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(29/07/2009 11:56:30)

IBM acquiert le spécialiste du datamining SPSS pour 1,2 Md$

Le partenariat qu'IBM a noué - et annoncé le mois dernier - avec SPSS a dû tellement plaire au géant qu'il a finalement décidé de racheter le spécialiste du datamining. IBM a offert 50$ par action, soit un bonus de 42%, et un montant total de 1,2 Md$. La technologie d'analyse prédictive de SPSS venait tout juste d'être incluse dans les outils décisionnels de Big Blue. SPSS (Statistical Package for the Social Sciences) a été fondée en 1968 par des étudiants de l'université de Stanford, frustrés de ne pas avoir d'outil informatique sous la main pour analyser des données. Aujourd'hui, avec un logiciel comme Text Analysis for Surveys, SPSS est capable de tirer des enseignements de réponses libres à un questionnaire ; il constitue de ce point de vue un atout indéniable pour améliorer une gestion de la relation client (GRC/CRM). IBM veut également mettre en avant ses possibilités d'analyse prédictive pour aider des clients à détecter des événements (par exemple des fraudes) avant qu'ils ne se produisent. IBM s'est lancé sur le marché du décisionnel en 2007 avec le rachat de Cognos (pour 5 Md$ de dollars), qui répliquait aux acquisitions de BO par SAP et d'Hyperion par Oracle. En mai dernier, il a complété son offre avec une technologie de découverte et de réconciliation des données, en rachetant les actifs d'Exeros. Il a également mis en place une offre de services spécifique, baptisée Business Analytics and Optimization (BAO), qui compte quelque 4 000 personnes dans le monde. IBM a annoncé son intention de vendre et de supporter les produits de SPSS au sein de sa division Information Management après la conclusion de la transaction, qui devrait intervenir vers la fin de l'année. (...)

(16/07/2009 12:05:23)

Le marché mondial du CRM en croissance à deux chiffres

Le marché des logiciels de gestion de la relation client (CRM) n'est, pour l'heure, guère affecté par la crise. En témoignent les chiffres dévoilés par le cabinet Gartner, selon lequel les revenus issus du marché mondial du CRM ont atteint 9,15 Md$ en 2008, soit 12,5% de plus que l'année précédente. « En dépit de la volatilité du marché financier, note Sharon Mertz, directrice de recherche pour le Gartner, le marché mondial du CRM enregistre sa cinquième année consécutive de croissance à deux chiffres, profitant de ce que les entreprises ont continué à investir dans des solutions pour tous les segments d'activité. » Les revenus globaux de la gestion de la relation client reposent pour une large part sur des applications diffusées sur le mode Saas (Software as a service, services applicatifs accessibles en ligne). Elles représentent désormais 20% du marché total, contre 15% en 2007. Au palmarès des éditeurs, SAP reste campé sur la plus haute marche, avec 22,5% de parts de marché. L'éditeur allemand devance Oracle (16,1%), Salesforce (10,6%), qui s'appuie exclusivement sur le Saas, Microsoft et Amdocs. Si le Gartner table sur une évolution globale du marché qui restera positive en 2009, il anticipe néanmoins une progression moins fulgurante avec un taux de croissance ramené à un chiffre « en raison de l'incertitude économique persistante ». (...)

(13/07/2009 18:59:02)

