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(22/03/2007 11:21:54)

SugarCRM ajoute la gestion de projet à son offre de GRC

Depuis la création de SugarCRM, en juin 2004, le logiciel de gestion de la relation client (GRC) que l'éditeur développe en Open Source a été téléchargé un million et demi de fois (trois millions de téléchargements au total, en incluant les mises à jour et les nouveaux modules). La base installée de l'offre payante regroupe 1 200 entreprises et l'éditeur entend défier des spécialistes de la GRC, comme Salesforce.com (30 000 clients dans le monde). Clint Oram, l'un des trois fondateurs de la société, directeur général du siège européen tout juste implanté, en veut pour preuve les cinquante clients qu'il a déjà repris à cet emblématique concurrent. Pour renforcer sa solution, actuellement dotée des fonctions requises pour gérer les ventes, le marketing multicanal et l'assistance aux clients (les trois piliers de la GRC), l'éditeur vient d'annoncer un module de gestion de projets. Intégré aux autres modules, Project Management permet de suivre les actions menées sur les clients. Il assure le partage d'informations entre les collaborateurs (avec visualisation de l'historique des échanges), apporte des outils de planification, des modèles de projets pré-définis, des vues sous forme de diagrammes de Gantt (pour figurer graphiquement les différentes étapes d'un projet) et des tableaux de bord pour le contrôle d'indicateurs clés. Il est possible d'exporter ces données vers le logiciel Microsoft Project. Des versions sur site, en ligne ou packagées clé en main Le module Project Management est inclus dans l'abonnement aux versions commerciales de SugarCRM. L'éditeur propose en effet deux produits, parallèlement à Sugar Open Source, son offre gratuite allant jusqu'à cinq utilisateurs. Au-delà de cinq postes, on trouve Sugar Professional et, pour les grandes structures, Sugar Enterprise. Ces déclinaisons peuvent s'installer en interne, de façon classique (version On-Site), ou s'utiliser à partir d'une connexion Internet (version On-Demand). Sugar Professional On-Site est vendu 210 euros par utilisateur et par an, et Sugar Enterprise, 340 euros par utilisateur et par an. En mode hébergé, l'abonnement mensuel à ces versions coûte respectivement 40 ou 75 euros par utilisateur. Il est intéressant de noter que SugarCRM a également mis au point une version « clé en main » de son offre, livrée avec le matériel. Baptisée Sugar Cube, elle comprend le serveur, la base de données (MySQL ou Oracle 9i, au choix) et un outil de déploiement rapide, Sugar FastStack. A partir de cinq utilisateurs (Sugar Cube 1005) et jusqu'à 250 (Sugar Cube 3005. La communauté SugarCRM regroupe 7 000 développeurs dans le monde, dont 200 sont impliqués au quotidien sur le projet (le logiciel est entièrement développé en langage PHP). A l'instar de Salesforce.com, SugarCRM a également créé sa place de marché, SugarExchange, sur laquelle des éditeurs indépendants peuvent proposer des outils complémentaires à son offre de GRC. Parmi ces partenaires figure notamment l'éditeur de solutions décisionnelles en Open Source JasperSoft qui a également apporté des outils d'analyse à l'offre de Salesforce.com (sur le site AppExchange.com). Sur le même sujet : -GRC en Open Source : SugarCRM ouvre un siège en Europe -Forrester distingue quatre logiciels pour moyennes entreprises - SugarCRM se rapproche de JasperSoft -SugarCRM propose de nouveaux services de support -SugarCRM devrait adopter la licence Microsoft Shared Source (...)

(19/03/2007 14:36:48)

