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(13/12/2006 17:57:11)

HP Software Universe : HP veut s'imposer parmi les grands du logiciel

A l'occasion d'HP Software Universe, la conférence annuelle de sa division logicielle, Hewlett Packard a fait le point sur ses ambitions dans le logiciel après les rachats de Peregrine et Mercury. Désormais n°6 mondial du logiciel avec plus de 4 Md$ de chiffre d'affaires (chiffre IDC, incluant la division HP software ainsi que le CA réalisé avec HP-UX, les outils d'administration du stockage...), la firme de Palo Alto entend faire du logiciel l'une de ses activités importantes. Avec le rachat de Mercury pour 4,5 Md$, la division logicielle HP Software, essentiellement connue pour ses logiciels Openview et OpenCall, a non seulement étendu son périmètre, mais elle a surtout changé de dimension. L'acquisition de Mercury devrait permettre un doublement du chiffre d'affaires, à près de 2,3 Md$. L'autre bonne nouvelle pour HP est qu'HP Software a renoué avec les profits au 4e trimestre fiscal 2006 et ambitionne à terme une rentabilité de l'ordre de 20%. Forte croissance en France En France, HP Software a affiché une croissance insolente au cours de l'année écoulée. Selon Emmanuel Royer, le patron de la division de France, HP Software a connu une croissance organique de 22% et de 71% en incluant l'acquisition de Peregrine. Dans le même temps, le marché du logiciel français n'a progressé que de 7%. HP Software France a profité à plein de l'implantation de Peregrine en France, puisque l'un des grands produits de la marque, Asset Manager, est issu du rachat du Français Apsylog et que la base installée locale est très supérieure à celle des pays voisins. En France, HP a aussi pu s'appuyer sur le savoir-faire des équipes de développement d'Asset Manager, basées à Bourg la Reine, et sur celui des équipes R&D basées à Sophia Antipolis (essentiellement sur la partie réseaux et Télécoms). Selon Emmanuel Royer, HP SoftWare France a gagné plus de 140 nouveaux projets chez des grands comptes en 2006 et séduit 71 nouveaux grands clients. Il est à noter que l'essentiel de l'activité de la marque se fait avec les grands comptes puisque le mid-market ne représente que 15% du CA d'HP Software en France. Peu d'informations sur Mercury Si HP Software s'est félicité ouvertement de ses succès commerciaux et s'est largement épanché sur les opportunités de marché que lui ouvre l'acquisition de Mercury, auprès des journalistes présents au Software Universe, le groupe est, en revanche, restée très discret sur sa roadmap d'intégration et d'évolution des produits Mercury. Les annonces produits sont également restées mineures. HP devrait vraisemblablement en dire un peu plus sur ses plans au cours du premier trimestre . En attendant, l'entreprise se contente de reprendre le discours de Mercury sur le BTO (Business Technology Optimization), un discours qui l'éloigne de plus en plus de son savoir faire d'origine, la supervision d'infrastructures. Côté Peregrine, en revanche, la roadmap est plus claire puisque la firme devrait proposer un produit convergent entre sa solution de service Desk et celle de Peregrine dans le courant 2007. HP Software s'est aussi engagé à faire évoluer et à supporter les offres existantes de Service Desk jusqu'en 2010. (...)

(13/12/2006 16:07:17)

IBM et Yahoo lancent leur outil gratuit de recherche en entreprise

IBM et Yahoo viennent de lancer un moteur de recherche gratuit pour entreprise. Baptisé IBM OmniFind Yahoo Edition, ce moteur de recherche peut indexer jusqu'à 500 000 fichiers de 200 types différents parmi lesquels des documents Word, Excel ou encore PDF, dans 30 langues. L'accès au moteur de recherche se fait via une interface Web qui permet aussi de solliciter le moteur de recherche sur Internet de Yahoo. Mais OmniFind Yahoo Edition est gratuit, IBM propose d'en assurer le support téléphonique 24h/24 et 7j/7 à partir de 1 999 $ par an et par serveur installé. OmniFind Yahoo Edition ne s'en place pas moins en concurrence directe de l'appliance Google Mini, commercialisée à partir de 1 995 $ pour une capacité d'indexation limitée à 50 000 fichiers, comme le relève Forrester. Ovum souligne en outre que Google ne propose, pour ce prix, qu'un support technique par courrier électronique. Le cabinet d'analystes voit aussi dans le nouveau moteur de recherche d'IBM et de Yahoo une menace pour Office 2007 SharePoint Server for Search de Microsoft. (...)

