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(15/06/2011 15:24:47)

Les solutions BI Open Source s'affirment comme une alternative

Infobright a ainsi vanté les capacités de la version 4.0 de sa base de données analytique à traiter « en temps quasi réel » des données envoyées par des appareils de mesure, des infrastructures de télécommunications ou provenant d'autres sources. La récente version intègre notamment une technologie dite DomainExpert, qui permet de réduire les temps de recherche et d'optimiser les performances en « ajoutant de l'expertise à des domaines de données particuliers - comme le web, les services financiers ou les télécommunications, » selon Infobright.

Rough Query, une autre fonctionnalité de cette version, permet aux utilisateurs de chercher plus rapidement dans de grands ensembles de données. « Plutôt que d'exécuter une requête large pour trouver une réponse spécifique, Rough Query affine les résultats de manière itérative, avec des temps de réponse inférieurs à la seconde, avant même que la requête ne soit complètement exécutée, » a expliqué l'éditeur.

Infobright 4.0 intègre également un connecteur pour le framework Hadoop, celui utilisé dans le traitement de données massive et un système pour charger rapidement des ensembles de données volumineux. « Cette dernière caractéristique permet de charger jusqu'à 2 To de données à l'heure, » selon Infobright. La version finale sera disponible sous 30 jours, a confirmé l'entreprise.

Des analystes convaincus et un partenariat


Comme l'a écrit dans un blog Curt Monash, analyste chez Monash Research, dans l'annonce faite par Infobright, c'est «  Rough Query qui l'a le plus impressionné. » Selon lui,  « c'est l'outil idéal pour l'analyse d'investigation. » Quant aux autres caractéristiques de Infobright 4.0, elles contribuent « essentiellement à mettre le logiciel à niveau avec ses concurrents, plus grands et plus chers, » a-t-il ajouté.

De leur côté, Ingres et Jaspersoft ont annoncé avoir conclu un partenariat pour combiner la base de données analytique VectorWise d'Ingres avec le logiciel de BI (business intelligence) de Jaspersoft afin d'offrir une machine virtuelle commune. Une version de démonstration valable 30 jours est disponible gratuitement pour tester le pack. Selon Curt Monash, cette période est « suffisante pour évaluer VectorWise dans des situations très déterminées. »

Les solutions de Ingres, Jaspersoft et Infobright sont en concurrence avec des produits propriétaires, notamment ceux proposés par Oracle et IBM. Cependant, le fait que ces solutions d'analyses soient Open Source ne leur donnent pas nécessairement un avantage technologique sur les solutions rivales. Selon Curt Monash, « sur ce type de marché, le principal intérêt du logiciel sous licence libre, c'est qu'il offre accès à une licence bon marché et permet des coûts de maintenance réduits. »

(...)

(15/06/2011 15:06:52)

SAP rénove ses outils d'analyse pour les PME

Crystal Server 2011 est l'ancien Crystal Reports Server, dont le nom a été changé parce que SAP veut « que l'on identifie spécifiquement son produit comme plate-forme de BI d'entrée de gamme, et pas seulement comme un outil destiné à produire des rapports, » a déclaré Jayne Landry, vice-présidente de SAP, Solution Management, Business Analytics and Technology. Ces produits devraient être disponibles au cours des toutes premières semaines de juillet, en même temps que Business Objects 4.0, la version de niveau entreprise des produits analytiques de SAP. « C'est un changement par rapport au calendrier antérieur, lorsque la version d'Edge arrivait 6 à 8 semaines après le lancement de la version haut de gamme », a ajouté la vice-présidente.

Crystal Server 2011 comporte de nouvelles fonctionnalités, comme l'outil Explorer chargé de « creuser » dans les ensembles de données, ou encore un outil pour la présentation de l'information. Selon une présentation de SAP, cette édition est limitée à un seul serveur et à 100 utilisateurs désignés. L'idée étant que les clients dont les besoins dépassent les fonctionnalités de produits comme Crystal Server 2011 peuvent s'orienter vers un outil plus conséquent. Edge 4.0 reprend la base de Crystal Server et l'enrichit avec d'autres fonctionnalités, comme la web Intelligence, la BI mobile et l'intégration à des applications de type Oracle E-Business Suite. Une seconde version de Edge permet d'ajouter l'intégration des données et une troisième version permet le couplage avec un logiciel de gestion des données.

