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(30/06/2009 12:49:58)

SAP vise une marge opérationnelle de 35% en 2014

SAP projette d'atteindre les 35% de marge opérationnelle dans cinq ans. Cette indication, consignée dans un document interne à la société, ne constitue en rien une prévision, a précisé à Reuters un porte-parole de l'éditeur allemand d'ERP. Augmenter sa marge opérationnelle de façon significative a toujours constitué l'un des objectifs de SAP et l'éditeur a plusieurs fois indiqué qu'il visait les 35% mais sans préciser à quelle échéance, rappelle Reuters. Sur l'année 2008, la marge opérationnelle de SAP s'est élevée à 24,6% de son chiffre d'affaires (contre 26,7% en 2007). Elle se situe pour l'instant bien au-dessous de celle de ses concurrents directs Oracle et Microsoft. Ce dernier a réalisé l'an dernier une marge de 37,2 % (exercice clos fin juin 2008). Quant à Oracle, il vient d'achever son exercice fiscal sur une marge opérationnelle de 51% ! (quatrième trimestre fiscal, non GAAP). Sur 2009, SAP prévoit toujours de réaliser entre 24,5% et 25,5% de marge opérationnelle. (...)

(29/06/2009 16:30:07)

IBM décline en France ses services autour des projets décisionnels

IBM diversifie ses angles d'approche des projets décisionnels avec une offre de services spécifique au sein de sa division GBS (Global Business Services). Baptisée Business Analytics and Optimization (BAO), soit en français « pilotage et optimisation des performances par l'analyse d'indicateurs métiers », cette offre implique 4 000 personnes dans le monde. Sur l'Hexagone, elle se concentre sur une centaine de personnes, consultants, architectes, experts en décisionnel. A la tête de cette équipe, Wilfrid Guerit met en avant la capacité de s'appuyer sur des actifs déjà constitués par IBM sur d'autres projets décisionnels. Il s'agit d'actifs « au sens large », à la fois capital immatériel et développements spécifiques pour un client, sur lesquels IBM a gardé la propriété intellectuelle, et qui peuvent être répliqués dans d'autres entreprises ou administrations aux métiers comparables (la gestion de la fraude, le suivi des dossiers de crédit, les déclarations de sinistres, la gestion du trafic routier...). L'accès aux expertises internes disponibles au niveau mondial est facilité par les outils de collaboration mis en place par Big Blue depuis plusieurs années, en particulier l'intranet BluePages et le réseau social Small Blue. Une organisation qui permet de « faire gagner du temps et de l'argent aux clients », résume Wilfrid Guerit en rappelant aussi la possibilité, pour les équipes BAO, de faire appel à la R&D d'IBM. IBM intègre son offre avec celle de ses concurrents Cette offre de services axée sur le décisionnel est évidemment soutenue par la division software. Celle-ci regroupe l'ensemble des solutions logicielles d'IBM, notamment celles acquises ces dernières années dans le domaine de l'analyse de données. IBM a directement participé au mouvement de concentration du secteur de la BI (business intelligence) en rachetant le Canadien Cognos, puis le Français Ilog et ses outils de gestion des règles métiers. Les solutions de gestion de contenu précédemment rachetées avec Filenet complètent l'offre. Big Blue est donc plutôt bien placé sur un marché du décisionnel qui pâtira moins de la crise que d'autres secteurs du logiciel cette année. IDC prévoit notamment en France une progression de 5,9% à 545 M€, sur les solutions et services BI. C'est toutefois un terrain sur lequel évoluent d'autres poids lourds du logiciel et de la BI, SAP/Business Objects, Oracle/Hyperion et Microsoft, ainsi que des spécialistes, comme SAS, Teradata ou MicroStrategy. Dans ce contexte, l'équipe BAO d'IBM compte agir avec pragmatisme et n'hésitera pas, sur le terrain, à intégrer ses produits avec ceux de ses concurrents. « Pourquoi remettre en question des produits qui donnent satisfaction », admet Henri Thouvenin, responsable des solutions Information Management de la division IBM Software Group France. Il présente comme une évidence la nécessité, pour IBM, de rester agnostique vis-à-vis des produits et de s'appuyer, au cas par cas, sur des solutions partenaires (comme par exemple, en France, la plateforme de marketing multicanale de Neolane). L'équipe BAO s'inspirera donc de ce qui est déjà en place chez le client pour lui proposer des solutions et elle bénéficiera des expertises mises à disposition par la division Software, par exemple pour l'élaboration d'indicateurs métiers très spécialisés. L'offre de services peut être décomposée en cinq volets. Elle comporte d'abord une approche stratégique du projet décisionnel, puis se décline sur quatre axes applicatifs : les outils de pilotage de la performance (issus de l'offre Cognos), les solutions analytiques avancées (outils de datamining, technologies issues du rachat d'Ilog), la gestion de l'information (qualité des données, gestion des données de références -MDM) et, enfin, la gestion de contenus (offre FileNet). Un ensemble d'applications qui reposent sur une architecture orientée services (SOA), souligne Henri Thouvenin. (...)

