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(26/04/2011 15:15:25)
Lawson accepte l'offre de 2 milliards de dollars d'Infor
Deux milliards de dollars. C'est le montant finalement arrêté pour le rachat de Lawson Software par GGC Software Holdings, une société affiliée à l'éditeur Infor. Ainsi renforcé, ce dernier devance Microsoft et Sage pour occuper le rang de troisième éditeur mondial de solutions de gestion intégrées, derrière SAP et Oracle. Il récupère en particulier l'expertise de Lawson sur le secteur de la santé.
La première offre d'acquisition (non sollicitée) faite par Infor remonte à six semaines. Elle se montait à 1,8 Md de dollars. De nombreux observateurs du marché s'attendaient à des surenchères de la part d'autres groupes, notamment d'Oracle. S'il y en a eu, aucune n'a été faite publiquement. Toutefois, dans un communiqué publié aujourd'hui, Lawson Software indique qu'il a procédé à une évaluation complète du marché et contacté d'autres acquéreurs potentiels parmi lesquels des concurrents d'envergure mondiale et des investisseurs financiers. Mais cette démarche n'a pas débouché sur une proposition supérieure. « Nous sommes satisfaits de nous engager dans une transaction qui offrira aux actionnaires de Lawson une valorisation intéressante », estime donc Harry Debes, PDG de Lawson.
2,736 milliards de dollars de chiffre d'affaires cumulé
Infor est un éditeur privé détenu par le groupe financier Golden Gate Capital tout comme la société GGC Software Holdings. Il communique depuis plusieurs années sur le même chiffre d'affaires annuel : environ 2 milliards de dollars. Depuis quelques mois, son PDG est Charles Phillips, ancien président d'Oracle. On porte au crédit de ce celui-ci d'avoir joué un rôle clé dans les acquisitions réalisées des dernières années par la société de Larry Ellison. De son côté, Lawson Software a réalisé un chiffre d'affaires de 736,4 millions de dollars sur son exercice fiscal 2010.
« Lawson est un partenaire stratégique naturel pour Infor, apportant des solutions logicielles complémentaires qui vont étendre notre portefeuille, en particulier dans des domaines tels que la santé, le secteur public, l'industrie et la gestion du capital humain », a déclaré Charles Phillips dans un communiqué. On s'attendait à cette annonce de rachat, non seulement en raison de la première offre lancée en mars, mais aussi parce qu'un communiqué informant de cette transaction avait été prématurément publié hier sur le site web d'Infor. (...)
Infor sur le point de racheter Lawson Software
Il s'en est fallu de peu que l'on apprenne hier le rachat de Lawson Software par Infor. Il y a six semaines, l'éditeur américain d'ERP a fait à son compatriote et concurrent une offre de rachat d'un montant de 1,8 milliard de dollars. Apparemment, l'affaire était en passe d'être conclue puisqu'Infor a publié sur son site un communiqué de presse daté du lundi 25 avril annonçant le rachat... avant de le retirer aussitôt. On en retrouve néanmoins la trace sur le moteur de recherche de Google et sur certains sites qui l'ont repris avant sa suppression. 
(Cliquer ici pour agrandir l'image)
L'acquéreur potentiel était donc GGC Software Holdings, filiale d'Infor et de Golden Gate Capital (le fonds d'investissement qui détient Infor). La transaction devait être réalisée d'ici le troisième trimestre, mais aucun montant n'était précisé.
