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(16/06/2009 16:16:28)

L'éditeur polonais Comarch veut se faire un nom en France

Presque inconnu en France pour l'instant même s'il y compte déjà plusieurs clients et quarante collaborateurs, l'éditeur polonais Comarch entend bien développer ses activités de façon significative dans l'Hexagone. Ses logiciels de facturation et de gestion de réseaux pour les opérateurs de télécommunications lui ont permis d'entrer chez Bouygues Telecom et Auchan Telecom. Mais il compte aussi bâtir d'ici 2010 un réseau de distribution indirecte afin de diffuser son ERP pour PME de négoce, Comarch Altum. Ce produit, basé sur la technologie Microsoft .Net, se pose en concurrent d'ERP tels que ceux de Divalto ou Cegid. Il est vendu sous forme de licences, à partir 500 euros par utilisateur (900 euros avec ses fonctions de workflow et d'analyse décisionnelle).

55% du chiffre d'affaires réalisé à l'international


Au niveau mondial, Comarch a déjà pris pied dans une quinzaine de pays. Créé en 1993 par Janusz Filipiak, il réunit 3 500 salariés et 57 000 clients, parmi lesquels T-Mobile, Vodafone et O2. Outre ses solutions pour les opérateurs télécoms (30% de son chiffre d'affaires total en 2008), l'éditeur déploie ses applications de gestion sur trois autres marchés : la distribution et les services (avec notamment la gestion des cartes de fidélité, chez BP France, par exemple), la banque (avec une forte présence en Ukraine) et le secteur public. L'an dernier, Comarch a réalisé 55% de son chiffre d'affaires de 200 M€, hors de son marché national. Janusz Filipiak, son PDG, souligne que 13% de ce CA a été investi en R&D en 2008 (le groupe dispose de quatre centres de R&D en Europe).

Bien implanté à Lille


Sur l'Hexagone, les équipes de Comarch se répartissent entre Lille, où l'équipe conseil et technique est installée, et l'antenne parisienne à vocation commerciale. A Grenoble se trouvent par ailleurs dix personnes investies dans le développement de l'offre télécom. L'éditeur polonais focalisera son activité française sur son ERP pour PME et sur le marché des télécoms. Il insiste sur l'aspect intégré de son offre destinée aux opérateurs avec laquelle il entre en concurrence avec des acteurs comme Oracle ou Amdocs. Dans un premier temps, Comarch concentrera son action commerciale sur la Région Nord Pas-de-Calais et sur Paris. (...)

(12/06/2009 14:22:21)

Le marché du décisionnel nargue la crise et progresse de 22% en 2008

Si la crise économique a des effets dévastateurs sur certains secteurs informatiques, les DSI n'hésitant pas à réduire leurs dépenses informatiques, elle permet à d'autres de se développer. C'est le cas du marché du décisionnel et des outils de gestion de la performance, qui a enregistré un chiffre d'affaires de 8,8 Md$ en 2008, en croissance de 21,7% selon Gartner, contre 13% en 2007. Il y a un an, le cabinet d'études prévoyait un ralentissement du secteur, avec une croissance ne dépassant pas les 11,2%. Dans le détail, les plateformes de business intelligence (BI) génèrent 65,3% du chiffre d'affaires du secteur et les outils d'analyse et de gestion de la performance 34,7% (en hausse de 24,3%). « La demande reste relativement forte même dans un contexte de récession car ces outils contribuent à identifier les sources de coûts et à optimiser le pilotage de l'activité », souligne Dan Sommer, analyste senior chez Gartner. La consolidation du secteur joue en faveur du marché de la BI Au cours des derniers mois, le marché du décisionnel s'est concentré autour de grands acteurs. SAP se hisse à la première place grâce au rachat de Business Objects (et précédemment de Pilot et OutlookSoft) . Le groupe détient 23,8% des parts de marché, devant SAS et Oracle/Hyperion (14,6% chacun), IBM/Cognos (11,3%), Microsoft (7,7%) et MicroStrategy (3,2%). « La consolidation du secteur à conduit à une augmentation de la croissance en dépit de l'inévitable rationalisation des produits et des changements organisationnels qu'elle entraîne », note Dan Sommer chez Gartner. Le cabinet d'études a par ailleurs identifié le décisionnel comme étant l'une des dix technologies clés pour 2009. Il table néanmoins sur un tassement de la demande et un ralentissement du marché en 2009. (...)

