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(28/08/2009 14:14:11)

Gartner classifie douze logiciels de gestion du cycle de vente

Gartner constate que les entreprises continuent à investir dans les solutions de SFA -sales force automation. Ces logiciels, destinés à gérer les opportunités commerciales, le cycle de vente et les équipes de vendeurs, constituent l'un des trois pans du CRM (gestion de la relation client), avec les logiciels de suivi des campagnes marketing et les solutions de gestion du service client (*). Avec la diminution du volume d'affaires sur le marché et la réduction des équipes commerciales, les entreprises ont donc maintenu leur intérêt pour les outils susceptibles d'automatiser certains processus du cycle de vente. Gartner note que la réduction des budgets IT a renforcé le recours aux solutions de SFA hébergées (en mode SaaS), que l'on peut mettre en oeuvre plus rapidement et qui n'exigent pas de coûteux investissements de départ. Dans un autre domaine, l'argument du smartphone comme terminal a pu être utilisé pour inciter les commerciaux à adopter les outils de SFA. Certains éditeurs profitent de cet intérêt du marché, comme Salesforce, qui a revu ses prévisions de chiffre d'affaires à la hausse. Gartner souligne toutefois que cette tendance ne bénéficie pas de la même façon à tous les fournisseurs de logiciels de SFA. Gartner distingue deux solutions de SFA hébergées Fin juillet, le cabinet d'études a mis à jour son carré magique sur le sujet, dressant un panorama d'une dizaine de solutions présentes au niveau mondial. Il y place des éditeurs comptant au moins cent clients ayant déployé les deux dernières versions du produit retenu. En préalable, l'analyste Robert Desisto, qui a réalisé l'étude, insiste sur le fait que l'adéquation d'un logiciel de SFA différera d'une entreprise à l'autre, en fonction de l'organisation commerciale et de la complexité de celle-ci, des méthodes de vente et du nombre de collaborateurs. Il rappelle que son carré magique se limite aux principaux fournisseurs et ne constitue qu'un document de référence qu'il convient de compléter pour mener sa recherche de solution. L'analyste rappelle qu'il existe de nombreux logiciels de SFA développés localement ou spécifiques à un secteur industriel. Ce préalable posé, Gartner répartit sa sélection d'offres entre différentes catégories : les leaders, les challengers et les produits de niche. Dans le premier groupe figurent les éditeurs ayant une bonne vision des besoins des clients en matière de SFA, une stratégie globale (par industries, par zones géographiques, etc.) et des produits bénéficiant d'une couverture fonctionnelle complète. Gartner y place les solutions Salesforce, de Salesforce.com, Siebel CRM d'Oracle et Oracle CRM On Demand. La première et la troisième de ces offres sont proposées en mode hébergé. Microsoft, SAP et Sage en challengers [[page]] Dans la catégorie des offres challengers, directement concurrentes des trois premières, Gartner identifie Microsoft Dynamics CRM, SAP CRM 7 et Sage SalesLogix. Pour chacune des offres retenues, Gartner dresse une liste des points forts et des points qui pourraient être améliorés. Par exemple, pour SAP CRM, Robert Desisto signale les améliorations importantes apportées sur l'interface de la version 7, mais regrette les différences d'apparence entre les versions connectées et déconnectées pour notebooks. Il note par ailleurs des fonctions à compléter sur Sage SalesLogix (sur la configuration des ventes ou la gestion des prix de vente) et Microsoft Dynamics CRM (sur la gestion des rémunérations des commerciaux, par exemple). Enfin, parmi les produits de niche, Gartner place des solutions dont les fonctions ne couvrent pas forcément tous les domaines du SFA, mais qui sont adaptées à des organisations moins complexes. On y trouve aussi des solutions convenant à des déploiements plus restreints. Y figure les offres de Pivotal Sales (de CDC Software), SageCRM, Act ! By Sage, SugarCRM (un logiciel en Open Source), Goldmine (de FrontRange Solutions) ou encore Maximizer. Gartner cite aussi les offres NetSuite et Landslide que l'on ne rencontre pas en France. Ne figure pas dans ce panorama l'offre SFA d'Infor (4e éditeur mondial d'applications d'entreprises) car Gartner la voit davantage comme un produit inclus dans une offre globale que comme une solution poussée par son éditeur de façon indépendante. (...)