Charles Phillips a repris les rênes d'Infor
Infor s'est constitué au fil des années à coup de rachats successifs reprenant de nombreux éditeurs d'ERP de renom (Baan, SSA et Mapics pour ne citer qu'eux parmi les plus connus), la plupart étant bien implantés sur le marché des entreprises de taille moyenne et le secteur de l'industrie, mais également sur la chaîne logistique, la gestion des ressources humaines, le PLM et la gestion de la performance financière. Parmi ses rachats figurent aussi un éditeur de CRM comme Epiphany. Infor s'est ainsi retrouvé à la tête d'un foisonnant catalogue et dérouté certains observateurs qui s'interrogeaient sur la cohérence de l'ensemble. Pourtant, depuis plusieurs années, l'éditeur travaille à la modernisation et à la convergence de ses offres et les dirigeants se sont déplacés sur les différentes conférences utilisateurs organisées chaque année à travers le monde pour faire le point sur les développements en cours. L'an dernier, la société a engagé une vaste campagne marketing pour changer son image et à l'automne, elle a recruté à sa tête Charles Phillips (en photo), qui était encore quelques semaines auparavant le président d'Oracle (où il gérait notamment les fusions/acquisitions). Ses efforts sur cette voie se sont poursuivis avec l'annonce d'un plan de recrutement de 400 développeurs supplémentaires et la mise en oeuvre d'une technologie s'appuyant sur les couches Microsoft. Celle-ci permet aux utilisateurs d'accéder à leurs différentes applications Infor à partir d'une interface unique.
Des logiciels aux architectures orientées services
De son côté, Lawson Software édite deux gammes d'applications, S3 et M3 (rachetée à Intentia en 2005). Avec la première, il est présent sur le secteur public, la santé et les services (banque/assurance), plutôt dans les grandes entreprises. Avec la deuxième, il propose des solutions verticales pour l'agro-alimentaire, la mode et la gestion des équipements lourds.
Ensemble, les deux sociétés rassembleraient 75 000 clients (à lui seul, Infor en a déjà quelque 70 000), peut-on lire sur le communiqué de presse ayant échappé à la destruction. Celui-ci déclarait aussi « qu'Infor et Lawson allaient créer une suite applicative d'entreprise riche et intégrée ». Les deux groupes y annonçaient leur intention d'intégrer plusieurs de leurs applications aussitôt que possible, mise en oeuvre qui serait facilitée par leur approche basée sur les standards et le fait que l'architecture de leurs logiciels respectifs étaient déjà orientée services. « Nous prévoyons d'innover et de changer la façon dont nos clients déploient, utilisent et mettent à jour leurs applications, déclarait Charles Phillips dans le communiqué. Nous avons une longue liste d'idées pour améliorer l'expérience client. »
Lawson Software a déjà investi l'espace cloud depuis quelques mois, proposant notamment des déploiements dans Amazon EC2.
Illustration : Charles Phillips, PDG d'Infor (crédit : D.R.) (...)
Les logiciels d'infrastructures et middleware en croissance en 2010 selon Gartner
Le marché de l'AIM affiche une belle progression, c'est un marché stratégique qui englobe 12 segments différents comme la SOA (architecture orientée services), ou le BPM (gestion des processus métier). Ce marché progresse, car : « les entreprises sont moins obnubilées par la maîtrise des coûts et s'ouvrent à la modernisation de l'infrastructure » note Fabrizio Biscotti, directeur de recherche chez Gartner.
Sur le plan technologique, les segments les plus dynamiques comprennent les technologies de gouvernance SOA, les serveurs d'applications, les produits et appareils portail. L'Open Source est également de plus en plus une partie intégrante des plans de déploiement AIM avec un accent mis sur les serveurs d'application Open Source, les bus de services d'entreprise et quelques autres fonctionnalités AIM.
IBM loin devant
Ce marché s'est concentré en 2010, par des acquisitions et par le poids des cinq principaux acteurs qui représentent 61% du marché mondial. IBM conserve largement sa 1ère place avec 32,6% de parts de marché et 14,4% de progression. Oracle (avec BEA) est loin derrière à 17%, en hausse de 12,5%. Troisième Microsoft, avec 5% des parts et 13,9% de hausse. Suit Software AG, quatrième, qui affiche 3,4% de parts de marché et 27,3% de progression. Tibco arrive cinquième, à 2,8% de parts de marché, en progrès de 20,1%.