(11/06/2009 16:44:32)

SAP lève le voile sur ses prochaines applications en ligne

SAP en dit un peu plus sur la prochaine génération d'applications en ligne qu'il destine à sa base installée. John Wookey, recruté par l'éditeur allemand en novembre dernier, avec le titre de vice-président exécutif chargé des solutions « à la demande » pour les grandes entreprises, vient de donner des détails sur les produits qu'il prépare. Et qui doivent arriver... « bientôt, bientôt ». Il est notamment intervenu hier, mercredi 10 juin, sur la conférence On Demand organisée à Amsterdam par la Software & information industry association. En embauchant cet ancien collaborateur d'Oracle, à ce poste et avec ce titre précis, l'éditeur allemand d'ERP avait clairement montré son intention de développer son offre en ligne au-delà des produits déjà proposés (CRM on-demand, BI on-demand, l'ERP pour PME Business ByDesign). La gamme SaaS en gestation a été conçue pour apporter des fonctions complémentaires aux utilisateurs de la SAP Business Suite, tant sur l'ERP que sur les autres composantes, telles que l'application de gestion de la chaîne logistique (SCM), par exemple. Ces futurs logiciels on-demand pourront s'utiliser à partir de la version R/3 4.6c de l'ERP jusqu'à l'actuelle version de la Business Suite. Les fonctions proposées seront hébergées par SAP sur une architecture 'multitenant', c'est-à-dire dans laquelle l'ensemble des clients accéderont à la même instance de l'application. A titre de comparaison, avec les produits CRM on-demand et Business ByDesign, chaque client dispose de sa propre instance. Une intégration directe avec la Business Suite Les nouvelles applications en ligne viendront s'interfacer directement avec la Business Suite, simplifiant les procédures d'intégration entre applications sur site et en ligne. Elles seront facturées aux clients sur la base d'un abonnement. Pour John Wookey, ce modèle va permettre à SAP de vendre de nouveaux logiciels à ses clients à un prix raisonnable tout en maintenant sa marge. Le vice-président voit dans le 'on-demand' la prochaine architecture pour concevoir et fournir les applications. Pour autant, il n'est pas question pour lui d'imaginer vendre un ERP en ligne à une grande entreprise, comme il est possible de le faire pour les PME avec un produit comme Business ByDesign. John Wookey considère que les grands clients vont surtout s'intéresser au mode SaaS (software as a service) pour accéder à des fonctions particulières. A noter que la date de la disponibilité générale de l'ERP Business ByDesign n'est toujours par fixée. Un nombre limité de clients l'utilisent déjà depuis plusieurs mois sur six pays, mais SAP ne l'étendra pas aux autres pays avant d'être assuré de la rentabilité du modèle. Le choix des méthodes agiles pour le développement Afin d'accélérer le délai de mise à disposition de ces futurs logiciels en ligne, SAP a choisi de conduire ses développements en s'appuyant sur les méthodes agiles (et notamment Scrum). Des méthodes jugées particulièrement adaptées au modèle 'on-demand' par John Wookey puisqu'elles permettent d'intégrer rapidement les remarques des premiers utilisateurs. SAP devrait livrer ces nouvelles applications par vagues. Les acquisitions d'éditeurs spécialisés dans le SaaS y contribueront. Dans ce domaine, le fournisseur allemand a notamment racheté Coghead et sa plateforme de développement en ligne, en février dernier. En mai, il a repris Clear Standards et sa solution de calcul en ligne des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que SkyData et ses applications pour smartphones. Un peu plus tôt, en 2006, l'éditeur avait déjà mis la main sur Frictionless Commerce, à l'origine d'une application 'on-demand' de gestion des relations fournisseurs (SRM). C'est justement sur l'architecture 'multitenant' de ce dernier que s'appuieraient les nouvelles fonctions en ligne destinées aux utilisateurs de la SAP Business Suite. Outre différents spécialistes du SaaS issus de ces rachats, l'équipe de John Wookey rassemble aussi d'anciens collaborateurs de Salesforce et Siebel. (...)

(03/06/2009 10:44:13)

SAP France met en place un programme de benchmarking

SAP France attend 3 000 personnes sur deux jours (2-3 juin) à la Porte de Versailles pour son World Tour 2009, organisé trois semaines après sa conférence utilisateurs mondiale d'Orlando. Pour les clients français, c'est l'occasion notamment d'en savoir plus sur l'offre décisionnelle SAP Business Objects Explorer Accelerated dévoilée par l'éditeur sur Sapphire. En ouverture de la conférence, Pascal Rialland, directeur général de SAP France, a annoncé l'arrivée d'un programme gratuit de benchmarking qui permettra aux entreprises françaises de comparer leurs processus métiers à ceux des autres clients SAP de même taille ou évoluant dans le même secteur d'activité. Ce programme passe en revue 28 processus-clé. Il a été lancé il y a un an aux Etats-Unis et 4 000 entreprises américaines y ont déjà contribué. « Nous travaillons à sa mise en place en France avec l'USF [club des utilisateurs de SAP francophones] », a précisé Pascal Rialland.

