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(13/01/2010 09:29:32)

Intergraphic 2010 : la plateforme de mise en page EMX couvre l'impression et le Web

Après avoir créé le logiciel Edition Manager pour modifier des documents QuarkXPress à partir d'un simple navigateur Web, la société française MG Production a développé une solution de mise en page entièrement accessible en mode hébergé. L'offre Edition Manager Xtend (EMX), que l'on peut voir en ce moment sur le salon Intergraphic 2010 (12-14 janvier, Palais des Congrès, Paris), est destinée à créer des contenus qui pourront être imprimés, publiés sur le Web ou adaptés aux téléphones mobiles (par le biais d'un export en XHTML). Elle a été conçue pour affranchir ses utilisateurs du recours à des logiciels de PAO qui s'installent sur les postes de travail (tels que XPress ou InDesign). L'éditeur s'adresse tout particulièrement aux départements marketing des grandes entreprises qui sont amenés à faire collaborer un grand nombre d'utilisateurs autour de documents et contenus (brochures, fiches techniques, catalogues...) à amender, enrichir ou localiser pour différents pays. Un module de workflow sert à contrôler les multiples contributions (service juridique, traducteur...) et à suivre l'avancée des documents. Néanmoins, le coût de la solution, entre 100 et 80 euros par utilisateur et par mois pour les cent premiers utilisateurs, la met également à la portée des PME. Un fichier PDF ou Postscript pour l'imprimeur Si le logiciel EMX ne couvre bien sûr pas la palette d'outils d'un QuarkXPress ou d'un InDesign, Philippe Traveilly, le directeur commercial associé de MG Production, considère qu'on y trouve « 70 à 80% des fonctionnalités majeures » utilisées dans ces solutions de PAO. Si nécessaire, ajoute-t-il, certains utilisateurs (l'infographiste, par exemple) feront appel en complément à leurs outils de dessin ou de retouche photo habituels. Philippe Traveilly insiste sur la facilité d'utilisation d'EMX, capable de gérer les contraintes de l'impression offset avec, à l'arrivée, le fichier PDF ou Postscript requis par l'imprimeur (les polices de caractères Open Type sont stockées sur le serveur). Selon cet ancien professionnel de l'imprimerie, la prise en main d'EMX, sans problème pour les familiers des logiciels de PAO, ne demandera que deux heures de formation aux novices. Parmi les clients de l'éditeur figurent déjà le constructeur automobile PSA, avec 850 utilisateurs du logiciel, et Havas, qui compte entre 130 et 140 utilisateurs. [Au Canada, MG Production est par ailleurs en cours de négociation avec un groupe international qui prévoit le déploiement de quelque 3 600 utilisateurs.] Partenaire de Sefas, spécialiste de l'éditique EMX s'utilise à partir d'un navigateur Internet Explorer 6.7 ou Firefox 3.5.x pour Mac ou PC. Il stocke séparément la mise en page et les contenus. L'élaboration de gabarits, conservés dans la base de données documentaire, permet à tout utilisateur de créer un document en respectant les contraintes graphiques, tant de l'impression offset que de la publication Web. Le document s'élabore dans un mode Wysiwyg offrant à l'affichage une présentation identique à celle qui sera imprimée ou publiée. La solution EMX comporte une médiathèque intégrée qui, sous peu, permettra de gérer aussi les vidéos. Si les clients ont déjà constitué une photothèque, elle pourra être récupérée dans EMX. Les documents peuvent être liés à des données (liste de prix, ou coordonnées de clients par exemple) gérées dans le système d'information de l'entreprise. « Nous sommes partenaires de spécialistes de l'éditique comme Sefas », précise d'ailleurs Philippe Traveilly. Les serveurs sur lesquels EMX est installé sont gérés par MG Production et hébergés dans le datacenter français d'Equinix, situé à Saint-Denis. (...)

(12/01/2010 10:11:30)

QlikView arrive sur les smartphones Android

Déjà disponible pour l'iPhone, l'application d'analyse QlikView sera disponible d'ici quelques semaines sous le système d'exploitation Google Android via la boutique en ligne Android Market. Pour explorer l'information, QlikView for Android exploitera le multi-touch, la localisation par GPS, ainsi qu'une fonction de zoom. L'application a été développé sur la plate-forme TAT Cascades, en partenariat avec TAT (The Astonishing Tribe AB), un éditeur spécialisé dans les interfaces utilisateurs mobiles pour des entreprises telles que Google et Spotify. (...)

(12/01/2010 09:25:16)

Le marché du e-achats s'annonce prometteur en 2010

Dans le vaste secteur du e-achat, trois segments paraissent bien développés, les entreprises en sont équipés à plus de 50% : le e-procurement (gestion administrative des achats) à 63%, le e-sourcing (sélection des fournisseurs) à 59%, les catalogues électroniques à 55%. Trois autres semblent en revanche « à la traîne » avec à peine 20% d'entreprises équipées : le SRM (gestion de la relation fournisseur), le décisionnel achats, le développement durable. Entre les deux, on trouve : le contract management, la démat', les enchères en ligne, le e-apaiement et du développement spécifique. Le secteur du e-achat balaye large, ce qui fait sa force. Les entreprises ont en effet un système d'information achats qui peut être amélioré en terme de couverture fonctionnelle. C'est la grande conclusion de l'étude. Les offres sont d'ailleurs largement disponibles. En plus, le parc installé date de plus de trois ans et plus d'un tiers des entreprises n'ont pas de service de e-achats externalisé. Les différents acteurs de ce marché, malgré la crise, ont moins de motifs de pessimisme que leurs homologues d'autres marchés. Des achats nombreux après une année marquée par la rigueur Dans les 12 à 18 mois à venir, les SI achats vont d'ailleurs investir souligne l'étude : à 25% dans leur enrichissement fonctionnel, à 18% dans l'upgrade des systèmes existants, à 15% dans l'installation de nouvelles solutions, à 12% dans la globalisation des systèmes au plan mondial, à 11% dans l'élargissement du périmètre d'usage, pour 8% dans la refonte de systèmes existants. 3% seulement des entreprises interrogées n'envisagent pas d'évolution. L'étude donne l'occasion aux offreurs de se reprendre après une année 2009 délicate. Sur ce secteur de l'e-achat, 32% des chiffres d'affaires se sont avérés moins bons que prévu, en face, 29% des entreprises ont repoussés ou abandonné leurs projets. En revanche, pour 2010, 29% des offreurs prévoient une hausse de leurs chiffres d'affaires et 24% des entreprises prévoient davantage de projets. Ces nouveaux projets porteraient : à 31% dans le conseil, à 20% dans l'ASP, à 12% en licences, à 11% en intégration, à 10% en maintenance à 8% en services, à 3% en externalisation. (*) Etude menée de mi novembre à mi décembre auprès de 50 entreprises, de la Pme aux grands comptes. (...)

(11/01/2010 17:05:40)

Progiciels bancaires : Temenos amorce la consolidation du marché en achetant Viveo

Le marché européen des progiciels bancaires engage un mouvement de consolidation avec le rachat de la société française Viveo par le Suisse Temenos. Ce dernier est classé 11e au classement Truffle 2009 des éditeurs européens, juste derrière le Français Sopra, l'un de ses principaux concurrents sur son secteur. Quant à Viveo, il figure dans le Top 20 des éditeurs français, à la 18e place de l'EuroSoftware 2009 établi par PwC et PAC (à noter que les 2e, 4e, 11e et 19e places de ce classement sont occupées par Sopra, Murex, Sophis et Sab Ingénierie, autres spécialistes du progiciel financier qui font apparaître le poids de ce segment dans l'industrie logicielle en France). L'acquisition de Viveo s'est scellée à la fin du mois de décembre pour un montant de 81 millions de dollars. « Ce rachat apporte à Temenos un très gros portefeuille de clients, souligne Vincent Gelineau, consultant senior chez PAC, spécialisé sur les marchés de la banque. L'éditeur suisse a des positions européennes très fortes, notamment sur la zone germanophone. Il a besoin de prendre du poids et de consolider ses positions en Europe pour aller plus loin au niveau mondial. Temenos a une carte à jouer face à des concurrents présents à l'échelle internationale comme Oracle, avec son offre i-flex [héritée du rachat en 2006 d'un éditeur indien], ou encore SAP. » De fait, Viveo compte plus de 750 clients dans quelque 35 pays, dont 400 en France, parmi lesquels BNP Paribas, la Caisse d'Epargne, Société Générale, Crédit Agricole ou encore Banques Populaires. Sur les 46 millions d'euros de son chiffre d'affaires 2008, 26 M€ ont été réalisés en France, selon l'EuroSoftware (qui estime aussi que 80% du CA provient de l'activité d'édition de la société). Viveo compte 410 collaborateurs répartis entre la France, la Roumanie, la Belgique et la Suisse. L'éditeur dit avoir investi plus de 100 M€ dans sa R&D depuis 2000. Peu d'acteurs 'pure players' globaux dans le monde financier « En France, il n'y a plus vraiment de place pour un trop grand nombre d'éditeurs spécialisés dans le monde bancaire, considère Vincent Gelineau, de PAC. Les grandes banques sont de plus en plus concentrées et ont de plus en plus de projets à l'international, dans le cadre de la mutualisation et de l'harmonisation de leurs systèmes. » Pour Temenos, le rachat de Viveo constitue sa plus importante acquisition à ce jour. En 2008, l'éditeur suisse a engrangé un chiffre d'affaires d'environ 293 M€ (407 M$). Il compte 700 clients dans 120 pays. En décembre dernier, il avait déjà noué un partenariat avec GFI Informatique pour fournir son logiciel T24 en France et dans d'autres pays d'Europe du Sud. [[page]] « Dans le monde financier, certains logiciels ont une portée internationale, explique Eric Menard, directeur d'études chez PAC. C'est le cas des logiciels de bourse -terrain sur lequel GL Trade a été racheté par Sungard ou des logiciels destinés aux banques d'investissement et d'affaires. Peu d'éditeurs 'pure player' [exclusivement spécialisés dans le monde bancaire] sont globaux, comme Sungard, alors qu'il en existe de nombreux à l'échelle locale ou régionale, en Europe, mais aussi sur d'autres marchés. Des éditeurs indiens, par exemple, comme Tata notamment, ont développé leurs propres logiciels bancaires. » A l'inverse, les logiciels de 'retail banking', destinés à gérer l'activité de Back-Office des banques de détail, restent adaptés à des marchés nationaux. « Il y a encore des différences de gestion entre les banques, suivant les différents pays, justifie Eric Menard. C'est pourquoi il existe des éditeurs locaux dans ce domaine. » Difficile de maintenir l'effort en R&D Sur le marché de la banque de détail, les éditeurs français proposent des approches intégrées. Outre Viveo, on retrouve celle de Sab Ingénierie, qui a racheté plusieurs sociétés ces derniers temps (notamment Samic qui proposait une solution intégrée), ou encore Sopra (avec son offre Evolan), cite Vincent Gelineau. Sur l'Hexagone, Oracle a réalisé plusieurs signatures avec son offre i-flex. SAP France est également présent sur le marché de la banque autour des fonctions support. Pour un éditeur comme Viveo, il devenait sans doute difficile de maintenir l'effort important consenti dans sa R&D, estime le consultant. Si l'on considère le mouvement de regroupement et de concentration qui se fait au niveau des banques, l'harmonisation européenne qui s'opère au niveau des règlementations bancaires et la montée en puissance d'acteurs comme SAP ou Oracle, ou encore le fait que des éditeurs locaux étendent leur présence aux pays frontaliers (comme Sopra), les analystes de PAC décèlent l'amorçage d'une phase de concentration sur ce marché qui va se confirmer dans les années à venir (sans précipitation, les banques n'ayant pas de pression pour changer de SI). « Pour l'instant, ce marché reste encore très morcelé », insiste Eric Menard. (...)

(05/01/2010 12:07:20)

Oracle acquiert Silver Creek Systems, spécialiste du nettoyage de données

La première emplette d'Oracle pour 2010 a lieu dans le domaine de la qualité des données : l'éditeur rachète Silver Creek Systems, un spécialiste du nettoyage de données produits, pour un montant non communiqué. L'éclosion du marché de la gestion des données de référence (MDM, Master Data Management), surtout représenté par le PIM (Product Information Management, gestion des données produits), son segment le plus porteur, a porté une attention particulière sur ces outils capables de nettoyer et réconcilier les données. De fait, sans cette étape visant à renforcer la qualité des données d'une base, son exploitation n'aura aucun intérêt. La plupart des outils de ce domaine savent ainsi comparer les identités entre deux systèmes, et détecter les doublons potentiels. Il s'agit de la fonction la plus simple, les identités étant déterminées par des champs précis et des noms se retrouvant facilement d'une base à l'autre. En revanche, pour ce qui est des produits, les appellations peuvent varier beaucoup plus considérablement. Dans un rapport écrit en mai dernier, Bloor Research indiquait que très peu d'acteurs savaient composer avec cette difficulté. Dans ce domaine, peut-on lire dans le document, Silver Creek Systems « dépasse le reste du marché de la tête et des épaules ». L'éditeur s'est en effet spécialisé dans ce domaine spécifique de la qualité des données, grâce à une technologie d'analyse sémantique. Son plus proche concurrent à cet égard est Zoomix, qui a été racheté il y a un an et demi par Microsoft, pour son offre MDM intégrée à SQL Server 2010. Oracle compte inclure le fruit de son acquisition, DataLens System, à son outil de PIM et quelques autres offres progicielles. Mais cela ne devrait pas changer grand chose pour ses clients, Oracle proposant déjà le logiciel de Silver Creek en OEM. (...)

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