« Nous continuons à observer un bouillonnement créatif où, d'une part, les grands fournisseurs continuent à être consolidés, et, d'autre part, plusieurs acteurs en place et à venir vont ouvrir de nouveaux marchés tels que la messagerie à faible latence (LLM), la gestion de transfert de fichiers ( MFT), et l'analyse des processus métier (BPA) », a déclaré M. Biscotti. « En outre, il existe une activité encore embryonnaire, mais dynamique, autour du cloud avec le PaaS. »
Fusion Applications : Oracle montre sa gestion des ressources humaines
Oracle vient de consacrer un webcast à sa solution Fusion HCM (human capital management) destinée à gérer les ressources humaines. C'est l'une des composantes de Fusion Applications, la suite de gestion intégrée que l'éditeur développe activement depuis plusieurs années et qu'il a dévoilée à l'occasion du dernier OpenWorld, en septembre 2010.
A terme, toutes les composantes de cette offre, proposant une large couverture fonctionnelle, pourront être au choix installées par l'entreprise de façon classique, c'est-à-dire sur des serveurs en interne, ou bien exploitées en ligne, dans le cloud. Il se trouve qu'Oracle a surtout insisté sur cette deuxième option durant son webcast sur Fusion HCM, présenté par Steve Miranda (en photo), vice-président senior, responsable du développement des applications Fusion. Cela n'a rien de surprenant. Tous les éditeurs ayant leur carte à jouer dans le cloud sont désormais en ordre de bataille et Oracle est récemment venu rappeler à Paris ses atouts dans ce domaine. Selon Steve Miranda, Oracle serait maintenant le deuxième fournisseur de solutions SaaS (software as as service), avec 5,5 millions d'utilisateurs « servis » par sa division Cloud Services. Cette dernière procède à de l'hébergement traditionnel d'applications, propose des services managés et des logiciels accessibles en mode SaaS, par abonnement.
Mise à jour semestrielle pour Fusion HCM en mode SaaS
Concernant la version en ligne de Fusion HCM, il sera possible d'exploiter l'offre sous une forme hébergée individualisée (de type FAI) ou dans une architecture partagée dite « multitenant ». La seconde proposition diffère de la première en cela qu'elle permet à plusieurs entreprises de partager la même instance d'une application, tandis que les données de chacune sont gérées séparément. Il n'est pas tellement courant que les fournisseurs de solutions SaaS donnent des détails sur l'architecture multitenant. Ils en exploitent pourtant les bénéfices parmi lesquels la capacité à procéder fréquemment à des mises à jour auxquelles les clients accèdent ainsi plus facilement. C'est cette architecture que défend tout particulièrement un chantre du SaaS tel que Salesforce.com. Et c'est cette capacité de mise à jour régulière que les supporters du multitenant mettent en avant pour inciter à choisir ce mode d'utilisation. Sur son site, Oracle annonce ainsi qu'il apportera tous les semestres des améliorations à la version SaaS de Fusion HCM.
Quoi qu'il en soit, Steve Miranda a affirmé que Fusion HCM et les autres composantes de Fusion Applications s'appuieraient sur le même code, quel que soit le modèle de déploiement choisi par les clients. Cela permettra justement à ces derniers de changer facilement de modèle s'ils le souhaitent. C'est exactement ce que propose Microsoft avec son offre de gestion de la relation client Dynamics CRM, celle-ci existant en mode SaaS, en version serveur traditionnelle ou, encore, hébergée par un partenaire intégrateur.
En cours de développement depuis cinq ans, Fusion Applications d'Oracle doit combiner les points forts des différents ERP rachetés par l'éditeur dans une suite de gestion intégrée de nouvelle génération. Telle est, depuis le début, l'ambition affichée par Oracle qui met tout particulièrement en avant l'interface utilisateur de l'offre et la présence de fonctions analytiques intégrées d'un bout à l'autre au sein des applications.