(13/12/2006 16:01:25)

Le e-tourisme conjugué aux technologies de mobilité s'invente des débouchés

Secteur leader de la vente en ligne, le e-tourisme (voyages, séjours et autres services), progresse autant en chiffre d'affaires (3,5 Md€ en France en 2005), qu'en quantité et en diversité d'usages (11,5 millions de clients en 2005, en progression de 20% par rapport à 2004. L'état des lieux dressé lors de la journée Tourism@ 2006 qui s'est tenue à Cannes le 5 décembre, confirme l'arrivée en force des technologies de mobilité au coeur de l'effervescence marketing qui anime le monde du voyage et de l'accueil touristique. Depuis la "carte orange" de Air Canada qui permet aux abonnés de gérer en ligne leurs déplacements, jusqu'à l'accès sur PDA aux calculs d'itinéraire de ViaMichelin, en passant par le "Google local for mobile" ou le dispositif de "yield management" (la meilleure vente au meilleur prix au meilleur moment) appliqué aux stations de ski qui a ses extensions vers les mobiles des clients potentiels. Ce sont autant d'usages qui font appel à des compétences d'informaticiens polyvalents, connaissant les technologies Web, serveurs d'application, multimédia et téléphonie mobile, mais capables en plus d'y associer une sensibilité marketing. Cette année encore, entre autres opérateurs, Voyages-sncf.com planifiait trente embauches supplémentaires (pour 150 salariés, dont 70 informaticiens), après la croissance d'effectifs de 45% enregistrée en 2005. Les deux applications et PME lauréates (parmi 64 dossiers candidats) du concours rattaché à cette rencontre annuelle sont également témoins de cette percée du m-tourisme. Qu'il s'agisse de la plateforme Travel Signal de la société britannique Mobile Signal (R&D en Californie, en France et en Pologne), ou de celle de la société italienne 01 Design (150 salariés), qui permettent l'une et l'autre de personnaliser (tant pour les opérateurs, voyagistes, etc., que du côté des clients) les prestations et les contacts entre le prestataire et le client ou avec d'autres voyageurs, via SMS, MMS, accès web, etc., sur mobile. (...)

(13/12/2006 09:32:32)

Cegid acquiert un spécialiste de la comptabilité pour TPE

En rachetant Comptanoo, l'éditeur lyonnais Cegid élargit son offre de logiciels de gestion accessibles en ligne, en direction cette fois des très petites entreprises (soit un marché de quelque trois millions de TPE et associations). Installé à Cesson-Sévigné, près de Rennes (Ille-et-Vilaine), l'éditeur Comptanoo propose, à partir de 18 euros hors taxes par mois, d'exploiter une gestion comptable permettant une collaboration entre la TPE et son expert-comptable. Le tarif comprend aussi l'accès à un logiciel d'édition de devis et de facturation. Ces outils peuvent s'utiliser à partir d'une connexion Internet, ou de façon classique, c'est-à-dire installés sur un PC. En 2005, Comptanoo a réalisé un chiffre d'affaires de 600 000 euros, dont la moitié en revenus récurrents. Entre ses deux sites Web, Comptanoo.com et Club-comptable.com, l'éditeur rassemble quelque 51 000 adhérents ou abonnés. Son PDG, Laurent Raison, poursuivra ses activités au sein de Cegid. Il sera responsable du marketing interactif à destination des TPE dans la branche d'activité Profession Comptable Libérale et TPE du groupe lyonnais. Rappelons que Cegid rassemble plus de 2 000 collaborateurs et affiche un chiffre d'affaires de 224 millions d'euros. Des espaces d'échanges entre professionnels Sur le site www.comptanoo.com, outre l'accès aux logiciels, l'éditeur breton fournit également un ensemble de services : une rubrique formation (pratique d'Excel, comment négocier, établir un business plan...), une zone d'échange entre professionnels et des espaces par communautés (créateurs, agriculteurs, professions libérales, franchises...). En complément, une rubrique d'informations renseigne sur les dernières dispositions en faveur des TPE : prêts à la création d'entreprise, par exemple, ou encore démarches simplifiées pour gérer les emplois occasionnels, etc. Quant au site Club Comptable (www.club-comptable.com), il est destiné à faciliter les échanges d'informations entre professionnels de la comptabilité : experts-comptables, étudiants et chefs d'entreprise. Outre une base de 7 000 questions/réponses, on y trouve des espaces de recrutement, de dépôt d'appels d'offres et de formation comptable en ligne. (...)