(25/08/2009 16:31:23)

Annuels Open Text : des ventes trimestrielles freinées par le rachat de Vignette

John Shackleton, PDG de l'éditeur canadien Open Text, a reconnu, lors de l'annonce des résultats annuels de sa société, avoir été déçu par le chiffre d'affaires de son quatrième trimestre (clos fin juin), inférieur aux prévisions établies. Les ventes de licences ont baissé de 8% par rapport au 4e trimestre fiscal 2008, à 63 M$ (sur un chiffre d'affaires de 203,4 M$, exprimés en dollars américains). Le PDG juge que les clients ont attendu d'en savoir plus sur la nouvelle stratégie de gestion de contenus Web (WCM) d'Open Text, à la suite du rachat de l'Américain Vignette, annoncé en mai dernier. Cette acquisition a été entérinée en juillet par l'éditeur canadien, sur le premier trimestre de son exercice fiscal 2010.

Le rapprochement des deux sociétés va entraîner des charges de restructuration. Lors de la conférence de présentation des résultats, Paul McFeeters, le directeur financier d'Open Text, a indiqué qu'elles devraient se situer entre 32 et 40 M$, dont 26 à 31 M$ consacrés aux charges de restructuration de l'effectif.

John Shackleton a précisé qu'au quatrième trimestre, un tiers des 63 M$ de licences vendues concernaient de nouveaux clients, les autres ventes ayant été réalisées avec la base installée d'Open Text. Le chiffre d'affaires se répartit à parts presque égales entre Amérique du Nord et Europe. La zone Asie-Pacifique ne représente que 5%. Le PDG a également confirmé que les ventes d'applications ECM de sa société étaient toujours tirées par les solutions liées aux ERP et par les projets visant à mettre la gestion des contenus en conformité avec les exigences réglementaires (Sarbanes Oxley, Bale II...). Il souligne par ailleurs le succès de ses offres associées aux applications SAP. (...)

(24/08/2009 16:37:58)

Malgré la crise, Salesforce.com revoit ses prévisions de chiffre d'affaires à la hausse

A contre-courant des autres acteurs de l'industrie informatique, Salesforce.com a revu à la hausse ses prévisions pour son exercice qui s'achèvera en janvier 2010. Le spécialiste du logiciel de gestion de la relation client en ligne table désormais sur un chiffre d'affaires annuel de 1,28 Md$, contre 1,27 Md$ auparavant. Fondé il y a 10 ans, Salesforce.com figure à la première position du "magic Quadrant" publié en juillet par le Gartner sur les logiciels destiné aux forces de vente (SFA, sales force automation). La société a su s'associer avec Amazon, Google et Facebook, qu'elle utilise comme bras de levier pour promouvoir ses offres. AMR Research décerne aussi un satisfecit au groupe. S'il occupe la dixième place au classement général des fournisseurs d'applications avec un chiffre d'affaires 2008 de 1,02 Md$, loin derrière SAP (15 Md$) et Oracle (8,5 Md$), il se hisse au troisième rang si l'on ne s'intéresse qu'au chiffre d'affaires généré par les ventes de licences ou d'abonnements. Marc Benioff, PDG du groupe, explique le succès de son entreprise par son modèle. Selon lui, il attire les entreprises par son rapport coûts/prestations. Au cours de son deuxième trimestre, clos fin juillet, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 316 M$ (+20%) et plus que doublé son bénéfice net à 21,2 M$. A cette date, le groupe revendiquait 63 000 clients. (...)

