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(30/05/2007 11:02:29)

Information Builders renforce l'intégration de WebFocus avec Excel

L'éditeur de solutions d'analyse décisionnelle Information Builders, connu pour l'intégration de son logiciel de reporting WebFocus avec MS Excel, vient encore de renforcer ses liens avec le tableur de Microsoft. Annoncé à l'occasion de sa conférence utilisateur à Las Vegas la semaine passée, son nouveau plug-in Quick Data est un fichier additionnel pour Excel. Il permet de connecter directement le tableur au moteur de reporting de WebFocus. Il donne ainsi accès à quelque 300 adaptateurs iWay pour combiner dans un même rapport, et à partir d'Excel, des informations gérées par les diverses applications et bases de données cohabitant dans tout système d'information. L'outil s'intègre avec Excel Query. Information Builders a par ailleurs annoncé un moteur de diffusion d'alertes qui, combiné avec le bus de service d'iWay Software, permettra d'intégrer à des processus la capacité d'adresser à des utilisateurs désignés des informations en temps réel en fonction d'événements particuliers. (...)

(29/05/2007 14:25:52)

Les clients se disent victimes des systèmes de GRC

Conduite par Accenture, les résultats d'une enquête mondiale de satisfaction sur la qualité de l'automatisation de la gestion de la relation client (GRC, alias CRM en anglais) montrent la grande amertume des clients des entreprises de haute technologie. Le constat général de cette enquête auprès de 1200 clients est sans appel : la mise en place de logiciels de GRC est loin d'avoir amélioré la qualité des prestations, voire l'a dégradée. Sous prétexte de réduire leurs coûts d'exploitation, les fournisseurs se mettent à dos leur clientèle. Deux exemples pour illustrer cette affirmation : - 42% des clients doivent réclamer plusieurs fois avant d'obtenir la résolution d'un problème ; - du coup, 61% déclarent que l'automatisation des services clients n'a pas accéléré cette résolution. La mauvaise impression laissée par la qualité décevante des services à la clientèle conduit 78% des clients à dire qu'ils estiment la façon dont ils sont traités "équivalente ou moins bien" à que ce qu'ils trouveraient chez la concurrence. Une écrasante majorité des mécontents (81%) déclare d'ailleurs qu'elle compte changer de fournisseur. Il suffit d'ailleurs que la satisfaction vis-à-vis du GRC soit dans la moyenne pour que la probabilité de passer une nouvelle commande tombe de 51% à 27%. Sur un secteur où la technologie est de moins en moins un facteur de différenciation en soi, la mauvaise image des services associés risque d'avoir des conséquences désastreuses sur l'activité de l'entreprise. Ultime inquiétude : alors que 75% des fournisseurs estiment avoir mis en place des services automatisés qui apportent des prestations "au-dessus" de la moyenne à leurs clients, 58% des clients considèrent, justement, que les services qui leurs sont proposés se trouvent "dans la moyenne ou en dessous". Un dialogue de sourds. (...)

(29/05/2007 12:58:38)

Avec Inxight, Business Objects veut analyser l'information non structurée

En annonçant son intention d'acquérir l'éditeur californien Inxight Software il y a quelques jours, Business Objects a manifesté sa volonté d'intégrer dans ses solutions d'analyse décisionnelle la prise en compte des informations non structurées, telles que les documents bureautiques, les courriels et les contenus Web. Ces données représentent une part importante des contenus gérés par les entreprises, alors que, le plus souvent, les logiciels décisionnels traitent essentiellement les informations structurées, c'est-à-dire stockées dans des bases de données. Ce sont les outils d'analyse de texte et de recherche assistée développés par Inxight qui ont intéressé Business Objects, ce dernier comptant les utiliser pour aider à prévoir des événements ou détecter des opportunités. Parmi les champs d'application possibles, le PDG de BO, John Schwarz, a cité la détection des fraudes, le respect de la réglementation, la connaissance des clients ou encore le renseignement et la lutte contre le terrorisme. Les conditions de rachat n'ont pas été précisées. Inxight a réalisé un chiffre d'affaires de 25 M$ en 2006 et emploie 120 personnes. Il est intéressant de signaler que l'éditeur acquis par BO a déjà signé des accords OEM avec IBM, Microsoft, Oracle, SAP et SAS. (...)

(24/05/2007 16:28:53)

Annuels CA : la restructuration plombe les bénéfices

Résultats exercice 2007 Chiffre d'affaires : 3,94 Md$ (+5%) Résultat net : 118 M$ (-25,8%) CA ne parvient pas à sortir de l'ornière. Même si les résultats du quatrième trimestre de son exercice fiscal 2007 (clos au 31 mars) vont dans le bon sens, la bourse a sanctionné des perspectives moroses. Et ce, malgré l'annonce d'un massif rachat d'actions pour 500 M$. Sur un CA en hausse de 6,7%, le groupe est parvenu à améliorer sa marge brute de 92% pour atteindre 175 M$, soit 17% du CA. On est encore bien loin des standards de l'industrie. Cette amélioration de sa rentabilité lui a permis de ramener à 20M$ sa perte nette (contre 41 M$ en 2006) tout en consacrant 100 M$ à se restructurer. Un verbe qui, dans ce secteur, rime directement avec réduction des effectifs. Cette restructuration est, selon le groupe, responsable de la chute des bénéfices pour l'ensemble de l'exercice 2007 : ils perdent 25,8% sur l'année, à 118 M$. Dans le même temps, le chiffre d'affaires progresse tranquillement de 5%. (...)