(25/06/2009 15:58:59)

Annuels : Oracle résiste mieux à la crise que prévu grâce à la maintenance

Wall Street a apprécié les résultats du dernier trimestre d'Oracle. L'éditeur, aussi talentueux dans la vente de ses produits que dans sa communication financière, a annoncé un CA en baisse de 5% à 6,86 Md$, assorti d'un résultat net en recul de 4% à 1,9 Md$. Deux chiffres supérieurs aux prévisions des boursiers qui se régalent toujours des 51% de marge opérationnelle du groupe. De plus, sans les effets de change, Oracle aurait vu son net progresser de 9%. Sur l'année, le CA progresse de 3,7%, à 23,25 Md$ et le net de 1%, à 5,6 Md$. Oracle résiste donc plutôt bien à la crise, en grande partie grâce aux revenus récurrents que lui rapporte la maintenance de sa base installée : 3 Md$, +8% (44% du CA) sur son dernier trimestre. En revanche, dans le même temps, il enregistre une baisse de 13% de ses ventes de nouvelles licences à 2,7 Md$ (44% du CA). Ses dirigeants se focalisent sur la meilleure façon de réussir l'intégration de Sun, dont le modèle économique est nettement moins rentable que celui d'Oracle. Ce dernier est spécialiste des absorptions - depuis 2005, il a dépensé 30 Md$ pour acquérir 55 autres éditeurs. Celle de Sun est un nouveau défi que Larry Ellison relève déjà avec sa fougue habituelle. Il a ainsi consacré la moitié de son temps de parole à faire l'apologie de la "Database Machine". Ce système tout-en-un, lancé fin 2008, se compose de logiciels Oracle, de serveurs HP et du système de stockage Exadata. Le message est clair : cette Database Machine indique le sens dans lequel Oracle travaille à l'intégration de Sun. Si l'on s'intéresse aux lignes de produits, le quatrième trimestre a été marqué par une baisse des ventes de licences SGBD et middleware de 10%, à 1,9 Md$, alors que celles pour les applications ont enregistré une chute de 19%, à 805 M$. Le groupe revendique 32 000 clients. Au cours du quatrième trimestre, le CA réalisé en Europe a baissé plus nettement (-10%) que le CA global. Contrairement aux Etats-Unis, où les ventes de SGBD et de middleware ne baissent que de 9% et les ventes d'applications de 25%, ce sont les ventes de SGBD et de middleware qui baissent plus en Europe (-14%) que celles d'applications (-11%). (...)

(24/06/2009 11:32:09)

MicroStrategy ose une version gratuite de sa plateforme décisionnelle

MicroStrategy, acteur historique du secteur de la BI (business intelligence), cherche à entrer dans les entreprises par la petite porte, en proposant désormais une version gratuite de sa plateforme décisionnelle MicroStrategy 9. Il est vrai que, depuis un an ou deux ans, les éditeurs traditionnels de ce type d'environnements sont fréquemment concurrencés sur les projets départementaux par des éditeurs comme QlikTech ou Spotfire proposant des solutions souvent plus rapides et moins coûteuses à déployer. Proposé au téléchargement, le produit MicroStrategy Reporting Suite est donc bien destiné à des applications « départementales » au sein des entreprises. Son installation est limitée à un CPU et le déploiement des outils de consultation des rapports et d'analyse (Web Reporter et Intelligence Server) à 25, 50 ou 100 utilisateurs. L'offre rassemble des logiciels pour créer des rapports, manipuler et analyser les données, afficher des représentations graphiques et effectuer des requêtes ad hoc. Elle comporte aussi deux licences pour des développeurs (MicroStrategy Desktop et Architect) et deux licences destinées à des utilisateurs avancés, à choisir parmi une liste d'autres applications. Dans cette liste figurent notamment MicroStrategy OLAP Services pour procéder à des analyses multidimensionnelles en mémoire (in memory) sur les postes de travail, ou encore MicroStrategy Mobile pour l'accès aux données depuis un terminal Blackberry. Un passage obligé par la case formation Pour exploiter cette plateforme BI, il faudra bien sûr passer par la case formation. L'intérêt de cette offre gratuite étant de permettre à l'entreprise de vérifier à moindre coût que l'outil peut convenir à ses besoins. L'éditeur fournit, pour deux contacts nommés, une formation par courriel sur une période de 60 jours. Il la complète avec une assistance en ligne. Si une entreprise, souhaitant aller plus loin avec la solution, choisit de souscrire à un service de support payant, ses licences pourront être converties vers la version supérieure de la plateforme BI, c'est-à-dire vers MicroStrategy 9 Departmental. Cette déclinaison du produit inclut en particulier des services de clustering. Elle peut s'installer sur deux CPU et comporte un kit de développement. Sur l'année 2008, MicroStrategy a représenté 3,2% du marché mondial de la Business Intelligence, selon Gartner, la première place étant détenue par SAP (23,8%), devant SAS (14,6%), Oracle/Hyperion (14,6%), IBM/Cognos (11,3%) et Microsoft (7,7%). (...)