(20/08/2009 17:05:13)

Google adapte son moteur de recherche à Salesforce.com

La recherche sur Google est devenue une seconde nature pour les internautes. A tel point d'ailleurs, que le géant propose désormais d'utiliser cette fonction dans certaines applications d'entreprise. Pour ce faire, il a développé des connecteurs GSA (Google Search Appliance) pour Sharepoint de Microsoft ou pour Documentum, par exemple, mais aussi pour le CRM (Customer relationship management) en ligne de Salesforce.com. Un utilisateur qui exécute une recherche sur l'intranet de son entreprise obtiendra ainsi une page de résultats issus aussi bien de ces trois applications que du Web, mais tous présentés de la même façon. Google en a profité pour améliorer le connecteur destiné à Sharepoint qui supporte la collecte multi-sites et les versions 64-bits de Windows. Side-by-side compare les résultats de GSA et de Google Site Search En juin, Google avait lancé la version 6.0 de GSA disponible en deux déclinaisons. La première, GB-7007, peut chercher dans une masse de 500 000 à 10 millions de documents, et la seconde, GB-9009, dans 30 millions de documents. Enfin, Google introduit parallèlement le module gratuit Side-by-Side, destiné aux administrateurs. Il compare les résultats de GSA et ceux de Google Site Search (utilisation de Google Search dans un site Web) avec ceux d'autres moteurs de recherche. Il peut aussi afficher la comparaison entre deux recherches exécutées avec GSA. Les résultats s'affichent côte à côte (side by side) dans deux panneaux et l'utilisateur peut voter pour celui qui lui paraît le plus pertinent. (...)

(18/08/2009 15:29:00)

Trois éditeurs de BI se mettent en cloud avec Rightscale

Talend, Jaspersoft et Vertica viennent d'annoncer une offre décisionnelle combinée, à exploiter dans le cloud EC2 d'Amazon, avec la solution d'administration de RightScale conçue pour ce type de plateforme. Le Français Talend et le Californien Jaspersoft, deux éditeurs investis dans les logiciels en Open Source, y apportent respectivement leurs outils d'intégration (pour le premier), d'analyse de données et de reporting (pour le deuxième). Quant à Vertica (Massachussetts), la société fondée par Michael Stonebraker, qui fut le co-développeur de la base de données Ingres, elle fournit son entrepôt de données qui se distingue par son mode de stockage en colonnes. Les outils d'administration de RightScale sont utilisés pour installer des instances de Talend, Vertica et Jaspersoft sur le cloud EC2. Les données sources sont transférées sur le cloud avec les fonctions ETL de Talend et chargées dans le datawarehouse de Vertica. L'analyse et la restitution des données s'effectuent ensuite avec la suite de Jaspersoft. Pour créer un prototype d'application décisionnelle Les quatre éditeurs suggèrent plusieurs scénarios d'applications autour de cette offre commune. Elle pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de déporter certains traitements lourds risquant de surcharger le datawarehouse interne ou de requérir une mise à jour coûteuse. Elle pourrait aussi servir à tester un prototype d'applications BI sans nécessiter la mise en place d'une infrastructure, ou encore être utilisée ponctuellement pour créer des applications analytiques à la demande afin de réagir rapidement à un brusque changement du marché. Ou tout simplement, elle pourrait être exploitée telle quelle, comme une offre de BI dans le cloud. Pour Curt Monash, du cabinet Monash Research, interrogé par nos confrères d'IDG News Service, cette offre peut notamment intéresser les entreprises, des PME par exemple, qui n'ont pas encore déployé de solutions décisionnelles ou qui s'appuient sur les outils de reporting intégrés aux applications qu'elles utilisent. Dans le même ordre d'idée, l'analyste considère que cette solution de BI dans le cloud pourrait intéresser des revendeurs ou des consultants qui s'adressent justement à ces PME. Une offre BI facturée à l'usage par chaque éditeur Brian Gentile, PDG de l'éditeur Jaspersoft, et Michael Crandell, PDG de RightScale, ont déjà eu l'occasion de présenter cette offre combinée lors du salon CloudWorld Expo qui s'est tenu les 12 et 13 août au Moscone Center de San Francisco. Une version d'essai gratuite de trente jours est déjà proposée sur le site de Rightscale. Si les quatre éditeurs se sont entendus pour livrer la solution dans un même mouvement et faciliter le processus global de vente des différents produits, en revanche, chacun d'eux assurera indépendamment le support de ses logiciels et nouera ses propres engagements contractuels avec les clients intéressés. C'est ce qu'a précisé Yves de Montcheuil, vice président marketing de Talend, à IDG News Service. Le paiement se fera sur le mode de facturation 'à l'usage' propre au cloud. (...)

