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(04/06/2007 17:15:57)
Tous les logiciels ne seront pas fournis « comme un service », prévient AMR Research
Peut-on tout transposer selon le modèle SaaS ? Non, semble répondre le cabinet AMR Research, qui, à force de se voir interrogé sur la question, a publié une étude sur le sujet. Selon le cabinet, de plus en plus d'éditeurs s'interrogent sur l'opportunité et l'intérêt de développer une stratégie SaaS (Software as a service) qui les amènerait à proposer leurs logiciels en ligne, à partir d'une connexion Internet, sur la base d'une tarification calculée sous forme d'abonnement. Pourtant, en dépit des déclarations du PDG de Salesforce Mark Benioff, l'un des plus notables acteurs du marché SaaS, qui prédit la mort du logiciel vendu de façon traditionnelle, AMR Research rappelle que certaines catégories d'applications ne seront probablement jamais déployées à grande échelle selon l'approche SaaS. « Celles qui nécessitent de gérer d'importants volumes de données, une intégration en temps réel, une personnalisation très poussée ou une disponibilité proche de la perfection sont de mauvaises candidates pour ce modèle. » La GRC, un exemple à suivre Le succès rencontré avec le modèle SaaS par des acteurs de la GRC (gestion de la relation client), comme Salesforce, a conduit d'autres secteurs à s'y intéresser : acteurs de la gestion des ressources humaines (paie, fonctions en self-service, recrutement), des achats et de la recherche des fournisseurs (sourcing) ou du commerce électronique. En revanche, AMR Research fait remarquer que, dans le secteur de la production industrielle, par exemple, il n'y a guère de demande pour utiliser en ligne les moteurs de planification avancée de la demande (APS, advanced planning and scheduling) ou les logiciels de gestion de la production (MES, Manufacturing execution system). Si l'approche SaaS a sa place, elle a aussi ses limites et, conclut le cabinet, les utilisateurs sont finalement les mieux placés pour juger, au cas par cas, si le modèle « Software as a service » est bien en adéquation avec leur mode de fonctionnement. (...)
(01/06/2007 17:54:38)Skype se déploie dans Salesforce
Les fonctions de téléphonie sur Internet fournies par Skype sont maintenant disponibles sur AppExchange, l'annuaire de logiciels à exploiter en ligne sur la plateforme de gestion de la relation client (GRC) de Salesforce. Ces fonctions peuvent donc être utilisées au sein de l'application de GRC, ainsi qu'avec les autres logiciels disponibles sur AppExchange. Outre la capacité de passer des appels en utilisant la technologie Skype (les communications sont gratuites entre deux utilisateurs du service et facturées à la minute, à tarif réduit, vers les autres interlocuteurs), il est possible d'accéder à des outils de messagerie instantanée (dialogue en direct, « chat » en anglais). Les contacts et les indicateurs de présence seront insérés dans l'application de GRC, manuellement ou de façon automatique. Les utilisateurs de Skype pour Salesforce pourront aussi organiser des conférences (jusqu'à dix personnes au total) que les interlocuteurs aient eux-mêmes recours ou non à Skype. L'adaptateur Skype CTI Connector 2.0 (Basic Edition) permet par ailleurs d'intégrer les fonctions de téléphonie dans les modules de gestion des forces de vente (Salesforce SFA) et de service au client (Salesforce Service & Support) afin de pouvoir appeler sur un clic les clients ou partenaires qui y sont listés tout en faisant remonter à l'écran les fiches d'informations sur les personnes contactées. (...)
(01/06/2007 17:19:01)Salesforce et Google sur le point d'annoncer un partenariat
Salesforce et Google s'apprêtent à dévoiler un partenariat. Une conférence a été programmée par Salesforce pour mardi 05 juin prochain au cours de laquelle Lindsey Armstrong, co-presidente de l'éditeur pour la région EMEA (Europe, Middle East, Africa), fera une annonce stratégique avec « un acteur Internet majeur basé près de San Francisco ». La semaine dernière, le Wall Street Journal du 21 mai avait déjà évoqué des discussions entre Salesforce et Google au sujet d'une possible alliance autour des applications en ligne que proposent les deux fournisseurs : solutions de gestion de la relation client (GRC) pour Salesforce, et pour Google, logiciels bureautiques (les Google Apps), de messagerie et d'analyse de connexions Web. (...)
