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(25/08/2011 10:02:05)

Meniga propose sa solution de finances personnelles aux banques suisses

Le fournisseur de logiciels bancaires Crealogix et l'éditeur scandinave Meniga ont signé un partenariat exclusif. Il conduira à la mise en place d'une plateforme suisse PFM (Personal Finance Management) en ligne. Cette plateforme sera destinée à la clientèle privée des banques suisses. En outre, Crealogix deviendra le distributeur exclusif de ce logiciel innovant de banque 2.0 pour le marché Suisse.

Développée spécialement pour le marché européen, la plateforme PFM de Meniga propose une interface utilisateur (internet et applications mobiles) qui peut rapidement être adaptée et intégrée à des applications existantes de banque en ligne. Elle s'articule autour d'un logiciel dédié à la gestion de finances personnelles. Par ailleurs, les banques peuvent fournir à leurs clients des comparaisons avec d'autres individus ou familles dans une situation financière similaire. Ces données sont, bien entendu, rendues anonymes. Une expérience similaire est menée en Islande où les clients utilisent déjà les possibilités des médias sociaux et des services bancaires mobiles de façon unique dans le cadre de leur relation bancaire. Selon Crealogix, durant les périodes critiques d'un point de vue économique, la demande de services PFM est plus importante et les clients acceptent plus facilement les offres de leur banque.

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(23/08/2011 10:57:34)

Hadoop croît mais ne remplace pas les bases de données relationnelles

Le besoin de gérer des volumes sans cesse croissants de données structurées et non structurées contribue à l'adoption du logiciel Open Source Hadoop dans les entreprises. Pour autant, ce dernier ne vient pas remplacer les technologies existantes, mais fonctionne aux côté des bases de données relationnelles. C'est ce que montre une étude de Ventana Research commentée par nos confrères de Computerworld.

Conçu pour traiter des petaoctets de données, Hadoop présente l'intérêt de scinder d'importants jeux de données en plus petits blocs qui sont alors distribués à travers des serveurs en cluster pour en accélérer le traitement. Parmi les tout premiers utilisateurs de la technologie figurent notamment des acteurs du web. Facebook, Amazon, eBay et Yahoo y ont recours pour analyser des petaoctets de données non structurées que la structure des SGBDR traditionnels ne gère pas facilement.

L'enquête menée par Ventana Research auprès de 160 entreprises montre qu'elles sont de plus en plus nombreuses à s'intéresser à Hadoop et à y recourir pour des besoins similaires (54%). La plupart l'utilisent pour collecter et analyser d'énormes quantités de données générées automatiquement (logs, résultats de recherche, contenus de médias sociaux, explique David Menninger, auteur de l'étude. Dans deux tiers des cas, a-t-il constaté, cela porte sur des analyses avancées ou sur des catégories de traitement qu'elles ne faisaient pas avant. La technologie est moins susceptible d'être utilisée pour les analyses conventionnelles portant sur les données transactionnelles et les informations sur les clients, domaines dans lesquels les SGBDR priment toujours.

Néanmoins, en dépit de l'intérêt d'Hadoop, l'étude montre que les entreprises qui l'exploitent rencontrent aussi quelques problèmes, au niveau de la sécurité, du clustering ou du manque de ressources ayant des compétences sur ce logiciel.

Illustration : D.R.

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(22/08/2011 12:37:40)

Dell embarque l'offre Hadoop de Cloudera dans ses serveurs PowerEdge C

Dell a annoncé pour début septembre des serveurs embarquant la solution Apache Hadoop de Cloudera, complétés de composantes réseaux, d'outils d'administration, de services et de support pour en assister le déploiement. Avec cette offre, le constructeur vise les secteurs des services financiers,  de l'énergie et des télécoms, de la distribution de détail, des médias et de l'Internet, ainsi que les organismes de recherche. En combinant logiciel et matériel optimisé pour l'offre Open Source Hadoop, Dell cherche à proposer un coût de possession moins élevé que certaines offres propriétaires pour mettre en oeuvre les applications analysant d'importants volumes de données (complexes et évoluant de façon dynamique).