Des versions attendues


Par ailleurs, toutes les versions de Edge sont limitées à un seul serveur. Pour bénéficier du support multi-serveur, d'un nombre illimité d'utilisateurs et d'autres caractéristiques, les clients sont invités à se tourner vers Business Objects 4.0. « Peu importe le niveau auquel démarre le client, son investissement est protégé, » fait valoir Jayne Landry. SAP propose une expérience utilisateur commune aux différents produits, ce qui peut faire économiser du temps et de l'argent en formation. « En outre, les rapports et autres éléments créés avec les versions antérieures du logiciel Business Objects sont compatibles avec la version 4.0, » comme le précise la vice-présidente. Les clients auront la possibilité de convertir ces rapports dans le nouveau format utilisé par SAP. «  Certaines fonctionnalités peuvent ne plus être accessibles après conversion, mais les utilisateurs seront avertis auparavant, afin de prendre leur décision en conséquence, » a-t-elle ajouté.

A en croire le long fil de discussion sur le forum officieux Business Objects Board, les utilisateurs sont impatients d'avoir la version finale 4.0 de Business Objects entre les mains. Selon un message posté par un participant, « SAP a peut-être suscité de fausses attentes en créant un évènement autour du lancement de la version 4.0 » en février dernier à New York. « C'est une erreur de calcul de leur part. Mais quoiqu'il en soit, techniquement, ils ne sont pas en retard, » estime-t-il. « Même s'ils n'ont jamais vraiment annoncé de date de sortie officielle. Toutes ces dates sont le plus souvent le fait des clients qui interprètent ce que leurs disent certains employés de SAP (ce qu'ils ne devraient pas faire) », poursuit-il.

Le tarif de Business Objects Edge démarre à 12 000 dollars pour 10 utilisateurs désignés ou 19 000 dollars pour 5 licences d'accès simultanées.

Le prix de Crystal Server 2011 démarre à 2 495 dollars pour 5 utilisateurs désignés ou 6 995 dollars pour 5 licences d'accès simultanées.

(...)

(15/06/2011 10:02:32)

Les solutions RH en mode SaaS utilisées mais ciblées selon Markess

Environ 10% des organisations ont recours à une solution RH en mode SaaS en France en 2011 selon une récente étude de Markess International. Mais ce recours reste centré sur les processus administratifs (paie, administration du personnel et recrutement en priorité). Moins les processus sont administratifs, moins ils sont sujet à être gérés en SaaS. Gestion des frais professionnels ou de la formation restent ainsi dans les domaines encore gérés en SaaS par un grand nombre d'entreprises, la gestion des carrières ou des emplois et des compétences, domaines à hautes valeurs managériales, ne le sont pratiquement pas.

SaaS or not SaaS : still the question

La notion de Saas est inconnue de la majorité des décideurs non-rattachés à la DSI mais est, heureusement, maîtrisée par tous ceux qui sont liés à la DSI. Autant les avantages du mode SaaS sont clairement plébiscités (accès pur web sans client lourd, maintenance évolutive incluse, mode locatif sans licences initiales, installation simple et rapide sans investissement matériel, flexibilité...), la mutualisation avec d'autres organisations est rejetée. La sensibilité des données traitées implique un nécessaire cloisonnement total entre organisations utilisatrices.

Les points sensibles soulevés par les répondants l'enquête sont classiques : la réversibilité de la solution, la sécurité, le niveau de service, la confidentialité des données... Et, bien évidemment, le coût de la solution reste une préoccupation majeure.

