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(25/05/2009 15:42:14)
Prelytis donne accès à ses outils de tableaux de bord en ligne
L'éditeur de solutions décisionnelles Prelytis décline en version SaaS son logiciel de constitution de tableaux de bord. L'offre permet de construire en quelques jours les indicateurs pertinents pour l'entreprise (marge brute, chiffre d'affaires par produits ou par régions, etc.). « L'une des grandes tendances de la BI [Business Intelligence] en ce moment, ce sont les projets courts, rappelle Alexandre Schneider, président et fondateur de Prelitys. Les entreprises n'ont plus le temps d'investir dans des projets trop structurants, mais sans verser pour autant dans le 'Quick and dirty'. Elles veulent du 'Quick and Pretty' ».
Créée en 2002 par trois fondateurs issus de différentes sociétés de services, l'offre de reporting de Prelitys a été d'emblée développée en mode Web en privilégiant la facilité de déploiement, y compris vers des terminaux mobiles comme le BlackBerry. La nouvelle offre SaaS « est avant tout une déclinaison commerciale de notre solution, précise Alexandre Schneider. Si au bout d'un an, le client veut revenir à une offre classique, il retrouve exactement le même produit. »
En version SaaS, deux modes de chargement sont proposés pour alimenter LiveDashboard en données. Celles-ci peuvent d'abord être périodiquement téléchargées au format Excel dans la base de données de Prelytis. Ensuite, si les mises à jour sont plus fréquentes, l'éditeur propose un accès sécurisé à sa base. « Nous ouvrons sur notre serveur sécurisé [un VPN] une porte pour l'adresse IP du client qui nous envoie ses données avec l'ETL de son choix, explique le patron de Prelytis. Ce peut-être, par exemple, l'ETL de Talend avec lequel nous travaillons souvent. »
Un ballon d'essai avec LiveDashBoard 4Team
L'an dernier, Prelytis avait tâté le terrain du SaaS en proposant avec LiveDashBoard 4Team une offre d'essai en ligne, restreinte à cinq utilisateurs, mais sans limite de temps, à utiliser en conjonction avec le tableur en ligne de Google (une offre allégée, sans Balanced ScoreCard, ni mécanismes d'alerte, notamment). « En un peu moins d'un an, nous avons dépassé le millier d'utilisateurs sur ce produit, indique le président de Prelitys. Nous estimions jusqu'alors que le marché n'était pas mûr pour l'utilisation de solutions de BI sous cette forme. » Mais le contexte a changé. Les entreprises sont à la recherche de solutions légères, collaboratives et rapides à mettre en place pour un suivi tactique des données. Il n'est qu'à voir, par exemple, le récent succès d'un Qliktech.
Pendant sa phase de lancement, LiveDashBoard SaaS est proposé au tarif de 29 euros par utilisateur et par mois, pour les 1 000 premiers utilisateurs (quel que soit le profil : administrateur ou utilisateur). L'abonnement mensuel passera ensuite à 59 euros. L'offre concerne toute taille d'entreprise, PME comprises. A noter que, dans sa version licence, Live Dashboard est notamment exploitée dans de grands comptes sur plusieurs milliers de postes (15 000 chez Cofinoga, par exemple). (...)