Annuels Lawson Software : ventes de licences en baisse en Europe

Lawson Software a achevé son année fiscale le 31 mai 2009 sur un chiffre d'affaires de 757,3 M$, en recul de 11% par rapport à l'an dernier (chiffres non audités). L'éditeur américain de progiciels de gestion (ERP) a subi sur son dernier trimestre une baisse de 20% de son chiffre d'affaires. Il dit avoir souffert des variations de taux de change. A taux constant, son chiffre d'affaires annuel aurait reculé de 6% et celui du quatrième trimestre, de 12%. Les revenus générés par les licences ne pèsent que 14,5% du chiffre d'affaires annuel, contre 46,2% pour ceux de la maintenance et 39,2% pour ceux du conseil et des services. Lawson enregistre sur ses ventes de licences une baisse de 17% sur l'année, à 109,68 M$, et de 19% sur le dernier trimestre, à 33,6 M$ (-12% à taux de change constant). Il invoque une baisse des ventes auprès des industries de fabrication sur la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Rappelons que l'Américain Lawson a racheté en juin 2005 l'éditeur suédois Intentia et son ERP Movex, rebaptisé ensuite Lawson M3, bien implanté en Europe et en France, en particulier dans l'industrie, l'agro-alimentaire et la mode. Sur ses revenus issus de la maintenance, Lawson fait état d'une baisse de 4% au dernier trimestre, à 85 M$. Ceux du conseil et des services chutent de 34%, à 67,9 M$. Toutefois, Lawson affiche un bénéfice net de 9,8 M$ sur le trimestre, contre 3,7 M$ l'an passé, en raison notamment de la révision à la baisse d'une provision pour dépréciation, d'une réduction de ses dépenses opérationnelles (marketing, administratives, R&D...) et d'une hausse de sa marge brute de 2 points, à 55%. La marge opérationnelle tourne autour de 6%. D'ici fin août, sur le premier trimestre de son nouvel exercice, l'éditeur prévoit un chiffre d'affaires situé entre 160 et 165 M$. L'éditeur a déjà procédé à deux vagues de réductions de postes depuis le début de la crise économique, 200 en novembre 2008 et 150 en mai dernier. (...)

(09/07/2009 17:16:48)

Licences logicielles : Forrester renforce sa charte des droits du client

Forrester vient de mettre à jour la « charte des droits des titulaires de licences logicielles » qu'il a établie en 2006 pour servir de base aux négociations menées par les entreprises avec les éditeurs lors de leurs achats de logiciels (*). Le cabinet d'études a jugé nécessaire d'ajouter onze droits à sa liste pour tenir compte, notamment, des nouveaux modes de commercialisation qui se développent ou s'annoncent, en particulier le mode Software as a service (Saas), les plateformes de développement en ligne (Paas), le cloud computing, les services managés et la virtualisation. La version 2 de la charte comporte au total 47 articles passant en revue les droits de base de l'acquéreur sur une dizaine d'années, depuis la prise de contact avec le fournisseur jusqu'à la fin de vie du produit. Les articles sont répartis en six rubriques : les règles d'engagement générales, la sélection du logiciel, la mise en place, l'utilisation, la maintenance et l'arrêt de la commercialisation. Parmi les dispositions déjà listées figuraient des dispositions aussi évidentes que la courtoisie montrée au client, l'obligation de fournir le contrat de vente dans son intégralité, le choix libre de l'intégrateur, la définition du niveau de service (SLA), le paiement en fonction de l'usage réel ou encore l'accès illimité au support en cas de sinistre. Mode SaaS : des garanties en cas de faillite du vendeur Les onze droits supplémentaires ont été ajoutés par Forrester après un sondage mené auprès d'une centaine d'utilisateurs et de 71 fournisseurs. Il s'en dégage quatre thèmes, constate Ray Wang, l'analyste qui a conduit l'étude : le support des nouvelles options de déploiement, les réductions de coût qu'il sera possible d'obtenir au-delà de l'actuelle récession, une indépendance renforcée vis-à-vis du vendeur et la possibilité pour le client d'intervenir davantage sur les bonnes pratiques. Les acheteurs doivent pouvoir bénéficier, par exemple, des réductions de coûts apportées par les technologies de virtualisation. A l'inverse, les entreprises choisissant le mode Saas doivent légitimement obtenir des garanties pour accéder au logiciel en cas de faillite du vendeur. Parmi les nouveaux droits inclus par Forrester figure aussi la nécessité d'indiquer précisément au client l'ensemble des fonctionnalités standards du logiciel, en renseignant sur celles qui nécessitent une personnalisation. Sur les questions de maintenance enfin, Forrester juge que le client devrait pouvoir choisir de recourir au support uniquement sur certains modules de l'application. En fin de vie du produit, le fournisseur devrait fournir un autre type de support, moins coûteux. Enfin, le cabinet d'études estime indispensable que l'entreprise puisse accéder à des programmes lui permettant de migrer sans douleur vers la nouvelle version. (*) Enterprise Software Licensee's Bill of Right (...)