L'offre repose sur la ligne de serveurs PowerEdge C, modèles C2100, C6100 ou C6105, conçus pour être utilisée dans les projets de traitement à grande échelle, notamment par leur taille et leur consommation électrique réduite. Elle intègre la distribution Hadoop de Cloudera (CDH), ainsi que sa suite d'outils d'administration. Pour gérer la mise en place, elle inclut le logiciel Crowbar, de Dell. Côté équipements réseaux, l'offre comprend un jeu de commutateurs PowerConnect 6248 Gigabit Ethernet à 48 ports. Un déploiement reposant sur cette architecture peut aller de 6 à 720 noeuds.

« Cette offre est une réponse directe à ce que nous entendons de la part de nos clients », a expliqué Joseph George, directeur du marketing cloud chez Dell. Selon lui, une part importante d'entre eux envisagent l'utilisation d'Hadoop ou y ont déjà recours.  « Cela devient un standard de facto », ajoute-t-il en expliquant que Dell a placé une architecture de référence au-dessus d'un serveur adapté à cet environnement.

Le coût démarre à 118 000 dollars

Créé par Doug Cutting, un spécialiste des technologies de recherche, Apache Hadoop est monté en puissance au sein des entreprises devant passer au crible d'énormes quantités de données non structurées, telles que les connexions aux serveurs. Outre Hadoop, l'offre CDH de Cloudera regroupe différents composants, parmi lesquels l'infrastructure de datawarehouse Hive, Pig (langage de programmation MapReduce), la structure de stockage de données HBase, les bibliothèques Whirr pour exploiter des services cloud, ou encore Zookeeper, Flume, Hue, Oozie et Sqoop. Les serveurs peuvent être installés sous différents systèmes versions de Linux, Red Hat Enterprise Linux 5.6 ou 6, CentOS, Ubuntu ou Suse.

Le coût d'une configuration minimum démarre entre 118 000 dollars et 124 000 dollars suivant les options de support retenues. Cela inclut un an au support de Cloudera et les mises à jour. Ce package est similaire à celui que Dell a annoncé fin juillet pour son offre de cloud privé reposant sur OpenStack, Michael Dell, PDG de Dell, ayant confirmé son intention de proposer davantage de solutions complètes intégrant matériel, logiciels et support. Ce faisant, le fournisseur renforce aussi ses offres s'appuyant sur des composantes Open Source.

Illustration : les composants de CDH, la distribution de Cloudera incluant Apache Hadoop (source : Cloudera) (...)

(10/08/2011 17:00:51)

Microsoft ajoute le support d'Hadoop à SQL Server et PDW

La réponse de Microsoft au phénomène des « Big Data » consiste à apporter à sa base de données SQL Server et à sa plateforme Parallel Data Warehouse le support du framework Open-Source Hadoop, adapté au traitement d'importants volumes de données. Les connecteurs qu'il proposera seront disponibles sous peu sous forme de CTP (community technology preview) précise l'équipe de SQL Server dans son blog officiel.

L'expression Big Data fait référence à la multiplication des données générées par les entreprises, en particulier en provenance du trafic web et de capteurs. « Nos clients nous demandent de les aider à gérer et analyser à la fois des données structurées et non structurées, qui sont notamment stockées dans des environnements Hadoop », explique l'éditeur. Avec les connecteurs qu'il s'apprête à fournir, les clients pourront échanger des données entre ces environnements, SQL Server et Parallel Data Warehouse (PDW).

Hadoop, qui s'adosse à l'Apache Software Foundation, a été constitué par Yahoo. Il est basé en partie sur le modèle de programmation MapReduce développé par Google. Un écosystème de plus en plus étendu s'est développé autour d'Hadoop, comportant des acteurs tels que Cloudera, pour offrir des services et des distributions spécialisées du Framework.

Pas de feuille de route à long terme

La démarche de Microsoft est logique, dans la mesure où des fournisseurs de datawarehouse tels qu'EMC (avec Greenplum) et Teradata ont déjà adopté Hadoop, rappelle James Kobielus, analyste de Forrester Research. De plus en plus d'entreprises exploitent des clusters Hadoop et veulent être capables d'envoyer des données de ces systèmes vers leurs datawarehouses, ajoute-t-il. Mais, selon lui, aucun fournisseur ne peut prétendre avoir construit une offre Hadoop complète qui inclurait des distributions, des connecteurs vers des projets liés à Hadoop tels que la base de données Cassandra, des outils de modélisation et d'autres composantes. Il est évident qu'à l'instar des autres acteurs, Microsoft a des projets très sérieux pour Hadoop, reconnaît James Kobelius en soulignant toutefois que, pour l'instant, il n'avait pas encore communiqué de feuille de route à long terme.

