Flux RSS
Progiciels
2426 documents trouvés, affichage des résultats 711 à 720.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(29/04/2010 16:29:50)
Les utilisateurs de SAP influencent le développement des produits
Outre Manche, les clubs des utilisateurs britanniques et irlandais de SAP ont indiqué qu'ils allaient travailler avec le réseau Sugen pour peser davantage sur la feuille de route produits de l'éditeur allemand d'ERP. Un groupe de travail a été constitué à cet effet. Le Sugen (SAP user group executive network) regroupe au niveau mondial les dirigeants de douze clubs d'utilisateurs, dont l'USF en France.
Le SAP UK & Ireland User Group a confié à nos confrères de Computerworld UK que la possibilité d'influencer, en amont, le développement des produits de SAP était un souhait de longue date. Le groupe de travail va par ailleurs être informé plus tôt sur ce que projette SAP, ce qui aidera les utilisateurs à définir leurs orientations technologiques.
Pour George Mansfield, l'un des responsables du club britannique, cette démarche atteste de la volonté de l'éditeur de renforcer le dialogue avec sa base installée, après le long contentieux alimenté par la tarification majorée du contrat de maintenance. Un contact rapproché avec ses utilisateurs permettra par ailleurs à SAP de réduire les demandes de modifications faites par les clients une fois les produits déjà mis sur le marché, a souligné George Mansfield. Il précise qu'un certain nombre de rencontres a déjà eu lieu avec son club, le Sugen et SAP depuis le début de l'année. Au cours des réunions, des informations ont été partagées sur plusieurs modules du progiciel intégré, en particulier sur la gestion des ressources humaines, de la production et de la chaîne logistique, ainsi que sur la gestion financière. Selon lui, il s'agit d'une vraie relation bilatérale qui ne donnera certes pas des changements rapides, mais qui débouchera à coup sûr sur de vrais changements.
Illustration : le siège social de SAP, à Walldorf (Allemagne) - Crédit photo : SAP
Trimestriels Dassault Systèmes : une reprise d'activité confirmée
Le spécialiste de logiciel 3D et de gestion du cycle de vie des produits a bien débuté l'année 2010, avec un chiffre d'affaires en légère hausse de 1% à 312 millions d'euros. La part des logiciels ( dont la maintenance) représente 73% des revenus totaux à 279,7 millions d'euros en progression de 3%. Les ventes de licences ont cru de 19% à 76,1 millions d'euros et concernent les marques CATIA, ENOVIA et SolidWorks. La marge opérationnelle a elle aussi été améliorée pour atteindre 22,1% contre 19,4% un an auparavant. Le flux de trésorerie opérationnelle s'élève à 133 millions d'euros.
Pour expliquer ces bons résultats, Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes, indique « ce premier trimestre a été marqué par une amélioration de l'activité de nos principales marques. La dynamique de croissance a été bonne en particulier dans les industries de haute technologie et de l'énergie, contribuant à une hausse de 29% des ventes de nouvelles licences ENOVIA à taux de change constants ». Le premier trimestre 2010 a vu la société intégrer la division des ventes PLM d'IBM ouvrant des perspectives de marché intéressante pour Dassault Systèmes pour la somme de 600 millions de dollars.
Sur les prévisions, la chute de la monnaie européenne devrait avoir un effet bénéfique pour la société, en favorisant le prix des logiciels à l'exportation. Pour autant, la prudence est néanmoins de mise dans le contexte économique, Thibaut de Tersant, Directeur Général Adjoint des affaires financières explique « nous estimons que la reprise sera progressive ». Au regard de ce double constat, le groupe a révisé à la hausse ses prévisions avec un bénéfice net par action de 2,19 à 2,28 euros, soit une croissance estimée entre 18 et 23%. Le chiffre d'affaires pour le 2ème trimestre 2010 est évalué entre 360 et 370 millions d'euros, pour un objectif de marge opérationnelle de 23%.
Crédits photo D.R.