Entre démonstrations d'applications et témoignages clients, SAP a programmé quelque 150 présentations dans le Hall 1 de la Porte de Versailles. Celles-ci sont réparties entre sept espaces suivant que les thématiques abordées s'adressent aux directions informatiques, aux directions financières, aux acteurs de la banque/assurance, au secteur public et au monde de la santé, aux autres secteurs industriels ou aux PME. Le dernier espace est consacré aux plus récentes évolutions de l'offre SAP : la Business Suite 7 qui unifie l'ERP avec les autres applications -en particulier avec la gestion de la relation client (CRM) et la gestion de la relation fournisseur (SRM), l'offre de maintenance Enterprise Support qui prévaut désormais et la solution décisionnelle Explorer Accelerated. Cette dernière sera d'abord livrée pour les utilisateurs de l'entrepôt de données SAP BW. Elle sortira plus tard pour les applications non SAP. Le nouveau produit associe l'interface de recherche intuitive de BO, jusque-là connue sous le nom de Polestar, et le logiciel SAP Netweaver BW Accelerator, qui exploite la technologie d'analyse en mémoire TREX de SAP et s'appuie sur une partie matérielle pour parcourir et indexer les données de BW. Elle a été conçue pour avoir la capacité d'explorer plusieurs téraoctets de données et délivrer une réponse en moins d'une seconde. Pour la partie matérielle, livrée sous forme de serveurs lames, SAP s'appuie sur des partenaires (HP, IBM, Sun et Siemens). Avec l'interface d'Explorer, l'affichage de la réponse livre aussi d'autres informations associées aux éléments de la requête, qui peuvent fournir un éclairage complémentaire pour prendre une décision.

En dépit des importants remous générés depuis un an par l'augmentation du tarif de la maintenance, la session qui a été consacrée hier aux services apportés par Enterprise Support n'a guère attiré les participants du SAP World Tour. Dans la grande salle plénière, une trentaine de personnes seulement y ont assisté, tandis qu'au même moment, à la mi-journée, les espaces thématiques faisaient le plein : une soixantaine de personnes sur le village Direction financière, par exemple, où l'on expliquait comment réduire les cycles de clôture, et une cinquantaine sur le village Direction informatique, où l'exposé portait sur l'industrialisation des tests logiciels.

Les limites des critères de performance

Plus tôt dans la matinée, en ouverture de la conférence, SAP avait convié des orateurs plus inhabituels. Les analyses de l'économiste Daniel Cohen et du philosophe et ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry ont montré les limites des critères de performances imposés aux entreprises. Le premier a rappelé les risques de la sous-traitance à outrance. « Quand on externalise tout, on n'a plus aucun contrôle de ce qu'on met sur le marché », a-t-il notamment argumenté au fil de son exposé. « L'immatériel pur ne peut pas se substituer à la chaîne de valeur traditionnelle de l'entreprise. Le curseur va revenir, on va sans doute réinternaliser un certain nombre de risques pour s'assurer de la qualité de cette chaîne de valeur. » Quant à Luc Ferry, il a rappelé que nous avancions à toute vitesse mais sans savoir où ni pourquoi. Poussées par la concurrence, « il faut que les entreprises tournent, sinon elles tomberont. Mais cela ne constitue pas un projet. Le monde nous échappe de toute part, mais comment reprendre la main et à quel niveau ? », interroge le politique, en précisant que ce ne peut certainement pas être au seul niveau national.

En proposant à ses utilisateurs une vision élargie par rapport aux problématiques de gestion qui les ont attirés sur cette conférence, SAP rappelle aussi sa nouvelle ligne. Depuis quelques semaines, l'éditeur met l'accent sur ses solutions de développement durable appliquées à la gestion des risques sanitaires et de l'environnement, ainsi que sur son propre engagement dans cette voie. A l'occasion de Sapphire Orlando, il a publié son rapport de développement durable pour l'année 2008. Il vient également de racheter l'éditeur Clear Standards qui a développé une solution en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre. (...)

(02/06/2009 12:48:08)