(14/08/2009 11:40:26)

Premier pas de la bêta de la R2 de SQL Server 2008

Les premiers développeurs viennent de la recevoir, les autres bientôt. La R2 du SGBD SQL Server 2008, connu sous le nom de code "Kilimanjaro", avance pas à pas vers sa sortie, prévue au premier semestre de l'an prochain. Elle devrait être synchronisée avec celle d'Office 10, suite bureautique avec laquelle elle aura des liens techniques. Une de ses principales fonctions sera Report Builder 3.0, un module de décisionnel nettement amélioré. Il comportera en particulier la possibilité d'une géolocalisation des données. Report Builder 3.0 et une intégration plus poussée avec Office confirment que Microsoft prépare une offensive sur le thème de la démocratisation du décisionnel. Au niveau de l'administration, le déploiement multi-serveur sera facilité. Deux autres technologies devraient être intégrées d'ici au lancement de cette R2. Le "Project Gemini", qui permettra d'utiliser Excel pour analyser des données, et Madison, outil d'entrepôt de données, fruit du rachat de DATAllegro l'an dernier. (...)

(11/08/2009 16:22:54)

Sous Windows, le SP2 de BusinessObjects XI 3.1 peine à s'installer

Inutile d'espérer installer le SP2 de BusinessObjects Enterprise XI 3.1 sur un serveur Windows rapidement. Les premiers à avoir tenté cette installation se plaignent de durées records pour y arriver. Certains évoquent 18 heures d'immobilisation complète du système. Qui plus est, sans avoir atteint le bout de la procédure. Chez SAP, on incrimine l'installer de Microsoft sous Windows. Tim Lang, vice president product management, indique que le SP2 s'installe sans difficulté sur les plateformes Linux et Unix. Il précise que le problème avait été souligné dans la documentation de la version Windows et que la procédure d'installation du SP3 empruntera une approche différente. La question "quand le SP3 sera-t-il disponible ?" est pour l'instant sans réponse. (...)

(10/08/2009 15:38:54)

SAP pourrait racheter Tibco et ses solutions d'intégration

D'après le site d'information financière allemand Euro am Sonntag, l'éditeur d'applications de gestion SAP porte actuellement son attention sur Tibco et ses solutions d'intégration. Un projet de revente de ces middlewares par SAP aurait été évoqué fin 2008 et aurait évolué vers un projet d'acquisition de l'éditeur américain par le fournisseur allemand. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la rumeur. SAP possède déjà ses propres outils de middleware, développés au sein de sa plateforme technologique Netweaver. Néanmoins, ceux de Tibco lui permettraient d'élargir ses capacités d'intégration avec un plus grand nombre d'applications externes. Sur le terrain du middleware, Oracle, principal concurrent de SAP, a fait il y a un an et demi l'acquisition de BEA Software et de son offre WebLogic, pour la coquette somme de 8,5 Md$ (un montant supérieur aux 7,4 Md$ récemment que la société de Larry Ellison a récemment proposé pour Sun). SAP veut acheter SAF, éditeur de solutions logistiques Pour SAP, la dernière initiative de croissance externe remonte au 20 juillet et porte sur une offre faite au Suisse SAF, un éditeur de logiciels de planification logistique employant 90 personnes. Toujours selon Euro am Sonntag, SAP manifesterait également un intérêt pour Teradata et ses applications d'entrepôts de données (datawarehouses). En avril, les deux éditeurs ont déjà noué un partenariat pour constituer une offre commune. Dans ce domaine du décisionnel, le mois de juillet a été marqué par le rachat du spécialiste du datamining SPSS par IBM qui renforce ainsi l'offre de business intelligence qu'il s'est constitué avec Cognos. Fin juillet, SAP a présenté sur son deuxième trimestre fiscal un bénéfice net en légère progression (+4%), à 423 M€, en dépit d'un chiffre d'affaires en recul de 10% à 2,58 Md€ et de ventes de licences en baisse de 40% par rapport à l'an dernier. (...)

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