En concurrence avec Successfactors et Workday
L'offre Fusion HCM inclut, notamment, la gestion du personnel (salaires, avantages, indemnisations...), des objectifs des collaborateurs et des prévisions portant sur les besoins en ressources humaines. Sur le marché des solutions RH en mode SaaS, elle viendra concurrencer des offres d'éditeurs tels que Successfactors et Workday. Fusion HCM dispose de capacités d'intégration avec les trois ERP d'Oracle (PeopleSoft, JDE et la E-Business Suite). Cela apportera un certain confort aux clients de ces produits, mais cela souligne aussi le fait que la société de Larry Ellison évite formellement toute référence à une quelconque nécessité de migrer vers Fusion.
Fusion HCM (cliquer ici pour agrandir l'image)
Illustration : Steve Miranda, vice-président senior, responsable du développement des applications Fusion chez Oracle (crédit photo : Oracle)
[[page]]L'importance accordée à la version SaaS pourrait aussi aider l'éditeur à réaliser des ventes dans des entreprises où il est peu présent au niveau applicatif.
Plutôt qu'une migration, le fournisseur met plutôt en avant l'idée de « coexistence » entre Fusion et les applications actuellement exploitées par ses bases installées, avec une adoption qui se fera au rythme que les clients auront choisi. Cette stratégie présente peu d'inconvénients pour Oracle, puisqu'il continue à percevoir des revenus plutôt lucratifs sur la maintenance annuelle associée aux anciennes applications.
La date de sortie des Fusion Apps reste imprécise
Certains de ses clients sont néanmoins déjà passés à Fusion. Le webcast consacré aux composantes HCM donne par exemple la parole à Brian Ness, DSI au sein de l'établissement financier Principal Financial Group. La société a mis en production le module « Workforce Compensation » de Fusion HCM, dans le cadre d'un programme de mise en place pilote du produit. Même si chaque mise en route comporte ses difficultés, ce qui fut aussi le cas dans ce projet, la grande majorité des utilisateurs du groupe ont transmis des retours positifs sur le logiciel, a témoigné Brian Ness. Il est donc prévu de passer à d'autres modules de Fusion HCM cette année et l'an prochain.
Ce qui n'a pas été clairement indiqué dans le webcast, c'est la date de disponibilité de Fusion HCM et des autres composantes de Fusion Applications. On ne sait pas exactement quand les clients pourront en disposer, en dehors des entreprises participant au programme pilote.
Pendant la conférence OpenWorld de septembre 2010, le PDG Larry Ellison avait annoncé aux participants que la disponibilité générale de l'offre aurait lieu au premier trimestre 2011. Si l'on s'en tient à cette déclaration, Oracle est en retard. Mais Larry Ellison faisait peut-être référence au premier trimestre fiscal d'Oracle qui démarre en fait au mois de juin. Les responsables d'Oracle n'ont pris aucune question pendant le webcast et le groupe n'a répondu à aucune autre demande ce jour-là. (...)
Oodrive soutenu par le fonds Time Investors
Le fonds Time Investors (dirigé par Henri de Bodinat) investit dans un acteur français du SaaS : Oodrive. Deux tranches d'investissements vont être mobilisées, l'une de 3,5 millions d'euros (ME), l'autre de 4 ME.
Fondé il y a dix ans, Oodrive atteint en 2010 les 18 ME de CA avec une spécialisation, le SaaS sur la gestion de fichiers. Oodrive avait déjà réalisé une levée de fonds en 2007, d'un montant de 4 ME, auprès d'Iris Capital. Sa solution AdBackup en télésauvegarde est distribuée en indirect par un réseau d'un millier de partenaires.
Une bonne performance de la BI en 2010 selon Gartner
Le chiffre d'affaires du segment « analyse et gestion de performance » a atteint 10,5 milliards de dollars, au plan mondial, en 2010, note le cabinet Gartner. Une progression de 13,4% par rapport à l'année précédente.