(22/06/2009 14:56:32)

SQLI muscle son pôle formation avec le rachat d'Aston Education

Le pôle formation de SQLI s'agrandit avec le rachat d'Aston Education, un spécialiste des technologies Microsoft basé à Bagneux et à Boulogne-Billancourt. Ce rachat, d'un montant de 1,8 M€, permet à la SSII française d'enrichir son catalogue de formations de 200 cours supplémentaires, qui recouvrent diverses technologies comme le décisionnel, le Web 2.0, les ERP, l'Open Source, le SaaS, le Cloud Computing, Java et Microsoft. « Nous avons sélectionné Aston Education pour son expertise dans la gestion des formations et aussi parce qu'elle est la seule société à être agréée par Microsoft en France pour délivrer des formations concernant l'ensemble de l'offre de l'éditeur, des logiciels les plus basiques aux solutions les plus pointues (comme Sharepoint) », explique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier de SQLI. Les deux dirigeants d'Aston Education, Marc Augier et Jean-François Castelluccia, prennent la tête de SQLI Institut, le pôle formation du groupe. Cette entité compte désormais 200 consultants (dédiés, comme le veut le modèle économique de SQLI, ou occasionnels, comme le pratique Aston Education en faisant appel à des prestataires externes) et devrait réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 7 M€ en 2009. La SSII possède désormais douze centres de formation en France et en Suisse. Malgré un contexte économique difficile (résultat net en recul de 40% en 2008), la SSII maintient sa politique de croissance externe et réalise sa treizième acquisition depuis 2005. D'ici à la fin de l'année, SQLI n'exclut pas la possibilité de procéder à d'autres opérations pour se renforcer sur des marchés verticaux comme SAP (un pôle que la SSII a récemment agrandi avec l'intégration de Naga Conseils), la santé (plus particulièrement l'informatisation des processus de soins en hôpital) et le MCO (maintien en conditions opérationnelles), qui s'adresse essentiellement aux secteurs militaire, de l'énergie et du nucléaire. Pour l'ensemble de l'année, la SSII table sur un léger repli de son chiffre d'affaires. Au premier trimestre 2009, le CA (qui n'inclut pas Naga Services) s'établit à 38,9 M€, en baisse de 2,7% sur un an. (...)

(18/06/2009 12:44:24)

