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(26/02/2007 17:05:49)

Alfresco passe sous licence GPL

A l'occasion de la sortie de la version 2.0 de l'édition communautaire d'Alfresco, l'éditeur du gestionnaire de contenu Open Source a décidé de passer à la licence GPL. Alfresco, qui proposait jusqu'alors son édition Community sous licence MPL (avec une clause d'attribution), dit vouloir lutter contre la prolifération des licences Open Source, favoriser l'émergence d'une communauté, et ne pas obliger ceux qui embarqueraient son code à apposer obligatoirement un logo Alfresco (la clause d'attribution). Dans la foire aux questions écrite par Alfresco afin d'expliquer ce changement, l'éditeur indique que les éventuelles incompatibilités avec certaines portions de code sous licence Apache incluses dans l'offre n'ont en fait pas d'incidence, dans la mesure où ce code n'est protégé par aucun brevet. Par ailleurs, Alfresco propose une clause d'exception de façon à pouvoir intégrer plus facilement son code avec d'autres projets Open Source. Les détenteurs d'une licence commerciale d'Alfresco version Enterprise ne seront pas impactés par ce changement s'ils ne désirent pas passer à la GPL. (...)

(23/02/2007 17:55:38)

SAP prépare son offre de gestion hébergée « à la demande » pour les PME

SAP prévoit de livrer une suite d'applications hébergée pour les PME dans le courant de cette année sur certains marchés. L'éditeur donnera davantage de précisions sur le prix et les fonctionnalités de cette offre, connue en interne sous le nom d'A1S, après le Cebit de Hanovre. Henning Kagermann, PDG de SAP, a néanmoins fourni quelques indications sur cette solution de gestion intégrée en ligne. A1S s'adressera aux PME qui recherchent une suite applicative financièrement abordable, facile à déployer et n'obligeant pas l'entreprise à s'engager à long terme. Elle proposera les fonctions de gestion d'un PGI (progiciel de gestion intégré), c'est-à-dire, principalement la comptabilité, la gestion commerciale (facturation, gestion du catalogue produits et des stocks, etc.), mais aussi les fonctions de GRC (gestion de la relation avec les clients). Le produit s'utilisera sur la base d'un abonnement mensuel, ce qui donnera aux petites entreprises ayant des ressources financières limitées la possibilité de tester le service et de ne pas y donner suite s'il ne leur convient pas. Cette nouvelle offre se prépare alors que SAP se réorganise afin d'étendre sa présence sur l'énorme segment de marché que représentent les PME à un moment où celles-ci manifestent leur intérêt pour les applications de gestion hébergées comme celles que propose Salesforce.com (ou encore Google, depuis hier, dans le domaine de la bureautique et des outils de communication). Forte préconfiguration, personnalisation réduite Henning Kagermann présente A1S comme un produit entièrement nouveau qui ne sera pas une version hébergée du progiciel All-in-One. Rappelons que ce dernier est une version adaptée aux PME de mySAP Business Suite, le produit phare de SAP conçu pour les grandes entreprises. Ce produit hébergé sera très fortement préconfiguré. Il s'agira d'un produit « prêt à utiliser » qui n'est pas destiné à être adapté par les entreprises. « Pour être en mesure de proposer un prix réduit, il faut que le produit soit très standard, rappelle Henning Kagermann. La nécessité de se borner à un jeu standard de fonctions signifie donc, aussi, moins d'options pour personnaliser le produit ». En limitant la personnalisation, mais ce faisant, en réduisant la complexité de l'offre, SAP et ses partenaires pourront déployer plus rapidement l'application, précise le PDG. « Les entreprises auront besoin de moins de consultants pour la mettre en place et les coûts s'en trouveront réduits. » Entre All-in-One et Business One Dans son offre, SAP prévoit d'intercaler cette solution hébergée entre ces deux produits déjà disponibles pour les PME : All-in-One et Business One. A1S visera les entreprises comptant entre 100 et 1 000 salariés, tandis que All-in-One s'adressera aux structures ayant de 1 000 à 2 500 salariés et Business One à celles de 10 et 100 personnes. SAP estime que le lancement du produit en ligne ne détournera pas les clients de Business One, une offre également très préconfigurée et abordable (2 500 € HT par utilisateur incluant la licence, le matériel, la base de données et vingt jours d'intégration). Au contraire, Henning Kagermann espère bien que, sur l'objectif de 100 000 clients qu'il vise d'ici 2010, la moitié sera des utilisateurs de Business One. Quant aux clients qui souhaitent disposer d'une couverture fonctionnelle plus large et d'une plus grande flexibilité dans l'adaptation du progiciel, ils porteront leur choix sur All-in-One. La base installée de SAP compte actuellement 39 000 clients. Henning Kagermann pense que c'est aux Etats-Unis que la demande pour l'offre hébergée sera la plus forte. Le marché américain étant plus avancé que l'Europe sur ce terrain des applications fournies « comme un service » ou « à la demande » (Saas, software as a service, ou on-demand services). La tarification sera très claire, précise encore le PDG de SAP, mais sans fournir plus de précisions pour l'instant. Il n'entend pas non plus révéler le nom définitif du produit. « Nous discutons en ce moment avec nos clients et partenaires sur de nombreux points de cette offre, incluant les tarifs et les fonctionnalités. Il est trop tôt pour donner des détails ». (...)