« En 2010, la résurgence des plans de relance, l'amélioration générale de la macro-économie, et le lancement de nouveaux produits ont contribué à une flambée des dépenses de logiciels de BI,» estime Dan Sommer, analyste principal au Gartner. « Les dépenses BI ont dépassé de loin la croissance globale du budget IT, ce sera le cas pour plusieurs années, et il est clair que la BI continue d'être une technologie au centre des initiatives dans les entreprises. Quant aux acteurs du marché, ils déploient de manière agressive leurs capacités dans ce domaine. La croissance est tout autant due au push des fournisseurs qu'à la pression de la demande. »
Les 4 « grands », détiennent 59% du marché
Les quatre grands prestataires, SAP, Oracle, IBM et Microsoft, ont continué à consolider le marché, détenant 59 pour cent des parts. Dans la plate-forme de BI et CPM, ils « raflent » près de deux tiers des parts de marché, tandis que, dans les applications analytiques, SAS domine. Les utilisateurs veulent être sûrs de ce qu'ils achètent, ils veulent des fonctionnalités spécifiques et la convivialité qui répondent à leurs besoins.
SAP est donc toujours premier avec 22,9% de parts de marché et 16,8% de progression, Oracle suit avec 15,6% des parts et 21,9% de hausse, SAS, troisième, affiche 13,2% de parts de marché et 4,7% de hausse, IBM détient 11,6% du marché avec 7,6% de progression, Microsoft, enfin, occupe 8,7% du marché, en hausse de 23,6%.
L'industrie européenne du logiciel a besoin d'un marché unique et du SaaS selon IDC
Premier constat dressé par le cabinet d'études, l'industrie européenne du logiciel est concentrée sur certains pays, les trois grands évidemment (Allemagne, Royaume-Uni, France) mais aussi les pays nordiques et le Bénélux. Les ISV sont issus de ces zones géographiques. Or, une industrie du logiciel nécessite un grand marché intérieur afin de réaliser des économies d'échelle, réduire les coûts unitaires, et donc, accroître la compétitivité. Les pays disposant de grands clients internationaux et de cultures d'exportation favorisent une industrie du logiciel forte.
IDC note ensuite que l'industrie européenne du logiciel est centrée sur les applications et non pas sur les outils de développement ou sur les logiciels d'infrastructure systèmes. Dans les applications de base, comme le SCM ou le CRM, les ISV européennes comptaient plus de 20% du marché mondial en 2009. Dans le middleware en revanche, leurs parts de marché se situaient à moins de 5% pour les logiciels d'infrastructure ou de gestion de l'information. Par contre, localement, les acteurs européens détiennent des positions fortes du fait de leur maîtrise de la législation et des habitudes commerciales, de leur pratique de la langue et des devises locales.
Le SaaS : un baromètre essentiel
IDC s'est également penché sur les acteurs du SaaS. Ce segment croît cinq fois plus vite chaque année que la moyenne du marché européen du logiciel. « Le groupe des acteurs du SaaS est aujourd'hui un baromètre essentiel de l'avenir de l'industrie du logiciel en Europe » souligne IDC qui a analysé 174 spécialistes européens du SaaS. Comme le reste de cette industrie, il est surtout tourné vers les applications.
« La majorité des fournisseurs de SaaS dans notre échantillon avait des revenus annuels de 3 millions de dollars ou moins, de sorte qu'ils s'agit essentiellement de petits éditeurs de logiciels », a déclaré Bo Lykkegaard, directeur de recherche chez IDC. « L'avantage c'est qu'ils appartiennent au monde des start-up et que beaucoup d'entre eux sont susceptibles de connaître une forte croissance au cours des années à venir. Toutefois, il faudra attendre au-delà de notre horizon habituel de cinq ans avant que les acteurs du SaaS représentent une proportion importante parmi les 100 premiers éditeurs de logiciels européens. »
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