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(21/12/2009 16:15:52)
Trimestriels Oracle : les ventes de licences semblent repartir
Oracle a vu ses ventes de nouvelles licences augmenter de 2%, à 1,65 M$ (28% du CA) sur son deuxième trimestre fiscal, clos fin novembre. Et son président, Charles Phillips, ne s'est pas privé, lors de l'annonce de ces résultats, d'affirmer qu'il s'agissait du quatrième trimestre consécutif sur lequel sa société avait pris des parts de marché à SAP, dans chaque région du monde. Il est vrai que l'éditeur allemand a subi un recul de 31% sur ses ventes de licences au troisième trimestre 2009. Selon Safra Catz, les résultats ont été obtenus sur une base large et non à la seule faveur de gros contrats. « Le contexte économique semble s'améliorer. Nous voyons nettement que les clients recommencent à investir [...] de façon vraiment généralisée ». Effectif : près de 1 300 départs sur le trimestre De septembre à fin novembre, Oracle a par ailleurs enregistré une hausse de 14% sur les revenus issus de sa maintenance et de ses mises à jour de logiciels, à 3,28 M$ (56% du CA). En revanche, le chiffre d'affaires réalisé sur les services a reculé de 15%, à 958 M$. L'éditeur affiche par ailleurs un bénéfice net en hausse de 12%, à 1,46 M$, sur ce deuxième trimestre fiscal. Sur la période, Oracle a encore réduit son effectif, de 1 273 personnes, sans que l'on sache précisément ce qui résulte de licenciements. Il comptait fin novembre 83 366 employés (contre 86 657 l'an dernier à même époque). La présentation des résultats trimestriels a aussi permis à Safra Catz, présidente d'Oracle, d'exprimer son optimisme sur l'issue de l'enquête menée par Bruxelles autour du rachat de Sun. « Nous pensons que la Commission Européenne va autoriser sans condition l'acquisition de Sun en janvier, a-t-elle indiqué. Nous voulons remercier tous nos clients pour le soutien massif qu'ils nous ont apporté à Oracle pendant ce processus. » Exadata : des appliances de datawarehouse qui pourraient rapporter gros Parmi les produits sur lesquels Oracle semble miser dans les mois à venir, la récente gamme Exadata Database Machine, spécialisée dans les applications de datawarehouse, pourrait avoir un impact important. La deuxième version associe des serveurs de stockage Sun au logiciel d'Oracle (la première reposait sur des serveurs HP). « La vente [des appliances Exadata] devrait générer des milliards de dollars, a laissé entrevoir le président Charles Phillips. Sans même compter la redevance annuelle des contrats de maintenance. Mais nous ne pouvons pas encore déterminer à quel moment nous atteindrons ce stade ». Certains clients demanderaient des systèmes multiples. « Le problème que nous rencontrons actuellement se situe au niveau des capacités de production », a expliqué le président d'Oracle. (...)
(21/12/2009 10:20:09)Microsoft dédaigne Hadoop pour son datawarehouse
Un certain engouement se manifeste autour d'Hadoop, plateforme distribuée constituée de sous-projets Open Source (gérés par l'Apache Software Foundation) qui accélère le traitement de volumes très importants de données. Hadoop inclut un système de fichiers distribués et exploite Google MapReduce, framework de développement conçu pour des calculs parallèles et distribués, à opérer sur des bases dépassant le téraoctet de données. Parmi les chefs de file des SGBD, il apparaît que Microsoft et IBM l'abordent de façon assez différente. Tandis que des éditeurs de technologies décisionnelles comme Sybase et Teradata ont adopté sans ambages Hadoop et Google MapReduce, Microsoft, lui, résiste.
« Nous n'avons jamais inséré de code Hadoop dans un de nos produits, confirme le professeur David DeWitt, de l'Université de Madison (Wisconsin), également membre des équipes techniques de Microsoft. Son manque d'intérêt n'a rien de surprenant. Expert en base de données SQL parallèles, il a co-inventé trois d'entre elles. Au printemps, il a co-signé un article qui comparait les différentes approches de l'analyse de volumes importants de données. Il y avançait que les bases de données SQL dépassaient toujours MapReduce sur la plupart des tâches. Il n'a pas changé d'avis : « De nombreux fournisseurs de base de données déclarent qu'ils exploitent Hadoop parce que ce logiciel a du succès, [...] mais les bases SQL s'en sortent toujours très bien ».
David DeWitt dirige à l'Université de Madison un laboratoire qui travaille avec la R&D de Microsoft autour de la technologie de datawarehouse (connue précédemment sous le nom de Projet Madison) qui sera intégrée à la R2 de SQL Server 2008. Selon lui, cette version de SQL Server disposera, grâce à la technologie héritée de DATAllegro, de fonctions analytiques ressemblant à certaines fonctions de MapReduce/Hadoop. Mais David DeWitt reconnaît néanmoins que sur le traitement des requêtes nécessitant un temps d'exécution important, MapReduce est meilleur que SQL. Cette aptitude pourrait amener Microsoft à essayer d'introduire ces fonctionnalités dans la future version de SQL Server orientée datawarehouse.