(01/06/2007 16:07:52)Cognos développe l'accès aux rapports depuis un Blackberry ou à partir d'Excel
Cognos pousse la consultation de rapports vers la mobilité. L'éditeur de solutions décisionnelles rend disponible Cognos 8 Go! Mobile, un outil permettant de visualiser les rendus d'analyses à partir d'un assistant numérique BlackBerry. Une application qui vient compléter son arsenal d'outils de rendu : l'éditeur avait récemment permis avec Cognos 8 Go! Consumer de consulter les rapports dans des interfaces plus familières, telles une application bureautique MS Office, un navigateur Web ou un moteur de recherche. Certes, la taille réduite de l'écran ne permet pas de bénéficier d'une lecture très confortable, mais elle sera suffisante à un utilisateur pour relire la dizaine de rapports qu'il consulte le plus régulièrement. « D'ici la fin 2007, nous proposerons des solutions équivalentes pour les plateformes Windows Mobile et Symbian », précise Olivier Derrien, président de Cognos France. Si cette solution mobile cible en premier lieu la base installée de Cognos, elle semble aussi susciter l'intérêt de nouveaux clients, notamment de PME françaises exportatrices qui souhaitent équiper des collaborateurs distants et mobiles. Go! Mobile revient à environ 30 000 € HT pour 25 utilisateurs. Construire des rapports depuis Excel L'éditeur annonce par ailleurs la livraison, au second semestre de cette année, d'une nouvelle fonction pour analyser les données à partir d'Excel. On pouvait jusqu'à présent, à partir de cette interface, consulter des rapports déjà créés. Avec Cognos 8 BI Analysis for Microsoft Excel, on pourra aussi préparer un rapport directement depuis le tableur. « Nous visons en premier lieu les contrôleurs de gestion avec cet outil », indique Olivier Derrien. Le président de la filiale française en profite pour rappeler que Cognos dispose depuis un certain temps d'une offre de planification budgétaire, Cognos Planning, déjà intégrée à sa plateforme. Alors que ses principaux concurrents viennent tout juste d'effectuer des rachats dans ce domaine (gestion de la performance économique, en anglais CPM) et qu'ils leur restent encore à intégrer ces acquisitions dans leur plateforme décisionnelle. (...)
(31/05/2007 17:28:10)Cegid ouvre sa plate-forme de PGI aux éditeurs indépendants
Sous le nom de Cegid Business Studio, Cegid proposait déjà sa plateforme de développement de PGI (progiciels de gestion intégrés) à ses partenaires revendeurs et à ses clients grands comptes, afin qu'ils puissent ajouter des modules spécifiques ou métiers à leurs applications. Désormais, l'éditeur lyonnais ouvre également cette plateforme aux éditeurs indépendants qui veulent redévelopper la solution qu'ils commercialisent. Avec Cegid Business Platform, ils pourront bénéficier des nouvelles technologies tout en s'appuyant sur des briques fonctionnelles de gestion déjà prêtes : comptabilité/finance, achats/ventes/stocks, production, gestion de la relation client, (GRC), paye et gestion des ressources humaines. « Les mouvements de consolidation que l'on constate en ce moment sur le marché résultent principalement des coûts élevés de recherche et développement, rappelle Christophe Raymond, directeur technique de Cegid. Les plus petites structures ont du mal à absorber les ruptures technologiques. De nombreux éditeurs de niche ont actuellement un produit qui demande à être réécrit parce qu'ils n'ont pas pu suivre les évolutions successives : services Web, architecture multi-niveaux, client léger, client riche, Web 2.0... Toutes avancées que nous avons intégrées à notre plate-forme, les dernières en date étant la prise en compte de Windows Vista et de MS Office 2007 qui constituent de véritables révolutions. » En s'appuyant sur Cegid Business Platform, les petits éditeurs pourront se focaliser sur la mise au point des fonctions métiers dont ils ont l'expertise. L'une des grandes nouveautés de cette annonce, c'est que Cegid est donc prêt à faire profiter de son propre environnement de développement des acteurs qu'il pouvait considérer jusque-là comme des concurrents, même s'ils restent cantonnés sur des marchés verticaux. « Ces éditeurs auront les mêmes avantages que nous et accéderont comme l'ensemble de nos partenaires aux prochaines avancées technologiques que nous intégreront à notre plateforme ». Une ouverture qui s'étend aux éditeurs étrangers puisqu'elle va permettre de verticaliser l'offre de Cegid en Chine, ainsi qu'au Canada pour attaquer des marchés de niche. Une plateforme agnostique Outre les fonctions de gestion de base, Cegid Business Platform apporte des outils de développement, de design, de création de schémas de base de données, de gestion des règles métiers, de workflow, de reporting, de cubes décisionnels, de gestion documentaire et de travail collaboratif (dans le cadre d'une solution de portail). Les solutions développées peuvent convenir à diverses tailles d'entreprise, de la TPE à la grande PME. Cegid dit sa plateforme « agnostique » puisque qu'elle permet d'intégrer nativement plusieurs suites bureautiques du marché (Microsoft Office mais aussi Open Office, Star Office ou encore IBM Lotus Domino) et supporte les principaux systèmes d'exploitation et bases de données (Windows, Unix... Oracle, SQL Server, DB2...). « Elle permet aux partenaires et aux éditeurs de se concentrer sur le développement de fonctions verticales, » résume Christophe Raymond. Un schéma que l'on retrouve chez Cegid lui-même puisque sur les 450 personnes travaillant dans son département R&D, 350 se consacrent aux déclinaisons métiers de ses offres. (...)
(31/05/2007 15:33:24)SAP s'offre un directeur technique
Un peu plus d'un mois après le départ soudain de Shai Agassi du poste de président du groupe technologie et produit, SAP crée le poste de CTO (Chief Technology Officer, directeur technique) qui est confié à Vishal Sikka. Ce dernier était auparavant vice-président architecture et Chief Software architect. Contrairement à Shai Agassi qui supervisait directement tout le développement produit, Vishal Sikka aura surtout un rôle de coordination et de supervision. Il travaillera avec un conseil exécutif, lui aussi créé à la suite du départ de Shai Agassi, et qui regroupe tous les responsables en charge des différentes lignes de produits. (...)
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