Microsoft n'adopte pas Hadoop au détriment de ses propres développements. Il a par exemple livré récemment le projet Daytona, un modèle de programmation basé sur MapReduce à utiliser sur son cloud Azure.

Cette semaine, la société de Steve Ballmer a également annoncé qu'il avait livré une deuxième mise à jour pour Parallel Data Warehouse. Celle-ci combine de nouvelles fonctionnalités, à la fois du côté du matériel et du logiciel. Cela inclut des connecteurs supplémentaires pour des éditeurs d'outils de BI (Business Intelligence) et d'intégration de données tels que SAP, Informatica et Microstrategy. Par ailleurs, une version de PDW est maintenant disponible pour les serveurs de Dell. Les prix démarrent à moins de 12 000 dollars par téraoctet.

Illustration : projet Hadoop / Blog de l'équipe SQL Server

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(01/08/2011 16:10:17)

Logiciels financiers : Fimasys absorbé par Linedata

L'éditeur français Linedata, spécialisé dans les logiciels de gestion d'actifs, de l'épargne d'entreprise, de l'assurance et du crédit, a indiqué avoir finalisé le rachat de son compatriote Fimasys, ainsi qu'ils l'avaient conjointement annoncé le 11 juillet dernier.

Cotée sur Euronext, la société Linedata figure au Top 10 des éditeurs français (classements Truffle 100 et Global Software Leaders). Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 136,2 millions d'euros en 2010 et de 64 M€ au premier semestre 2011 (*). Ses activités couvrent l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Asie. Elle compte 700 clients qui opèrent dans 50 pays. Le groupe est issu en 1998 du rapprochement de trois sociétés : GSI Division des Banques, Line Data et BDB Participation.

Se renforcer sur le marché de l'épargne salariale

Linedata a acquis 100% du capital de Fimasys, éditeur lui aussi de logiciels financiers. Ce dernier évolue dans une quinzaine de pays. Il a totalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros dont la moitié réalisé à l'international. Avec ce rachat, Linedata compte faire jouer des synergies pour renforcer sa position et celle de Fimasys sur les marchés des crédits et de l'épargne salariale. Dans ce domaines, les éditeurs comptent des clients communs et le président du Directoire de Linedata, Anvaraly Jiva, a rappelé dans un communiqué que leurs équipes respectives se connaissaient bien et avaient déjà identifié des complémentarités fonctionnelles et techniques de leurs solutions.

En juin dernier, le président de l'Afdel, l'association française des éditeurs de logiciels, soulignait la nécessité, pour les acteurs français, de renforcer leur taille pour pouvoir constituer des groupes capables de peser plus lourd à l'échelle européenne et mondiale.

Au cours des précédents mois, une concentration s'était déjà amorcée sur le secteur des progiciels financiers. Début 2010, le Français Viveo a été racheté par Temenos. En novembre dernier, le Britannique Misys a absorbé l'Irlandais Sophis.

(*) en retrait de 8,3%* par rapport au premier semestre 2010 (-6,8% à taux de change constant)

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(27/07/2011 11:01:06)

Trimestriels SAP : Résultats en hausse et prévisions relevées

Franck Cohen, président SAP pour la zone EMEA, qualifie de « bons résultats » la publication des éléments financiers du second trimestre et du premier semestre 2011. Les revenus tirés des logiciels progressent de 26% à 802 millions d'euros pour le trimestre et de 1,385 milliards d'euros sur le semestre. La partie support augmente de 10% à 1,7 milliards d'euros au 2ème trimestre et de 14% à 4,9 milliards d'euros sur le 1er semestre 2011. En ce qui concerne le chiffre d'affaires global, le 2ème  trimestre a vu les revenus progresser de 14% à 3,3 milliards d'euros et sur le 1er semestre de 17% à 6,3 milliards d'euros. Le résultat d'exploitation affiche une hausse de 10% sur le trimestre à 857 millions d'euros et de 9% sur le semestre à 1,45 milliards d'euros.