IBM explore les cas d'utilisation de Hadoop
IBM, l'un des principaux supporters d'Apache, est évidemment très « branché » Hadoop. Anant Jhingran, directeur technique de la division Information Management d'IBM, le reconnaît volontiers. « Je ne prétends pas qu'il constitue la réponse à tout, mais je pense qu'à terme, chaque entreprise va vouloir y recourir, même si je ne suis pas sûr de la forme que cela prendra ». Les entreprises voudront-elles intégrer Hadoop à leur base de données SQL ou dans une appliance de datawarehouse séparée, ou encore sous la forme d'un service Web s'appuyant sur Hadoop comme le fait le service expérimental M2 d'IBM ?
Pour le déterminer, IBM teste des pilotes avec une dizaine d'entreprises clientes et explore cette voie dans sa R&D, explique Anant Jhingran, sans rien vouloir dire, toutefois, sur l'éventuelle présence de fonctionnalités Hadoop dans la prochaine version de DB2 ou d'Informix. Une chose est sûre, a tout de même précisé le directeur technique : Hadoop est mieux utilisé pour des applications émergentes de type Web Analytics, détection de la fraude, ou analyse des données non structurées et semi-structurées, plutôt que pour des applications sur lesquelles les bases relationnelles ont déjà largement fait leurs preuves. (...)
SAP livre un outil de reporting pour piloter sa stratégie de développement durable
Engagé depuis plusieurs mois sur le terrain du développement durable, tant par des actions menées au sein de ses équipes que par la commercialisation de logiciels spécifiques, SAP vient de compléter son offre dans ce domaine. Après la solution EHS (Environment, Health and Safety), livrée en mars dernier pour suivre notamment les contraintes liées à la sécurité sanitaire et gérer les risques, et le logiciel Carbon Impact, proposé en ligne pour calculer ses émissions de gaz à effet de serre, l'éditeur livre cette fois une application de reporting. L'objectif de SAP BusinessObjects Sustainability Performance Management est de faciliter le suivi d'une politique de développement durable en élaborant et en surveillant une série d'indicateurs clés de performances sur les plans économique, social et environnemental. Le logiciel fournit des outils de reporting graphiques et de tableaux de bord. Il permet surtout de rassembler en un seul point toutes les données nécessaires à cette évaluation en s'intégrant avec les logiciels de gestion de SAP, ainsi qu'avec les autres applications. Il peut aussi s'utiliser de façon indépendante. Chaque entreprise adapte ses indicateurs à son activité Charles Zedlewski, responsable de la solution SAP GRC (Governance, Risk and Compliance), considère que le marché est désormais mûr pour aborder cette catégorie d'applications, alors que les entreprises sont amenées de plus en plus souvent à prouver à leurs clients et à leurs actionnaires qu'elles se sont véritablement engagées dans un processus d'amélioration de leurs pratiques. SAP a inclus un jeu d'indicateurs clés dans son logiciel, mais les utilisateurs peuvent également créer leurs propres métriques afin de disposer de mesures adaptées à leur activité (industrie, service...). Le prix de l'offre n'a pas encore été communiqué. Charles Zedlewski évoque néanmoins une tarification plutôt incitative pour favoriser l'adoption de l'outil. Le logiciel a obtenu la certification du GRI (Global reporting initiative), organisation créée à la fin des années 90 qui a jeté les bases d'un cadre pour communiquer sur les données de développement durable. Invité à témoigner lors de l'annonce du produit, un premier client, le fabricant d'imprimantes Lexmark, a notamment précisé qu'il avait pu développer des indicateurs correspondant aux informations qui lui étaient réclamées dans le cadre de projets d'évaluation de performances tels que celui du Dow Jones Sustainability Index. En mai dernier, SAP a lui-même publié son deuxième rapport de développement durable. (...)