(08/07/2009 11:26:27)

Fin de bêta pour Gmail et les Google Apps

Après 5 ans, Google a annoncé le mardi 7 juillet que son service de messagerie en ligne n'est plus à l'état de bêta. Google Agenda, Google Docs et Google Talk ont eux aussi été débarrassés de leur étiquette bêta mardi, alors que Google mettait à jour les éléments de sa suite GAPE (Google Apps Premier Edition) vers un statut 'produit fini'. Pour autant, produit fini ne veut pas dire développement terminé. « Vous continuerez à voir ces applications évoluer et se doter de nouvelles fonctionnalités, mais ces dernières seront testées de manière très approfondies avant d'être implémentées », précise Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. C'est au niveau entreprise que ce changement pourrait avoir le plus d'impact, l'étiquette bêta en refroidissant plus d'une. « Pour beaucoup trop d'entreprises intéressées commercialement par Gmail, la mention 'bêta' était comme un néon qui clignotait 'Amateur, amateur'... fait remarquer Matt Cain, analyste Gartner. Les entreprises ne veulent pas mettre les parties les plus critiques de leur communications sur un code bêta. Supprimer cette étiquette enlève l'un des plus gros obstacles qui empêchaient encore Google de s'attaquer aux entreprises. » Gmail et Google Agenda disposent depuis 6 mois d'un support hors-ligne, d'un accès BlackBerry, de l'intégration des listes de contacts et de la synchronisation avec le logiciel Outlook. D'un point de vue sécurité, l'acquisition de Postini en 2007 répond au besoin des entreprises. Google y ajoute aujourd'hui des fonctionnalités à but professionnel, telles que la réplication de messages. Dans les semaines à venir, il sera possible de déléguer son compte mail à des assistants, et de mettre en place des politiques de conservation de mails. Ces nouvelles fonctionnalités n'auront pas de conséquences sur le prix actuel de GAPE (50 dollars par utilisateur). « Bien qu'ayant commencé un peu lentement dans le marché de l'e-mail commercial, Google apprend vite et prend de l'inertie. Dans 2 ans, ça sera un vrai, crédible et agressif concurrent pour Microsoft et IBM », estime Matt Cain. (...)

(07/07/2009 12:23:29)