Le Saas devrait malgré tout continuer de se développer si l'on en croit les répondants à l'enquête. Mais personnalisation et automatisation ne sont pas du tout les axes de ce développement qui reposera plutôt sur l'élargissement du périmètre et la sophistication des fonctionnalités. Selon Markess International, le marché des logiciels et services RH devrait croître de 8% par an entre 2011 et 2013 pour passer de 1,9 milliard d'euros à 2,2 mais le créneau des solutions SaaS devrait, lui, croître de 26%/an sur la même période, passant de 190 millions d'euros à 300.

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(14/06/2011 16:47:03)

VMware acquiert Digital Fuel, spécialiste de la facturation des services clouds

Le vice-président du marketing de VMware, Ramin Sayar, a déclaré dans un post sur son blog de la filiale d'EMC sa volonté d'acquérir la compagnie Digital Fuel Technologies, basée à San Mateo, en Californie, pour proposer de meilleurs outils pour gérer les systèmes IT.

Digital Fuel fournit aux entreprises des outils pour mesurer le coût de leurs infrastructures et applications à travers des clouds publics, privés ou dans des environnements traditionnels. Les directions métiers peuvent alors être facturées pour leur utilisation réelle des applications et des ressources.

« Avec des applications déplacées d'une VM (machine virtuelle) à l'autre, celles-ci pouvant être à leur tour déplacée d'un hébergeur à un autre, affecter financièrement l'ensemble de ces montages à une division métier est incroyablement difficile », a déclaré Ramin Sayar.

Yisrael Dancziger, PDG de Digital Fuel, a expliqué sur son blog, que sa société avait besoin de s'adosser à un grand groupe pour proposer ses solutions à des entreprises de plus grandes tailles. Les collaborateurs, y compris Yisrael Dancziger, continueront à travailler chez VMware.

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(14/06/2011 10:39:09)

La qualité des données en question sur les projets décisionnels

Selon une étude menée en France et en Allemagne par les cabinets CXP et Barc, seulement 28% des entreprises françaises et 20% des entreprises allemandes ont vraiment confiance dans la qualité des données présentes dans leurs SI. La situation est jugée, en France, comme très critique pour 30% des répondants, pour 59% plutôt critique et pour 11% seulement non critique (contre respectivement 52%, 38% et 10% en Allemagne).

La qualité médiocre des données est d'ailleurs notée comme étant la principale cause d'échec des projets de décisionnel. Si la situation est grave, le fréquent flou sur la responsabilité de la qualité des données peut en être une cause. Dans 17% des cas en France et 13% en Allemagne, personne n'est en charge de la qualité des données. A l'inverse, dans la moitié des cas, il y a co-responsabilité entre DSI et direction métier. Cette co-responsabilité pourrait être interprétée positivement comme une saine collaboration. Mais il faut aussi y voir un flou dans le « qui fait quoi exactement ». Le solde des réponses se répartie équitablement entre « équipe technique » et « équipe métier ».

Lorsque la qualité des données est gérée, c'est d'ailleurs plutôt au jour le jour, par les utilisateurs eux-mêmes (68% en Allemagne, 51% en France), moins souvent par un expert technique (54% en Allemagne, 43% en France). Un gestionnaire des données intervient dans 50% des cas en Allemagne, 78% en France. Mais la multiplicité des réponses face à cette seule question de la responsabilité de la qualité montre le flou régnant autour de la question.

Des conséquences graves mais des mesures correctives qui se font attendre

Si la qualité des données est médiocre, les conséquences sont identifiées. L'entreprise subit ainsi des augmentations de coûts (61% des réponses, autant en France qu'en Allemagne) et une baisse du chiffre d'affaires par rapport au potentiel (France : 42% ; Allemagne : 15%) mais aussi une baisse de la satisfaction tant des clients (France : 59% ; Allemagne : 47%) que des salariés (France : 46% ; Allemagne : 79%). Seuls 3% en France et 4% en Allemagne des répondants estiment que la mauvaise qualité des données n'a pas de conséquences.