(...)(28/04/2010 14:22:48)Trimestriels SAP : les ventes et la marge progresse
Après un exercice 2009 difficile qui s'est achevé au 31 décembre sur un chiffre d'affaires en repli de 9%, SAP fait meilleure figure. Sur les trois premiers mois de l'année, les ventes de licences de l'éditeur allemand ont progressé de 11%, à 464 M€, par rapport à l'an dernier. Même progression pour le chiffre d'affaires issu de la maintenance qui s'établit à 1,39 M€. Les dirigeants ont tenu à souligner cette « croissance à deux chiffres » en commentant les résultats lors d'une conférence téléphonique. Si le CA total n'augmente que de 5% sur le trimestre, à 2,5 M€, c'est que les revenus issus des services ont reculé de 14%, à 557 M€. Rien de surprenant, explique Werner Brandt, le directeur financier de SAP, puisque cette activité est directement liée aux ventes de logiciels (en baisse en 2009).
Brésil, Asie et Europe en hausse
« Le marché s'améliore de façon globale », a commenté Bill McDermott, co-PDG de la société, en précisant au passage que la majorité des clients choisissaient de passer au contrat de maintenance Enterprise Support (sans y être contraints, désormais). Le dirigeant a rappelé que la société dominait toujours le marché décisionnel depuis le rachat de Business Objets. Il signale aussi de bonnes ventes sur le marché des PME et une reprise des contrats importants, supérieurs à 5 M$ qui ont doublé par rapport à l'an dernier.
Par zones géographiques, les performances diffèrent. Les revenus des logiciels et de la maintenance ont progressé de 13% en Europe/Afrique/Moyen-Orient et de 25% en Asie/Pacifique, mais seulement de 8% sur le continent américain. Aux Etats-Unis, elles enregistrent +2%, à taux de change courant, contre 25% sur les autres pays du continent. Au Japon, les ventes reculent de 8%.
En dépit des bons résultats du trimestre et de l'amélioration du contexte, SAP ne relève pas ses prévisions pour l'année fiscale : entre +4% et +8% sur le chiffre d'affaires logiciels et revenus associés (8,2 Md€ en 2009). Et une marge opérationnelle (non IFRS) située entre 30 et 31% à taux de change constant (27,4% en 2009)
[[page]]
Les dépenses opérationnelles impactent la marge
SAP communique un bénéfice après impôts de 387 M€, contre 196 M€ au premier trimestre 2009, soit une augmentation de 97%. Le bénéfice net n'est pas indiqué en tant que tel. Il se montait à 204 M€ au premier trimestre 2009. Le bénéfice par action s'élève à 0,33 € contre 0,17 € l'an dernier, soit +94%.
Les dépenses opérationnelles de l'éditeur ont baissé de 7% à 1,952 M€. L'an dernier, les charges de restructuration entrainées par les réductions d'effectifs se montaient à 166 M€. Le bénéfice opérationnel remonte donc sensiblement, de 81%, à 557 M€, sur ce premier trimestre 2010. La marge opérationnelle correspond à 22,2% du chiffre d'affaires total (contre 12,8% l'an dernier). SAP précise de surcroît qu'elle a malgré tout été écornée de 1,4 point par 36 M€ de dépenses, notamment en raison des réorganisations opérées. Au cours du trimestre, l'éditeur s'est séparé de son PDG, Léo Apotheker, remplacé maintenant par deux co-PDG, Jim Hagemann Snabe et Bill McDermott. Il a aussi, dans ce mouvement de réorganisation, remercié ou laissé partir plusieurs autres collaborateurs.
2,30 Md€ de liquidités nettes
Le flux de trésorerie a baissé de 44%, passant de 1,39 Md€ à 772 M€. SAP explique qu'il a repoussé la facturation de la maintenance jusqu'à ce que les clients décident, courant mars, du choix de leur contrat (Enterprise Support ou Standard Support). Au 31 mars, SAP disposait de liquidités nettes de 2,30 Md€.
L'effectif de la société est reste relativement stable sur le trimestre, a indiqué Werner Brandt. Il s'élève à 47 598 personnes dont 14 676 en R&D et 12 110 sur les services. L'Europe seule en emploie 25 255 et le continent américain, 12 060.