SaaS Summit 2007 : Microsoft reprend le refrain SaaS

Même si Microsoft n'est pas encore au centre de l'arène Saas (Software as a service) dans laquelle évoluent les éditeurs qui fournissent leurs applications en ligne et à la demande, comme un service, l'éditeur de Windows envisage cette façon de vendre ses logiciels comme un bon moyen d'augmenter son chiffre d'affaires. C'est en substance les propos tenus par l'un de ses représentants, à l'occasion du SaaS Summit 2007 qui s'est tenu à Monterey (Californie), du 14 au 16 mars. Cliff Reeves est responsable chez l'éditeur de l'équipe chargée de découvrir de nouveaux gisements de développement. Pour lui, Microsoft est bel et bien un acteur de la sphère SaaS. Entre des applications comme la plateforme Office Live, les services hébergés autour de la messagerie Exchange et le futur Dynamics CRM Live (présenté au même moment par le PDG Steve Ballmer à la conférence utilisateurs Convergence), Microsoft possède déjà un ensemble important de produits délivrés sous forme de services. « Un éventail plus significatif que la plupart des autres acteurs intervenant sur le marché SaaS, juge Cliff Reeves. C'est une source de croissance financière énorme pour nous. » Il évoque aussi une autre piste qui conduirait Microsoft à développer des versions hors-ligne pour les applications SaaS. Microsoft prévoit des partenariats pour fournir d'autres types de services applicatifs. Cliff Reeves cite des accords avec Rearden Commerce qui propose de gérer les achats de fonctionnement (procurement) en ligne, ainsi qu'avec American Express qui complète cette offre avec des outils d'analyse de données. Etre capable de transformer un essai d'utilisation en abonnement payant Pour preuve de l'intérêt des grandes fournisseurs pour les applications en ligne, alors que le SaaS Summit battait son plein, Cisco annonçait son intention de racheter, pour 3,2 milliards de dollars, la société WebEx qui délivre des services de collaboration en ligne sur le modèle SaaS. « La démarche SaaS va plus loin que la simple fourniture de logiciel à un client, estime Treb Ryan, PDG d'OpSource, organisateur du SaaS Summit et lui-même hébergeur et pourvoyeur de services pour les éditeurs souhaitant proposer leurs produits en ligne. Selon lui, un fournisseur de solutions SaaS doit penser comme une entreprise dont le modèle d'activité repose sur le Web, c'est-à-dire être sans cesse à la recherche de meilleurs modes de fonctionnement, recourir aux développements itératifs, mettre l'accent sur le marketing et la recherche de nouveaux utilisateurs. « Les meilleurs éditeurs SaaS sont ceux qui offrent le plus de facilités aux entreprises et aux utilisateurs pour accéder à leurs produits et les tester et qui, ensuite, sont capables de transformer cet essai en abonnement payant. » Le mode SaaS permet aussi aux utilisateurs de se conformer aux réglementations légales ou administratives (celles imposées par la loi Sarbanes-Oxley, par exemple). Treb Ryan pointe aussi l'intérêt du concept SaaS 2.0 qui permet aux applications SaaS d'être reliées à d'autres services sur le Web pour disposer de fonctions comme la facturation et la gestion de documents. « Cela permet aux éditeurs de logiciels en ligne de se concentrer sur les domaines qu'ils maîtrisent le mieux ». Distribution indirecte : des services à la clé Pour Ken Rudin, PDG fondateur de LucidEra, fournisseur de fonctions décisionnelles en ligne, le modèle SaaS, ou « à la demande », dépasse largement la notion d'hébergement de logiciel. L'hébergement consiste simplement à déplacer le lieu d'exploitation du logiciel, des locaux de l'entreprise à ceux de l'hébergeur. Or, fournir un logiciel « à la demande » ne se limite pas à cela. Ce type d'application se doit avant tout d'être simple dans sa mise en route, dans son utilisation et dans son mode d'achat. Quand on lui demande quels sont les logiciels qui conviennent le mieux à ce mode d'utilisation, il répond par une question : « je demanderais plutôt, quels sont les produits dont l'exploitation ne se ferait pas plus facilement sous forme de service ? ». Argument que réfute Mark Binford, responsable du développement commercial chez BMC. « Je ne partage pas l'idée selon laquelle n'importe quelle solution serait plus facile à utiliser sous forme de service. Les logiciels installés de façon classique, dans l'entreprise, vont continuer à être utilisés sous cette forme pendant très longtemps, selon moi. » BMC édite des logiciels de gestion des services et voit surtout dans le mode SaaS un moyen d'accéder au marché des PME. Sur le plan de la commercialisation des logiciels, enfin, le modèle SaaS pose quelques problèmes lorsqu'il s'agit de s'appuyer sur un réseau de distribution indirect. Les revendeurs ont l'habitude de vendre le logiciel en réalisant une marge. Or, dans un monde SaaS, il faut passer de la vente de licence classique à la fourniture d'un contrat de valeur globale. Pour s'y retrouver, les revendeurs doivent donc apporter en plus des prestations de conseil. (...)

(16/03/2007 17:00:37)

Cebit 2007 : un moteur d'OCR en Open Source

« Habituellement, les moteurs d'OCR en Open Source affichent des taux d'erreur de 6 à 10%. Nous avons pour notre part avec Ocropus un taux d'erreur de 3%. » Fort de ce résultat, Christian Kofler, ingénieur au centre de recherches allemand sur l'intelligence artificielle, qui expose sur le pavillon « Future Parc » du Cebit, s'apprête à lancer son projet dans une version finalisée à la fin du mois. L'OCR (Optical character recognition, reconnaissance optique de caractères), tel que pratiqué par les logiciels commerciaux, affiche un taux d'erreur qui ne dépasse pas 1%. « Nous espérons réduire le fossé d'ici un an », complète Christian Kofler. L'autre projet présenté par cet ingénieur prolifique est une création originale de l'Université d'Aachen. Le projet Fire est un outil de recherche d'image par similarité. Le logiciel analyse une image donnée en exemple, puis recherche des caractéristiques similaires dans les images contenues dans son système de fichiers. Problème : il faut trouver l'image qui doit servir d'exemple. Fire propose pour ce faire diverses images tirées aléatoirement de Flickr. « Le but, explique Christian Kofler, est de fournir une technologie de base, en Open Source, qui pourra être utilisée dans des applications pour utilisateurs finaux. » (...)

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