(12/12/2006 17:19:11)

Salesforce.com s'inspire d'iTunes pour AppExchange

Salesforce.com peaufine l'écosystème de sa plate-forme de partenaires, AppExchange. Le spécialiste de l'hébergé a annoncé que cette dernière allait peu à peu se muer en une véritable place des marchés qui, en plus d'héberger les applications des éditeurs tiers, fournira des services (payants) de marketing et de facturation. Son objectif : multiplier les revenus "en s'inspirant du modèle iTunes". La société cherche de plus en plus à étendre les fonctionnalités d'AppExchange. En octobre dernier, à l'occasion de sa conférence utilisateurs, Salesforce.com livrait aux développeurs Apex -son langage de programmation maison- pour leur permettre de personnaliser les composants de son outil. Plus récemment, la société proposait ApexConnect, un jeu d'outils et d'API qui, utilisés conjointement avec Apex, permet de greffer les services de GRC (Gestion Relation Client) de la marque à la majorité des progiciels. En 2007, Salesforce.com intégrera trois types de services estampillés AppStore, censés faciliter les transactions entre partenaires AppExchange (acheteurs et vendeurs de modules). La société se positionnera comme un intermédiaire qui prendra à sa charge les démarches commerciales, techniques et marketing (ventes, facturation, déploiement). AppStore Standard Referral Program (disponible en février 2007) et son édition Premium (août 2007) fourniront un ensemble de prestations marketing, dont le coût sera facturé sur le pourcentage des ventes ayant transité par AppExchange. 10% des revenus des ventes générés la première année, pour le modèle standard; 25% pour le Premium. Le troisième service baptisé AppStore Checkout (prévu pour décembre 2007) proposera, notamment, des formules de gestion de commandes, facturation et d'échange de documents. Le service prendra également en compte les transactions dans différentes monnaies et langues ainsi que les taxes locales en vigueur. Salesforce.com prévoit de prendre au passage 20% des ventes issues du service. (...)

(12/12/2006 14:35:16)

Virtual Iron et XenSource défient VMware

Virtual Iron et XenSource viennent tout deux de mettre à jour une offre de virtualisation qui se veut bien plus économique que celle de VMware, avec l'ambition de rattraper l'éditeur dominant du marché. Virtual Iron vient en effet de présenter la version 3.1 de sa plate-forme de virtualisation pour entreprises, commercialisée à partir de 499 $ par support processeur, soit 80 % moins cher qu'une licence VMware équivalente, selon l'éditeur. De son côté, XenSource vient de mettre à jour son offre, avec une gamme complète de solutions de virtualisation pour entreprises, serveurs isolés et développeurs, à travers les produits XenEnterprise, XenServer et XenExpress. Le dernier produit est proposé gratuitement tandis que les deux premiers bénéficient d'une tarification agressive : 488 $ par serveur bi-processeur pour une licence annuelle de XenEnterprise, 750 $ par serveur bi-processeur pour licence perpétuelle de XenEnterprise, et 99 $ pour une licence annuelle de XenServer pour serveur bi-processeur. VMware Infrastructure 3 Enterprise est commercialisé à partir de 5 750 $ par serveur bi-processeur. VMware profite actuellement à plein du succès de la virtualisation. Son chiffre d'affaires a progressé de 86 % au troisième trimestre par rapport à la même période en 2005, à 188,5 M$. Virtual Iron et XenSource entendent bien profiter également de cette tendance. Simon Crosby, directeur technique de XenSource ne s'en cache pas : « notre intention est de couper l'herbe sous les pieds de VMware. » (...)