SAP soutient l'action de Planet Finance auprès des institutions de micro-crédit

SAP a décidé d'apporter son savoir-faire technologique à Planet Finance, l'association créée par Jacques Attali il y a dix ans pour soutenir les acteurs du micro-crédit dans le monde. Pour l'éditeur de logiciels de gestion, il ne s'agit pas d'une action localisée mais d'un partenariat globalisé, sur trois ans, qui va inclure l'ensemble de la communauté SAP. C'est le PDG de la société, Léo Apotheker, qui l'a annoncé hier mercredi 17 juin à Paris, conjointement avec l'ancien conseiller du président François Mitterand. Depuis plusieurs mois, le fournisseur d'ERP affiche sa volonté de s'impliquer sur les questions de développement durable, tant au travers de ses logiciels que par la réduction de son empreinte carbone. Cette fois, il veut participer à des actions sociales menées contre l'extrême pauvreté et contribue à un premier projet en Afrique, dans le nord du Ghana, visant à améliorer le revenu des producteurs de beurre de karité. « En travaillant avec les opérateurs mobiles, nous espérons améliorer la chaîne de valeur qui va du récoltant aux grands acheteurs internationaux, expose Léo Apotheker. Nous pouvons apporter des pratiques de gouvernance, des programmes d'éducation et de formation ». L'engagement financier et technologique de SAP aux côtés de Planet Finance comporte en fait trois volets. Redévelopper le logiciel de gestion de dossiers de crédit Pour commencer, d'ici fin 2009, l'association disposera pour ses propres processus de gestion d'une suite intégrée (gestion financière, des ressources humaines, des projets et des connaissances, ainsi que fonctions décisionnelles), fournie gratuitement par l'éditeur. Active dans une soixantaine de pays, l'organisation de Jacques Attali dispose en effet d'un réseau international de 38 bureaux. Ensuite, SAP va aider à redévelopper le logiciel Microfit que l'association propose aux institutions de micro-finance (de moyenne et grande taille) pour gérer leurs dossiers de crédit. Cette future version devrait être fournie en mode SaaS (software as a service) pour en réduire le coût d'accès. Ce sont très probablement les équipes des offres en ligne SAP Business ByDesign et SAP on-demand qui plancheront sur ce sujet. « L'un des facteurs bloquants de la micro-finance, c'est le taux d'intérêt », explique Jacques Attali. Le micro-crédit coûte cher car il implique de nombreuses interventions. « L'impact des nouvelles technologies permettra de réduire le taux d'intérêt. Il faut permettre aux plus petites institutions de micro-finance de réduire leur frais de fonctionnement. » En optimisant les processus de gestion des dossiers de prêt. Doper l'activité à la base de la pyramide économique [[page]]Enfin, dans le troisième volet du partenariat, SAP s'illustre, comme de nombreux autres grands acteurs des TIC, par la participation à des projets concrets de développement d'entreprises dans les pays pauvres. Le projet mené au Ghana est un programme pilote qui sera porté à une plus large échelle en cas de succès. « C'est l'un des pays les plus prometteurs d'Afrique, affirme Jacques Attali. La moitié de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté, mais cette proportion est beaucoup plus élevée dans d'autres pays. » 90% des femmes de la région nord ramassent des noix de karité. L'objectif du programme est de permettre à ces femmes de se constituer en groupe et de se former pour organiser efficacement la récolte, la transformation et la vente du beurre de karité servant en cuisine et en cosmétologie. Chaque groupe sera équipé d'un téléphone portable pour s'informer sur les cours du marché des produits, faciliter le suivi du négoce et s'affranchir ainsi des intermédiaires manquant de sérieux. « Vis-à-vis des femmes, les intermédiaires captent la richesse sans apporter de valeur, explique Léo Apotheker. Nous voulons aider ces femmes à mieux vendre leurs produits en s'organisant de manière un peu plus industrielle. L'un des moyens que nous avons pour le faire, c'est la technologie. » Le PDG de SAP rappelle les progrès réalisés en Afrique, depuis plusieurs années, sur l'infrastructure de téléphonie mobile. « On va s'appuyer sur cette infrastructure pour permettre aux acteurs économiques locaux de prospérer. Notre partenariat vise à fournir les moyens pour doper l'activité à la base de la pyramide économique. » Le dirigeant veut néanmoins « rester modeste ». « Nous démarrons par un projet pragmatique qui peut améliorer la situation de personnes qui sont dans la pauvreté absolue ». SAP aimerait entraîner son écosystème à sa suite SAP a également l'ambition d'entraîner l'ensemble de son écosystème dans son sillage, sous diverses formes « dons, fourniture d'expertise... ». S'il est encore trop tôt pour évaluer l'enthousiasme des partenaires, Léo Apotheker constate qu'il y a beaucoup d'engouement autour de ce projet. « Il y a 1,4 million de personnes dans notre communauté. Si nous parvenons à susciter leur intérêt, nous aurons créé une belle vague. » Le PDG de SAP rappelle qu'il compte parmi ses clients les toutes premières entreprises d'agro-alimentaires et de cosmétiques. « Toutes veulent un modèle plus responsable. Et nous sommes capable d'être l'intermédiaire entre ces grandes entreprises et les petites pour augmenter la chaîne de valeur ». Interrogé sur le montant de l'effort financier consenti par SAP dans son partenariat avec Planet Finance, Léo Apotheker n'a pas souhaité répondre. Il se contente de renvoyer sur le rapport publié en mai par sa société où figure le montant des sommes investies dans les projets de responsabilité sociale (rubrique Corporate Social Responsability). Jacques Attali, de son côté, assure que « la somme est conséquente ». (...)

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