Annuels : démembré, Arès atteint avec peine les 90 M€ de CA

Arès a publié un chiffre d'affaires en retrait de 9% (90,2 M€ contre 99,1 M€ en 2008). Si on prend en compte l'ancien périmètre du groupe, le CA s'écroule littéralement : il aurait du atteindre 329,1 M€ si Arès ne s'était pas, peu à peu, défait de certaines activités au cours des derniers mois. Le groupe s'est successivement débarrassé de SIS Ile-de-France (cédé à SCC), de SIS Régions (revendu en juillet 2008 à la SSII bordelaise Cheops Technology), d'Adequat (repris par D.FI), du pôle RMS (réseau, mobilité, sécurité) ainsi que de la société Databail. Ces différentes opérations ont valu à Arès un redressement judiciaire, entériné par le Tribunal de commerce d'Evry il y a deux mois seulement, après une longue période d'observation. Ces reventes ont provoqué une réduction drastique de la masse salariale d'Arès. En un an, elle est passée de 2 000 à 1 100 salariés. Par secteurs d'activités, c'est le pôle ITS (IT Services) qui permet à Arès d'engranger 68% de ses revenus. Vient ensuite le pôle SIT, qui distribue les solutions Autodesk (20% du chiffre d'affaires). La division ISA (Intégration de solutions applicatives) génère 12% du CA. Elle est chargée de distribuer et d'intégrer la gamme Arcole, une suite de progiciels (paie/RH) qu'Arès a lui-même développée mais qu'il a revendue à l'éditeur De Gamma pour 6 M€ en avril 2008. Pour 2010, le groupe entend mener à terme son redressement judiciaire et se concentrer sur des activités à valeur ajoutée, comme les services managés ou le PLM (gestion du cycle de vie du produit), et renforcer sa présence dans le secteur public, parapublic, la santé et le social. (...)

(02/06/2009 10:26:53)

Un benchmarking pour évaluer la supply chain des industriels de la chimie

Les éditeurs Wam Systems et Ortems, spécialisés dans les solutions de planification de la chaîne logistique, proposent aux industriels de la chimie/pharmacie de réaliser gratuitement un benchmarking d'évaluation pour situer leur entreprise par rapport à d'autres groupes de leur secteur d'activité. Pour constituer les données de référence de ce benchmarking, Wam a évalué au cours des deux dernières années les pratiques de plus de 200 entreprises des industries de process (fabrication par recettes ou mélanges, par opposition à la production par assemblage, dite discrete). Les données recueillies portent sur quelque 150 processus métiers s'appliquant à la planification de la chaîne logistique. Elles concernent principalement les acteurs de la chimie spécialisée (34%), de la pétrochimie (16%), de la chimie lourde inorganique (10%) et des polymères (26%). Seuls 4% des groupes audités viennent de l'industrie pharmaceutique et 7% de l'agro-alimentaire. La participation à ce programme de benchmarking, proposé en Europe par l'intermédiaire d'Ortems, s'appuie sur un questionnaire. L'entreprise intéressée y répond par téléphone (pendant environ une heure) en dialoguant avec un expert de la chaîne logistique de Wam Systems. « Les réponses et l'identification de l'entreprise restent confidentiels », certifie Laïla Ladgham, directrice marketing et communication d'Ortems. Un rapport de vingt pages est ensuite envoyé à l'industriel participant ce qui lui permet de comparer en détail ses processus avec les pratiques des autres entreprises auditées. Un manque d'intégration avec l'ordonnancement tactique Le benchmark de Wams associe une note de maturité (de 1 à 5) aux différents processus métier examinés. Sur l'ensemble des 200 groupes déjà analysés, il apparaît d'abord, sans surprise, que ce sont les plus grandes entreprises qui ont investi le plus dans l'optimisation de leurs processus. Au total, 61% des entreprises n'ont engagé une planification industrielle et commerciale (S&OP) que sur les trois dernières années et 79% la réalisent encore à l'aide de tableurs. Dans 90% des cas, cette planification est surtout basée sur les volumes et ne comporte que peu d'analyse financière. 58% ont mis en place une S&OP transverse et active et la plupart l'utilisent pour piloter leur ordonnancement tactique. Enfin, il ressort que 50% des entreprises analysées sont très insatisfaites de plus de la moitié des capacités de leur outil industriel. Parmi les points d'insatisfaction, Wam Systems en a relevé plus particulièrement quatre : l'élaboration d'un plan mensuel exige trop de temps, les données sont souvent incohérentes par rapport aux ERP, il y a un manque de capacités de simulation et d'analyse financière et, enfin, il n'y a pas d'intégration avec l'ordonnancement tactique. Sur le terrain de la planification collaborative de la demande, Wam constate que les 2/3 des entreprises interrogées impliquent fortement leur force de vente dans l'élaboration des plans de la demande. Enfin, sur la définition des objectifs de stock, seules 40% des entreprises évaluées définissent et suivent leur politique de stock sur un mode analytique. « Ce premier benchmarking d'évaluation, très axé sur les industriels de la chimie, va se compléter prochainement par la mise en place de benchmarks davantage axés sur les industries de l'agro-alimentaire et de la métallurgie », indique Laïla Ladgham. Le Français Ortems et l'Américain Wam Systems ont récemment noué un partenariat pour proposer une solution globale de planification de la chaîne logistique allant de la prévision des ventes jusqu'à l'ordonnancement détaillé. (...)

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