(11/12/2006 12:36:18)

Infosys : premier Indien à intégrer le Nasdaq 100

Lundi prochain, 18 décembre, à l'ouverture du Nasdaq Stock Market, le spécialiste indien de l'externalisation Infosys deviendra le premier acteur IT du sous-continent à intégrer le prestigieux top 100 américain. Le Nasdaq-100 est composé des cent plus importants titre - en termes de capitalisation boursière - cotés à l'indice technologique. L'intégration d'Infosys s'effectue à l'occasion de la révision annuelle de l'index du Nasdaq Stock Market. Infosys, le numéro un indien de l'externalisation, a été coté pour la première fois au Nasdaq en 1999. Sept ans plus tard, le groupe intègre donc le saint des saints en accédant au Top 100, rejoignant ainsi les Google, Dell et autres Microsoft. Pour l'anecdote, il a fallu 23 ans à Infosys pour hisser son revenu annuel à un milliard de dollars, un cap franchi en 2004. Pour doubler cette somme, seuls 23 mois ont ensuite été nécessaires. Selon Infosys, il s'agit d'une étape importante dans son histoire. Depuis des années, l'entreprise tâche de se départir de l'image d'un fournisseur de service indien pour se poser en concurrent direct de groupes à portée internationale comme Accenture ou EDS. (...)

(11/12/2006 12:35:15)

Oracle relève son offre sur i-Flex

Oracle vient de porter à 47$ par action son offre sur le capital d'i-Flex, un éditeur indien de logiciels dédiés au secteur financier, soit 20% de mieux que le cours de l'action en clôture à la bourse de Bombay. En outre, Oracle s'intéresse désormais à près de 35 % du capital d'i-Flex. Oracle a été conduit à revoir son offre à la hausse par la pression du marché indien. En effet, l'action d'i-Flex a progressé de 52 % au cours des six derniers mois. Oracle, qui détient déjà 55 % du capital d'i-Flex, a présenté son offre publique d'achat sur les parts restantes en septembre dernier. Initialement, l'offre portait sur 20 % du capital au prix de 33 $ l'action. L'offre d'Oracle est ouverte jusqu'au 23 décembre prochain. En cas de succès, cette opération devrait coûter environ 1,3 Md$ à l'éditeur. (...)

(07/12/2006 17:43:18)