BlueKanGo ajoute un ultraportable à son offre en ligne de BPM qualité
L'éditeur français BlueKanGo a constitué pour les responsables qualité cinq solutions packagées de BPM - gestion de processus métiers - proposées en mode SaaS. L'une des originalités de cette offre est de s'accompagner d'un volet matériel, le BlueNetBook, destiné à faciliter l'usage mobile de l'application. Le prix de l'abonnement mensuel (à partir de 90 euros par mois) comprend la fourniture d'un ultraportable équipé d'une carte 3G et fourni avec une clé USB pour transférer l'existant. Les cinq solutions de BPM WeKanGo Qualité s'appliquent à la gestion des risques, à la conduite des audits et des enquêtes de satisfaction, à la gestion des EPP (évaluation des pratiques professionnelles), à la certification ISO 14001, ainsi qu'à la gestion des non-conformités. Elles s'ajoutent à la cinquantaine de solutions de BPM en mode SaaS déjà présentes au catalogue de l'éditeur dans les domaines de la gestion des ressources humaines, des achats, du SAV, de la paie et de la comptabilité. La plateforme applicative hébergée de BlueKanGo donne accès à des outils de modélisation graphique des processus et à un moteur d'exécution qui comprend un générateur de formulaires et un moteur de workflow (Blue/Business Process Execution language, BPEL). Elle comprend également des interfaces de programmation (API) et des connecteurs pour intégrer les solutions de BPM au système d'information de l'entreprise cliente. Cette dernière bâtit ses processus à la carte en choisissant dans la liste de composants que lui propose BlueKanGo. Pour le BPM Capital humain, par exemple, l'utilisateur peut choisir entre sept composants : recrutement, dossier du salarié, suivi des activités et des absences, suivi des activités et frais, postes et compétences, conduite des entretiens individuels et formation. Un millier de clients BlueKanGo n'est pas tout à fait un nouveau venu. La société, installée à Rennes et créée en 1998, a été connue jusqu'en 2008 sous le nom de QSMS Medi Système. Elle s'est initialement spécialisée dans le secteur de la santé avant d'investir aussi l'agroalimentaire, l'industrie et les services. Sa base installée compte aujourd'hui un millier de clients, tant grandes entreprises que PME et administrations. Parmi ses investisseurs figurent des fonds institutionnels comme la Région Bretagne, Bretagne Participation et Bretagne Jeunes Entreprises. La société a également bénéficié de l'aide financière d'Oseo. A noter que sur le marché français des éditeurs spécialisés sur les solutions de BPM en mode SaaS figure aussi RunMyProcess qui a récemment été distingué par Gartner. (...)
(15/05/2009 16:54:18)Sapphire : Hasso Plattner prône le stockage vertical et en mémoire
L'information au bout des doigts. SAP, comme les autres, l'avait promis. Au final, les doigts doivent patienter des minutes voire des heures pour obtenir l'information. Hasso Plattner, cofondateur de SAP et président du conseil d'administration, l'a reconnu lors de son intervention à la conférence Sapphire de l'éditeur allemand à Orlando, le 13 mai dernier. Mais il a fait une promesse : si les bonnes technologies sont adoptées d'ici 18 à 24 mois, le patron d'une entreprise de la taille de SAP devrait pouvoir accéder à n'importe quelle donnée du progiciel en moins d'une seconde. Trois piliers technologiques sont nécessaires pour parvenir à ce résultat, selon Hasso Plattner : le multicoeur (et des applications parallélisées), des bases de données en mémoire et du stockage en colonne. Le docteur Plattner a fait précéder son intervention d'une série d'affirmations interpellant l'auditoire (voir en encadré ci-dessous). Son but était de pointer le fait que la puissance de calcul continue d'augmenter, mais que cette puissance est gâchée, du fait de solutions de stockage totalement inadaptées. Le stockage en colonnes, ignoré par tous - « y compris par SAP » Comme Hasso Plattner ne peut guère intervenir sur les supports de stockage, il a fait part d'une expérience menée avec des étudiants d'une faculté scientifique allemande sur la façon de ranger les données en base et d'y accéder. Hasso Plattner a ainsi découvert une technologie « qui existe depuis 15 ans, mais que les éditeurs comme SAP ont ignorée jusque là », le stockage en colonne (ou stockage vertical). Cette technique, mise en oeuvre par quelques bases spécialisées comme Sybase IQ ou Vertica, consiste à accéder aux données par colonnes et non par lignes. Selon les experts du domaine, cette méthode accélère grandement les accès lorsqu'il s'agit de lire les données. C'est pourquoi Sybase l'a implémentée, par exemple, dans sa base destinée aux solutions décisionnelles, ou pourquoi Google s'en est inspiré pour concevoir sa base BigTable qui stocke les éléments de ses pages Web. Vu le taux de compression du