Franck Cohen voit dans ces résultats « le début d'une période d'investissements de la part des entreprises vers le software. Le cloud va libérer des capacités financières et devrait profiter aux logiciels ». Interrogé sur la répartition de la croissance en fonction des régions, le dirigeant EMEA précise que la hausse est uniforme aux Etats-Unis, en Europe et dans la zone Asie-Pacifique. Sur les différentes gammes de produits de SAP, Franck Cohen donne des indications de croissance « la Business Intelligence a des revenus en forte progression de 40%, la Business Line (qui regroupe le CRM, le supply chain et les logiciels de ressources humaines) de 30%. » Les bons résultats impactent aussi le recrutement de nouveaux clients, Franck Cohen précise que ceux-ci sont en croissance de 30% et de revoir à la hausse ses estimations sur la partie grands comptes et sur les PME-PMI.

Fort de ces bons résultats, SAP a relevé ses ambitions pour le reste de l'année 2011. La firme de Walldorf confirme la fourchette de croissance des revenus issus des logiciels et des services associés entre 10 et 14%. Elle estime que les résultats seront dans le haut de la fourchette. Idem pour le résultat d'exploitation qui est prévu entre 4,45 et 4,65 milliards d'euros.

Illustration: Franck Cohen, président SAP EMEA

Crédit Photo: D.R

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(26/07/2011 09:50:13)

Pour pousser ses partenaires à vendre du SaaS, Microsoft injecte des primes

«Sur ses 640 000 partenaires dans le monde, Microsoft travaille avec 40 000 d'entre eux autour des technologies de cloud computing. Nous en comptons 20 000 certifiés Cloud Essentials et 400 Cloud Accelerate. C'est un bon début », détaille Gwénaël Fourré, le Directeur du Marketing Partenaires de l'éditeur en France. Un bon début, peut-être, mais cela ne va pas encore assez vite semble-t-il. Pour preuve, la firme de Redmond a profité de la WPC 2011, sa convention partenaires annuelle, pour dévoiler une série de mesures destinées à accélérer la commercialisation des ses offres en ligne par son réseau de distribution. La plupart d'entre elles reposent sur l'injection de plusieurs de dizaines de millions de dollars à distribuer sous forme de primes.

Vingt millions de dollars vont être consacrés à la mise en place d'un programme de rémunération des partenaires certifiés Gold sur le cloud privé pour encourager le déploiement de ce type d'infrastructure. Ceux-ci se verront reverser 30% du prix des licences utilisées dans le cadre d'un projet. «Nous n'avons pas déterminé de date limite pour  l'attribution de cette prime. Nous pourrons aller au-delà du montant que nous avons provisionné si nous dépassons nos objectifs », tient à préciser Gwénaël Fourré.

Déjà en place, le programme Cloud Accelerate subit quant à lui des modifications. Elles vont permettre aux partenaires de percevoir des primes lorsqu'ils feront migrer des clients vers Windows Azur dans le cloud public. Les primes en question seront égales à 25% du coût du service annuel facturé aux clients. Microsoft va consacrer 10 millions de dollars à leur versement.

Vendre Dynalmics CRM devient (momentanément) plus rémunérateur

Il faut ajouter à ces sommes les 15 millions de dollars que l'éditeur va dédier à la mise en place du programme Software Assurance Deployment Planning Services. « Les contrats de type Software Assurance [Ndlr : maintenance, mises à jour] que nous proposons à nos clients vont être directement enrichis d'une clause d'assistance à la migration vers le cloud privé ou public sans surcoût. C'est donc Microsoft qui va payer indirectement ses partenaires lorsqu'ils vont offrir des prestations d'implémentation et de support autour des clouds publics et privés, mais aussi de SQL Server et d'outils de développements destinés aux entreprises », explique Gwénaël Fourré.

Les efforts financiers consentis par Microsoft ne s'arrêtent pas là. L'éditeur a également décidé d'investir dans la promotion de la nouvelle version de Dynamics CRM Online dont la première mouture est disponible en France depuis janvier dernier. Il a concocté pour l'occasion un programme promotionnel qui s'inscrit dans le cadre du programme partenaires CSA (CRM Software Advisor). Pendant une durée limitée, les revendeurs éligibles au CSA percevront une redevance égale à 40% du montant des abonnements des clients contre 18% actuellement.

Grand messe partenaire oblige, la WPC a également été l'occasion pour Microsoft de rendre publics des ajustements effectués au sein des certifications de son programme partenaire, le Microsoft Partner Network, qui concernent ses partenaires Gold. L'éditeur a en effet décidé de scinder en deux la spécialisation communications unifiées pour créer les certifications messagerie (Exchange) et communication (VoIP avec Lync). « Il s'agit de deux métiers très spécifiques qu'il est bon de différencier dans le cadre de notre programme partenaire. Les clients pourront ainsi mieux s'orienter vers le bon choix de compétences», argumente Gwénaël Fourré.