SQLI se convertit au SaaS avec son offre de dataroom électronique

Destinée aux secteurs de la finance et de l'immobilier, l'offre de dataroom électronique de SQLI est désormais proposée en mode SaaS. Plusieurs formules de location ou d'abonnement sont déclinées pour accéder en ligne à une ou plusieurs salles virtuelles adaptées à la mise à disposition sécurisée de documents confidentiels. Ces datarooms en ligne sont par exemple utilisées par les banques d'affaires, les cabinets de conseil, les études notariales ou les fonds d'investissement dans le cadre d'opérations de fusion/acquisition, de cessions d'actifs immobiliers, d'appels d'offres, de LBO, etc. Il est possible de stocker, dans un de ces espaces sécurisés, de 1 000 à 50 000 documents, voire davantage, pour faciliter les échanges d'informations entre des vendeurs et des acquéreurs potentiels. Pour encadrer son entrée sur le marché des solutions en ligne, « SQLI a constitué en début d'année une agence SaaS qui travaille de manière transversale pour le groupe », explique Olivier Larribe, directeur du développement Solutions SaaS. La SSII française compte développer d'autres offres en ligne, pour ses propres besoins ou pour le compte de tiers. La mise à disposition d'une salle virtuelle en 48h La transposition de l'offre de dataroom vers le mode SaaS s'est faite en deux temps. Il y a eu d'abord une refonte ergonomique du logiciel, puis l'application a été portée dans une architecture multitenant. « L'application a fortement évolué. Les projets de dataroom se gèrent sur un seul écran, en utilisant notamment des fonctionnalités de glisser/déposer », détaille Olivier Larribe, précisant que le client peut désormais gérer seul des fonctions qui nécessitait auparavant une intervention de la SSII : ajouter des rubriques ou des dossiers, créer de nouveaux utilisateurs, ajouter des documents, ouvrir une dataroom pour un intervenant pendant une période déterminée, ou bien la désactiver. La mise à disposition d'une salle virtuelle se fait en 48 heures dès que le client a fourni l'arborescence des rubriques qu'il souhaite voir apparaître et précisé le nombre d'utilisateurs. Pour 3 990 euros HT, on accède pendant trois mois à une dataroom où peut être chargé un nombre illimité de documents. Le tarif est dégressif pour trois ou cinq projets. Quant à la formule d'abonnement, elle permet d'utiliser un nombre illimité de datarooms sur six ou douze mois, pour 3 750 €HT ou 3 250 €HT par mois. « Le client peut également acheter les sources de l'application pour l'installer en interne », rappelle Olivier Larribe. (...)

(06/07/2009 15:38:15)

Après un an de négociations, l'évaluation de la maintenance SAP est enfin sur les rails

Le dispositif qui va mesurer les services de maintenance fournis par SAP se met en place en France. L'USF, le club des utilisateurs SAP francophones, l'a confirmé vendredi dernier 3 juillet. Ce programme résulte du compromis trouvé en avril par SAP avec ses clients, après plusieurs mois de discussions, à la suite du mécontentement provoqué par l'instauration d'un contrat de maintenance unique au tarif majoré. L'Enterprise Support, en vigueur depuis le 1er janvier 2009 pour tous les clients, correspond à 22% du prix déboursé pour les licences logicielles alors que certaines entreprises se contentaient jusque-là d'un contrat Basic à 17%. L'accord trouvé entre SAP et ses utilisateurs a débouché sur un étalement de la hausse du tarif sur sept ans (pour les entreprises qui ne l'avaient pas déjà fixé contractuellement). Chaque tranche d'augmentation est conditionnée à la réussite d'objectifs de performances mesurés par un système d'évaluation de la qualité du service de l'Enterprise Support. Celui-ci s'appuiera sur 11 indicateurs clés de performance (KPI) à partir des données issues de l'outil de supervision Solution Manager. Cent entreprises au total ont accepté de participer à ce benchmarking, dont 43 en Europe, parmi lesquelles, en France, sept entreprises adhérentes de l'USF. Air France, Aelia et les Fromageries Bel figurent au nombre de ces clients français (les autres ne souhaitent pas être cités). Les mesures seront effectuées par un cabinet « neutre », qui n'est pas encore choisi. Elles concernent quatre thèmes : continuité d'activité, amélioration des processus métier, innovation/protection des investissements effectués dans SAP (notamment en terme d'évolutions des versions), et enfin coût total de possession. « Les dirigeants de SAP croient dans leur produit et ils veulent prouver aux clients qu'ils ont raison en y mettant les moyens, à l'allemande », constate Jean Leroux, DSI d'Aelia et président de l'USF. « Il convient cependant de rester vigilant car, d'une part, il faut s'assurer que les sociétés membres de l'échantillon de référence ne bénéficient pas d'un traitement de faveur [l'USF peut aussi lancer ses propres mesures au sein de ses membres] et, d'autre part, il faut travailler sur l'appropriation du module Solution Manager », prévient le patron de l'USF. (...)

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