(22/02/2007 18:31:14)

Google attaque MS Office dans les grandes entreprises

Avec le lancement mondial de sa suite logicielle Google Apps Edition Premium, l'éditeur américain Google ne se contente plus de vouloir proposer un ensemble d'outils bureautiques hébergés gratuits à des PME ou pour une utilisation personnelle. Ce sont les grandes entreprises qui sont cette fois visées. Non seulement pour l'usage de la messagerie Gmail et de l'agenda partagé, mais aussi pour celui des nouveaux outils de traitement de texte et de tableur en ligne (simplement nommés Document et Tableur, en français). Qu'on en juge. Ce matin, au siège de la filiale française, parmi les trois entreprises invitées à parler de leur projet autour de Google Apps, deux d'entre elles, Essilor et Nexans, comptent plus de 20 000 collaborateurs dans le monde, même si tous ne sont pas des utilisateurs potentiels des Google Apps. Et si la troisième, Médiamétrie, est une PME de 400 personnes, sa direction des systèmes d'information (DSI) ne rassemble pas moins de 70 personnes. Mais la perspective de gérer un nombre exponentiel d'utilisateurs n'effraie pas Google. Il se sent de taille. Et de citer en exemple, parmi les usagers pionniers de son offre, l'Université d'Arizona et ses 65 000 comptes de messagerie. 50 dollars par utilisateur et par an Sa nouvelle offre est d'ores et déjà disponible. Pour 50 dollars, par utilisateur et par an, on peut donc désormais exploiter en ligne l'Edition Premium des Google Apps (le prix en France devrait avoisiner les 40 euros). Outre les applications déjà citées, la suite comprend l'outil Start Page pour créer une page d'accueil, le logiciel Page Creator pour concevoir un site Web, la messagerie instantanée Google Talk, un antivirus et un antispam. La version Standard, gratuite, se distingue par un affichage publicitaire et son espace de stockage est de 2,5 Go par utilisateur contre 10 Go pour la version Premium. Mais les fonctions des deux suites sont exactement les mêmes. Il en existe une troisième, iso-fonctionnelle, pour l'éducation. Evidemment, l'offre destinée à la grande entreprise comporte la fourniture d'API (interfaces de programmation) qui lui permettront de s'intégrer aux annuaires d'entreprise ainsi qu'à d'autres applications. Des fonctions d'authentification unique (SSO, single sign on) peuvent également être mises en oeuvre. Pour les entreprises françaises conviées au lancement de l'édition Premium, le prix de l'abonnement reste un argument secondaire. Toutes trois s'apprêtent à lancer un projet pilote d'environ six mois pour juger concrètement des gains apportés par la solution. La principale inquiétude se concentre, comme on pouvait s'y attendre, sur les considérations de sécurité et de confidentialité des données. Celles qui seront gérées avec les Google Apps seront effectivement entièrement confiées aux bons soins de Google. Des outils de collaboration très attendus « Notre appréciation des gains sera plus qualitative que quantitative », prévoit Marc Guiraud, directeur technique d'Essilor (fabricant de verres correcteurs), pour qui le poste de travail sous Windows n'est actuellement plus à la hauteur de ce qu'on peut attendre. Adepte enthousiaste des logiciels de Google, il juge particulièrement claire l'interface de Gmail où s'affiche le fil des courriels reçus, livrant en un coup d'oeil l'historique des échanges. Julie Dorel, responsable des portails intranet et Internet du fabricant de câble Nexans, souligne de son côté le très fort besoin d'outils de collaboration entre les équipes sur le terrain, une nécessité également pointée par Essilor, les deux groupes intervenant sur plusieurs continents. Or, l'un des points mis en avant par Google sur sa suite applicative hébergée, c'est justement ses fonctions de travail en groupe. Le traitement de texte et le tableur permettent de modifier un document à plusieurs, en incluant une gestion des autorisations et des versions. Pour des collaborateurs dispersés à travers le monde, il est en outre intéressant de pouvoir, à partir de la même interface, consulter ses courriels, fixer un rendez-vous commun ou dialoguer sur le champ avec un collègue qui vient de se connecter, par l'intermédiaire de la messagerie instantanée Google Talk. Cette exigence de collaboration est partagée par la société de mesure d'audience Médiamétrie : « Le besoin de croiser les données augmente alors que nous travaillions autrefois par silos », explique son DSI, Jean-Marie Personeni. Pas de concurrence frontale, estime Microsoft Pour Microsoft France, comme pour Google d'ailleurs, cette offre en ligne ne vient pas concurrencer en frontal la suite bureautique MS Office, à la couverture fonctionnelle très étendue. Et lorsque l'on oppose à Fabrice Milhoud, responsable stratégie de Microsoft France, que la plupart des utilisateurs n'exploite qu'une faible partie des fonctions proposées dans Office, il avance la nécessité de répondre aux différents usages identifiés dans l'entreprise et aux demandes de toutes les catégories d'utilisateurs. Par ailleurs, il ne tient pas pour un avantage absolu le mode hébergé proposé par Google. « Avec MS Office Live, nous proposons une autre approche, plus complémentaire, en conservant une offre déconnectée et des outils en ligne pour l'enrichir. Nous pensons que, même demain, il n'y aura pas de monde purement online ». Il considère comme un inconvénient de devoir disposer d'une connexion Internet, pas toujours disponible, pour exploiter ses outils bureautiques de base. Même si, à l'inverse, Bill Gates évoque avec constance lors de ses interventions publiques un univers où l'on pourrait accéder constamment à ses données en ligne. (...)