stockage vertical, tout peut tenir en mémoire [[page]] En outre, a indiqué Hasso Plattner, le stockage vertical affiche « des taux de compression 10 fois supérieurs à ceux du stockage traditionnel ». Sachant qu'une carte-mère actuelle peut accueillir jusqu'à 144 Go de RAM, « et que cela devrait monter à un demi-téraoctet dans 18 mois », cela ouvre des perspectives intéressantes pour monter toute une base de données en mémoire vive. En revanche, le stockage vertical donne des résultats bien moins bons lorsqu'il s'agit de mettre les données à jour, c'est pourquoi - malgré les rodomontades du fondateur de Vertica, Michael Stonebraker - il n'est pas utilisé pour les applications transactionnelles. Dès lors, les données de production doivent passer par le filtre de l'ETL pour alimenter un entrepôt de données qui servira de support à des applications analytiques ; autant dire, a expliqué Hasso Plattner, que l'information date un peu quand on la présente sous une forme lisible au dirigeant de l'entreprise. Un accès dans la seconde à toute donnée dans 250 millions d'enregistrements Avec son équipe universitaire, Hasso Plattner a décidé de passer outre les traditionnelles objections. « Nous avons étudié les solutions dont on disait qu'elles ne marcheraient jamais. » Au final, ils ont abouti à un prototype dont la démonstration sur scène était plutôt bluffante : une interface Excel 2007 couplée au système de recherches de données T-REX, de SAP, et à une variante - développée pour l'occasion - du langage de requête SQL, permettait d'accéder dans la seconde à des données de production (une base empruntée à un gros client, totalisant 250 millions d'enregistrements). Pour parvenir à ce résultat, Hasso Plattner est parti du principe que les bases transactionnelles avaient rarement besoin de mettre des données à jour : « dans 15% des cas pour les applications de prise de commande, dans 5 à 10% des cas pour les applications financières ». Du coup, la chose peut être réglée grâce à des insertions, ce qui permet de ne jamais verrouiller la base. Parmi les autres avantages, le stockage vertical élimine la nécessité de réaliser des agrégats (sous-ensembles présélectionnés de la base), et élimine aussi la redondance des informations : reprenant des champs couramment dupliqués, Hasso Plattner a expliqué qu'il y a un nombre limité de pays, de devises... ou de sexes. Au final, la base s'en trouve réduite d'un facteur 20. Arguant bien du fait qu'il n'est pas un dirigeant exécutif de SAP, Hasso Plattner s'est refusé à prendre tout engagement sur la transformation de ce prototype en produit. Il espère bien néanmoins pouvoir revenir sur scène dans un an avec un projet mené cette fois par la R&D de SAP. (...)
(15/05/2009 14:40:42)IBM analyse en temps réel les flux de données avec System S
IBM vient d'annoncer la disponibilité de son logiciel System S, conçu pour analyser en temps réel de très importants flux de données simultanés. Ce produit est issu de cinq années de recherche et développement mené notamment par le centre de R&D T.J. Watson et de technologies reposant sur quelque 200 brevets déposés par Big Blue. Il a été présenté le 13 mai dernier lors du rendez-vous annuel d'IBM avec ses investisseurs. A cette occasion, Big Blue a également annoncé l'ouverture d'un centre européen de 'stream computing', à Dublin. Celui-ci couvrira la recherche, le support des clients et les tests avancés. System S met en oeuvre des algorithmes spécifiques pour analyser en continu « des centaines ou des milliers de flux simultanés, souligne IBM, provenant de sources multiples (cotations boursières, ventes au détail, bulletins météorologiques) afin de prendre des décisions en une fraction de seconde ». Des principes qui s'apparentent à ceux du CEP (complex event processing), traitement d'événements complexes, utilisé notamment dans les secteurs financiers et industriels. Un domaine dans lequel IBM a notamment acquis en janvier 2008 l'éditeur Aptsoft, s'octroyant la quatrième place de ce petit marché prometteur. Comprendre la météorologie spatiale ou les écosystèmes marins fragiles IBM System S est déjà installé chez certains clients. IBM cite en exemple l'Université Uppsala et l'Institut suédois de physique spatiale qui utilisent le logiciel pour mieux comprendre la météorologie spatiale qui peut influencer la transmission d'énergie et les communications (radio, signal TV, satellites...). L'Institut de la Marine irlandais prévoit d'utiliser System S pour mieux comprendre les écosystèmes marins fragiles. IBM conduit également des tests avec l'Institut de technologie de l'Université d'Ontario (UOIT) pour déterminer comment System S peut aider les médecins à détecter les changements imperceptibles intervenant dans l'état des grands prématurés. (...)
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