Truffle 100 : Microsoft plus fort que tous les Européens réunis

Prenez les cent premiers éditeurs européens - en y incluant les Suisses et les Norvégiens - et cumulez leurs chiffres d'affaires. Comparez le résultat obtenu avec les revenus annuels de Microsoft. Constatez que le géant de Redmond dépasse les cent plus grands spécialistes du Vieux Continent réunis. Cette observation peut être réalisée à la lecture du récent palmarès Truffle 100, établi par Truffle Venture en collaboration avec le Syntec à partir des données recueillies par les instituts IDC et CXP. Ce classement était jusqu'alors réservé aux seuls acteurs français du logiciel. Il étend désormais ses frontières à celles de l'Europe et est présenté en grande pompe au Bruxelles IP Summit les 7 et 8 décembre. Les cent éditeurs apparaissant au palmarès Truffle sont classés en fonction de leur chiffre d'affaires 2005 réalisé dans l'activité logicielle. Leurs revenus cumulés atteignent 20,7 MdE soit moins que le premier éditeur mondial - Microsoft - mais plus qu'Oracle et CA. Notons que les 23 premiers acteurs réalisent 80% de l'ensemble des revenus européens. Au zénith du Truffle rayonne l'Allemand SAP et ses 8,5 MdE de revenus 2005 ; très loin derrière arrive son premier poursuivant, le Britannique Sage, dont le chiffre d'affaires atteint 1,1 MdE. "Si l'on observe non plus les 100 premiers éditeurs mais le Top 99 - en excluant SAP donc - , la différence avec les Etats-Unis est encore plus flagrante", note Laurent Calot, le PDG de CXP. La France derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni Si le Truffle permet de mettre en perspective le poids des acteurs européens par rapport à l'ensemble des éditeurs mondiaux, il offre également le loisir de mesurer l'importance des Français parmi leurs homologues du Vieux Continent. Ainsi, le premier représentant de l'Hexagone - Dassault Systèmes - arrive en troisième position avec un CA de 934 ME. Les entreprises françaises sont 23 à figurer dans le top 100 européen des éditeurs et ne représentent qu'un peu plus de 14% de l'ensemble des revenus européens du logiciel. Derrière Dassault systèmes, on retrouve Business Objects, en 4e position, puis, plus loin dans le classement arrivent Cegid, GL Trade, Sopra, GFI Informatique, etc. L'ensemble du revenu de ces éditeurs représente une part nettement moindre que celle des groupes allemands, emmenés avec force allure par le géant SAP. Les acteurs d'outre-Rhin s'arrogent en effet 46,9% du chiffre d'affaires européen global avec deux fois moins de représentants dans le Truffle que n'en compte la France. Quant aux britanniques, avec Sage en deuxième position et 22 autres éditeurs classés - soit autant que de Français - ils enregistrent 20,6% des revenus européens du software. Les mêmes problèmes au niveau européen qu'en France Les conclusions qu'on pouvait tirer du Truffle 100 lorsque celui-ci ne s'intéressait qu'au marché français du logiciel se retrouvent dans l'analyse au niveau européen. Ainsi, "on constate une atomisation importante des éditeurs qui ont du mal à se concentrer et à atteindre une taille critique", explique Laurent Calot au Mondeinformatique.fr. Cette constatation trouve son explication dans la tendance des éditeurs européens "à trop regarder leur marché domestique. Les vraies success stories du Vieux Continent - SAP, Sage, Dassault Systèmes, etc. - concernent les structures qui ont réussi à réaliser une part importante de leur chiffre d'affaires en Amérique du Nord". Autre facteur permettant de comprendre le relatif retard des Européens sur les éditeurs américains : "l'accès difficile aux capitaux et aux fonds propres. Si les éditeurs du Truffle affichent des taux de croissance élevés - +15% de moyenne entre 2004 et 2005 pour les chiffres d'affaires -, il leur est parfois malaisé de réaliser de la croissance externe", renchérit le PDG de CXT. Dépasser le plafond de verre Pour autant, il ne faudrait pas seulement souligner les aspects négatifs. "Le nombre élevé de structures traduit la forte innovation prégnante en Europe", se réjouit Laurent Calot. Non seulement les éditeurs de Paris, de Londres ou de Berlin réalisent des taux de croissance élevés, mais ils sont également d'importants employeurs. En 2005, ils regroupaient ainsi 148 000 salariés qualifiés, sont 80% d'entre eux été employés par les 26 premiers éditeurs. "L'idée du Truffle, au-delà d'un simple classement, est de faire prendre conscience des enjeux du secteur aux pouvoirs publics. Cela pourrait passer notamment par l'adoption en Europe d'un modèle inspiré du Small Business Act américain *. Ce genre de mesure ne fera pas en sorte qu'on n'aura que des champions demain, mais aidera au moins certains acteurs à dépasser le plafond de verre". * Le Small Business Act est une disposition du droit américain adoptée en 1953 tendant à orienter en priorité l'action des pouvoirs publics vers les PME, notamment en réservant une part minimale des marchés publics aux structures de taille modeste. (...)

(07/12/2006 17:47:27)

La filiale de Sopra Axway veut racheter l'activité B2B d'Atos en Allemagne

La filiale Axway du groupe Sopra s'apprête à faire l'acquisition de l'activité B2B d'Atos Origin en Allemagne. Outre-Rhin, cette activité d'Atos Origin se concentre sur le développement et l'intégration d'applications de type EDI, notamment pour l'industrie automobile. Avec ce rachat, Axway entend « devenir l'un des premiers fournisseurs de logiciels B2B en Allemagne et le leader de l'EDI et du B2B en Europe. » L'accord prévoit l'intégration, à terme, des logiciels dédiés aux relations entre entreprises d'Atos Origin en Allemagne au sein de la plateforme Synchrony d'Axway. Pour autant, Atos Origin ne prévoit pas de se détacher complètement de son activité B2B d'outre-Rhin. Ainsi, la SSII devrait collaborer avec Axway au développement de son offre SaaS, en assurant l'externalisation de son infrastructure. Pour Atos Origin, cette cession est l'occasion de la poursuite de « sa stratégie de recentrage sur son c?ur de métier, à savoir le conseil, l'intégration de systèmes et l'infogérance. » Les délais et le montant de l'opération n'ont pas été précisés. (...)

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