(20/02/2007 17:00:49)

SAP s'offre les applications analytiques de Pilot Software

Pour compléter son offre d'applications analytiques, l'éditeur allemand SAP vient de racheter l'Américain Pilot Software, un éditeur spécialisé depuis 1986 dans les outils de tableaux de bord (*). Les logiciels de Pilot Software viennent soutenir la prise de décision stratégique des équipes dirigeantes en leur fournissant une vue sur les indicateurs clés de l'activité de leur entreprise. Le produit phare, PilotWorks, inclut des analyses basées sur la méthode Balanced Scorecard, de Robert Kaplan et David Norton. Lors de récentes interventions, Henning Kagermann, PDG de SAP avait indiqué que sa société prévoyait des acquisitions ciblées destinées à compléter certains pans de son offre par l'ajout de fonctions innovantes. Il avait également précisé que les outils analytiques faisaient partie intégrante des processus de gestion et que les développements futurs s'orientaient vers des fonctions analytiques embarquées. Pilot Software est dirigé par Jonathan D. Becher, qui dispose d'une expérience de presque vingt ans dans les solutions décisionnelles. La société compte quelque 150 clients et dispose de bureaux sur la côte Est et sur la côte Ouest des Etats-Unis. (*) Au milieu des années quatre-vingt, Pilot était connu pour des logiciels qu'on appelait alors EIS, pour Executive Information System, premières versions des actuels tableaux de bord d'aide à la décision. (...)

(19/02/2007 18:10:47)

L'écosystème de SAP en Inde compterait quelque 50 000 personnes selon AMR Research

Si l'on en croit les estimations de Bruce Richardson, analyste senior pour le cabinet d'études AMR Research, l'écosystème constitué autour de l'offre de SAP en Inde rassemblerait quelque 50 000 consultants et développeurs. C'est ce que confie ce spécialiste de l'offre SAP dans sa chronique du 16 février : « The Nasscom Diaries, part 2 : Four new ideas », en analysant les données engrangées au cours de ses deux derniers voyages sur le sous-continent indien. « A lui seul, Siemens Information Systems dit avoir formé quelque 5 000 développeurs SAP », précise-t-il encore. Pour illustrer l'implication des informaticiens indiens sur l'offre applicative de l'éditeur allemand, Bruce Richardson invite à une petite visite sur le site des développeurs SAP, www.sdn.sap.com. Des sociétés de services comme Intelligroup ou Wipro figurent, selon les périodes considérées, parmi les principaux contributeurs (cf « Contributor Recognition Program »). Suit une société comme Cognizant, américaine certes, mais dont les racines et la plupart des employés sont en Inde, note encore l'analyste d'AMR Research. On trouve également des sociétés comme Accenture (« la plupart des contributeurs sont indiens », note l'analyste), IBM India et TCS. D'autres, comme HCL, Satyam et Patni ne sont pas loin derrière. Hors l'Allemagne, Bangalore est le plus gros centre de développement de SAP L'été dernier, Henning Kagermann, PDG de SAP, avait lui-même annoncé que son entreprise allait investir 1 milliard de dollars en Inde sur les cinq prochaines années. L'éditeur avait à cette occasion précisé que 20% de ses activités globales de R&D, de services et de support seraient réalisées en Inde d'ici à la fin 2006. SAP Labs India, situé à Bangalore, est son plus important centre de développement en dehors de l'Allemagne. Le fournisseur prévoyait alors de porter à 3 500, fin 2006, le nombre de personnes travaillant dans ce centre. (...)

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