Les revendeurs des offres SaaS bientôt cités sur les factures ?

Microsoft a suivi la démarche inverse pour créer une seule et même certification pour les compétences « virtualisation » et « system management ». A l'époque de leur création, l'éditeur avait estimé qu'il existait une différence suffisante entre ces deux types de compétences pour bien les distinguer. Ce qui n'est donc plus le cas aujourd'hui, selon lui.

On peut regrette que parmi l'ensemble des annonces faites à ses partenaires, l'éditeur n'ait pas fait allusion à son modèle commercial autour du Cloud et plus particulièrement autour de ces offres délivrées en mode SaaS. En effet, nombreux sont ceux à décrier son approche qui consiste à facturer lui-même le client en lieu et place de ses revendeurs. Ces derniers voyant d'un mauvaise oeil le fait de perdre le lien de facturation avec leurs clients. « Le fait qu'un partenaire ait un lien contractuel avec le client dans la délivrance d'un service SaaS peut lui poser des problèmes. Par exemple, le fait que sa responsabilité soit engagée en cas de manquement à la qualité de services», explique Gwenaël Fourré. Malgré cet état de fait, Microsoft pourrait faire évoluer les choses. L'éditeur serait actuellement en train d'étudier la possibilité de faire figurer le nom d'un partenaire sur la facture d'un utilisateur de ses services en mode SaaS sans que le revendeur n'engage sa responsabilité.

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(25/07/2011 09:56:24)

Trimestriels Cegid : Le SaaS devient une réalité

La SaaS est une réalité tangible pour Cegid. Lors du premier trimestre 2011, la mise à disposition de ses logiciels en mode hébergé a généré 9,4 millions d'euros de facturations, soit 20% de mieux qu'il y a un an. Ce montant représente désormais 7% du chiffre d'affaires total de la société. Et encore, « le stock des contrats SaaS, qui constitue des revenus restant à reconnaître jusqu'en 2017, représente une valeur de 25 millions d'euros, en progression de 20% sur le premier semestre », indique l'éditeur. Revers de la médaille du succès des offres SaaS de Cegid, il a contribué à faire régresser le chiffre d'affaires licence de l'éditeur qui est passé de 19 millions d'euros au premier semestre 2010 à 16,8 millions d'euros entre janvier et juin de cette année.

Hausse de 5% du chiffre d'affaires global


Dans sa totalité, le chiffre d'affaires de l'éditeur a atteint 126 millions d'euros durant la première moitié de l'année (dont 65 M€ de revenus récurrents), soit une progression de 5% à périmètre courant. L'activité édition pèse à elle seule 78,5 M€ auxquels contribue les activités de maintenance à hauteur de 49,5 M€. Les revenus des activités de services (formation, consulting, déploiement) se sont élevés à 32,3 M€.

Si l'activité de la société a progressé, ses bénéfices sont, en revanche, en baisse. Son résultat opérationnel a ainsi reculé de 22,3% à 9 M€ lors du premier semestre. Il faut toutefois noter que le résultat opérationnel du premier semestre de l'année 2010 avait été gonflé par une reprise de provision pour risque d'un montant de 2 M€. Cette opération comptable a également le résultat net de la société. Il a atteint 4,8 M€ d'euros entre janvier et juin derniers contre 7 M€ un an plus tôt.

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(30/05/2011 15:30:41)

Témoignage : L'Institut du Cerveau et de la Moëlle épinière gère ses achats avec Business ByDesign

C'est dans l'enceinte du groupe hospitalier la Pitié-Salpêtrière, à Paris, que se dresse le remarquable immeuble tout de verre de l'ICM, l'Institut du cerveau et de la moelle épinière.  Ce centre international de recherche en neurosciences de 22 000 m2 réunit en son sein des malades, des médecins et des chercheurs. Son édification a été achevée en avril 2010 et les 400 chercheurs qui l'ont déjà rejoint (600 à terme, du monde entier) accèdent à des plateformes techniques mutualisées, équipées de matériel de pointe (*). Pour réaliser leurs travaux, ces équipes sont dotées de fonds provenant de financements publics, de dons privés et du mécénat. Elles ont besoin de suivre au plus près leurs investissements et savoir en temps réel de combien d'argent elles disposent encore.