(23/05/2007 09:56:23)

Une autre démission à la tête de SAP

La direction de SAP perdra à la fin du mois prochain une autre tête : Aliza Peleg, directrice des labos américains (SAP Labs). Aliza Peleg avait rejoint SAP en 2001, lors de l'acquisition de TopTier, dont elle était la directrice générale en Israël. TopTier est cet éditeur de technologies de portail qui avait été fondé par Shai Agassi, dont tout le monde attendait qu'il remplace Henning Kagermann à la tête de SAP. Or, Shai Agassi a démissionné le 1er avril dernier, suite au prolongement du mandat de Kagermann. C'est dans les SAP Labs californiens, sous l'impulsion de Shai Agassi et sous la direction d'Aliza Peleg, que se développaient les outils middleware de SAP, qui ont transformé le progiciel en une suite d'applications composites. Il y a quelques jours, un article du Wall Street Journal, citant des sources internes, évoquait des tensions au sein de SAP au sujet du poids respectif des centres de décision américain et allemand. La démission de Shai Agassi allait-elle entraîner un retour de balancier vers Walldorf ? Suite à l'annonce du prochain départ d'Aliza Peleg, un porte-parole de SAP a tenu à rappeler que « la Silicon Valley reste éminemment stratégique pour SAP », qui y emploie plus de 1600 personnes. Doug Merritt, responsable des développements de SAP, assurera l'intérim au poste d'Aliza Peleg, en attendant la nomination d'un remplaçant. (...)

(22/05/2007 18:08:59)

EMC World : un outil de création d'interface pour le transactionnel dans Documentum

A l'occasion d'EMC World, EMC a dévoilé TaskSpace, un module de création d'interface utilisateur censé faciliter la gestion du contenu transactionnel et des processus métier dans Documentum 6. Le client TaskSpace offre une vision simplifiée de l'ensemble de la chaîne de gestion, explique Whitney Tidmarsh, vice-présidente du marketing pour la division gestion de contenu. Lors d'une démonstration pour les clients, on a pu constater que le module offre une cartographie de l'ensemble des processus, depuis la capture de documents réalisée avec les technologies Captiva, jusqu'à la gestion des processus métier. « TaskSpace fusionne la gestion de contenu à l'automatisation de BPM (Business Process Management) ainsi qu'au puissant outil d'analyse de la plateforme Documentum, poursuit Whitney Tidmarsh. Ce que nous réclamaient depuis longtemps nos clients et nos partenaires. TaskSpace permet d'avoir une véritable console de contrôle de ses process en temps réel ». Selon elle, une des forces de TaskSpace est sa facilité de configuration, une constante qu'EMC essaie d'appliquer à l'ensemble de Documentum, confirme par ailleurs Balaji Yelamanchili, vice-président de la branche gestion de contenu, tout en présentant son concept de l'Entreprise content management 2.0. Un concept qui pousse la gestion de contenu vers les rouages du Web 2.0 (blogs, wiki) et les architectures orientées services (SOA). (...)

(22/05/2007 17:00:25)

Salesforce promet des architectures orientées services en ligne

Salesforce s'intéresse aux SOA (architectures orientées services). Le champion des applications en ligne de gestion de la relation client vient (GRC) d'annoncer Salesforce SOA, censé permettre la création d'applications composites depuis des offres hébergées (Saas, software as a service). Certes, Apex, l'environnement de développement promis par Salesforce, ne sera pas disponible en-dehors d'une version bêta avant décembre prochain. Mais, d'ici là, on pourra donc imaginer tous les avantages à développer des Services Web pour évoluer vers cette architecture orientée services intégrant des applications en ligne. Si le projet Salesforce SOA, encore dans les limbes, a le mérite de présenter une approche élégante pour l'intégration entre les vieux applicatifs et les offres de Salesforce, il est difficile de voir ce qu'il y a de vraiment nouveau dans cette annonce ; Salesforce a déjà quasiment tout dit sur Apex. René Bonvanie, vice-président marketing senior et responsable de l'offre AppExchange, explique que « la nouvelle technologie est la possibilité pour Apex d'appeler et de coordonner des services Web ». On serait donc en face d'un outil de mash-up géant (le mash-up consistant dans le mélange de services hétérogènes). Un accord avec Skype, et bientôt un avec Google ? Par ailleurs, la semaine dernière, SalesForce avait annoncé l'intégration du logiciel de VoIP Skype, via sa plateforme AppExchange, à ses applicatifs de GRC. SalesForce, qui revendique 575 applications pour sa plateforme AppExchange, précise qu'elles peuvent toutes intégrer Skype. Enfin, le Wall Street, dont les sources sont toujours de premier ordre, annonce des négociations entre Salesforce et Google. L'éditeur pourrait ajouter à son offre une partie des Google Apps, cette suite en ligne gratuite d'outils de productivité individuelle que Google propose aussi à des entreprises et, désormais à des partenaires. Commercialisés de pair avec les services de GRC de SalesForce, des outils comme la messagerie gmail constitueraient un ensemble applicatif intéressant face aux offres de Microsoft. (...)

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