Après son ouverture sur EC2, Lawson déploie aussi en cloud privé
Quelques semaines après avoir proposé à ses clients d'installer les ERP de son catalogue dans le cloud d'Amazon (EC2), Lawson Software lance une deuxième option de déploiement en environnement virtualisé. Cette fois, il est question d'infrastructure privée. Avec son offre Lawson Internal Cloud Services, l'éditeur américain propose des technologies de virtualisation (celle de VMware) et de distribution de la charge de travail sur des serveurs en clusters (Lawson Grid Technology, développée par ses soins). Il vise les entreprises qui veulent déployer les applications en interne, sur leurs propres équipements.
Lawson prévoit de commercialiser plusieurs « appliances virtuelles ». Les deux premières, en mai, seront Lawson Smart Office et Lawson Enterprise Search, présentées comme des add-on à ses ERP. Le premier produit permet de personnaliser son espace de travail, le deuxième est un outil de recherche destiné aux ERP. Ils sont livrés, prêts à être déployés, dans des machines virtuelles sous VMware qui utilisent Linux et le serveur d'application WebSphere d'IBM.
En complément, l'éditeur propose une console d'administration qui permettra au département informatique de mettre l'application en route, de façon automatisée, par « drag and drop » dans un environnement de test, de développement, de formation ou de production. C'est le même outil que Lawson utilise lui-même pour gérer les applications que ses clients auront choisi de déployer dans le cloud d'Amazon, avec l'offre Lawson External Cloud Services. Cette dernière concerne ses solutions de gestion intégrées Lawson Enterprise Management Systems (c'est-à-dire S3 et M3, ex-Intentia Movex), ainsi que l'offre Talent Management de gestion des ressources humaines.
Dim fait appel à PS'Soft pour gérer son parc informatique
La DSI de Dim est responsable de la gestion du parc et des services informatiques des entités Dim, Playtex et Chantal Thomas. Celles-ci sont réparties sur 6 sites en France, Suisse et Belgique, et s'appuient sur une force de vente composée de 200 personnes. Au total, le parc informatique des trois marques rassemble plus de 6 000 équipements hétérogènes : ordinateurs (fixes et portables), imprimantes, copieurs, éléments réseaux, serveurs physiques et virtuels, et terminaux mobiles.
Depuis le début des années 2000, Dim utilisait une solution éditée à PS'Soft pour la gestion des actifs, du centre de support, des demandes d'interventions et de changements, ainsi que des contrats de location. Cette solution ne répondait plus aux attentes du groupe qui voulait disposer d'un outil accessible en permanence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 à partir de n'importe quel endroit, donc en ligne. De plus, la solution recherchée devait absolument être multilingue en vue d'une extension du système à toutes les entités du groupe DBApparel auquel appartient Dim et présent notamment au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie et en Russie. L'objectif était de pouvoir homogénéiser les processus au sein de l'ensemble du groupe si la solution choisie se révélait suffisamment pertinente.
« Nous privilégions les solutions en SaaS dès qu'elles sont disponibles, car elles permettent de se libérer des contraintes géographiques, techniques et administratives » indique Bertrand de Morel, Directeur des Systèmes d'Information chez Dim. la société a donc indiqué à PS'Soft qu'il voulait migrer vers une offre en SaaS et a commencé à chercher une solution. L'éditeur a proposé peu après une solution adaptée aux besoins de l'entreprise. Dim a apprécié la mutation et la nouvelle interface web d'une solution certes vieillissante mais qui la satisfaisait.
Illustration D.R.
[[page]]
Le déploiement est techniquement très simple : aucune installation n'est en effet nécessaire chez Dim, par définition du mode SaaS, l'éditeur ayant même intégré une technologie sans agent local installé. Cependant, par mesure de sécurité, une liaison réseau spécifique a été mise en oeuvre entre l'hébergeur de PS'Soft et Dim afin d'empêcher un piratage.
Par choix, les éléments de l'historique de la solution précédente n'ont pas été repris, ce qui permet de s'assurer que seuls les éléments actifs sont répertoriés. Il reste à déployer la solution de gestion du support en ligne, PS'Soft IT Service Management. Le service de support traite 20 000 appels par an avec un niveau de qualité satisfaisant, 0,5% des appels seulement générant un réappel. L'objectif est donc d'optimiser l'existant, notamment en générant une base de connaissance et en adoptant des démarches plus pro-actives comme la remontée d'informations permettant d'anticiper les incidents dans des situations similaires à celles déjà signalées. La principale difficulté de ce déploiement est donc de définir les procédures internes au centre de support pour vérifier que la meilleure aide a été apportée dans le meilleur délai et pour le meilleur coût. Un lancement de l'outil en anglais, allemand et néerlandais est également envisagé. (...)