En septembre 2010, la Direction des systèmes d'information (DSI) et la DAF de l'ICM se voient confier la mise en place d'un outil informatique permettant aux chercheurs de saisir leurs demandes d'achats, parmi lesquels figurent du matériel de recherche, quelquefois très coûteux, et des consommables. Le logiciel devra être en production au printemps 2011. Il servira aussi au suivi budgétaire et analytique. Les dépenses engagées seront contrôlées par l'édition de tableaux de bord récapitulatifs. Ces informations, nécessaires à la Direction, peuvent aussi être communiquées à des industriels ou à des fondations qui ont alloué des fonds, explique Dominique Bayle, directeur du SI de l'ICM. Elles seront également transmises aux membres fondateurs de l'Institut, parmi lesquels Jean Todt, président de la FIA, et Gérard Saillant, Professeur de chirurgie orthopédique et traumatologique (**).

Commandes et facturations internes

Depuis janvier 2011, l'Institut est entré dans une phase de démarrage. Il compte environ 400 personnes et les prochains déménagements se feront en juin/juillet car de gros équipements vont alors arriver.  Avant la construction du bâtiment, chaque équipe de chercheurs avait son propre laboratoire avec ses plateformes de tests, de biologie, de microscopes, de séquençage, etc. Désormais, ces plateformes sont mutualisées au centre des différents étages de l'ICM. Les chercheurs, répartis dans les bureaux périphériques, viennent y faire leurs manipulations. « Cela génère une quantité considérable d'achats », souligne Dominique Bayle (en photo). Le projet SAP table, par mois, sur 40 demandes d'achats, 50 à 100 commandes, 50 à 100 factures fournisseurs, 10 à 100 refacturations internes aux différentes entités de l'ICM (suivant la façon de facturer les différentes entités).

Cliquer sur ce lien pour lire la suite de l'article

(*) cf « L'ICM, une aventure humaine... pour vous, avec vous », de Noëlle Herrenschmidt (un ouvrage qui relate le projet de l'Institut du Cerveau et de la Moëlle épinière, édité par l'ICM).

 

(**) Jean Todt et Gérard Saillant sont  respectivement vice-président et président  de l'Institut et à l'origine de l'initiative. A leurs côtés, Yves Agid, Professeur de neurologie et de neurosciences,  dirige le projet scientifique de l'ICM.

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(22/07/2011 11:09:32)

Tribune d'Yves Cointrelle : La BI de demain aura la smart attitude

Mieux piloter pour mieux décider. Les outils décisionnels ont le vent en poupe à chaque strate de l'entreprise. Mais à l'heure où rapidité, flexibilité et contraintes budgétaires priment, les exigences s'affirment : il faut savoir faire plus avec moins et mieux, et désormais en toute sécurité.

Temps réel, appliances mixtes et in-memory, gestion de référentiels, modules et fonctionnalités orientées utilisateur final, mobilité et nomadicité, traçabilité et sécurisation des processus... Revue des tendances pour optimiser le monde de la Business Intelligence.

Le temps réel appliqué à la Business Intelligence

Autrefois mensuelle et hebdomadaire, la fréquence de rafraîchissement des systèmes décisionnels est désormais quotidienne. Dans le même temps, les outils de reporting démontrent leur capacité à se substituer aux dispositifs traditionnels pour générer des rapports sur les applications.

Répliquer, synchroniser les données pour effectuer analyse et reporting en temps réel provoque l'avènement d'outils et de solutions mixtes. Leur mission : autoriser une utilisation hybride des outils décisionnels, pour capter et accéder à la fois aux bases de données de pilotage ainsi qu'aux données opérationnelles et de production.

D'une logique pull, on passe à une logique push : la captation des données sur l'application source peut se faire en temps réel, puis être répliquée sur un système cible, lequel devient à la fois un outil de reporting et la source de construction d'agrégats orientés décisionnels. A cette fin, les technologies non intrusives impactant faiblement les performances systèmes peuvent s'allier aux appliances Business Intelligence (couple logiciel et matériel destiné à fournir de hautes performances en stockage et en rapidité de restitution des données) pour assurer une gestion de bout en bout des services.

Pour lire la suite de la tribune d'Yves Cointrelle, directeur général d'HOMSYS, groupe VISEO, cliquez sur ce lien.

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