketing.
Le coût d'abonnement au support technique pour une configuration incluant quatre processeurs démarre à 12 000 $ pour chaque module. La suite regroupe des modules de reporting (incluant la couche de méta-données et les fonctions de requête ad hoc), d'analyse, d'intégration de données, de tableaux de bord et de datamining.
L'Open Source, un modèle de rupture intéressant
Pentaho s'inscrit dans un contexte particulier, sur un marché décisionnel en pleine phase de concentration, dans lequel les offreurs en Open Source, tels que Spago BI ou JasperSoft, ont évidemment une carte à jouer. Rappelons que JasperSoft vient de sortir une appliance décisionnelle avec Ingres.
« L'Open Source peut être un modèle de rupture intéressant pour le décisionnel », commentait récemment Jean-Michel Franco, à l'occasion du rachat de Business Objects par SAP. Et le directeur des offres internationales de Business & Décision de citer en exemple un autre marché, celui du CRM (gestion de la relation client) qui, en se consolidant (rachat de Siebel par Oracle, notamment), a donné du champ à un éditeur comme Salesforce qui proposait un modèle différent. (...)
Oracle se renforce dans la gouvernance
Oracle annonce le rachat de LogicalApps, spécialiste de la gestion automatisée des risques, des politiques de conformité et de la gouvernance, pour un montant non communiqué. Cette acquisition doit renforcer la mise en place de politique de conformité en temps réel, indique l'éditeur dans un communiqué. Très axée gouvernance, l'offre de LogicalApps permet notamment l'implémentation automatisée de politiques de contrôle dans la gestion des processus métier ainsi que dans les transactions. Comme par exemple, la mise en place de rôles et privilèges (SoD - segregation of duties) dans la gestion des applications. Elle autorise également l'évaluation et le reporting des risques. Oracle rappelle que la solution de LogicalApps est déjà optimisée pour ses applications, et possède "plusieurs centaines de déploiements actifs". La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée d'ici à novembre. (...)
(11/10/2007 09:38:32)Les utilisateurs de SAP craignent une migration vers SAP ERP
Lors de la convention annuelle 2007 de l'USF, club des utilisateurs francophones de SAP, une étude réalisée par cette association, SAP et Bearing Point sur la migration vers SAP ERP a été publiée et commentée. Face à la fin de la maintenance standard de SAP R/3 au 1er janvier 2007 et celle de la maintenance étendue au 1er janvier 2009, cette migration semble nécessaire mais pas forcément si évidente dans un paysage très conservateur. Rappelons tout d'abord que SAP ERP est l'actuel nom commercial de l'offre qui était jadis connue sous la dénomination « mySAP ERP 2005 - ECC6 ». Le propre de cette version majeure de SAP est de remplacer SAP R/3 en adoptant une nouvelle architecture technique orientée services (SOA) au-dessus de la plateforme middleware Netweaver. Réalisée auprès d'adhérents de l'USF, l'enquête se base sur 89 réponses à un questionnaire et une dizaine d'interviews, la plupart des répondants étant de niveau DSI ou en charge des applications SAP. Le module le plus présent dans la configuration installée est bien entendu celui destiné à la fonction financière (93% des répondants), suivi par la logistique (82%) et la business intelligence (58%). Un peu moins des deux-tiers des répondants admettent ne plus avoir fait de migration SAP depuis au moins deux ans, ce qui correspond, à quelques pourcents près, à un parc utilisant des versions R/3 3.11 à 4.6C. Un petit tiers des répondants utilisent un SAP R/3 4.7, plus récent. Tandis que 13% des répondants admettent déjà utiliser une version de SAP ERP. Bien entendu, plus l'entreprise utilise une version standard de SAP, plus sa migration sera facilitée, notamment en termes d'interfaces avec d'autres applicatifs. 38% des répondants auront ainsi moins de vingt interfaces applicatives à reconstruire lors de la migration, mais 18% en auront plus de cent. Une migration subie Sans surprise, la fin de la maintenance de SAP R/3 est la motivation essentielle de la migration vers SAP ERP (72% des répondants). De ce fait, [[page]]la migration est clairement subie : 34% seulement des répondants savent justifier sur le plan fonctionnel la migration, mais 56% n'ont pas une perception claire des bénéfices de la migration, en dehors, malgré tout, de l'architecture Netweaver dont les apports techniques semblent compris. Du coup, la justification budgétaire du projet de migration est problématique. Et ce, même si la stabilité technique, le choix de la SOA et les apports fonctionnels à terme des nouveaux modules semblent clairs pour les DSI. Si le « pourquoi migrer » n'est pas sans poser de questions, le « comment migrer » n'est pas plus clair. Un tiers des répondants ignorent s'ils vont privilégier ou non une migration isofonctionnelle purement technique. Un quart n'a pas du tout défini son calendrier de migration contre 15% qui l'ont déjà réalisé. Les ressources humaines nécessaires à la migration ne constituent pas le moindre des problèmes. Tant chez les intégrateurs que chez les clients, la pénurie semble la règle alors même que la migration absorbe un grand volant ponctuel de compétences. La formation de ces compétences est en soi problématique mais SAP, qui assure lui-même les formations à ses produits, a développé une offre de e-learning pour tenter de parer au problème dans un délai raisonnable. Outre la formation, le coût de la migration comprend bien entendu le travail technique à faire et les licences des nouveaux produits. Les tarifs de celles-ci tiennent compte de l'ancienneté de l'investissement précédent : plus une implémentation est récente, moins son évolution sera onéreuse en termes de licences. SAP a insisté sur le fait que le principe restait que, à isofonctionnalités, la maintenance payait les évolutions des produits. Pour suivre l'évolution des migrations, l'USF, Bearing Point et SAP ont créé un « observatoire de la migration » qui réalisera une étude annuelle sur le sujet. (...)
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