Microsoft Dynamics CRM Online arrivera en France au 2e semestre
Avec son engagement dans le cloud, Microsoft prétend aider ses clients à réduire leurs budgets IT. C'est l'une des idées qu'a développées Stephen Elop (en photo), le patron de la division Business, à l'occasion de Convergence 2010, à Atlanta. La conférence des utilisateurs des logiciels Dynamics (ERP et solutions de CRM) s'y tient jusqu'au 27 avril et attend 8 500 participants. Pour l'éditeur, ce rendez-vous annuel constitue l'occasion de s'adresser directement aux clients de ses solutions de gestion, alors que ceux-ci traitent d'ordinaire avec les distributeurs des gammes Dynamics, vendues en mode indirect.
De ce côté-ci de l'Atlantique, la filiale française de Microsoft a relayé l'événement Convergence. Par conférence web, Sophie Jacquet, chef de produit de Dynamics CRM, a annoncé pour le second semestre 2010 l'arrivée en Europe de Dynamics CRM Online, l'offre de gestion de la relation client hébergée par Microsoft lui-même. Celle-ci est disponible depuis environ deux ans aux Etats-Unis. Pour les clients français, elle sera accessible à partir d'un datacenter installé à Dublin, avec un site miroir aux Pays-Bas, dans un souci de proposer aux entreprises l'hébergement de leurs données clients au plus proche. Fonctionnellement, elle couvre les mêmes processus que Dynamics CRM 4.0 'on premise' : gestion du marketing, des opportunités commerciales et du service client.
Sur son offre CRM, Microsoft a constitué globalement une base installée d'environ 22 000 clients, de toutes tailles.
Les partenaires apportent leurs développements complémentaires
Conformément au modèle « Software + Services » qu'il promeut, Microsoft va juxtaposer cette offre SaaS, délivrée par ses soins, aux offres hébergées que proposent déjà ses partenaires français autour de son logiciel Dynamics CRM 4.0. Ce dernier pouvant être également installé de la façon la plus classique sur les serveurs du client, si celui-ci le souhaite. L'éditeur fait ainsi valoir la possibilité de combiner l'installation interne et l'utilisation en ligne, et de faire évoluer ce choix dans le temps en passant du mode 'on-premise' au mode hébergé, ou le contraire, tout en disposant de fonctionnalités identiques.
Illustration : Stephen Elop, patron de la division Business de Microsoft (Crédit photo : Microsoft)[[page]]Avec le prochain lancement de CRM Online en Europe, l'éditeur se défend d'entrer en concurrence avec ses partenaires hébergeant Dynamics CRM 4.0. La version SaaS de Microsoft constitue une offre de CRM standard, explique Sophie Jacquet. « Elle aura plutôt vocation à servir des entreprises de taille intermédiaire ou des PME. Les partenaires apportent de leur côté des développements complémentaires, de nature horizontale ou métier, et nous nous adresserons à eux, par exemple pour les grands comptes ». La chef produit évoque notamment Avanade et son offre AOS (Avanade Online Services).
Le client peut préférer un hébergeur local
Microsoft France souligne aussi qu'il veut conserver à ses clients la possibilité de s'adresser à un hébergeur de proximité plutôt qu'à un datacenter, fut-il situé en Irlande. « Les collectivités locales, par exemple, pourront préférer un acteur français ». Au passage, l'éditeur indique que son logiciel de CRM peut être utilisé au-delà des processus de gestion client, notamment pour suivre les relations avec des administrés.
Microsoft a dépensé des milliards pour son infrastructure cloud Azure. Il ne se contentera pas d'y donner accès à des applications, mais fournit aussi sur cette plateforme des ressources informatiques brutes et un environnement de développement. « D'ici deux ans, près de 90% des ingénieurs de Microsoft travailleront sur le cloud computing, d'une façon ou d'une autre », a rappelé Stephen Elop sur Convergence 2010, reprenant des propos déjà tenus par Steve Ballmer il y a quelques semaines.