Les données clients sont celles citées prioritairement comme devant faire l'objet d'un traitement d'amélioration de la qualité (pour 72% des répondants), devant les données produits (61%), les données financières (46%), celles relatives aux fournisseurs (25%) ou au personnel (18%).

On pourrait s'attendre, face à cette situation, à voir se multiplier les projets pour améliorer la qualité des données. Or, un outil de gestion de la qualité des données est déclaré comme mis en place dans 20% des cas en France (19% en Allemagne), est en cours de mise en place dans 16% des cas en France (21% en Allemagne) et envisagé dans l'année dans 16% des cas en France (18% en Allemagne). Un tel projet n'est envisagé qu'à plus long terme dans 23% des cas en France (19% en Allemagne) voire pas du tout dans 25% des cas en France (22% en Allemagne).

Un tel projet est motivé avant tout par la recherche de l'efficacité (74% en Allemagne, 73% en France) puis, en Allemagne, par la recherche de la baisse des coûts (50% des réponses, contre seulement 25% en France) et, en France, la réduction des risques (62% contre 46% en Allemagne).

Si chacun s'accorde, en tous cas, sur les bénéfices attendus, le calcul d'un ROI est des plus délicats et cela explique en grande partie les difficultés pour lancer de vrais projets globaux de qualité des données.

Le CXP recommande malgré tout d'éviter les mesures ponctuelles et d'adopter une démarche globale et continue d'amélioration de la qualité des données. Pour amorcer cette politique, il peut être utile de commencer par des projets pilotes sur des services où un ROI rapide et évident pourra être retiré de l'opération.

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(10/06/2011 10:05:35)

Oodrive s'étoffe dans le SaaS avec Omnikles

Oodrive n'en est pas à sa première opération de croissance externe. En 2006, l'éditeur de logiciels en mode SaaS avait déjà racheté son homologue Mayetic, un fournisseur d'espaces de travail collaboratifs, puis, deux ans plus tard, le belge BlueBackUp et son produit de sauvegarde en ligne. Aujourd'hui, c'est au tour d'Omnikles d'entrer dans son giron. Menant également l'ensemble de son activité dans le domaine du SaaS, cette société de 20 personnes édite des solutions d'échanges électroniques à valeur probante. Son parc clients de 2000 entreprises, dont un bon nombre opère dans le secteur de la santé, lui a permis de dégager un chiffre d'affaires de 2 M€ en 2010.

« Omnikles propose, comme Oodrive, un service de partage de fichiers mais accompagné de fonctions verticalisées d'horodatage, d'authentification forte et d'archivage à valeur légale », explique Stanislas de Rémur, le président d'Oodrive. Les complémentarités entre les deux sociétés s'entendent également en termes de cible de clientèle. Oodrive est en effet peu présent dans le domaine de la santé tandis que sa nouvelle filiale fait l'impasse sur les secteurs du BTP, de l'industrie ou encore du Luxe où l'acquéreur dit occuper de bonnes positions. En pratique, le nouvel ensemble va désormais s'attacher à diffuser les services de sauvegarde en ligne et de partage de fichiers d'Oddrive vers les clients d'Omnikles et inversement pour les solutions d'échanges électroniques à valeur probante du second.

Un rachat qui profite aussi aux revendeurs

L'enrichissement du portefeuille de services d'Oodrive va également profiter aux 1200 revendeurs de l'éditeur qui vont pouvoir commercialiser une nouvelle offre. Jusqu'ici, la stratégie commerciale d'Omnikles était en effet à 100% en direct. De son côté, Oodrive réalise environ 50% de ses ventes à travers son réseau de distribution, si l'on omet ses offres en marque blanche que distribuent des « partenaires stratégiques » comme la Fnac. Grâce à cette stratégie de vente, Oodrive a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 13 M€ et table pour 2011 sur des revenus compris entre 17 et 18 M€. La croissance de l'entreprise devrait d'ailleurs continuer de se nourrir en partie d'acquisitions puisque Stanislas de Rémur ne cache pas qu'Oodrive devrait réaliser prochainement un nouveau rachat.

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