(10/12/2009 18:02:13)SAP prévoit à terme d'ouvrir sa plateforme 'on-demand' aux développeurs
A l'occasion de sa conférence Influencer Summit 09, SAP a braqué les projecteurs sur les produits qu'il prépare et sur ses projets en cours pour les cinq années à venir. L'événement a réuni quelque 200 acteurs et utilisateurs clés de la IT, mardi dernier 8 décembre, à Boston. Depuis un certain temps, on sait que l'éditeur allemand oriente notamment ses développements vers les traitements en mémoire (in-memory), les fonctions analytiques intégrées, les applications 'on-demand', les extensions dans le cloud, ou encore les déclinaisons mobiles. Tour à tour, devant les auditeurs de la conférence, se sont ainsi succédé des membres du directoire comme Jim Hagemann Snabe et John Schwarz, respectivement responsables des solutions pour les grandes entreprises et de l'entité BusinessObjects, Vishal Sikka, le directeur technique (CTO), Marge Breya, vice-présidente exécutive, responsable de la plateforme décisionnelle, ou encore John Wookey, vice-président exécutif chargé de développer des solutions 'on-demand'. Sur le terrain du 'on-demand', SAP bâtit par exemple une série de produits à partir d'une plateforme basée sur Java, acquise avec le rachat de Frictionless Commerce, en 2006. Ce dernier avait développé une application en ligne de gestion des relations avec les fournisseurs. Selon John Wookey, SAP pourrait, à terme, laisser accéder à la plateforme de Frictionless d'autres éditeurs ou intégrateurs. Ces derniers pourraient ainsi ajouter des fonctionnalités aux implémentations 'on-demand' de SAP exploitées par certains de leurs clients. L'éditeur allemand souhaite que cela puisse se faire sans contraindre les développeurs à recourir nécessairement aux outils de la plateforme Frictionless. « S'ils souhaitent travailler avec ces outils, c'est très bien, mais ils peuvent aussi vouloir utiliser Python, Ruby ou un autre langage, explique John Wookey. Nous voulons qu'ils puissent se connecter à notre environnement de manière standard. Nous nous concentrons donc sur la façon dont nous pourrions packager des services pour accéder à la Business Suite [et aux données qu'elle gère]. » Cette ouverture de la plateforme 'on-demand' ne se fera pas dans l'immédiat. « Nous voulons livrer nos propres applications avant de supporter d'autres acteurs », a précisé John Wookey. La stratégie on-demand de SAP vise d'abord sa propre base installée qui se verra ainsi proposer des extensions aux applications SAP qu'elle a déployées en interne. Le suivi des frais professionnels et la gestion des ressources humaines seront les premières catégories de solutions proposées sous cette forme. (...)
(08/12/2009 17:40:24)IBM offre les services de Tivoli en ligne aux entreprises de taille moyenne
IBM a décidé de proposer les fonctions de Tivoli, sa solution d'administration de systèmes, sous la forme d'un service hébergé. Cette offre vise les entreprises qui pourraient être davantage tentées par une formule d'abonnement que par le déploiement du produit en interne. Tivoli Live Monitoring Services doit permettre à une équipe informatique de garder l'oeil sur 25 à 500 ressources IT (serveurs, systèmes d'exploitation, machines virtuelles et applications). Sur réception d'une alerte, ils seront avertis qu'une application montre des signes de faiblesse, qu'un serveur risque de manquer de mémoire ou qu'une page Web met un peu trop de temps à s'afficher. Le service Il existera en deux versions. La première a recours à des agents pour surveiller les systèmes d'exploitation, les machines virtuelles et les applications de type base de données ou serveur de messagerie (tels que Microsoft Exchange, par exemple). Elle revient à 58 dollars par mois pour chaque ressource surveillée. La deuxième offre ne comprend pas d'agents. Sa tarification démarre à 44 dollars par ressources et par mois, pour la surveillance d'équipements matériels, d'OS, de sites Web et la gestion d'alertes SNMP. Pour les deux versions, IBM facture des frais de mise en place de 6 500 dollars par client. Disponible dans plusieurs pays, mais pas encore en France En option, le fournisseur propose un service de reporting, pour un tarif mensuel de 15 dollars par ressources. Cet historique des données est utile pour faciliter les opérations de dépannage et prévoir les besoins en ressources. Ce service de surveillance en ligne repose sur les solutions Tivoli Monitoring 6.2.1, Tivoli Monitoring for Microsoft Applications 6.2 et Tivoli Composite Application Manager for Applications 6.2. Bien qu'IBM vienne tout juste de l'annoncer, cette offre de service est en fait opérationnelle depuis le mois dernier aux Etats-Unis, selon un blog interne. Elle est également disponible dans un certain nombre de pays à travers le monde : Canada, Royaume-Uni, Australie, Hong-Kong, Scandinavie... Pour l'instant, elle n'est pas encore accessible en France, mais il est prévu qu'elle soit étendue à davantage de pays en 2010. IBM propose déjà plusieurs de ses produits sur Amazon Web Services et la semaine dernière, il a installé son offre Tivoli Monitoring sur le cloud EC2 d'Amazon afin d'assurer une surveillance de ses logiciels qui s'exécutent sur ce service. Interrogé sur l'offre Tivoli Express déjà proposée par ailleurs aux PME, IBM a reconnu qu'il n'avait peut-être pas fait aussi bien qu'il aurait voulu. Pour Michael Coté, analyste de RedMonk, l'un des défis pour IBM sur son offre Tivoli, c'est effectivement de pouvoir descendre dans des entreprises de taille moins importante. Parmi les petits éditeurs offrant déjà des services de monitoring des ressources IT en ligne figurent des acteurs comme Accelops, InteQ, et ManageEngine (entité de Zoho). Microsoft et BMC Software développent aussi des services. (...)
(04/12/2009 15:34:01)Constellation, le projet de BI collaborative de SAP
Sous le nom de Constellation, SAP prépare une application collaborative d'aide à la décision, qui se présenterait comme une « salle d'opérations » virtuelle ('war room'), cellule de veille où l'on partage des informations pour engager des actions dans la foulée. Cette application associera un outil accessible dans le cloud, depuis un navigateur Internet, et des composants installés en interne dans l'entreprise. C'est ce qu'a récemment expliqué David Meyer, vice président responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, lors d'une présentation sur le Web à certains membres très impliqués de la communauté SAP. L'outil qui doit fonctionner dans le cloud est actuellement en test bêta privé sous le nom de code 12Sprints. On peut s'enregistrer sur le site qui lui est consacré pour le découvrir.
En mai dernier, à l'occasion de la conférence utilisateurs Sapphire d'Orlando, le PDG de SAP, Léo Apotheker, avait lui-même évoqué, le développement de Constellation, en décrivant une application combinant des fonctions de business intelligence et des outils de type Web 2.0. On en sait maintenant un peu plus. David Meyer a montré comment des utilisateurs pouvaient collaborer en temps réel autour d'un problème donné en s'appuyant sur différents outils d'aide à la décision et de gestion de projets. « Il ne s'agit pas seulement d'un espace de discussion, explique-t-on sur le site 12Sprints.com. On rassemble les personnes concernées par un dossier, on leur présente les données correspondantes et l'on choisit les actions à mener avec l'aide d'outils interactifs intégrés. »
Lors de sa présentation, David Meyer a par exemple déroulé un scénario utilisant la méthodologie Swot (strengths, weaknesses, opportunities, threats) consistant à définir une stratégie en analysant conjointement les forces, faiblesses, opportunités et menaces associées à une situation.
Idéalement, de 5 à 30 personnes peuvent intervenir dans l'un de ces groupes de travail. Mais l'éditeur allemand a prévu de fournir les moyens de publier des activités vers des wikis, ou vers d'autres plateformes comme SharePoint afin de toucher une audience plus large, a précisé David Meyer. Quant aux composants de Constellation situés hors du cloud, qui en sont à un stade de développement moins avancé, ils permettront aux utilisateurs de puiser de façon sécurisée et à partir d'un seul point, dans les différents entrepôts de données et contenus non structurés de l'entreprise.
Une ouverture prévue vers Google Wave [[page]]
Un cadre ouvert mais contrôlé
Parmi les applications possibles, David Meyer a cité notamment les processus de décisions d'achat qui se règlent aujourd'hui par téléphone, avec une déperdition d'informations et de connaissance. Sur le plan de la sécurité, Constellation offre un cadre ouvert mais contrôlé. Les utilisateurs pourront travailler comme ils l'entendent, mais un contrôle sera opéré sur la façon dont les choses se passent pour corriger certains points, un risque de fuite de données par exemple. « On pourra empêcher certaines actions », a précisé David Meyer. La tarification de Constellation est toujours à l'étude. Néanmoins, on sait déjà que l'offre devrait comporter trois volets. Il y aura une option gratuite, qui donnera accès à un nombre limité d'activités, et deux versions payantes. Des portions de code seront fournies pour connecter les logiciels BI de BusinessObjects à Constellation. En complément, les utilisateurs de SAP ERP depuis la version 4.6c pourront afficher des contenus vers Constellation dans le cadre de réunions virtuelles.
Une boutique d'applications et une intégration avec Google Wave
David Meyer a également indiqué que SAP prévoyait de créer pour cette plateforme une boutique d'applications sur laquelle les développeurs pourront mettre en vente les méthodes ou les intégrations spécifiques qu'ils auront mises au point. Constellation peut s'adapter à de nombreuses technologies. « Vous pouvez développer dans n'importe quel langage, a affirmé David Meyer. Un peu comme pour un Facebook. » SAP planche aussi sur l'intégration de Constellation à des plateformes de collaboration comme Google Wave. « Il est évident que nous avons besoin de travailler ensemble, a confirmé David Meyer. Il sera possible de partager des contenus entre nos plateformes. » En octobre dernier, SAP Research avait déjà montré une application exploitant Google Wave, baptisée Gravity. Créée avec l'équipe de développement de SAP Netweaver, celle-ci permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises. Dès janvier prochain, SAP en dira davantage sur Constellation. L'outil destiné au cloud sera disponible au cours du premier semestre. La partie hors cloud devrait entrer en version bêta en avril et être livrée courant 2010. (...)
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