PowerPivot hisse le décisionnel dans Excel avec SQL Server 2008 R2
La R2 de SQL Server 2008 a été mise en production cette semaine par Microsoft. Elle sera disponible en mai pour les clients auprès des distributeurs du produit. Cette mise à jour de la base de données relationnelle a muri pendant deux ans et, lors de ses premières présentations, sa version CTP (Community Technology Preview) a été téléchargée plus de 300 000 fois, a indiqué l'éditeur.
Parmi les évolutions importantes figurent l'enrichissement des fonctions décisionnelles avec la technologie PowerPivot (illustration ci-dessus). Cet add-on à Excel permettra aux familiers (voire inconditionnels) du tableur d'effectuer des analyses avancées à partir de leur logiciel de bureautique habituel. Ils l'utiliseront pour charger d'importants volumes de données, potentiellement depuis n'importe quelle source, et les manipuler ensuite très rapidement à l'écran grâce au moteur d'analyse in-memory. A cela s'ajoute l'apport du langage de formules DAX (Data analysis expressions), dont la syntaxe est, assure Microsoft, très proche de celle utilisée pour les formules d'Excel. Celui-ci va servir à effectuer des calculs au sein des tableaux réalisés avec PowerPivot. Il utilise certaines des formules déjà présentes dans le tableur, mais aussi d'autres fonctions conçues pour prendre en compte des données relationnelles et réaliser des agrégats dynamiques sans être un spécialiste des SGBDR ou des concepts OLAP. Ces fonctions (de filtrage, logiques, statistiques...) s'appuient sur les tables et les colonnes et permettent de tirer parti des technologies in-memory pour accélérer les calculs et la présentation des résultats.
Gestion des données de référence et CEP
SQL Server 2008 R2 a par ailleurs amélioré ses capacités de montée en charge en environnement datacenter. En le combinant avec Datacenter Edition, une instance de la base peut tourner sur des systèmes exploitant jusqu'à 256 processeurs logiques (contre 64 précédemment). Le fonctionnement du logiciel dans les environnements virtualisés avec Hyper-V a également été optimisé.
A noter qu'une nouvelle fonctionnalité de l'outil d'administration, Utility Control Point, permet de gérer les règles de fonctionnement sur plusieurs fermes de serveurs SQL à partir d'une seule console.
Deux nouveaux composants apportent aux départements informatiques, d'une part, des outils de gestion des données de références (Master Data Services) et, d'autre part, des fonctions de CEP (complex event processing) pour traiter les flux d'événements complexes (composant StreamInsight).
Devoteam s'équipe d'un réseau social d'entreprise
Devoteam regroupe 4500 salariés dans 23 pays pour délivrer des conseils et des services dans le domaine des TIC. Il disposait bien entendu d'un intranet classique, comprenant une vingtaine de « communautés de pratique ». Mais cette approche avait ses limites par rapport aux possibilités offertes par les technologies actuelles.
Pour faciliter la communication au sein de l'entreprise et inciter ses collaborateurs à mieux partager leurs informations, leurs documentations et leurs expériences ainsi qu'à développer leur réseau relationnel interne, la SSII a choisi de déployer un réseau social d'entreprise. L'objectif est de faciliter le développement du chiffre d'affaires et les synergies entre entités mais aussi à se former aux nouvelles pratiques professionnelles permises par les technologies actuelles, en interne comme avec les clients. Les « communautés de pratique » devraient ainsi gagner en visibilité et en efficacité dans une démarche plus dynamique de knowledge management.
Devoteam a choisi Jive Social Business Software, de l'éditeur Jive Software en mode SaaS. Jive SBS est un progiciel commercial en technologie J2EE pouvant s'installer sur diverses distributions Linux (Red Hat, Suse...) ou Solaris, avec le choix en terme de base de données (Oracle, Microsoft SQL Server, PostGres, MySQL). Il peut s'interfacer avec un annuaire LDAP. L'éditeur propose des implémentations en mode SaaS mais aussi sous forme de licences pour une installation sur des serveurs propres.
(...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |